Cabrières-d'Aigues

Cabrières-d'Aigues est une commune française située dans le département de Vaucluse, en région Provence-Alpes-Côte d'Azur.

Pour les articles homonymes, voir Cabrières.

Cabrières-d'Aigues

Blason
Administration
Pays France
Région Provence-Alpes-Côte d’Azur
Département Vaucluse
Arrondissement Apt
Intercommunalité Communauté de communes Territoriale Sud-Luberon
Maire
Mandat
Geneviève Jean
2020-2026
Code postal 84240
Code commune 84024
Démographie
Gentilé Cabriérains, Cabriéraines
Population
municipale
956 hab. (2018 [1])
Densité 50 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 47′ 07″ nord, 5° 29′ 52″ est
Altitude 375 m
Min. 300 m
Max. 1 122 m
Superficie 18,96 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Marseille - Aix-en-Provence
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Pertuis
Législatives Cinquième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Provence-Alpes-Côte d'Azur
Cabrières-d'Aigues
Géolocalisation sur la carte : Vaucluse
Cabrières-d'Aigues
Géolocalisation sur la carte : France
Cabrières-d'Aigues
Géolocalisation sur la carte : France
Cabrières-d'Aigues
Liens
Site web http://www.cabrieresdaigues.com

    Ses habitants sont les Cabriérains.

    Géographie

    Située au pied sud du Luberon, au niveau de la partie centrale dite du Grand Luberon.

    Communes limitrophes

    Situation de Cabrières-d'Aigues.
    Lignes départementales

    Le village est desservi par 1 ligne départementale[2] :

    Ligne Tracé
    17.1Cabrières-d'Aigues ↔ PertuisAix-en-Provence

    Sismicité

    Les cantons de Bonnieux, Apt, Cadenet, Cavaillon, et Pertuis sont classés en zone Ib (risque faible). Tous les autres cantons du département de Vaucluse sont classés en zone Ia (risque très faible). Ce zonage correspond à une sismicité ne se traduisant qu'exceptionnellement par la destruction de bâtiments[3].

    Hydrographie

    Sur la commune de Cabrières-d'Aigues se situe l'étang de la Bonde, un plan d'eau de 30 ha, dont l'origine remonte au XVe siècle, lorsque le seigneur Fouquet d'Agoult fit construire un aqueduc pour irriguer ses terres. L'étang est donc artificiel, mais il est alimenté par la source du Mirail au pied du Mourre Nègre. La profondeur de l'étang est de 3 à 5 mètres.

    Climat

    La commune est située dans la zone d’influence du climat méditerranéen. Les étés sont chauds et secs, liés à la remontée en latitude des anticyclones subtropicaux, entrecoupés d’épisodes orageux parfois violents. Les hivers sont doux. Les précipitations sont peu fréquentes et la neige rare. Protégée par le massif du Luberon, la commune est partiellement abritée du mistral.

    Relevé météorologique de la région de Pertuis
    Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
    Température minimale moyenne (°C) 3,2 4,1 6,5 9,1 13 16,6 19,1 19 15,8 13,5 7,4 4,3 11
    Température moyenne (°C) 7,1 8,3 11,1 13,7 17,9 21,6 24,3 24,1 18 17 11,2 8,1 15,2
    Température maximale moyenne (°C) 11 12,7 15,7 18,3 22,8 26,8 29,7 29,5 25 20,5 15 11,9 18,2
    Précipitations (mm) 35,3 21,3 21,9 40,6 27,6 14,6 8,2 18,3 57 52,3 39,1 25,6 287,6
    dont pluie (mm) 33 18 21 40,6 27,6 27,6 8,2 18,3 57 52,3 37 23 280
    dont neige (cm) 2 3 0,5 0 0 0 0 0 0 0 1,5 2 9
    Source : Relevé météo de Pertuis[4]
    Diagramme climatique
    JFMAMJJASOND
     
     
     
    11
    3,2
    35,3
     
     
     
    12,7
    4,1
    21,3
     
     
     
    15,7
    6,5
    21,9
     
     
     
    18,3
    9,1
    40,6
     
     
     
    22,8
    13
    27,6
     
     
     
    26,8
    16,6
    14,6
     
     
     
    29,7
    19,1
    8,2
     
     
     
    29,5
    19
    18,3
     
     
     
    25
    15,8
    57
     
     
     
    20,5
    13,5
    52,3
     
     
     
    15
    7,4
    39,1
     
     
     
    11,9
    4,3
    25,6
    Moyennes : • Temp. maxi et mini °C • Précipitation mm

    Urbanisme

    Typologie

    Cabrières-d'Aigues est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[5],[6],[7].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Marseille - Aix-en-Provence, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 115 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[8],[9].

    Occupation des sols

    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (52,5 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (52,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (51,6 %), cultures permanentes (36,2 %), zones agricoles hétérogènes (8,5 %), zones urbanisées (2 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (0,9 %), eaux continentales[Note 3] (0,7 %)[10].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[11].

    Répartition des sols

    La répartition des sols de la commune est la suivante[12] (donnée pour un total de) :

    Type d'occupation Pourcentage Superficie (en hectares)
    Zones urbaines 1,53 % 29,16
    Zones agricoles 42,82 % 817,97
    Zones naturelles 55,60 % 1 062,00
    Total 100 % 1 465,97

    Les zones naturelles (plus de la moitié du territoire) sont principalement formées par les forêts méditerranéennes couvrant le petit Luberon. Les zones agricoles sont formées de vergers de fruitiers (oliviers, amandiers, etc), des champs de lavandin et des vignes (AOC Côtes du Luberon).

    Toponymie

    De l'occitan cabrièra, « étable ou parc à chèvres », de cabra, « chèvre », lui-même du latin capra. Quatre communes portent le nom de Cabrières en France (Gard, Hérault, Vaucluse).

    Histoire

    Le fief de Cabrières relevait du comté de Forcalquier au XIIe siècle. Lorsque ce comté perd son indépendance en 1209, à la mort de Guillaume II, un de ses neveux, Guillaume de Sabran tente de le relever. Après une lutte de dix ans, il passe un accord à Meyrargues le 29 juin 1220 avec Raimond Bérenger IV, comte de Provence et lui aussi héritier du comté de Forcalquier. Par cet accord, la moitié sud du comté, dont Cabrières, lui est donnée. Guillaume de Sabran conserve sa moitié de comté jusqu'à sa mort, vers 1250[13].

    Cabrières-d'Aigues, fait partie des villages vaudois du Luberon.

    Le roi René confirma le le rattachement de Cabrières-d'Aigues, La Motte-d'Aigues et Villelaure à Pertuis[14].

    À la fin du XVe siècle, des vaudois du Luberon s’installent dans ces montagnes, invités par les seigneurs du lieu, heureux de trouver des paysans pour peupler leurs terres désertes, en leur promettant des exemptions fiscales.

    Le village fait ainsi partie de la quarantaine de localités, de part et d'autre du Luberon[15] dans lesquelles s'installent au moins 1400 familles de vaudois des Alpes, soit environ 6 000 personnes, venues des diocèses alpins de Turin et d'Embrun entre 1460 et 1560, selon l'historien Gabriel Audisio. Les deux tiers de ces futurs Vaudois du Luberon sont arrivés entre 1490 et 1520 et la plupart subissent le massacre de Mérindol, qui détruit 24 villages et cause 3000 morts.

    À Cabrières-d'Aigues, les 80 familles qui s'installent en 1495 viennent toutes de la vallée de Freissinières où a eu lieu sept plus tôt la Croisade contre les vaudois de 1488 et deux tiers des arrivants à Cabrières figurent sur la liste des habitants de Freissinières alors poursuivis pour hérésie, qui est conservée dans les archives du Parlement de Grenoble[16]. Si l'on prend les 292 patronymes identifiés à Lourmarin, Cabrières-d'Aigues, et les trois villages rejoints en 1505, La Motte-d'Aigues, Saint-Martin-de-la-Brasque et Peypin-d'Aigues, 245 viennent des sites vaudois des Alpes, soit 84%[16].

    Cabrières d'Aigues, en avril 1545, fut incendié sur ordre du Capitaine Paulin de La Garde et du Parlement d'Aix-en-Provence. Les survivants se réfugièrent au hameau de Saint-Jean-de-Robians. Mais l'esprit de la Réforme perdura, et en 1682, les protestants du village furent recensés au nombre de 600[17].

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    mai 1896 mars 1905 Alix Félician    
    mars 1905 novembre 1919 Henri Perin    
    novembre 1919 mai 1925 Emile Ripert    
    mai 1925 mai 1935 Fernand Félician    
    mai 1935 septembre 1944 Abel Anthouard    
    mai 1945 octobre 1947 Raimon Félician    
    octobre 1947 août 1956 Marcel Arnoux    
    août 1956 mars 1971 Léonce Arnoux    
    mars 1971 mars 1995 Gilbert Plat PCF  
    mars 1995 janvier 2011 Claude Favet PS  
    janvier 2011 En cours Geneviève Jean PS  
    Les données manquantes sont à compléter.

    Instances administratives et juridiques

    Cabrières-d'Aigues est une des quatorze communes du canton de Pertuis qui totalise 32 492 habitants en 2006. Le canton fait partie de l'arrondissement d'Apt depuis 1801 (sauf de 1926 à 1933 où ce fut Cavaillon) et de la cinquième circonscription de Vaucluse depuis 2010 (avant l'ordonnance no 2009-935 du 29 juillet 2009 elle appartenait à la deuxième circonscription de Vaucluse). Cabrières-d'Aigues fait partie du canton de Pertuis depuis 1801 après avoir fait partie du canton de Cucuron de 1793 à 1801[18].

    Cabrières-d'Aigues fait partie de la juridiction d’instance d’Apt, mais du greffe détaché Pertuis, et de grande instance, de prud'hommale, de commerce et d'affaires de Sécurité sociale d’Avignon[19].

    Environnement

    Collecte et traitement des déchets des ménages et déchets assimilés et protection et mise en valeur de l'environnement dans le cadre de la communauté de communes Luberon-Durance.

    La commune, de par la communauté de commune, fait partie du syndicat mixte intercommunautaire pour l'étude, la construction et l'exploitation d'unités de traitement des ordures ménagères de la région de Cavaillon (Sieceutom).

    La commune fait partie du syndicat intercommunal à vocations multiples (SIVOM) Durance-Luberon qui est un Établissement public de coopération intercommunale (EPCI) qui regroupe 21 communes des 23 communes (Lourmarin et Vaugines n'en font pas partie) des deux cantons de Pertuis et de Cadenet a pour compétence la distribution de l'eau et l'assainissement. Il a été créé en 1989 par transformation du syndicat intercommunal créé en 1946 mais qui n'avait comme compétence que la distribution de l'eau. Il comprend 42 membres (deux par commune). Son président est Maurice Lovisolo (vice-président du conseil général de Vaucluse)[20]. Le prix de l'assainissement est variable dans chaque commune (à cause de la surtaxe communale) alors que celui de l'eau est identique[21].

    Fiscalité

    L'imposition des ménages et des entreprises à Cabrières-d'Aigues en 2009[22]
    Taxepart communalePart intercommunalePart départementalePart régionale
    Taxe d'habitation (TH)10,90 %0,19 %7,55 %0,00 %
    Taxe foncière sur les propriétés bâties (TFPB)12,00 %0,25 %10,20 %2,36 %
    Taxe foncière sur les propriétés non bâties (TFPNB)35,06 %0,25 %28,96 %8,85 %
    Taxe professionnelle (TP)00,00 %20,36 %13,00 %3,84 %

    La Part régionale de la taxe d'habitation n'est pas applicable.

    La taxe professionnelle est remplacée en 2010 par la cotisation foncière des entreprises (CFE) portant sur la valeur locative des biens immobiliers et par la contribution sur la valeur ajoutée des entreprises (CVAE) (les deux formant la contribution économique territoriale (CET) qui est un impôt local instauré par la loi de finances pour 2010[23]).

    Population et société

    Démographie

    Le recensement de 1826, qui ne serait qu'une réactualisation de celui de 1821, n'a pas été retenu.
    Le recensement de 1871 a été, pour cause de guerre, repoussé à l'année 1872.
    Le recensement de 1941, réalisé selon des instructions différentes, ne peut être qualifié de recensement général, et n'a donné lieu à aucune publication officielle.
    Les résultats provisoires du recensement par sondage annuel réalisé en 2004, 2005 et 2006 selon les communes sont tous, par convention, affichés à 2006.

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[24]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[25].

    En 2018, la commune comptait 956 habitants[Note 4], en augmentation de 6,82 % par rapport à 2013 (Vaucluse : +1,79 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    416464504468487585566503552
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    534548555553515452403373408
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    405419404326311302307300332
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2010 2015
    352415400429532651805841948
    2018 - - - - - - - -
    956--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[18] puis Insee à partir de 2006[26].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Enseignement

    Cabrières d'Aigues a une école primaire publique Les Vergers [27], ensuite les élèves sont affectés au collège Albert-Camus à La Tour-d'Aigues[28],[29], puis le lycée Val-de-Durance[30] à Pertuis (enseignement général) ou lycée Alexandre-Dumas[31] à Cavaillon soit lycée Alphonse Benoit[32] à L'Isle-sur-la-Sorgue (enseignements techniques).

    Économie

    Agriculture

    La commune produit des vins AOC Luberon. Les vins qui ne sont pas en appellation d'origine contrôlée peuvent revendiquer, après agrément, le label Vin de pays d'Aigues[33].

    Tourisme

    Comme l'ensemble des communes du Luberon, le tourisme joue un rôle, directement ou indirectement, dans l'économie locale.

    On peut considérer trois principales sortes de tourisme en Luberon. Tout d'abord, le tourisme historique et culturel qui s'appuie sur un patrimoine riche des villages perchés ou sur des festivals. Ensuite, le tourisme détente qui se traduit par un important développement des chambres d'hôtes, de l'hôtellerie et de la location saisonnière, par une concentration importante de piscines et par des animations comme des marchés provençaux. Enfin, le tourisme vert qui profite des nombreux chemins de randonnées et du cadre protégé qu'offrent le Luberon et ses environs[34].

    Culture et patrimoine

    Lieux et monuments

    • Bas-relief de Cabrières d'Aigues : trouvé au début du XIXe siècle par un agriculteur, Toussaint Guérin, et mis en valeur par un notaire passionné d'archéologie (Me Marc Deydier, 1845-1920). L'original se trouve aujourd'hui au musée Calvet d'Avignon.
    • Chapelle des Mille Fleurs : dans le quartier du "château", elle consiste en un sous-sol d'une bâtisse sur l'escalier de laquelle des curieuses plaques de cuivre portant les armoiries de Nîmes sont incrustées.
    • Église de Saint-Jean (vestiges) : Il s'agirait d'un relais Templier en pleine nature autour duquel s'étendait un cimetière en pleine terre. Des ossements humains (en particulier un crâne) en ont été retirés à flanc de talus. Quant aux pierres de cette chapelle, elles auraient été exportées en Amérique du Nord et quelques vestiges sont encore observables à ce jour.
    • Au nord du village le coteau descendant sur le Clos a fait la joie de nombreux enfants qui allaient gratter à flanc de coteau pour découvrir des dents de squale ou des ossements (plus rares) et, bien sûr, des myriades de coquillages (pecten, ostrea, etc.). La réserve naturelle géologique a amené l'interdiction de creuser la falaise.

    Personnalités liées à la commune

    • Les Gaussen : la famille Gaussen a donné de grands hommes à la France : un pasteur devenu sur le tard linguiste et professeur de rhétorique (philosophie) pour nourrir sa famille (le pastorat n'étant pas assez lucratif), deux médecins militaires (Charles, mort dans 103e année et son fils Henri, tué à 25 ans au front en 1947 à Hanoï et dont la tombe est au cimetière de Cabrières) et un grand savant, botaniste-biogéographe (Henri Gaussen).

    Héraldique

    Les armes peuvent se blasonner ainsi :

    D'argent à la chèvre saillante de sable.

    Pour approfondir

    Bibliographie

    • Robert Bailly, Dictionnaire des communes du Vaucluse, A. Barthélemy, Avignon, 1986, (ISBN 2-903044-27-9)
    • Jules Courtet, Dictionnaire géographique, géologique, historique, archéologique et biographique des communes du département de Vaucluse, Avignon, Seguin Ainé, (1re éd. 1857), 400 p. (lire en ligne)
    • Elisabeth Sauze & Jean-Pierre Muret, Cabrières-d'Aigues la Vaudoise, Lauris, Editions Pour Le Luberon,
    • Alfred Maille, Pertuis et ses environs, Paris, Res Universis, , 158 p. (ISSN 0993-7129)

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. « Populations légales 2010 de la commune de Cabrières-d'Aigues », INSEE.
    2. TransVaucluse Fiche horaire ligne 17.1
    3. Zonage sismique réglementaire de la France, classement des cantons (découpage fin 1989) de la région PACA, page 48
    4. « Relevé météo de Pertuis », MSN Météo.
    5. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    6. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    7. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    8. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Marseille - Aix-en-Provence », sur insee.fr (consulté le ).
    9. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    10. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    11. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    12. (fr) « Cabrières-d'Aigues », Parc du Luberon.
    13. Mariacristina Varano, Espace religieux et espace politique en pays provençal au Moyen Âge (IXe-XIIIe siècles). L'exemple de Forcalquier et de sa région, thèse soutenue à l'université d'Aix-Marseille I, 2011, p. 486.
    14. Alfred Maille, op. cit., p. 55.
    15. "Guide historique du Luberon vaudois", par Gabriel Audisio, page 17, Éditions du Parc naturel régional du Luberon mars 2002
    16. "Guide historique du Luberon vaudois", par Gabriel Audisio, page 18, Éditions du Parc naturel régional du Luberon mars 2002
    17. Robert Bailly, op. cit., p. 109.
    18. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    19. « Les Juridictions judiciaires de Vaucluse », Ministère de la Justice et des Libertés.
    20. « Historique du SIVOM », SIVOM Durance-Luberon.
    21. « Prix de l'eau et de l'assainissement au sein du SIVOM », SIVOM Durance-Luberon.
    22. « Impôts locaux à Cabrières-d'Aigues », taxes.com.
    23. Loi n° 2009-1673 du 30 décembre 2009 de finances pour 2010 (Légifrance)
    24. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    25. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    26. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    27. Enseignement publique primaire en Vaucluse
    28. Carte scolaire du Vaucluse
    29. « Site du collège Albert Camus », Académique Aix-Marseille, .
    30. « Site du lycée Val de Durance », Académique Aix-Marseille, .
    31. « Site du lycée Alexandre Dumas », Académique Aix-Marseille, .
    32. « Site du lycée Alphonse Benoit », Académique Aix-Marseille, .
    33. Le label Vin de pays d'Aigues concerne les communes suivantes dans le département de Vaucluse : Ansouis, Apt, Auribeau, La Bastide-des-Jourdan, La Bastidonne, Les Beaumettes, Beaumont-de-Pertuis, Bonnieux, Buoux, Cabrières-d'Aigues, Cabrières-d'Avignon, Cadenet, Caseneuve, Castellet, Cavaillon, Cheval-Blanc, Cucuron, Gargas, Gignac, Gordes, Goult, Grambois, L'Isle-sur-la-Sorgue, Joucas, Lacoste, Lagarde-d'Apt, Lagnes, Lauris, Lioux, Lourmarin, Maubec, Ménerbes, Mérindol, Mirabeau, La Motte-d'Aigues, Murs, Oppède, Pertuis, Peypin-d'Aigues, Puget, Puyvert, Robion, Roussillon, Rustrel, Saignon, Saint-Martin-de-Castillon, Saint-Martin-de-la-Brasque, Saint-Pantaléon, Saint-Saturnin-d'Apt, Sannes, Saumane, Sivergues, Les Taillades, La Tour-d'Aigues, Vaugines, Viens, Villars, Villelaure, Vitrolles-en-Luberon.
    34. Voir Massif du Luberon
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