Castelnau-le-Lez

Castelnau-le-Lez [kastɛlno lə lɛz] (en occitan Castèlnòu de Les [kas.'tɛl'nɔw de les]) est une commune française située dans le département de l'Hérault en région Occitanie, en périphérie de Montpellier.

Pour les articles homonymes, voir Castelnau.

Castelnau-le-Lez

Intersection de l'avenue du Jeu de Mail, de la rue de la Crouzette et de l'allée Marie Curie.

Blason
Administration
Pays France
Région Occitanie
Département Hérault
Arrondissement Montpellier
Intercommunalité Montpellier Méditerranée Métropole
Maire
Mandat
Frédéric Lafforgue
2020-2026
Code postal 34170
Code commune 34057
Démographie
Gentilé Castelnauvien
Population
municipale
21 838 hab. (2018 )
Densité 1 953 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 38′ 13″ nord, 3° 54′ 07″ est
Altitude Min. 19 m
Max. 93 m
Superficie 11,18 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Montpellier
(banlieue)
Aire d'attraction Montpellier
(commune du pôle principal)
Élections
Départementales Canton de Montpellier - Castelnau-le-Lez
Législatives Troisième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : région Occitanie
Castelnau-le-Lez
Géolocalisation sur la carte : Hérault
Castelnau-le-Lez
Géolocalisation sur la carte : France
Castelnau-le-Lez
Géolocalisation sur la carte : France
Castelnau-le-Lez
Liens
Site web castelnau-le-lez.fr

    Ses habitants sont appelés les Castelnauviens et les Castelnauviennes.

    Avec 21838 habitants en 2016[1], Castelnau-le-Lez est la deuxième commune la plus peuplée de l'agglomération de Montpellier, et la 7e du département de l'Hérault.

    Géographie

    Carte

    Situation

    Castelnau-le-Lez se situe au nord-est de Montpellier, dans le sud de la France. Le Lez constitue sa limite occidentale avec Montpellier et la ville se trouve à quatorze kilomètres au nord et à vol d'oiseau de la mer Méditerranée.

    La ville est divisée en six quartiers :

    • Caylus / Courtarelles : situé au nord de la commune, ce secteur relativement préservé inclus le Bois de Caylus de 9 hectares ;
    • Le Devois : à l'est, couvre les secteurs de l'Aube Rouge et Les Costières, à dominante pavillonnaire ;
    • Le Centre : où se trouve le plus d'équipements municipaux et de commerces, secteur très dynamique grâce au passage de la ligne 2 du tramway de Montpellier ;
    • Le Centre Historique : à l'ouest de la commune, il est bordé par le Lez qui le sépare de Montpellier ;
    • Le Mas de Rochet : au sud-ouest, secteur assez diversifié mêlant parc d'activités, pôle santé et logements d'habitation ;
    • Eurêka : qui inclut les secteurs Verchant (où se situe un domaine hôtelier), Sablassou et Clos de l'Armet. Il est un secteur dans la continuité du parc d'activité de Montpellier du même nom, où se trouve des activités tertiaires, technologiques et médicales.

    Communes limitrophes

    Communes limitrophes de Castelnau-le-Lez
    (Distances : à vol d'oiseau / par la route)[2]
    Clapiers
    (2.88 / 5,11 km)
    Jacou
    (2.44 / 5,32 km)
    Le Crès
    (2.24 / 4,37 km)
    Montpellier Saint-Aunès
    (4.06 / 5,43 km)
    Montpellier
    (4.29 / 7,26 km)
    Montpellier Mauguio
    (8.21 / 10,84 km)

    Accès et transports

    Située sur la voie Domitienne romaine, elle s'est trouvée ensuite à l'entrée montpelliéraine est de la route nationale 113 (Bordeaux-Marseille depuis 1952). Avec le développement démographique de l'agglomération de Montpellier et de la circulation automobile, la commune voit se construire sur son territoire quelques-unes des routes de contournement de Montpellier au nord de sa zone urbanisée principale, puis sur sa limite avec Le Crès.

    Depuis , 8 stations de la ligne 2 du tramway de Montpellier desservent la ville, en grande partie sur l'avenue de l'Europe (ancienne route nationale 113), ré-aménagée en boulevard urbain.

    Hydrographie

    Le fleuve Lez est le principal cours d'eau qui longe la commune.

    Climat

    Le climat de Castelnau-le-lez est un climat méditerranéen aux étés chauds et secs et aux hivers doux.

    Ville Ensoleillement
    (h/an)
    Pluie
    (mm/an)
    Neige
    (j/an)
    Orage
    (j/an)
    Brouillard
    (j/an)
    Médiane nationale 1 852835162550
    Castelnau-le-lez 2 687699,1323,318,8
    Paris 1 66263712178
    Nice 2 7247331271
    Strasbourg 1 693665262851
    Brest 1 5301 21071276
    Bordeaux 2 03594433169
    Données climatiques à Castelnau-le-lez
    Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
    Température minimale moyenne (°C) 2,2 3,3 4,9 7,8 11,2 14,6 17,1 16,7 14,2 10,6 5,9 2,8 9,3
    Température moyenne (°C) 6,6 7,8 9,8 12,6 16,1 19,9 22,8 22,2 19,4 15,4 10,3 7,2 14,2
    Température maximale moyenne (°C) 11,1 12,4 14,7 17,5 21,1 25,3 28,4 27,7 24,7 20,2 14,7 11,7 19,1
    Ensoleillement (h) 147 153 208 230 271 310 350 310 237 187 146 137 2 687
    Précipitations (mm) 72,3 72,3 55 54,9 52,1 33 20 41,7 62,3 109,5 62,8 63,3 699,1
    Source : Climatologie mensuelle à la station départementale de Montpellier de 1961 à 1990[3].

    Réseau Natura 2000

    Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 1]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la directive habitats : , l'unique site de présence du Chabot endémique, Cottus petiti[5], d'une superficie de 239 ha, l'unique site de présence du Chabot endémique, Cottus petiti[6].

    Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Une ZNIEFF de type 1[Note 2] est recensée sur la commune[7] : les « rivières du Lirou et du Lez » (127 ha), couvrant 7 communes du département[8].

    Urbanisme

    Typologie

    Castelnau-le-Lez est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 3],[9],[10],[11]. Elle appartient à l'unité urbaine de Montpellier, une agglomération intra-départementale regroupant 22 communes[12] et 440 997 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[13],[14].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Montpellier, dont elle est une commune du pôle principal[Note 4]. Cette aire, qui regroupe 161 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[15],[16].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires artificialisés (72,8 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (53,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones urbanisées (50,6 %), cultures permanentes (22,5 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (19,9 %), mines, décharges et chantiers (2,2 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (2,2 %), zones agricoles hétérogènes (2 %), forêts (0,5 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (0,1 %)[17].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous les formes Sextantione au IIe siècle, mutatio Sostantione vers 300, Sextantione, Sextatione au IVe siècle, Sextantio au IVe siècle, Substancionensis castri en 801, pago Sustentationense en 873 et 875, Castro Sustantione avant 923, de Sustancione en 1109, de Sostanson en 1146, de Sustantione en 1167, Soustansou au XVIe siècle[18][réf. non conforme].

    À l'époque moderne, la ville s'est appelée Castelnau-lès-Montpellier et Castelnau-Le Crès. Son nom occitan est Castèlnòu de Les.

    Histoire

    De Sextantio à Substantion

    Le tableau de Frédéric Bazille Vue de village représentant une jeune femme devant la ville de Castelnau-le-Lez.

    Vers 700 av. J.-C., une première population s'installe sur le plateau dominant le Lez. À partir d'un relais sur la route de l'Italie à l'Espagne, les Romains en font la cité de Sextantio sur la via Domitia.

    Avec le temps, son nom devient Substantion et la ville accueille pendant trois siècles les évêques de Maguelone. Un château domine alors la rive gauche du Lez : le Castellum Novum.

    Au cours du XIIe siècle, la cité perd de son influence en devenant une possession des seigneurs de Montpellier. En 1674, Castelnau change de main : la famille de Castries devient propriétaire de la seigneurie qui comprend également le Crès et Salaison. En 1791, Castelnau comptait 68 habitants.

    Pendant l'Ancien Régime, elle a formé une seule paroisse avec Le Crès, sous les noms successifs de Castelnau-lès-Montpellier et Castelnau-Le Crès.

    La commune depuis 1791

    En 1865, la commune de Castelnau prend le nom de Castelnau-le-Lez.

    Le , la commune du Crès est créée à partir d'une partie du territoire de la commune de Castelnau-le-Lez. Avec le développement démographique de leur village isolé à l'Est du territoire communal, les habitants du Crès ont demandé leur érection en commune en 1846, puis en 1849, le conseil municipal de Castelnau a finalement accepté en 1871.

    La superficie originelle de la commune actuelle est proportionnelle à sa part dans la population de Castelnau-Le Crès en 1871, auquel il faut retrancher quelques modifications au profit du Crès dans les années 1990 pour que ses équipements scolaires secondaires et sportifs se trouvent sur son territoire. Avec l'expansion démographique de Castelnau dans la seconde moitié du XXe siècle, la garrigue séparant les deux agglomérations s'est progressivement réduite[19]. Faisant partie préalablement du canton de Montpellier-3, Castelnau-le-Lez devient chef-lieu du canton de Castelnau-le-Lez, créé en 1992.

    L'extension de la ville vers l'Est a donné naissance à un nouveau quartier « le Devois » et les nouveaux habitants portent la population de Castelnau-le-Lez à près de 15 000 habitants au début des années 2010.

    Vue de la mairie et arrivée du tramway (1918).

    Politique et administration

    En 2010, la commune de Castelnau-le-Lez a été récompensée par le label « Ville Internet @@@ »[20].

    Liste des maires

    La mairie de Castelnau-le-Lez, vue de la rue de la Crouzette.

    Intercommunalité

    La commune fait partie de Montpellier Méditerranée Métropole, dont elle est la deuxième commune la plus peuplée.

    Jumelages

    La commune de Castelnau-le-lez est jumelée avec :

    Économie

    Revenus de la population et fiscalité

    En 2010, le revenu fiscal médian par ménage était de 35 386 , ce qui plaçait Castelnau-le-Lez au 6 138 e rang parmi les 31 525 communes de plus de 39 ménages en métropole[21].

    Entreprises

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque année à la suite d'une enquête par sondage auprès d'un échantillon d'adresses représentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement réel tous les cinq ans[22],[Note 5]

    En 2018, la commune comptait 21 838 habitants[Note 6], en augmentation de 22,43 % par rapport à 2013 (Hérault : +6,12 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    450496547696673745787794861
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    8278941 1209068848158849541 141
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 2131 2021 1031 1201 5041 9592 2262 3452 923
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    4 9798 1699 3399 88411 04314 21415 22915 95119 257
    2018 - - - - - - - -
    21 838--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[23] puis Insee à partir de 2006[24].)
    Histogramme de l'évolution démographique
    Évolution du rang de la commune
    selon la population municipale des années : 1968[25] 1975[25] 1982[25] 1990[25] 1999[25] 2006[26] 2009[27] 2013[28]
    Rang de la commune dans le département 8 7 8 8 8 9 9 7
    Nombre de communes du département 343 340 343 343 343 343 343 343

    Enseignement

    La commune gère cinq écoles maternelles : Vert Parc, Les Petits Princes, Madiba, Jean-de-La-Fontaine et Rose de France et trois écoles élémentaires : Mario-Roustan, Jean-Moulin et Antoine-de-Saint-Exupéry)[29]. Elle accueille un collège : Frédéric-Bazille et deux lycées : lycée polyvalent Georges-Pompidou et lycée professionnel agricole Honoré-de-Balzac.

    Sports

    La ville possède également un club de foot, associé à la ville de Le Crès : Castelnau Le Crès FC[30],[31].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Réunion de famille de Frédéric Bazille. Peint au mas de Méric, sur la rive montpelliéraine du Lez, ce tableau permet de distinguer Castelnau-le-Lez à l'arrière-plan.
    L'ancienne mairie abritant le Centre régional de la Résistance et de la Déportation.
    • La voie domitienne (Via Domitia) passe par Castelnau-le-Lez, au nord du quartier du Devois. Une partie de ce tronçon est inscrit comme monument historique depuis le  ;
    • Une copie de la 63e borne milliaire est visible rue de la monnaie, en face du Palais des Sports de Castelnau-le-Lez, proche de la voie domitienne ;
    • Le Centre régional de la Résistance et de la Déportation est un lieu d'exposition permanente (photos, objets, maquettes) accompagné d'une salle de vidéo conférences et d'un centre de documentation sur ces événements de la Seconde Guerre mondiale, fondé notamment par Suzanne Orts ;
    • L'église Saint-Jean-Baptiste est une église romane de la fin du XIIe siècle, fortifiée au XIVe. Son clocher a été rebâti au XVIIIe siècle en étant surmonté d'un campanile de fer forgé ;
    • Domaine de Verchant (IMH) : ce domaine doit son nom à la comtesse de Verchant qui l'a acquis de l'évêque de Montpellier en 1523. On peut y voir parc et fossés, grotte avec puits, noria, potager et allées plantées d'arbres ;
    • Clairval est le nom d'un quartier de barres d'immeubles ;
    • Les moulins de Lavalette, du Martinet, de Navitau, des Guilhems, de la Poudrière et du Pont à Castelnau[32].

    Manifestations culturelles et festivités

    • Les Musicales, festival de chant et musique classique  mai de chaque année ;
    • Fête de la Musique, le 21 juin, suivie de la fête votive de la Saint-Jean ;
    • Les Nocturnales, séries de concerts de jazz et musique du monde  2e quinzaine de juillet ;
    • Théalez, festival de théâtre amateur  fin mars ;
    • Festival Les P’tits Lez’ Arts, festival Jeune de la MJC André-Malraux, mi-mai.

    Héraldique

    Les armoiries de Castelnau-le-Lez se blasonnent ainsi :

    Tranché : au premier d'azur à Saint Jean Baptiste de carnation habillé d'une peau de chameau d'or, portant sur ses épaules un agneau d'argent, tenant dans sa senestre une croix aussi d'or, et issant de la partition, au second de gueules à la croix vidée, cléchée et pommetée d'or accompagnée en pointe de trois trangles ondées d'argent.
    Adopté en 1978.

    Personnalités liées à la commune

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[4].
    2. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
    3. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    4. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en celle d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    5. Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.
    6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. « Populations légales 2015 − Commune de Castelnau-le-Lez (34057) | Insee », sur www.insee.fr (consulté le ).
    2. Distances vers : Jacou, Le Crès, Saint-Aunès, Mauguio, Montpellier et Clapiers, publié sur le site fr.distance.to (consulté le ).
    3. « Climatologie mensuelle à Montpellier Fréjorgues », sur infoclimat.fr (consulté le ).
    4. Réseau européen Natura 2000, Ministère de la transition écologique et solidaire
    5. « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Castelnau-le-Lez », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    6. « site Natura 2000 FR9101392 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le )
    7. « Liste des ZNIEFF de la commune de Castelnau-le-Lez », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    8. « ZNIEFF les « rivières du Lirou et du Lez » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    9. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    10. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    11. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    12. « Unité urbaine 2020 de Montpellier », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    13. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    14. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    15. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    16. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    17. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    18. Ernest Nègre - Toponymie générale de la France - Volume 1 - Page 359
    19. « Le tram et la rocade réunissent Castelnau et Le Crès », article paru dans Midi libre, . Le correspondant du journal mêle rappels historiques et études géographiques pour voir l'importance de la ligne 2 du tramway dans l'évolution du territoire des deux communes.
    20. Palmarès 2010 des Villes Internet sur le site officiel de l'association. Consulté le 18/12/2009.
    21. « Indicateurs de structure et de distribution des revenus en 2010 | Insee », sur www.insee.fr (consulté le ).
    22. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    23. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    24. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    25. INSEE, « Population selon le sexe et l'âge quinquennal de 1968 à 2012 (1990 à 2012 pour les DOM) », sur insee.fr, (consulté le ).
    26. INSEE, « Populations légales 2006 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
    27. INSEE, « Populations légales 2009 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
    28. INSEE, « Populations légales 2013 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
    29. inexine, « - Maternelles et élémentaires », sur www.castelnau-le-lez.fr (consulté le ).
    30. « Le Club - CASTELNAU LE CRES F.C. - FFF », sur www.fff.fr (consulté le ).
    31. « Foot Castelnau - Le Crès FC », sur www.castelnau-le-lez.fr (consulté le ).
    32. Les Amis de la Chapelle de Baillarguet, Les moulins du Lez (de la source jusqu'au moulin du Martinet), , 47 p., p. 12.

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Émile Bonnet, L'oppidum préromain de Substantion, Sextantio, Montpellier, Firmin et Montane, , 32 p.
    • Henri Escrive et Jacqueline Escrive, C'était Castelnau-le-Lez… : une ville-mère de Montpellier, S.l., Association Objectif 2000, , 225 p.
    • René Majurel, « Marques de potiers sur céramiques sigillées de l'oppidum de Sextantio, commune de Castelnau-le-Lez, (Hérault) », Tradition celtique, t. XVII, nos 3-6, , p. 305-312
    • Max Prado, Sextanti : la ville antique disparue, Castelnau-le-Lez, Max Prado, , 218 p.
    • Max Prado, Connaissez-vous Castelnau-le-Lez, Castelnau-le-Lez, Max Prado, , 100 p.
    • Max Prado, Les villes originelles de Montpellier, Montpellier, Sauramps, , 239 p.
    • Max Prado, « Castelnau-le-Lez (Hérault) : les légendaires meules de géants », Moulins de l'Hérault, nos 21-25, 2002-2006, p. 87-98
    • Raymond Ramonat et Michel Sahuc, « Les tombes à incinération gallo romaines de Navitau à Castelnau-Le-Lez (Hérault) », Archéologie en Languedoc, no 4, , p. 145-164
    • Michel Sahuc et Catherine Sauveur, « Une nécropole de l'antiquité tardive à Nativau (Castelnau-Le-lez, Hérault) », Archéologie en Languedoc, no 18, , p. 137-144
    • Marie-Noëlle Veran, Pages d'histoire : Castelnau - Le Crès, depuis la Révolution, Castelnau-le-Lez, Castelnau en clair, , 174 p.

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