Centre de recherche pour l'étude et l'observation des conditions de vie

Le Centre de recherche pour l'étude et l'observation des conditions de vie (plus connu sous son acronyme de CRÉDOC) est un organisme d'études et de recherche au service des acteurs de la vie économique et sociale. Fondé en 1953, le CRÉDOC mène de nombreux travaux d'études et de recherches interdisciplinaires (économiques, sociologiques, statistiques, démographiques voire linguistiques).

Ne pas confondre le sigle (CRÉDOC) de ce centre d'Études et de Recherche avec le terme crédoc qui signifie Crédit Documentaire

À sa fondation son acronyme signifiait Centre de Recherches et de Documentation sur la Consommation. Depuis 1976, sans changer de sigle, le centre a élargi son périmètre et est devenu le Centre de recherche pour l’étude et l’observation des conditions de vie, sa dénomination actuelle officielle[1].

Depuis 2015, l’activité du CRÉDOC est assurée par deux pôles : le pôle Evaluation et Société et le pôle Consommation et Entreprises. Le CRÉDOC réalise des études pour des organismes et établissements publics mais aussi pour des acteurs du privé. En 2016, le CRÉDOC a élargi ses activités au « big-data » en recrutant un spécialiste. L'organisme a été dirigé de 1987 à 2009 par Robert Rochefort, fonction qu’il quitte en 2009 pour se consacrer à son mandat européen. Son directeur actuel est Régis Bigot qui occupe ce poste depuis 2015. L'actuel président du CRÉDOC est Christian Tardivon, Contrôleur d'État, lequel est membre de droit du Conseil national de la consommation.

Le CRÉDOC, aujourd’hui association à but non lucratif (loi de 1901), est placé sous la tutelle de la Direction générale de la Concurrence, de la Consommation et de la Répression des fraudes (DGCCRF) et de la Direction générale des entreprises (DGE). Ses activités sont surveillées et suivies par un conseil d’administration composé de représentants de l'administration publique et par un conseil scientifique.

Le CRÉDOC emploie actuellement une trentaine de personnes.

Organisation

Le CRÉDOC est dirigé par un directeur général qui est épaulé par deux directrices de pôle. Les décisions d’orientations en matière scientifique sont discutées et validées par un Conseil scientifique. Le CRÉDOC dispose d’un service de communication. La présidence du CRÉDOC est actuellement assurée par Christian Tardivon[2].

Histoire

Création du CRÉDOC en 1953 à l'instigation du Comité Général à la Productivité qui souhaitait disposer d’un organisme capable de produire des informations fiables sur la consommation en France dans le but d’alimenter les Comptes nationaux. Placé sous tutelle du Commissariat au plan le CRÉDOC constitue à son origine une entité administrative aux contours flous. Au départ, le CRÉDOC est une équipe de recherche fonctionnant dans le cadre de l’Association française pour l’accroissement de la productivité[3]. Le centre n’acquiert son statut juridique actuel, celui d’une association à but non lucratif de loi 1901, qu’en 1961. Qu’il s’agisse de son statut initial ou de son statut actuel, l’organisation et le statut juridique du CRÉDOC lui confère une position hybride dans le paysage des cabinets d’études et de conseil. L’équipe fondatrice du CRÉDOC se constitue notamment autour d’anciens membres de l’Institut de science économique appliquée (ISEA) comme Edmond Lisle ou Georges Rottier, qui est le premier directeur[4]. Les instances directrices (conseil d’administration, conseil scientifique et le comité directeur de la revue Consommation) sont co-animées par la nouvelle équipe, de personnalités proches du Plan comme François Perroux, de chercheurs de l’INED ainsi que de membres de l’INSEE.[5]

  • Au départ, sa mission est essentiellement d’étudier les diverses formes et fonctions de la consommation. Son sigle d'origine signifie « Centre de recherche pour l'étude et l'observation de la consommation ». Pour ce faire, il rassemble des économistes, des statisticiens et des sociologues dont une bonne partie est directement payée par le CNRS.
  • En 1955, sous l'impulsion du Commissariat au plan, le CRÉDOC se dote d'une « Division d’économie médicale », dite « la DEM », afin de créer un système statistique permettant de saisir l’étendue et la complexité du système de santé en France. Après avoir mis en place les premières enquêtes sur les consommations médicales, ce petit groupe de médecins hospitaliers et de statisticiens contribue à établir les premiers « comptes de la santé » pour la préparation du budget et du plan. Les productions scientifiques du CRÉDOC constituent de manière significative l’édifice fondateur de l’économie médicale en France. Discipline qui sera connue plus tard sous le nom d’économie de la santé[6].
  • Pour alimenter les comptes de la consommation, l’équipe du CRÉDOC s’appuie sur différents types de données produits parfois grâce à des approches méthodologiques novatrices. Jusqu’alors les données sur la consommation ont été extraits de sources fournies par l’administration publique. Or, les équipes du CRÉDOC proposent d’adjoindre à ces informations des données issues d’une interrogation d’un échantillon représentatif de ménages françaises. En 1955, une enquête sur le budget des ménages – connue plus tard sous le nom BDF – est envisagée conjointement par le CRÉDOC et l’INSEE. Le projet fut mis en œuvre sous forme d’une enquête pilote en 1956 qui sera suivie par quatre vagues consécutives[7].
  • En 1959, débute une seconde enquête auprès des ménages, conduite également en partenariat avec l’INSEE. Cette enquête porte sur la consommation médicale des ménages français[8].
  • Dans les années 1960, la DEM et d'autres équipes du CRÉDOC apportent leurs compétences pour aider au développement des « missions RCB » ( Missions de « Rationalisation des choix budgétaires » sur le modèle du PPBS (Planning Programming Budgeting System) développé aux États-Unis par l'administration du Pentagone[9].
  • Puis la Division d’économie médicale s’est autonomisée au sein du CRÉDOC grâce à des financements propres qui lui ont permis de développer les grandes enquêtes sur les besoins de santé et sur l’offre du système de soins dont la gestion publique avait besoin pour maîtriser l’économie de la santé en France. Mais la persistance d’un département autonome est devenue contradictoire avec la volonté de réorganisation du CRÉDOC exprimée en 1984 par sa nouvelle directrice venant de l'Insee, Catherine Blum. Cette dernière a alors exigé que la DEM soit séparée du CRÉDOC, opération qui a abouti en 1985 à une nouvelle association loi de 1901, laquelle a pris le nom de CREDES.
  • A partir de 1988, Saadi Lahlou crée un système d’enquêtes sur la consommation alimentaire. L’enquête Comportement et Consommation Alimentaire en France est réalisée tous les trois ans et permet de suivre les attitudes, comportements, consommation alimentaire et la nutrition de la population Française. Une Équipe de recherche en nutrition est constituée pour suivre les évolutions et la transformation du régime alimentaire et son impact environnemental.
  • De 1978 à 1994 le CRÉDOC met en place sous l’impulsion du statisticien Ludovic Lebart un dispositif permanent d'enquêtes sur les modes de vie, opinions et aspirations des Français, lequel fournit toujours une base de données précieuse sur l’évolution des comportements de consommation en France ainsi que sur leurs déterminants. Dans la période qui a suivi, le départ d'une bonne partie de l'équipe ayant fondé l'enquête Aspirations, la diminution de la part des financements publics dans le budget et, enfin, l'essor de la concurrence des instituts privés ont conduit son directeur, Robert Rochefort, à diversifier de plus en plus les débouchés du CRÉDOC : par le développement de nombreuses enquêtes et études de marché, mais aussi par la construction de systèmes d'information et la mise en place de multiples formes de construction et d'analyse des données telles les enquêtes qualitatives par entretien, les réunions de groupe de données ou l'analyse lexicale.
  • Depuis 2005, le CRÉDOC est membre du ENSR.

Missions

Le CRÉDOC mène des missions de conseil et de recherche sur la société française et le comportement des individus en tant que consommateurs ou encore comme membres de la société civile. Certaines de ses analyses sur la société française sont rendues publiques et participent au débat national.

Le CRÉDOC accompagne également des acteurs privés ou publics dans leurs réflexions et leurs prises de décision, de la préconisation de l'étude à sa réalisation, des conclusions aux pistes d'action qui en découlent (marketing, commercial, stratégie).

Activités de recherche et contributions au débat public

Les travaux d’études ou de recherche du CRÉDOC alimentent régulièrement le débat public. Ils portent entre autres sur les changements générationnels de valeurs[10], les nouveaux modes de consommation durable[11],les besoins en main d’œuvre[12], le vécu du deuil [13], la prospective, le suivi de l’intérim, la fiscalité et les conditions de vie des classes moyennes[14],[15], les comportements alimentaires[16],[17],[18], les représentations et pratiques culturelles des Français[19], le budget de référence des ménages[20], les loisirs et le bien-être[21], les comportements numériques et les nouvelles technologies[22] ou encore les politiques du logement[23].

Le CRÉDOC mène plusieurs enquêtes barométriques dont la profondeur historique permet d’apporter un regard prospectif : l'enquête "Conditions de vie et aspirations" (depuis 1978), l'enquête "Comportements et consommations alimentaires en France" (depuis 1988), le baromètre du funéraire (depuis 2005), l’observatoire des risques de santé (depuis 2019), les silver tendances (depuis 2018), le baromètre DGPAT sur les pratiques patrimoniales des Français, l'enquête de référence de Pôle emploi sur les besoins en main d'œuvre (BMO - depuis 2001), le baromètre du numérique (ARCEP/CGE/Agence du numérique) ou encore l'enquête "Tendances de consommation" (depuis 1992). L'enquête BMO est désormais une enquête de référence permettant d'identifier les métiers en tension en France.

Le CRÉDOC participe en tant que partenaire au programme de recherche transdisciplinaire 13-11 portant sur les conséquences sociétales des attentats du [24],[25]. Ce programme est porté par le CNRS et l'INSERM et financé par l'ANR (Agence nationale de la recherche) dans le cadre du Programme Investissement d'Avenir (PIA)[26].

Les chercheurs du CRÉDOC sont régulièrement auditionnés en tant qu'expert par le Conseil Economique Social et Environnemental (CESE) ou par des commissions parlementaires sur des sujets sociétaux comme l'alimentation [27], la grande pauvreté, l'invisibilité sociale[28]. Ils interviennent dans des colloques de recherche[29],[30].

Les équipes du CRÉDOC accueillent également des étudiants et jeunes chercheurs.

En 2019, le CRÉDOC a organisé son second hackathon "Emploi et Employabilité" avec pôle emploi, Covéa et CDO Alliance lors du salon Viva Technology 2019[31].

Financement et controverses

Le CRÉDOC est subventionné par l'État à hauteur de 10 % de ses revenus et dépend du ministre chargé de la consommation et du commerce. Cette subvention lui permet d'élaborer des travaux de recherche plus théoriques et de participer ainsi au débat public sur des enjeux et question sociétaux. Pour les 90 % restants, il répond à des appels d'offres formulés par le secteur public, para-public et à des demandes de clients privés. Son modèle économique repose, depuis 30 ans, sur un financement qui fait appel essentiellement au marché concurrentiel avec toutes les difficultés et risques que cela représente[32]. L'émission Cash investigation présentée par Élise Lucet a mis en doute une étude du CRÉDOC, en partie financée par Coca-Cola, qui avait affirmé qu'il n'y avait pas de corrélation entre la consommation de sodas et l'obésité[33],[34]. L'étude en question mettait en évidence qu'il n'y avait pas de corrélation statistique entre les quantités de sodas consommés et l'IMC à un instant t. Les conclusions de cette étude avaient été relayées par les médias, à la suite d’une communication de Coca-Cola, commanditaire de cette étude[35]. Une étude financée par la filière des fruits et légumes établit le niveau de consommation de compotes reproduisant ce schéma directeur[36].

En , des journalistes d'Arrêt sur images mettent en doute les études du CRÉDOC qui seraient orientées dans le sens des entreprises qui les financent[37].

Cash investigation, en , souligne "la méthodologie pour le moins douteuse et très éloignée de celle de la police"[38] utilisée par l'organisme dans un rapport largement diffusé dans les médias pour quantifier le nombre d'usurpations d'identité en France. L'étude était subventionnée par un fabricant américain de destructeurs de documents.

À la suite de ces critiques le CRÉDOC s'est doté d'une charte déontologique fixant à ses personnels les lignes de conduite en matière de rigueur et de transparence méthodologique. La charte clarifie également les procédures à suivre en cas d'instrumentalisation ou de dénaturation des résultats d'études ou de recherches[39].

Parmi les clients du CRÉDOC, on compte des entreprises de tous secteurs (Danone, Orangina, Panzani, Bongrain, ENGIE, RATP, Henkel, VEOLIA...), des distributeurs (Carrefour, Auchan, Monoprix...), des Fédérations professionnelles, des OPCA (désormais OPCO), des organismes publics ou parapublics (Ademe, la Caisse Nationale des Allocations Familiales, Pôle emploi, l'Agence Nationale pour la Cohésion Sociale et l’Égalité des Chances, le Ministère de l'économie et des finances, le Ministère des sports et de la jeunesse, le Ministère des Outre-Mer, le Ministère de l'éducation nationale, le Ministère de la Santé, le Ministère de la culture et de la communication...).

Bibliographie sélective

Le CRÉDOC publie une lettre mensuelle, Consommation & Modes de Vie. Chaque numéro est consacré à un thème unique, éclairant les grands débats contemporains. Il publie également des rapports et études thématiques.

Notes et références

  1. Simon Langlois, Consommer en France, Cinquante ans de travaux scientifiques au Crédoc, Paris, Editions de l'Aube, 2005, p. 7
  2. Voir le site du CREDOC www.credoc.fr
  3. Daniel Benamouzig, L'Etat au chevet de l'"économie médicale", la contribution du Crédoc, in Philippe BEZES et al. (dir), L'Etat à l'épreuve des sciences sociales, La Découverte, Paris, Novembre 2015., p4 sq.
  4. Daniel Benamouzig, La Santé au miroir de l'économie, une histoire de l'économie de la santé en France, Paris, PUF, 2005
  5. V. Spenlehauer, L'évaluation des politiques publiques, avatar de la planification, Thèse pour l'obtention du doctorat de sciences politiques, Grenoble, 1998,, 585p.
  6. Daniel Benamouzig, Essor et développement de l'économie de la santé en France, une étude empirique de sociologie cognitive, Paris, Université Paris IV, 2000, 891p.
  7. Daniel Benamouzig, op. cit. 2015.
  8. Le Centre de Recherches et de Documentation sur la Consommation, In Revue française de sociologie, 1967, 8-1, p. 90-93
  9. Voir à ce sujet la thèse de sociologie de Magali Robelet Les figures de la qualité des soins – Rationalisations et normalisation dans une économie de la qualité, LEST, 2003.
  10. Hébel p. 2019. Les évolutions des attentes des Consommateurs. La revue de l’Académie d’Agriculture, no 18. Octobre 2019.
  11. Sessego V. et Hébel P. (2018). Consommer durable est-il un acte de distinction? Représentations, pratiques et impacts écologiques réels au regard des dynamiques sociales. Cahier de Recherche, CREDOC,no 334.
  12. Duchen P. (2019), les besoins en main d'œuvre en 2019. https://www.credoc.fr/publications/besoins-en-main-doeuvre-2019.
  13. Hébel P., Mathé T. et Francou A. Le deuil, une réalité vécue par 4 Français sur 10. 2016. Lettre consommation et Mode de vie, CREDOC.
  14. Bigot R., Daudey E., Müller J., Osier G., Les classes moyennes sont-elles perdantes ou gagnantes dans la redistribution socio-fiscale, Paris, Crédoc, décembre 2012.
  15. Bigot Régis, Fins de mois difficiles pour les classes moyennes, Paris, Editions de l'Aube, 2009.
  16. Hébel P., Francou A., Van Egroo L.-D., Rougé C., Mares P., Consommation alimentaire et apports nutritionnels chez les femmes allaitantes, en France, OCL, 2018, https://doi.org/10.1051/ocl/2018014
  17. France Bellisle, Pascale Hébel, Justine Colin et Béatrice Reyé, « Consumption of whole grains in French children, adolescents and adults », British Journal of Nutrition, vol. 112, no 10, , p. 1674–1684 (ISSN 0007-1145 et 1475-2662, DOI 10.1017/s0007114514002670, lire en ligne, consulté le )
  18. France Bellisle, Pascale Hébel, Aurée Salmon-Legagneur et Florent Vieux, « Breakfast Consumption in French Children, Adolescents, and Adults: A Nationally Representative Cross-Sectional Survey Examined in the Context of the International Breakfast Research Initiative », Nutrients, vol. 10, no 8, , p. 1056 (ISSN 2072-6643, DOI 10.3390/nu10081056, lire en ligne, consulté le )
  19. Millot Ch., Müller J., Lallement E., Renzi C., Dezellus J., Les visites patrimoniales progressent encore chez les Français, signe d'un attachement fort et durable, Note de synthèse, avril 2017, http://www.credoc.fr/pdf/Sou/Note_de_synthese_N23_Visites_Patrimoniales_Avril_%202017.pdf
  20. Alberola E., Aldeghi I., Concialdi P., Math A., Budget de référence ONPES, Paris 2014. http://www.credoc.fr/publications/abstract.php?ref=Sou2014-4210
  21. Bigot R., Croutte P., Daudey E., Hoibian S., Müller J., Le vien-être progresse-t-il moins vite que le produit intérieur brut?, juillet 2013, http://www.credoc.fr/pdf/4p/262.pdf
  22. Baromètre du numérique, https://www.arcep.fr/uploads/tx_gspublication/barometre_du_numerique-2017-271117.pdf
  23. Bigot R., Hoibian S., Daudey E., Le logement social est-il un atout ou un handicap pour la croissance, Paris, 2014, http://www.credoc.fr/pdf/Rapp/R316.pdf
  24. Brice L., Hoibian S., Millot Ch., Peschanski D., Une forte empreinte des attentats du 13 novembre 2015, notamment chez les jeunes, novembre 2016, http://www.credoc.fr/pdf/Sou/Note-Credoc-07-11-2016.pdf
  25. « 17 Mars 2018 -Présentation des protocoles de recherche du programme 13-Novembre » [vidéo], sur YouTube (consulté le ).
  26. « Programme 13-Novembre », sur Programme 13-Novembre (consulté le ).
  27. 3 questions à Pascale Hébel - Les circuits de distribution des produits alimentaires, 2015, https://www.lecese.fr/content/3-questions-pascale-hebel-credoc
  28. Questions à Sandra Hoibian - Combattre l'isolement social, 2017, www.lecese.fr/content/questions-sandra-hoibian-credoc-combattre-l-isolement-social
  29. Laura Martin Meyer, « HÉBEL Pascale », sur Controverses européennes, (consulté le )
  30. « LES INTERVENANTS », sur Open Agrifood (consulté le )
  31. « Finale et remise des prix Hackathon « Emploi et Employabilité » à Viva Technology 2019 » [vidéo], sur YouTube (consulté le ).
  32. Présentation du CRÉDOC.
  33. France 2, Cash investigation par Élise Lucet
  34. Comportements et consommations alimentaires en France, publication du Credoc, 2010.
  35. Site officiel de Coca-Cola page intitulée "Coca-Cola répond à vos questions", La consommation de boissons sucrées est-elle responsable de l’obésité ?
  36. Cash Investigation. Sucre : comment l’industrie nous rend accros, Cash Investigations
  37. Le chiffrage bidon des victimes était signé Crédoc, Coca, aspartame : un additif nommé CRÉDOC.
  38. Le Monde.fr, Les dessous du business de la peur, 21/09/2015
  39. http://www.credoc.fr/charte.php

Liens externes

  • Portail de la sociologie
  • Portail de l’économie
  • Portail de la France
Cet article est issu de Wikipedia. Le texte est sous licence Creative Commons - Attribution - Partage dans les Mêmes. Des conditions supplémentaires peuvent s'appliquer aux fichiers multimédias.