Captieux

Captieux [kapsjø] est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Gironde, en région Nouvelle-Aquitaine.

Captieux

La mairie (octobre 2012).

Blason
Administration
Pays France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Gironde
Arrondissement Langon
Intercommunalité Communauté de communes du Bazadais
Maire
Mandat
Christine Luquedey
2020-2026
Code postal 33840
Code commune 33095
Démographie
Gentilé Capsylvains
Population
municipale
1 287 hab. (2018 )
Densité 11 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 17′ 34″ nord, 0° 15′ 32″ ouest
Altitude Min. 69 m
Max. 136 m
Superficie 119,33 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton du Sud-Gironde
Législatives Neuvième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Captieux
Géolocalisation sur la carte : Gironde
Captieux
Géolocalisation sur la carte : France
Captieux
Géolocalisation sur la carte : France
Captieux
Liens
Site web www.captieux.fr

    Géographie

    Carte du parc naturel régional des Landes de Gascogne - Captieux est une des communes les plus à l'est du parc.

    Ancien chef-lieu de canton situé dans l'est du parc naturel régional des Landes de Gascogne, au sud-est du département de la Gironde, limitrophe du département des Landes et à proximité de celui de Lot-et-Garonne, la commune se trouve à 74 km au sud-sud-est de Bordeaux, chef-lieu du département et à 32 km au sud de Langon, chef-lieu d'arrondissement[1].

    Communes limitrophes

    Les communes limitrophes en sont Escaudes au nord-est, Giscos à l'est, Maillas (Landes) au sud-est, Bourriot-Bergonce (Landes) au sud-sud-est, Retjons (Landes) au sud, Lencouacq (Landes) au sud-sud-ouest, Lucmau à l'ouest et Bernos-Beaulac au nord.

    Communes limitrophes de Captieux[2]
    Bernos-Beaulac Escaudes
    Lucmau Giscos


    Bourriot-Bergonce (Landes)          Retjons (Landes)          Lencouacq (Landes)
    Maillas (Landes)

    Route

    La commune est traversée par la route nationale 524 qui mène vers le nord à Bernos-Beaulac puis Langon et vers le sud-est à Maillas (Landes) pour finir à Espas (Gers). Cette route est une partie de l'itinéraire à grand gabarit utilisé pour le transports des pièces d'Airbus et pour lequel un itinéraire d'évitement a été créé dans l'est de la commune de Captieux.
    Le tracé de l'autoroute A65 (Langon-Pau) qui double cette nationale dans sa partie nord, traverse l'est du territoire communal et l'accès no 2, dit de Captieux, se situe à km de la ville. À défaut d'utiliser cette autoroute A65, l'accès le plus proche à l'autoroute A62 (Bordeaux-Toulouse) est le no 3, dit de Langon, distant de 31 km par la route vers le nord.
    La route départementale D 932 commence dans la ville et mène vers le sud à Roquefort (Landes), Mont-de-Marsan et Pau ; la route départementale D 10 commence également dans la ville et mène vers l'est à Giscos puis vers le nord-est à Grignols.

    Chemin de fer

    La gare SNCF la plus proche est celle, distante de 28 km par la route vers le nord, de Langon sur la ligne Bordeaux-Sète du TER Nouvelle-Aquitaine.
    Le , la section Bazas - Bourriot-Bergonce de la ligne de Langon à Gabarret, passant par Captieux avec une gare est mise en service et le , cette section et la gare sont déclassées.
    Dans le cadre des grands projets du Sud-Ouest (GPSO) de Réseau Ferré de France (RFF), une nouvelle gare TGV Sud - Gironde sortira de terre à l'horizon 2027 proche de l'autoroute à l'est de la ville. C'est ici que les LGV Bordeaux - Toulouse et Bordeaux - Espagne se connecteront. La gare possédera un service SRGV (Service régional à grande vitesse). Un site écopole sera construit ainsi qu'une base de maintenance ferroviaire.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[4]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[5].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[6]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[4]

    • Moyenne annuelle de température : 12,7 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3,1 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 8,6 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 14,4 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 2] : 936 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11,6 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 7,3 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[8] complétée par des études régionales[9] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. La station météorologique de Météo-France installée sur la commune et mise en service en 1974 permet de connaître l'évolution des indicateurs météorologiques. Le tableau détaillé pour la période 1981-2010 est présenté ci-après.

    Statistiques 1981-2010 et records CAPTIEUX (33) - alt : 96m, lat : 44°17'42"N, lon : 00°15'36"W
    Records établis sur la période du 01-01-1974 au 04-07-2021
    Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
    Température minimale moyenne (°C) 1,4 1,3 3,2 5 8,8 11,9 13,4 13,3 10,2 7,9 4,2 2,1 6,9
    Température moyenne (°C) 5,9 6,7 9,5 11,5 15,4 18,7 20,6 20,5 17,4 14 9,1 6,4 13
    Température maximale moyenne (°C) 10,4 12,1 15,8 17,9 22 25,4 27,7 27,8 24,6 20 13,9 10,7 19,1
    Record de froid (°C)
    date du record
    −21
    16.01.1985
    −14
    10.02.12
    −13
    01.03.05
    −5
    21.04.1991
    −2,6
    01.05.1976
    0
    02.06.1975
    2,5
    30.07.1988
    1,5
    30.08.1986
    −2,5
    21.09.1977
    −5,5
    30.10.1997
    −13
    22.11.1988
    −14,5
    17.12.01
    −21
    1985
    Record de chaleur (°C)
    date du record
    21
    29.01.02
    27
    27.02.19
    28,5
    21.03.1990
    33
    23.04.07
    37
    30.05.01
    41,5
    27.06.11
    42,5
    23.07.19
    42
    07.08.20
    37
    16.09.20
    32,5
    02.10.1985
    26
    01.11.14
    23
    16.12.1989
    42,5
    2019
    Précipitations (mm) 80,7 69,6 65,6 87,1 81,5 62,7 52,8 70 70,3 81,7 95,2 90,4 907,6
    Source : « Fiche 33095001 », sur donneespubliques.meteofrance.fr, edité le : 06/07/2021 dans l'état de la base

    Urbanisme

    Typologie

    Captieux est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 3],[10],[11],[12]. La commune est en outre hors attraction des villes[13],[14].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (89,1 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (88,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (47,9 %), forêts (41,2 %), terres arables (6,9 %), zones agricoles hétérogènes (3,1 %), zones urbanisées (0,8 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (0,2 %)[15].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Toponymie

    La localité était désignée autrefois par le nom de Cap Seves, nom provenant de l'expression latine caput silvarum qui signifie la tête de la forêt[16], expression qui est devenue la devise de la commune.

    En gascon, le nom de la commune est Capsiuts.

    Histoire

    Captieux fut une ville prépondérante pendant le Moyen Âge et une étape sur le chemin de Saint-Jacques-de-Compostelle.

    À la Révolution, la paroisse Saint-Martin de Captieux forme la commune de Captieux. En 1817, la commune d'Escaudes est rattachée à celle de Captieux qui devient Captieux-et- Escaudes. En 1836, la commune de Captieux est rétablie par démembrement de la commune de Captieux-et-Escaudes[17].

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    1973 1990 Jean Sango PS Conseiller général (1973-1990)[18]
    1990 mars 2001 Marc Lalanne PS Conseiller général (1990-2004)
    mars 2001 mars 2008 Viviane Durantau PS  
    mars 2008 mars 2014 Georges Bernard SE  
    mars 2014 avril 2015 Jean-Luc Gleyze PS Conseiller général du canton de Captieux (2004-2015),
    2e vice-président de la CC du Bazadais (2014-),
    Conseiller départemental du canton du Sud-Gironde (2015-),
    président du conseil départemental de la Gironde (2015-)
    avril 2015 2017 Denis Berland [19] PS Retraité de la fonction publique
    octobre 2017 2020 Pascal Calderon [20] SE  
    2020 En cours Christine Luquedey PS  
    Les données manquantes sont à compléter.

    Intercommunalité

    Le , la communauté de communes de Captieux-Grignols ayant été supprimée, la commune de Captieux s'est retrouvée intégrée à la communauté de communes du Bazadais siégeant à Bazas.

    Population et société

    Les habitants sont appelés les Capsylvains[21].

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[22]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[23].

    En 2018, la commune comptait 1 287 habitants[Note 4], en diminution de 0,16 % par rapport à 2013 (Gironde : +6,4 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 5001 1521 3121 7261 9701 3631 4311 5501 530
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 4751 4781 5611 4441 5031 4791 4981 5791 534
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 5831 8261 7811 7041 6541 6381 5911 4151 693
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2008
    1 9341 6461 6691 7421 7071 5031 4121 3991 385
    2013 2018 - - - - - - -
    1 2891 287-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[24] puis Insee à partir de 2006[25].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Manifestations culturelles et festivités

    En 1964, le village commença à organiser des novilladas[26], des corridas avec de jeunes toreros plutôt que les traditionnelles courses de vaches landaises. L'Espagnol Paquirri, alors jeune novillero inconnu, s'y est produit en 1965. La ville est membre de l'Union des villes taurines françaises.
    Un marathon de rugby à sept est également désormais organisé la veille de la novillada[26] ; ces festivités sont dénommées Rugby y Toros.

    En 1966, lors d'une émission houleuse du jeu télévisé Intervilles opposant Captieux au village voisin de Grignols, les arènes en bois s'écroulèrent[26], passant tout près de la catastrophe. Elles ne furent reconstruites qu'en 1993.

    Économie

    Base militaire

    Le site de la commune fut choisi par les Américains pour y installer en 1950 un important dépôt de munitions, sur 100 km2[27] tout près de la route D932, au lieu-dit le Poteau. En 1966, De Gaulle demanda le départ des bases américaines du territoire français. En partant, les Américains laissèrent beaucoup de matériel qui fut revendu aux habitants et entreprises de la région. Les installations militaires de Captieux furent reprises par l’armée française.

    Un documentaire La Fabrique de l'Histoire d'Emmanuel Laurentin de France Culture évoqua son histoire dans le cadre d'une série Les Américains et nous [2/4], et insista sur les quelques maisons closes du Poteau, fermées seulement en sur ordre (et ce quarante ans après l’interdiction des maisons closes par la loi Marthe Richard).

    Industrie

    • Station de recompression du réseau de gaz naturel.
    • L’économie de la ville repose principalement sur le bois (les scieries, les exploitants forestiers, la sylviculture…) ainsi que des entreprises de miroiterie et une de création de logiciels.
    • La boulangerie Seguin fabrique les fameux « puits d'Amour ».
    • Diffuseur de Captieux sur l'autoroute A65.

    Culture et patrimoine

    Lieux et monuments

    • L'église actuelle date de 1869 et a été restaurée en 1970. De style néogothique, elle est composée d’un long vaisseau central de cinq travées terminé par une abside polygonale.
    • Le château de Captieux, construit au Moyen Âge, a appartenu au XIVe siècle aux captals de Buch puis au XVIIIe siècle au comte d'Harcourt. On en retrouve une première mention en 1227 (bien après les invasions vascones et normandes) à l'occasion de la « promesse de Captieux » faite par Guillaume II de Béarn au roi d'Angleterre Henri III. Le comte y promet de faire hommage au roi lors de son prochain passage en Aquitaine. Cette promesse sera tenue par Gaston VII de Béarn le . Le château a été définitivement détruit sous Louis XIII vers 1621.
    • La fontaine Saint-Blaise dans la forêt, derrière les arènes, soignerait les rhumatismes ; le prieuré de Saint-Blaise a existé avant le couvent des Cordeliers et était probablement situé au sud de la fontaine de Saint-Blaise
    • Voie de Vézelay : la ville de Captieux est une étape officielle sur le chemin de Saint-Jacques-de-Compostelle.
    • À l'entrée et à la sortie de Captieux, est présenté l'emblème de la ville, l'« écureuil magique » qui tient une pomme de pin marron.
    • Cercle des Travailleurs, café associatif.
    • Arènes Jean-Sango.

    Personnalités liées à la commune

    Héraldique

    Les armes de Captieux se blasonnent ainsi :

    D'argent à l'écureuil contourné grimpant sur une branche en barre mouvant de la pointe et du bas du flanc senestre, surmonté d'une branche de pin de cinq touffes d'aiguilles, ployée en barre et en fasce, mouvant de l'angle senestre du chef et se terminant par une pigne, le tout de gueules accompagné, en chef à dextre, de l'inscription CAPUT SYLVARUM sur deux lignes en lettres capitales de sable.

    Devise de la commune : Caput sylvarum, la tête de la forêt

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[7].
    3. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. Distances les plus courtes par la route - Les distances orthodromiques sont respectivement de 66,2 km pour Bordeaux et 28,8 km pour Langon. Données fournies par Lion1906.com, consulté le 11 novembre 2012.
    2. Captieux sur Géoportail, consulté le 11 juin 2015.
    3. Captieux sur Géoportail, consulté le 11 juin 2015.
    4. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    5. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    6. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    7. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    8. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    9. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    10. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    11. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    12. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    13. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    14. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    15. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    16. Captieux sur le site « Visites en Aquitaine - Région Aquitaine » (CC-BY-SA), consulté le 1er octobre 2015.
    17. Historique des communes, p. 12, sur GAEL (Gironde Archives en ligne) des Archives départementales de la Gironde, consulté le 5 avril 2013.
    18. Décédé en cours de mandat
    19. Berland Denis, nouveau maire de Captieux (33), Sud Ouest.fr du 14 avril 2015, consulté le 14 avril 2015.
    20. « Pascal Calderon élu maire », sur SudOuest.fr (consulté le ).
    21. Nom des habitants de la commune sur habitants.fr, consulté le 14 avril 2011.
    22. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    23. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    24. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    25. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    26. Le Point, 10 juillet 2008, Les Deux passions du Sud-Ouest, p. 108.
    27. Tranches de vie au camp américain de Captieux dans les années 1950-1967 sur le site savoir-faire-aquitaine.com, consulté le 18 janvier 2013.
    28. Benjamin De Rovere sur le site « courselandaise.org ».
    29. Maly Thomas sur le site « agencesartistiques.com ».
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