Bourgmestre de guerre

Un bourgmestre de guerre est un maire d'une municipalité pendant l'Occupation au cours de la Seconde Guerre mondiale.

Il a été nommé avec l'approbation ou même sur les ordres du gouvernement occupant. En principe, ces maires étaient du côté de l'occupant.

Aux Pays-Bas

Les maires devaient assister l'occupant pendant la Seconde Guerre mondiale, étant entendu qu'il devait lui-même respecter la loi néerlandaise et la primauté du droit. Rien n'est venu de ce dernier. Les maires devaient choisir entre le renvoi et le remplacement par un fasciste, ou rester et suivre les exigences allemandes.

Le Reichskommissar Seyss-Inquart nomme des maires qui sont membres du N.S.B.. À la fin de la guerre, 70 % de la population néerlandaise était administré par un maire issu du N.S.B. Environ 700 au total, ils ont été licenciés avec d'autres maires collaborateurs après la Libération et, si nécessaire, ont été poursuivis légalement.

En Belgique

Après l'occupation de la Belgique par l'Allemagne, l'occupant a supposé que les autorités locales continueraient à travailler.

Il y avait beaucoup de bouleversements, comme un certain nombre (environ un tiers) des maires et des conseillers municipaux a été battu dans le vol et certains étaient juste en retard ou même pas, sans nouveau. Cette désertion de poste a eu des effets durables et a donné lieu entre autres dans le dépôt qui avaient fui, de sorte qu'une violation initiale a été battue par nouvel ordre où les pro-personnes occupant des postes municipaux pourraient être nommés.

La prise de pouvoir est venu principalement de flux 1941. Le gouvernement allemand a imposé un âge maximum de soixante ans, non seulement pour les maires et les conseillers municipaux, mais aussi pour les juges, hauts fonctionnaires, , etc.. Cette ouvrit brusquement la possibilité de milliers de nouveaux rendez-vous à faire, qui ont été principalement recherchés chez les collaborateurs de la collaboration.

À la Libération, les bourgmestres ont disparu des troupes alliées dès le jour de leur arrivée dans leur congrégation. Les anciens maires qui ont été déposés, s'ils étaient présents, ont automatiquement repris leur fonction. Les maires de la guerre avaient soit fui, soit été arrêtés et jugés. Les activités de la plupart d'entre eux dans leur fonction de maires de guerre étaient généralement plutôt douces. En effet, les maires ont souvent pu aider la population ou certains de leurs sujets, et l'évaluation a également tenu compte des témoignages en leur faveur. En cas d'attaque des peines plus sévères, il était car en plus de leur fonction, les maires de guerre ont joué un rôle actif dans la collaboration actuelle politique ou même militaire.

Le gouvernement de Londres avait publié des décrets-lois mai 1944 dans laquelle toutes les décisions, y compris la nomination de la guerre des maires, ont été tout simplement détruits. Leur nomination était considérée comme inexistante et n'ouvrait droit à aucune pension ou indemnité. Ils ne figurent pas dans la liste des maires de leur ville et de la période administrative de leur prédécesseur déchu sans a également entraîné la guerre.

[Quoi ?]

Notes et références

    • Portail de la Seconde Guerre mondiale
    Cet article est issu de Wikipedia. Le texte est sous licence Creative Commons - Attribution - Partage dans les Mêmes. Des conditions supplémentaires peuvent s'appliquer aux fichiers multimédias.