Cerisy-Belle-Étoile

Cerisy-Belle-Étoile (anciennement[1] Cerisi-Belle-Étoile) est une commune française, située dans le département de l'Orne en région Normandie, peuplée de 719 habitants[Note 1].

Cerisy-Belle-Étoile

Les ruines du château du mont de Cerisy.
Administration
Pays France
Région Normandie
Département Orne
Arrondissement Argentan
Intercommunalité Flers Agglo
Maire
Mandat
Hervé Borderie
2020-2026
Code postal 61100
Code commune 61078
Démographie
Gentilé Ceriséens ou Estoliens
Population
municipale
719 hab. (2018 )
Densité 54 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 47′ 52″ nord, 0° 37′ 35″ ouest
Altitude Min. 102 m
Max. 256 m
Superficie 13,40 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Flers
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Flers-1
Législatives Troisième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Normandie
Cerisy-Belle-Étoile
Géolocalisation sur la carte : Orne
Cerisy-Belle-Étoile
Géolocalisation sur la carte : France
Cerisy-Belle-Étoile
Géolocalisation sur la carte : France
Cerisy-Belle-Étoile

    Géographie

    La commune est dans le Bocage flérien, partie du Bocage normand. L'atlas des paysages de la Basse-Normandie la place au nord-est de l'unité des hauts pays de l’ouest ornais et du Mortainais située majoritairement au nord-ouest du département de l'Orne et caractérisée par un « paysage rude, marqué par un relief complexe modelé par les cours d’eau qui en divergent comme d’un château d’eau »[2]. Son bourg est à 7,5 km au nord-ouest de Flers, à 8,5 km au sud-est de Vassy, à 9,5 km au sud-ouest de Condé-sur-Noireau et à 11 km au nord-est de Tinchebray[3].

    Le bourg est traversé par la route départementale no 18 qui offre l'accès le plus commun, menant à Saint-Pierre-d'Entremont et Vassy au nord-ouest et à La Lande-Patry et Flers au sud-est. Utilisant une section commune à cette dernière dans le bourg, la D 257 permet au sud de rejoindre Landisacq et au nord-ouest Caligny. Au nord, la D 806 relie le bourg à la route Condé-sur-Noireau - Tinchebray (ancienne route nationale 811). Au sud du bourg, le centre du territoire est traversé d'ouest en est par la D 265 qui relie Montsecret à la D 18 vers Flers.

    Cerisy-Belle-Étoile est dans le bassin de l'Orne, par son sous-affluent le Noireau qui délimite le territoire au nord. Les eaux de la commune sont collectées par l'un de ses affluents, le Doinus, qui borde le bourg à l'est.

    Le point culminant (256 m) se situe à l'ouest, au château en ruine, sur le mont de Cerisy. La cote de 250 m est également dépassée en limite sud-ouest, près du lieu-dit Épivent. Le point le plus bas (102 m) correspond à la sortie du Noireau du territoire, au nord. La commune est bocagère.

    Le climat est océanique. La station météorologique la plus proche est Caen-Carpiquet, à 45 km[4]. La pluviométrie annuelle, à Cerisy-Belle-Étoile, avoisine les 950 mm[5].

    Les lieux-dits sont, du nord-ouest à l'ouest, dans le sens horaire : le Bourg, Cazault, le Vivier, la Monnerie, le Moulin de Cerisy (au nord), le Harivel, la Sellerie, la Morlandière, la Croute, la Perrière, la Maltotière, la Vallerie, le Village au Brun, les Loges, la Jehannière, la Rairie (à l'est), la Buslerie, le Village Compagnon, l'Aisnière, la Bazirée, la Forestrie Caillot, Visance, le Val Hue, la Hagrie, l'Abbaye de Belle Étoile, la Crière, la Mâlière (au sud), Épivent, Bourg Lopin, la Gaumonnière, les Fontenelles, Bainville, la Huberdière, le Hamel, la Meslerie, les Haies (à l'ouest), la Bistière et Sur le Mont[6].

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[8]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[9].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[10]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[8]

    • Moyenne annuelle de température : 10,5 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2,7 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 1,9 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 12,4 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 847 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 13,2 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 7,7 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[12] complétée par des études régionales[13] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Saint-Cornier-des-Landes », sur la commune de Tinchebray-Bocage, mise en service en 1951[14] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[15],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 10 °C et la hauteur de précipitations de 1 113,2 mm pour la période 1981-2010[16]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Caen-Carpiquet », sur la commune de Carpiquet, dans le département du Calvados, mise en service en 1945 et à 45 km[17], la température moyenne annuelle évolue de 10,9 °C pour la période 1971-2000[18] à 11,2 °C pour 1981-2010[19], puis à 11,5 °C pour 1991-2020[20].

    Urbanisme

    Typologie

    Cerisy-Belle-Étoile est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[21],[22],[23].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Flers, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 38 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[24],[25].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (87,1 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (88,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (39,9 %), terres arables (29,5 %), zones agricoles hétérogènes (17,7 %), forêts (11,9 %), mines, décharges et chantiers (0,9 %), zones urbanisées (0,1 %)[26].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[27].

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous la forme Cereseio en 1213[28].

    Cerisy semble formé à partir d'un nom de personne gallo-romain (Ceratus, Cesarius…) et du suffixe -acum[29]. Ce suffixe désigne des zones géographiques ayant connu un peuplement de langue celtique.

    Cérès, déesse romaine de l'agriculture, des moissons, de la fécondité est également évoquée pour l'origine de ce toponyme, notamment pour le nom primitif de la paroisse, Saint-Jean de Cerisie en Bocage[réf. à confirmer][30]. L'église du bourg est consacrée à saint Jean-Baptiste, tout comme nous le rappelle la sculpture XVIIIe dans le chœur de l'église représentant le saint.

    Cerisy-Belle-Étoile s'écrivait Cerisi-Belle-Étoile jusqu'en 1982[31].
    La forme déterminée du toponyme apparaît sur divers documents au XVIIIe siècle (Cerisy Belle Étoile en 1736[32], Cerisy Belle Etoille entre 1753 et 1785)[33].
    Belle-Étoile est le nom d'une abbaye sur le territoire de la commune, attestée sous la forme latinisée Bella Stella en 1228[34].

    Le gentilé est Ceriséen ou Estolien.

    Histoire

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    L'histoire de Cerisy semble indissociable du mont. Colline granitique du Massif armoricain, elle s'élève à 264 m. Des traces de vie humaine datant du Néolithique ont été mises au jour sur le site du mont.

    Une campagne de fouilles a été menée par des historiens amateurs  dont l'éminent historien local Auguste Surville (1853 - 1926)  au XIXe siècle. Ces derniers mirent en évidence des traces d'habitations, d'outils, notamment des silex (matière naturellement absente de la région). De nos jours subsistent encore quelques traces pour qui sait les trouver.

    Henry de Beaufou établit en 1216 l'abbaye de Belle-Étoile. Abbaye de prémontrés, elle adhère en 1630, à la suite de l'abbaye des Prémontrés de Pont-à-Mousson, à la réforme de l'ordre (réforme dite de Lorraine)[35].

    Les abbés étaient barons de Cerisy et de nombreux aveux de leurs vassaux sont conservés aux archives de l'Orne[36].

    À la suite de la Révolution française éclatent en de nombreux lieux de la France de l'époque des contre-révolutions nourries par le pourrissement des idées de la Révolution et par la déception majeure du peuple laissé-pour-compte après avoir soutenu les nombreuses réformes du nouveau gouvernement.

    Ce conflit, non officiel à la différence de la Vendée (guerre de Vendée), prendra la forme d'une résistance armée connue sous le nom de chouannerie.

    Cerisy n'est pas en reste dans la lutte des classes défavorisées face aux nouveaux maîtres de la France. Tout le bocage normand est touché par la contestation.

    Les « bleus », soldats républicains, se battront sur le territoire de la commune sous forme d'escarmouches et tenteront sans succès d'éteindre la rébellion.

    Les chouans utilisent les souterrains de l'abbaye comme caches d'hommes et comme entrepôts d'armes. Des otages sont également détenus dans ces caches. L’existence de ces souterrains est attestée par les comptes-rendus de l'époque, puis relevés par l'historien local Auguste Surville dans ses ouvrages. Malgré la campagne de fouilles des années 1980, menée dans l'enceinte de l'ancienne abbaye, les passages secrets restent introuvables.

    Résistance

    Le réseau Turma vengeance des Forces françaises combattantes et mouvement de la Résistance intérieure française créé en décembre 1940 en zone occupée par le docteur Victor Dupont, implante une école de formation des cadres à Cerisy-Belle-Étoile.

    Politique et administration

    Liste des maires
    Période Identité Étiquette Qualité
    avant 1981  ? Yves Poulain    
    1989[37] mars 2008 Jean-Claude Bourdon   Commerçant
    mars 2008[38] mars 2014 Martine Desramé   Agricultrice
    mars 2014[39] En cours Alain Mauger   Technicien
    Les données manquantes sont à compléter.

    Le conseil municipal est composé de quinze membres dont le maire et trois adjoints[39].

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[40]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[41].

    En 2018, la commune comptait 719 habitants[Note 8], en diminution de 0,14 % par rapport à 2013 (Orne : −2,51 %, France hors Mayotte : +1,78 %). Cerisy-Belle-Étoile a compté jusqu'à 1 671 habitants en 1861.

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 1171 1121 0431 2401 3511 3801 4981 5561 626
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 6131 6711 5751 5401 5161 4081 3971 2121 164
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    988867818702683644634600614
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2009 2014
    556596585639704688734733721
    2018 - - - - - - - -
    719--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[42] puis Insee à partir de 2006[43].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Lieux et monuments

    • Église Saint-Jean-Baptiste (XVIIIe siècle).
    • Le mont de Cerisy, localement appelé le « mont aux rhodos », géré depuis 2006 par Flers Agglo. Il est en grande partie couvert de plantations de rhododendrons arborescents, qui seraient au nombre de 25 000 pieds[45]). De mai à juillet, la floraison de ces arbres est un phénomène unique qui attire des visiteurs de toute la région. Le rhododendron est devenu le symbole de la localité.
    • Au sommet du mont aux rhodos se dressent les ruines d'un château. En fait, il s'agissait d'un manoir surmonté d'une tour crénelée, construit en style néo-Tudor dans les années 1870 à l'initiative d'un riche avocat londonien, lord Burkingyoung, puis repris par un industriel local, Isidore Corbière. Utilisé par les Allemands pendant la Seconde Guerre mondiale comme centre de transmissions de la Luftwaffe, le bâtiment a été bombardé par l'aviation anglaise en 1944 et n'a été restauré que partiellement.

    Activités et manifestations

    Sports

    L'Union sportive du Rhodo-Foot Cerisy-Saint-Paul a fait évoluer jusqu'en 2010 deux équipes de football en divisions de district[46].

    Personnalités liées à la commune

    Héraldique

    Blason
    D'azur à l'étoile de huit rais d'argent, soutenue d'un mont de gueules bordé d'argent, chargé d'un écusson d'argent semé de billettes de gueules et au lion du même, ledit écusson accosté de deux léopards affrontés d'or, armés et lampassés d'azur.
    Détails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Voir aussi

    Notes et références

    Notes

    1. Population municipale 2018.
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[11].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. La graphie Cerisy (avec un y) a été préférée à Cerisi (avec un i) par la commission de révision du nom des communes (CRNC), selon Communes d'hier et d'aujourd'hui de Claude Motte, Isabelle Séguy et Christine Théré, p. 195 ; lire (consulté le 2 juillet 2011).
    2. « Les unités de paysage : Unité 7.4.2 : Les hauts pays de l’ouest ornais et du Mortainais » [PDF], sur donnees.basse-normandie.developpement-durable.gouv.fr, Dreal Basse-Normandie (consulté le ).
    3. Distances routières les plus courtes selon Viamichelin.fr
    4. Distance orthodromique selon le site Lion 1906
    5. « Pluviométrie interannuelle. Normale 1970-2000 » (consulté le ) (archive Wikiwix du site www.basse-normandie.ecologie.gouv.fr)
    6. « Cerisy-Belle-Étoile » sur Géoportail..
    7. « Géoportail (IGN), couche « Limites administratives » activée ».
    8. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    9. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    10. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    11. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    12. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    13. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Normandie », sur normandie.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    14. « Station Météo-France Saint-Cornier-des-Landes - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    15. « Orthodromie entre Cerisy-Belle-Étoile et Tinchebray-Bocage », sur fr.distance.to (consulté le ).
    16. « Station Météo-France Saint-Cornier-des-Landes - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    17. « Orthodromie entre Cerisy-Belle-Étoile et Carpiquet », sur fr.distance.to (consulté le ).
    18. « Station météorologique de Caen-Carpiquet - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    19. « Station météorologique de Caen-Carpiquet - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    20. « Station météorologique de Caen-Carpiquet - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    21. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    22. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    23. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    24. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Flers », sur insee.fr (consulté le ).
    25. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    26. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    27. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    28. Dans les archives de l'Orne, H 498.
    29. René Lepelley, Dictionnaire étymologique des noms de communes de Normandie, Condé-sur-Noireau, Éd. Charles Corlet, (ISBN 2-95480-455-4 (édité erroné), notice BnF no FRBNF36174448), p. 89.
    30. « Cerisy-Belle-Étoile », sur nonagones.info depuis le défunt quid.fr (consulté le ).
    31. « Commune de Cerisi-Belle-Étoile (61078) commune périmée », .
    32. Bernard Jaillot, Carte topographique du diocèse de Bayeux, Paris, 1736 [BNF, Collection d’Anville, cote 00260 B].
    33. Carte de Cassini.
    34. Jean Adigard des Gautries et Fernand Lechanteur, « Les noms de communes de Normandie », in Annales de Normandie XVII/1 (mars 1967), § 619.
    35. Dr Jean Fournée : L'Abbaye de Belle-Étoile dans Le Pays bas-normand
    36. Les archives départementales de l'Orne ont conservé une très belle série d'aveux des familles de Cerisy-Belle-Étoile depuis 1332 : Lemonnier, Martin, Dupont, Caillet, Compagnon, Fournil, Halbout, Huard, Lebrun… (Archives départementales, Orne, Série H, H 91 à 139).
    37. « Jean-Claude Bourdon élu président des Anciens maires de l'Orne », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
    38. « Martine Desramé est élue maire », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
    39. « Cerisy-Belle-Etoile (61100) - Municipales 2014 », sur elections.ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
    40. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    41. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    42. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    43. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    44. « Ancienne abbaye de Belle-Étoile », notice no PA00110762, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    45. « Cerisy-Belle-Étoile dans l'Orne, racontée par son maire »
    46. « Site officiel de la Ligue Basse-Normandie – US du Rhodo F Cerisy St-Paul » (consulté le ).

    Liens externes

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