Bertelsmann

Bertelsmann SE & Co. KGaA est un groupe international dont le siège se trouve à Gütersloh, une ville de Rhénanie-du-Nord-Westphalie, en Allemagne. Comptant parmi les plus grandes entreprises de médias du monde, il opère également dans le secteur tertiaire ainsi que celui de l’enseignement[5].

Bertelsmann

Création 1er juillet 1835[1]
Fondateurs Carl Bertelsmann[1]
Personnages clés
Forme juridique société en commandite par actions
Siège social Gütersloh
 Allemagne
Direction Thomas Rabe
Directeurs Hartmut Ostrowski (en) (-), Gunter Thielen (en) (-), Thomas Middelhoff (en) (-), Mark Wössner (d) (-), Manfred Fischer (d) (-) et Reinhard Mohn (-)
Actionnaires Fondation Bertelsmann et d'autres
Activité Industrie des médias (d), service et système éducatif (d)
Produits Édition
Filiales
Effectif 117 220 (2018)[4]
Site web www.bertelsmann.com

Chiffre d'affaires 17,673 milliards € (2018)[4]
Résultat net 1,104 milliards € (2018)[4]

Carl Bertelsmann fonda la société en 1835 en tant que maison d’édition[6]. Après la Seconde Guerre mondiale, Bertelsmann se développa considérablement sous la direction de Reinhard Mohn et l’entreprise de taille moyenne se transforma en un grand groupe proposant des livres, mais aussi des chaînes de télévision, des stations de radio, de la musique, des revues et des prestations de services[7]. Les domaines d’activité principaux sont les suivants : RTL Group, Penguin Random House, Gruner + Jahr, BMG, Arvato, Bertelsmann Printing Group, Bertelsmann Education Group et Bertelsmann Investments[8].

Bertelsmann est une entreprise non cotée en bourse[9], faisant appel public à l’épargne[10], qui reste encore considérablement sous le contrôle de la famille Mohn[11],[12],[13]. Ses principes fondamentaux sont la créativité et l’esprit d’entreprise[14].

Histoire

1835–1933

Logo historique de la maison d'édition (2012)

Le groupe actuel est issu de la maison d’édition C. Bertelsmann fondée en 1835 par Carl Bertelsmann à Gütersloh[15]. Carl Bertelsmann était membre d'une communauté de réveil chrétien implantée dans le Minden-Ravensberger (en) près de Minden, et il en publia la littérature au sein de sa maison d’édition[16]. Au départ spécialisé dans la littérature théologique, l’éditeur élargit tout d’abord son offre pour inclure des livres et manuels scolaires, puis de plus en plus de littérature grand public dans les années 1920 et 1930[17].

1933–1945

Sous le Troisième Reich, la maison d’édition C. Bertelsmann se démarqua par sa collection de « Bertelsmann Volksausgaben » à prix abordable[18]. Les livres relatant des expériences de guerre tels que « Fliegerbuch » traitant d'aviation de Werner von Langsdorff connurent un grand succès commercial[19]. Heinrich Mohn soutenait la Schutzstaffel, une des principales organisations du régime nazi, et désirait faire de sa société une entreprise nationale-socialiste modèle[20]. Durant la guerre, la maison d’édition C. Bertelsmann devint le plus grand fournisseur de la Wehrmacht[21], avant même l’éditeur central du NSDAP Franz Eher[22]. Le chiffre d’affaires de la maison d’édition C. Bertelsmann augmenta fortement, en particulier entre 1939 et 1941[23]. Le site de Gütersloh n’employa pas de travailleurs juifs contraints au travail obligatoire[24], mais ce fut le cas d’imprimeries en Lituanie avec lesquelles l’éditeur C. Bertelsmann travaillait[25]. En 1944, la Reichsschrifttumskammer (Chambre de la littérature du Reich) ordonna sa fermeture afin de mobiliser « toutes les forces pour la victoire »[26]. L’une des causes principales de cette fermeture était aussi la participation de collaborateurs de la maison d’édition à des trafics criminels de papiers qui avaient conduit à un procès en 1944[27],[28],[29].

1945–1970

Après la fin de la guerre, l’entreprise se présenta aux autorités de contrôle des Alliés comme une maison d’édition chrétienne de la Résistance ayant été poursuivie sur le plan politique. Les relations avec des organisations nationales-socialistes furent tout d’abord niées. À la suite de la révélation que de fausses déclarations ou du moins des déclarations insuffisantes avaient été faites, Heinrich Mohn démissionna de son poste de directeur de la maison d’édition[30]. Parmi ses trois fils, ce fut Reinhard Mohn[31] qui reprit la maison d’édition C. Bertelsmann car Hans Heinrich Mohn était mort à la guerre et Sigbert Mohn était encore en captivité[32]. En 1947, les Alliés accordèrent finalement une licence d’édition à la société[33]. À la suite de la réforme monétaire de 1948, une crise des ventes toucha l’économie du livre, laquelle plongea aussi C. Bertelsmann dans une profonde crise financière[34]. C’est dans ce contexte que fut créé le club de lecture Bertelsmann Lesering en 1950 afin de relancer les ventes[35]. Les clients achetaient alors les livres par abonnement en échange de prix plus avantageux[36]. L’activité commerciale s’éloigna de l’édition pour se porter de plus en plus sur la vente de livres ce qui se révèlera décisif pour la croissance future[37].

La maison d’édition C. Bertelsmann fut restructurée en 1959 : dorénavant, la littérature théologique parut chez l’éditeur Gütersloher Verlagshaus qui fusionna avec l’éditeur Rufer Verlag. La littérature générale, la poésie et l’art furent attribués à la maison d’édition Sigbert Mohn Verlag. L’éditeur C. Bertelsmann se concentra désormais sur les ouvrages de non-fiction, en particulier les lexiques, les guides pratiques, les livres spécialisés et les revues spécialisées[38]. Durant les années 1950 et 1960, Bertelsmann élargit son domaine d’activité à de nouveaux secteurs : l’entreprise se lança ainsi à la conquête du marché musical en 1956 avec le club de disques Schallplattenring. Ariola, l’un des plus performants labels allemands fut fondé deux ans plus tard[39], presque en même temps que le fabricant de disques Sonopress[40]. Avec la Kommissionshaus Buch und Ton, qui laissera plus tard la place à la Vereinigte Verlagsauslieferung (VVA), Bertelsmann posa la première pierre de son activité tertiaire[41]. En 1964, Bertelsmann racheta l’UFA déjà démembrée à la Deutsche Bank[42] et s’en servit comme base pour développer son activité filmique et télévisuelle[43],[44]. En 1969, Bertelsmann acheta des parts de l’éditeur de revues Gruner + Jahr. Une autre fusion prévue avec Axel Springer, pour laquelle un crédit de plusieurs millions fut temporairement contracté auprès de la Westdeutsche Landesbank[45], échoua en 1970[46].

1971–1983

Portrait de Reinhard Mohn (2008)

À partir de 1971, Bertelsmann adopta le statut de société anonyme (Aktiengesellschaft)[47]. Les différentes maisons d’édition de plus en plus diversifiées furent rassemblées à la fin des années 1960 au sein du groupe éditorial Verlagsgruppe Bertelsmann[48]. Ce dernier déplaça son siège de Gütersloh vers Munich en 1972[49]. Des domaines d’activité essentiels furent maintenus à Gütersloh et un nouvel immeuble de bureaux fut construit pour eux au siège du groupe en 1976. Gütersloh abrite aujourd’hui encore le siège de la multinationale, appelé « Corporate Center »[50]. La croissance rapide du groupe conduit à des problèmes structurels et financiers. Dans les années 1970, les besoins de financement de Bertelsmann s’aggravèrent. De 1975 à 1980, le rendement du chiffre d’affaires tomba par exemple sous1 %[51]. De plus, le groupe fut soumis à de nouvelles réglementations pour le marché intérieur allemand, en particulier du fait de lois sur le contrôle des concentrations[52]. Il lui devint quasiment impossible de faire de grandes acquisitions. En même temps, on assistait à une saturation du marché allemand concernant les clubs de livres (Bertelsmann Lesering)[53], alors que les clubs de lecture lancés à l'étranger dégageaient la plus grande partie des recettes de ce domaine d’activité[54].

L’internationalisation du groupe avait en effet débutée dans les années 1960, et elle fut poursuivie[55] : Bertelsmann acheta entre autres des parts des maisons d’édition Plaza & Janés sise à Barcelone et Bantam Books sise à New York. Une succursale d’Ariola fut ouverte aux États-Unis et Arista Records fut racheté[56]. Des discussions portant sur la succession de Reinhard Mohn furent entamées durant la crise économique de 1979/1980[57]. En 1981, il quitta son poste pour entrer au conseil de surveillance. Manfred Fischer, qui était auparavant directeur de Gruner + Jahr, devint le nouveau président-directeur général[58]. Pour la première fois, Bertelsmann fut dirigé par un directeur ne faisant pas partie de la famille des propriétaires[59]. Son successeur en 1983 au poste de président-directeur général de Bertelsmann fut Mark Wössner[60]. Le début de son mandat fut marqué par l’affaire des faux carnets d’Hitler, qui entacha la réputation du magazine allemand Stern, de la maison d’édition Gruner + Jahr et de l’ensemble du groupe[61],[62].

1984–1993

Mark Wössner rattacha davantage les succursales au siège de Gütersloh[63],[64]. Cela concerna en particulier les secteurs Business Development et Controlling[65]. Sous la direction de Mark Wössner, Bertelsmann participa également à RTL Plus, la première chaîne de télévision privée en Allemagne[66]. En 1986, Bertelsmann acheta la majorité des parts de RCA Records et fusionna ses activités sur le marché musical au sein de la nouvelle major Bertelsmann Music Group[67]. Sonopress, une entreprise fondée en 1958 pour fabriquer des disques[68], ne faisait pas partie du Bertelsmann Music Group mais était alors attribuée au secteur de l’imprimerie et de l’industrie[69]. Avec Doubleday, Bertelsmann acquit une autre célèbre maison d’édition américaine[70]. Le groupe devint ainsi une entreprise de renommée mondiale et Bertelsmann fut temporairement la plus grande entreprise de médias du monde entier[71].

Durant l’exercice 1990/1991, Bertelsmann comptait plus de 45 000 collaborateurs et enregistrait un chiffre d’affaires de 14,5 milliards de marks par an. 63 % de ce chiffre d’affaires était réalisé hors de l’Allemagne, les États-Unis étant le marché étranger le plus important[72]. Après la réunification de l’Allemagne et la fin de la guerre froide, Bertelsmann se développa en Allemagne de l’Est ainsi qu’en Europe centrale et orientale[73]. En 1989, la première filiale du Club Bertelsmann fut par exemple ouverte à Dresde[74]. La généralisation d’Internet comme média de masse ainsi que la modification de la structure de propriété furent décisifs pour le développement du groupe dans les années 1990[75]. En 1993, Reinhard Mohn transféra la majorité des parts du capital à la Fondation Bertelsmann et en assuma la présidence[76]. La fondation elle-même fut financée avec les bénéfices du groupe[77].

1994–2000

Penguin Random House Tower à New York (2005)

En 1994, Gruner + Jahr racheta les revues du New York Times ce qui renforça encore la présence du groupe sur son marché étranger le plus important[71]. Bertelsmann posséda un département Multimédia à partir de 1995. Ce dernier était surtout focalisé sur AOL Europe[78], une Joint Venture d’America Online et de Bertelsmann. Au préalable, Bertelsmann avait déjà acquis une participation directe d’America Online[79]. La division Multimédia incluait aussi mediaWays, Pixelpark[80] et BMG Interactive, active dans le domaine des jeux vidéo, revendue en 1998 à Take-Two Interactive. En 1997, UFA fusionna avec la Compagnie Luxembourgeoise de Télédiffusion (CLT) pour former ensemble un groupe de divertissement dont le siège était au Luxembourg[81],[82]. Grâce à CLT-UFA, Bertelsmann put diversifier ses activités commerciales de manière décisive[83]. En 1998, Thomas Middelhoff remplaça Mark Wössner comme président-directeur général de Bertelsmann[84]. Thomas Middelhoff avait auparavant occupé le poste de membre du conseil d’administration responsable de la branche Multimédia[85]. Mark Wössner entra au conseil de surveillance de l’entreprise et dirigea dorénavant la Fondation Bertelsmann[86].

La reprise de la maison d’édition américaine Random House se produisit durant le changement de direction[87],[88]. Ainsi, Bertelsmann devint le plus grand groupe éditorial du monde anglophone[89]. Random House fusionna avec Bantam Doubleday Dell et le groupe domicilia la direction de toutes les maisons d’édition de Bertelsmann à New York[90],[91]. En 1999, Bertelsmann racheta la maison d’édition scientifique de Springer[92],[93], qui était entre autres leader sur le marché des mathématiques et de la physique[94]. En 2000, Bertelsmann se sépara de ses parts d’AOL Europe[95]. La vente de ses parts de la Joint Venture à America Online rapporta des milliards à Bertelsmann[96]. La même année, Bertelsmann et le groupe de médias Pearson formèrent RTL Group à partir de leurs filiales télévisuelles[97]. Bertelsmann ne possédait au départ qu’une minorité de parts de l’entreprise, mais augmenta progressivement sa participation[98]. Bertelsmann obtint par la suite la majorité des parts de RTL en échangeant des actions avec le Groupe Bruxelles Lambert (GBL) qui possédait alors 25,1 % des parts du groupe[99].

2001–2007

Sous la direction de Thomas Middelhoff, Bertelsmann renforça sa présence dans le secteur Internet[100]. Ce faisant, sa participation à Napster attira une grande attention médiatique[101],[102]. L’objectif de la coopération était entre autres de freiner la diffusion illégale d'œuvres protégées par des droits d’auteur[103]. En 2001, le service dut toutefois fermer en raison de litiges juridiques[104]. Bertelsmann fut confronté à des demandes d’indemnités de la part de l’industrie musicale[105],[106]. Afin de financer la poursuite de la croissance du groupe, Thomas Middelhoff aborda le sujet de l’introduction en bourse de Bertelsmann[107]. Cela conduit à un conflit de principes avec la famille Mohn[108]. En 2002, Gunter Thielen devint le nouveau président-directeur général de Bertelsmann et certains médias exprimèrent un avis critique sur le changement[109],[110],[111].

Il s’ensuivit une phase de consolidation afin de résoudre les problèmes des secteurs d’activité fondamentaux[112]. Bertelsmann revendit par exemple des entreprises de commerce en ligne qui n’étaient pas rentables[113], dont entre autres bol.de et la boutique en ligne de Barnes & Noble[114]. Gruner + Jahr céda le journal Berliner Zeitung et la maison d’édition scientifique BertelsmannSpringer fut également revendue[115],[116]. Durant l’exercice 2003, le groupe annonça sa participation à une Joint Venture avec Sony pour ses activités musicales. Bertelsmann et Sony possédaient respectivement la moitié des parts[117]. Avec cette transaction, les parties prenantes voulaient réagir à la diminution des chiffres d’affaires sur le marché musical[118],[119]. De plus, Gunter Thielen prépara le rachat des parts du Groupe Bruxelles Lambert de façon que la famille Mohn reprenne de nouveau le contrôle complet du groupe à partir de 2006[120],[121]. Cette mesure fut entre autres financée par la vente de sa maison d’édition de musique à l’entreprise de médias française Vivendi[122],[123]. Durant le mandat de Gunter Thielene, Bertelsmann compta pour la première fois plus de 100 000 employés[124].

La Fondation Bertelsmann contribue fortement à influer en faveur des réformes Hartz. Elle finance des expertises et des conférences, diffuse des argumentaires auprès des journalistes et met en place des réseaux de « bonnes volontés ». Pour l'universitaire Helga Spindler : « Sans le travail de préparation, d’accompagnement et d’après-vente déployé à tous les niveaux par la Fondation Bertelsmann, les propositions de la commission Hartz et leur traduction législative n’auraient jamais pu voir le jour »[125].

2008–2015

Thomas Rabe, Président-directeur général depuis 2012

Hartmut Ostrowski fut nommé président-directeur général en 2008[126],[127]. Bertelsmann vendit ses parts du label Sony BMG qui s’appelle depuis Sony Music Entertainment[128],[129]. En 2008, Bertelsmann acquit les droits de l’encyclopédie Brockhaus[130], laquelle fut alors publiée par l’éditeur Wissen Media Verlag[131]. À la fin de l’année 2011, Hartmut Ostrowski annonça de manière inattendue qu’il allait quitter Bertelsmann pour des raisons personnelles[132],[133]. Depuis 2012, Thomas Rabe est président-directeur général de Bertelsmann[134].

En 2013, Bertelsmann introduisit en bourse une partie de ses actions du RTL Group afin de financer la poursuite de sa croissance grâce aux recettes de la vente[135],[136]. En 2013, l’éditeur Penguin Random House résultant de la fusion de Penguin Group et Random House devint la plus grande maison d’édition généraliste au monde[137]. En 2014, Gruner + Jahr fut entièrement repris par Bertelsmann[138],[139]. Sous la direction de Thomas Rabe, Bertelsmann investit également plus dans le secteur de l’enseignement[140],[141] : le prestataire américain Relias Learning fut par exemple acquis en 2014[142]. L’entreprise fait partie du Bertelsmann Education Group créé en 2015[143]. Le Club Bertelsmann fut liquidé[144],[145], mais certains partenaires de distribution s’y opposent sur le plan juridique[146],[147]. Le groupe rassembla ses activités d’impression au sein du Bertelsmann Printing Group en 2016[148],[149].

2016–2020

Bertelsmann poursuivit son expansion en créant une nouvelle structure composée de huit divisions en 2016[150]. Pour consolider également son activité principale, Bertelsmann, entre autres choses, augmenta en 2017 sa participation dans Penguin Random House de 53 à 75 pour cent[151],[152]. Par le retrait partiel de Pearson, Bertelsmann s’assura la majorité stratégique des trois quarts dans la plus grande maison d’édition du monde[153],[154],[155]. Celle-ci publie entre autres les mémoires de Michelle et Barack Obama[156],[157].

Arvato fut plus étroitement rattaché au groupe, notamment par le biais de changements au sein de la direction[158]. Depuis, les directeurs des différentes divisions (Solution Groups) dépendent directement des membres du conseil d’administration de Bertelsmann[159]. Pour l’activité Gestion de la relation client, on examina diverses options stratégiques et l’on opta en 2018 pour la création d’une entreprise dans ce secteur avec le Groupe Saham[160],[161]. La nouvelle entreprise, Majorel, compte parmi les acteurs les plus importants du marché en Europe, au Moyen-Orient et en Afrique[162].

La division Formation, en pleine croissance, fut renforcée par la reprise du prestataire nord-américain OnCourse Learning en 2018[163]. Celle-ci représenta l’une des plus importantes transactions du groupe sur le marché nord-américain[164]. L’entreprise propose des programmes de perfectionnement et des formations continues, sous forme numérique, pour des clients issus du secteur santé et financier[165]. S’engageant lui-même pour l’apprentissage tout au long de la vie, le groupe Bertelsmann attribua des dizaines de milliers de bourses Udacity en 2017 et 2019 pour permettre aux personnes talentueuses intéressées d’effectuer des formations dans le domaine des mégadonnées, de l’informatique en nuage et de l’intelligence artificielle entre autres[166],[167].

Bertelsmann encouragea un renforcement de la coopération entre les divisions du groupe et s’ouvrit à des collaborations avec d’autres entreprises médiatiques telles qu’Ad Alliance créée en 2017, dans laquelle le Mediengruppe RTL Deutschland et Gruner + Jahr mirent en commun la commercialisation de leurs espaces publicitaires[168],[169],[170]. Entre-temps, les distributeurs du Spiegel, d’Axel Springer et de Funke Mediengruppe se sont joints à Ad Alliance qui atteint plus de 99 pour cent de la population allemande[171],[172].

En 2019, Bertelsmann consolida également la coopération des activités à contenus allemandes en créant Content Alliance sous la direction de Julia Jäkel[173],[174]. Ceci concerne notamment les chaînes de télévision et les stations de radio du Mediengruppe RTL Deutschland, la société de production UFA, le groupe éditorial Random House, Gruner + Jahr ainsi que l’entreprise d’édition musicale BMG[175]. Bertelsmann Content Alliance développe des formats communs et propose une gamme complète de produits et de services pour les créateurs[176]. En décembre 2019, Pearson vend sa participation de 25 % dans Penguin Random House pour 675 millions de dollars à Bertelsmann[177]. En novembre 2020, Bertelsmann annonce l'acquisition de Simon & Schuster pour plus de 2 milliards de dollars[178].

2021 -

A partir de janvier 2021, Bertelsmann amorce des pourparlers pour la vente des activités françaises de sa filiale RTL Group[179]. La direction souhaite prendre le virage du changement de stratégie vis-à-vis des médias, notamment en intégrant davantage les plateformes streaming au détriment des chaînes de télévision traditionnelles, dans le but de consolider le secteur audiovisuel en Europe[180].

Structure du groupe

Forme juridique

De 1971 à 2012, Bertelsmann était une société anonyme de droit allemand[181]. Le groupe fut ensuite transformé en société en commandite par actions dont la commanditée est une societas europaea[182],[183]. Bertelsmann expliqua ce choix entre autres par la volonté de s’ouvrir à des investisseurs[184]. Ces derniers devaient surtout participer au financement de la croissance à venir[185]. Les médias qualifièrent ce changement de forme juridique de « changement d’époque »[186], car il permettait en principe aussi une introduction en bourse[187],[188]. Cette dernière ne fut finalement pas mise en œuvre[189],[190]. Bertelsmann est aujourd’hui une entreprise faisant appel public à l’épargne, laquelle émet par exemple des obligations[191]. Depuis 2011, le groupe dresse son bilan selon les normes internationales d'information financière (IFRS)[192].

Propriétaires

La nouvelle forme juridique ne change rien aux rapports de propriété de Bertelsmann[193]. Dès les années 1970 et 1980, la famille Mohn avait déjà mis en place la Fondation Bertelsmann qui possède la majorité des parts du capital de Bertelsmann depuis 1993[194],[195]. Ce faisant, des raisons fiscales jouèrent également un rôle[196],[197]. Ce chemin devait également servir à assurer la continuité de l’entreprise[198]. D’après le groupe, la famille Mohn possède aujourd’hui 19,1 % des parts du capital de Bertelsmann. Les fondations Bertelsmann, Reinhard Mohn et BVG arrivent ensemble à 80,9 %[199]. La société de gestion Bertelsmann Verwaltungsgesellschaft possède une influence décisive sur le groupe : elle rassemble tous les droits de vote de la famille Mohn et des fondations participantes. Ensemble, elles arrivent à 100 % dans les assemblées générales de la société du groupe (Bertelsmann SE & Co. KGaA) et de sa commanditée (Bertelsmann Management SE).

Direction

La direction de Bertelsmann SE & Co. KGaA revient à la société Bertelsmann Management SE. Le président-directeur général de Bertelsmann Management SE est Thomas Rabe[200],[201]. Le conseil d’administration inclut également Markus Dohle, Immanuel Hermreck, Bernd Hirsch et Anke Schäferkordt[202]. En 2012, Bertelsmann créa en plus le Group Management Committee, lequel donne son avis au conseil concernant des questions importantes[203]. Certains médias rapportèrent qu’un nombre relativement important de femmes furent nommées dans le Group Management Committee[204],[205]. Bertelsmann SE & Co. KGaA et Bertelsmann Management SE possèdent respectivement un conseil de surveillance qui contrôle la direction. En 2013, Christoph Mohn assuma la présidence des deux conseils de surveillance[206]. Parmi les membres de sa famille, Liz Mohn[207] et Brigitte Mohn font également partie des conseils de surveillance de ces deux sociétés[208].

Domaines d’activités

Bertelsmann est un groupe à l’organisation décentralisée[209]. Cela signifie que les différents secteurs d’activité travaillent de manière largement indépendante. La holding du groupe assume les tâches centrales, par exemple dans le domaine Corporate Finance[210]. En 2016, Bertelsmann introduisit une nouvelle structure et le groupe est donc aujourd’hui composé de huit domaines d’activité[211] : RTL Group (télévision et radio), Penguin Random House (livres), Gruner + Jahr (revues), BMG (droits musicaux), Arvato (prestations de service), Bertelsmann Education Group (enseignement), Bertelsmann Printing Group (impression) et Bertelsmann Investments (participations)[212].

RTL Group

Logo de RTL Group

RTL Group est une entreprise leader sur le marché européen du divertissement, laquelle est domiciliée au Luxembourg[213]. L’entreprise gère des chaînes de télévision et de radio privées et financées par la publicité dans différents pays[214], dont RTL et VOX en Allemagne[215]. Elle est également l'actionnaire de référence du groupe M6, un des principaux diffuseurs de télévision en France. En 2015, une unité séparée portant le nom de RTL Digital Hub fut créée pour les vidéos en ligne[216]. De plus, des sociétés de production telles que FremantleMedia font partie de RTL Group[217]. En , Bertelsmann fusionna l’UFA Film- und Fernsehgesellschaft avec la Compagnie Luxembourgeoise de Télédiffusion (CLT)[218]. La fusion de CLT-UFA avec Pearson TV en 2000 marque le début de RTL Group[219]. L’entreprise est cotée en bourse et est majoritairement détenue par Bertelsmann depuis 2001[220]. À la suite de la vente d’actions en 2013, ses parts s’élèvent à 75,1 %[221]. En 2018, les ventes du groupe RTL s'élèvent à 6,505 milliards d'euros[4].

Penguin Random House

Logo de Penguin Random House

Penguin Random House est la plus grande maison d’édition généraliste au monde concernant les livres[222]. L’entreprise fut fondée en 2013 par la fusion des branches du livre de Bertelsmann et Pearson[223]. Avec la reprise de Random House, le groupe devint dès 1998 la plus grande maison d’édition de livres dans le monde anglophone[224]. L’entreprise compte environ 250 maisons d’édition sur cinq continents, non seulement Random House et Penguin Books mais aussi Doubleday, Knopf ou Viking[225]. Le groupe éditorial allemand Random House domicilié à Munich ne fait pas partie de Penguin Random House[226], mais appartient au même domaine d’activité chez Bertelsmann[227]. Le siège social de Penguin Random House est située dans la Penguin Random House Tower à New York[228]. Bertelsmann possède actuellement 53 % de la société[229]. En 2018, la société a réalisé un chiffre d'affaires de 3,424 milliards d'euros[4].

Gruner + Jahr

Logo de Gruner + Jahr

Gruner + Jahr est un éditeur international de revues dont le siège est à Hambourg. Ses publications incluent par exemple Brigitte, Geo ou Stern et l’entreprise détient également une participation majoritaire à la société Motor Presse Stuttgart[230]. En 2015, Gruner + Jahr était présent dans plus de 20 pays[231]. Les activités commerciales aux États-Unis furent entretemps revendues[232], et si l’on considère le chiffre d’affaires, l’Allemagne et la France sont aujourd’hui les marchés les plus importants[233]. Bertelsmann possède des parts de Gruner + Jahr depuis 1969[234]. Le groupe acheta progressivement des parts de Richard Gruner, Gerd Bucerius et John Jahr[235]. En 1976, Bertelsmann détenait 74,9 % de Gruner + Jahr[236]. Bertelsmann reprit entièrement l’entreprise en 2014[138],[237]. En 2018, le chiffre d’affaires de Gruner + Jahr s'élevait au total à 1,440 milliard d’euros[4].

BMG

Logo de BMG

BMG est un éditeur de musique dont le siège est à Berlin. Le catalogue de BMG inclut par exemple les droits d’auteurs pour des œuvres de Céline Dion, Jennifer Lopez, Ronan Keating et Britney Spears[238]. L’entreprise fut fondée en 2008 à la suite de la sortie du groupe du marché musical[239],[240]. Après la vente de Sony BMG, Bertelsmann conserva ses droits concernant 200 artistes, principalement européens[241]. En 2009, Kohlberg Kravis Roberts & Co. acheta des parts de BMG et détint ainsi une participation majoritaire de 51 % tandis que les parts de Bertelsmann s’élevaient à 49 %[242],[243]. Depuis 2013, BMG appartient de nouveau entièrement à Bertelsmann[244]. BMG se transforma en domaine d’activité de Bertelsmann en 2016[245]. Les ventes s'élèvent à 545 millions d'euros[4].

Arvato

Logo de Arvato

Arvato est une entreprise de prestations de services internationale. Dans sa forme actuelle, l’entreprise fut fondée en 1999[246]. À l’époque, les secteurs Impression et Industrie de Bertelsmann furent restructurés. Cette opération donna plus de poids aux prestations de services par rapport aux secteurs Impression et Industrie de l’époque[247],[248]. Dès les années 1950, Bertelsmann faisait déjà partie des entreprises de prestations de services[249], par exemple en assumant la livraison de livres pour d’autres maisons d’édition[250]. Aujourd’hui encore, le domaine d'activité Vereinigte Verlagsauslieferung (VVA) est détenu par Arvato[251]. En outre, Arvato réalise désormais des prestations de services dans les secteurs suivants : Customer-Relationship-Management (CRM), Supply-Chain-Management (SCM), finances et technologies de l'information[252],[253]. Le siège social d’Arvato est situé à Gütersloh. L'entreprise possède aussi des succursales dans 22 pays dont la Chine et les États-Unis[254]. En 2018, Arvato et un chiffre d’affaires s’élevait à 4,100 milliards d’euros[4].

Bertelsmann Printing Group

Logo de Bertelsmann Printing Group

En 2016, le groupe rassembla ses activités d’impression numérique, offset et en taille douce au sein du Bertelsmann Printing Group[255]. Il s’agit du plus grand représentant du secteur en Europe[256]. Le siège du groupe de sociétés est situé à Gütersloh[257]. Le Bertelsmann Printing Group inclut GGP Media, Mohn Media, Prinovis, Sonopress, Vogel Druck et quelques autres entreprises mais aussi la société Be Printers[258],[259]. Be Printers est une succursale d’Arvato, qui fut fondée en 2012 afin de consolider les activités du groupe dans le secteur de l’impression[260]. En raison des tirages en baisse, cette activité était soumise à une forte pression depuis des années[261]. Durant l’exercice 2018, Bertelsmann Printing Group atteint un chiffre d’affaires de 1,639 milliard d’euros[4].

Bertelsmann Education Group

Logo de Bertelsmann Education Group

Le Bertelsmann Education Group est le groupe d’entreprises de Bertelsmann consacré à l’enseignement[262]. Il fut fondé en 2015 et son siège est situé à New York[263]. Il inclut par exemple l’Alliant International University en Californie ainsi que Relias Learning[264]. Le rachat de Relias Learning en 2014 fut à l’origine du Bertelsmann Education Group et constituait la plus grande reprise de Bertelsmann depuis l’acquisition de Random House[265]. En 2018, le Bertelsmann Education Group a réalisé un chiffre d'affaires de 258 millions d'euros[4].

Bertelsmann Investments

Logo de Bertelsmann Investments

Ce domaine d’activité regroupe les participations de Bertelsmann dans des start-ups. L’essentiel des activités se concentre au Brésil, en Chine et en Inde ainsi qu’aux États-Unis et en Europe[4]. Bertelsmann Digital Media Investments est domicilié à Gütersloh et se focalise surtout sur les États-Unis depuis 2014[266],[267]. Avec Bertelsmann Asia Investments, Bertelsmann Brazil Investments et Bertelsmann India Investments, il existe trois autres fonds qui œuvrent dans les régions de croissance définies par le groupe[4]. Bertelsmann Investments possède des parts dans plus de 100 start-ups, lesquelles sont principalement actives dans l’économie numérique[268].

Sites

Siège du groupe à Gütersloh (2011)

Depuis les années 1970, le siège de Bertelsmann est situé dans le quartier d’Avenwedde à Gütersloh et il s’étend sur une superficie de 26 100 m2. Les immeubles de bureaux furent construits en 1976 puis agrandis en 1990[269]. En plus des organisations habituelles, le siège de Gütersloh accueille la Bertelsmann University, une école supérieure spécialisée pour les dirigeants du groupe[270]. En 1992, Bertelsmann racheta le Bertelsmann Building à New York et y installa son siège pour l’Amérique du Nord[271]. Le bâtiment fut revendu en 2004[272]. La représentation commerciale à Berlin fut ouverte en 2003 dans le bâtiment de l’Alte Kommandantur situé dans le cœur historique de la ville[273]. Dans le cadre de l’internationalisation, d’autres Corporate Centers furent ouverts par Bertelsmann à Pékin (2006), New-Delhi (2012) et São Paulo (2012)[274].

Avec tous ses domaines d’activité, Bertelsmann compte presque 350 lieux d’implantation dans le monde entier[275]. La majorité se trouve en Europe où le groupe réalise la plus grande partie de son chiffre d’affaires[276]. Durant les dernières années, le groupe accorda une attention particulière aux nouveaux pays industrialisés que sont le Brésil, la Chine et l’Inde[277],[278]. Au Brésil, le groupe développe surtout ses activités liées à l’enseignement[279],[280]. Bertelsmann est présent en Chine depuis 1992 et tous ses domaines d’activités y sont aujourd’hui représentés[281],[282]. En Inde, le groupe mise entre autres sur la croissance du secteur du commerce en ligne[283],[284].

Critiques

Durant les années 1990, des questions et des critiques furent formulées quant au rôle du groupe durant le Troisième Reich[285]. L’élément déclencheur fut un discours du président-directeur général Thomas Middelhoff qu’il tint en 1998 à New York alors qu’il était récompensé par le Vernon A. Walters Award[286]. Thomas Middelhoff présenta Bertelsmann comme étant l’une des rares entreprises de médias non-juives à avoir été fermées par les nationaux-socialistes pour avoir publié de la littérature subversive[287]. Cet avis fut par exemple sévèrement critiqué par le journaliste Hersch Fischler[288],[289]. Ce discours donna lieu à un large débat public et conduit fin 2008 à la création par le groupe d’une commission historique indépendante (Unabhängige Historische Kommission ou UHK)[290]. Cette dernière fut dirigée par Saul Friedländer tandis que Norbert Frei, Trutz Rendtorff et Reinhard Wittmann en étaient membres. L’UHK présenta un rapport intermédiaire en 2000 et son rapport final en 2002[291]. Ce dernier établit par exemple qu’il était incontestablement inexact d’affirmer que la maison d’édition C. Bertelsmann Verlag ait résisté au national-socialisme[292],[293],[294]. La thèse de la « fermeture en tant que maison d’édition de la Résistance » ne put pas être étayée[295]. L’historien Volker Ullrich déclara dans l’hebdomadaire Die Zeit qu’il ne restait rien de la « prétendue maison d’édition de la Résistance »[296]. Depuis 2003, les dossiers de l’UHK sont accessibles au public dans les archives du groupe à Gütersloh[297].

Bertelsmann attira également l’attention du public en raison des critiques à l’encontre de la Fondation Bertelsmann[298]. Il lui fut reproché de pratiquer une ingérence politique ainsi que de mélanger des intérêts généraux et privés[299],[300]. Le journaliste Thomas Schuler publia un livre à ce sujet en 2010[301],[302].

Notes et références

  1. (de) « Bertelsmann erinnert sich », Neue Westfälische, , p. 11
  2. (en) Henry Mance, Jeevan Vasagar, « Thomas Rabe, Bertelsmann CEO: From Punk Rock to Family Values », sur Financial Times, (consulté le )
  3. (de) Christian Müssgens, « Ein Familienwächter für Bertelsmann », sur Frankfurter Allgemeine Zeitung, (consulté le )
  4. (en) Bertelsmann, « Annual Report 2018 » [PDF] (consulté le )
  5. (de) Marco Saal, « Die größten Medienkonzerne: Facebook springt unter die Top 10 weltweit », sur Horizont, (consulté le )
  6. (de) Stephan Grimm, « Bertelsmann druckt erstes Buch », Neue Westfälische,
  7. (de) Thorsten Gödecker, « Geschichte mit Zukunft », Neue Westfälische,
  8. (de) Kai-Hinrich Renner, « Bertelsmann sortiert sich neu », Handelsblatt, , p. 24
  9. (de) « Finanzierungsstrategie », Bertelsmann (consulté le )
  10. (de) « Kapitalmarktorientierung », Bertelsmann (consulté le )
  11. « Une affaire de famille: Bertelsmann et les Mohn », sur La Libre, (consulté le )
  12. (de) « Medienmonarchie aus Gütersloh », sur Handelsblatt, (consulté le )
  13. (de) « Es bleibt in der Familie », Wiener Zeitung, , p. 19
  14. (de) Catrin Bialek, « Beschwörung bei Bertelsmann », sur Handelsblatt, (consulté le )
  15. (de) 175 Jahre Bertelsmann : Eine Zukunftsgeschichte, Munich, C. Bertelsmann Verlag, 2010978-3-570-10175-9, p. 12
  16. (de) « Singen zu Gottes Ehre und eigener Freude », Westfalen-Blatt,
  17. (de) Thomas Lehning, Das Medienhaus : Geschichte und Gegenwart des Bertelsmann-Konzerns, Paderborn, München, Wilhelm Fink Verlag, 20043-7705-4035-2, p. 27
  18. (de) Norbert Frei, Saul Friedländer, Trutz Rendtorff et Reinhard Wittmann, Bertelsmann im Dritten Reich, Munich, Bertelsmann, 20023-570-00711-1, p. 157
  19. (de) Thomas Lehning, Das Medienhaus : Geschichte und Gegenwart des Bertelsmann-Konzerns, Paderborn, München, Wilhelm Fink Verlag, 20043-7705-4035-2, p. 28
  20. (de) Norbert Frei, Saul Friedländer, Trutz Rendtorff et Reinhard Wittmann, Bertelsmann im Dritten Reich, Munich, Bertelsmann, 20023-570-00711-1, p. 347
  21. (de) « Bertelsmann größter NS-Lieferant », Saarbrücker Zeitung,
  22. (de) Norbert Frei, Saul Friedländer, Trutz Rendtorff et Reinhard Wittmann, Bertelsmann im Dritten Reich, Munich, Bertelsmann, 20023-570-00711-1, p. 423
  23. (de) Thomas Lehning, Das Medienhaus : Geschichte und Gegenwart des Bertelsmann-Konzerns, Paderborn, München, Wilhelm Fink Verlag, 20043-7705-4035-2, p. 30
  24. (de) « Bertelsmann im NS-Staat : Kommission legt Abschlussbericht vor », Neue Zürcher Zeitung, , p. 54
  25. (de) « Literaturnobelpreis am Donnerstag », Der Standard, , p. 26
  26. (de) Norbert Frei, Saul Friedländer, Trutz Rendtorff et Reinhard Wittmann, Bertelsmann im Dritten Reich, Munich, Bertelsmann, 20023-570-00711-1, p. 503–503
  27. (de) « Bücher im Dienst der Kriegspropaganda : Eine Historiker-Kommission bescheinigt Bertelsmann enge Verstrickungen mit den Nationalsozialisten », Berliner Zeitung, , p. 14
  28. (de) « Bertelsmann-Chef zeigt Reue : Medienkonzern in der Nazi-Zeit größter Buchproduzent der Wehrmacht », Handelsblatt, , p. 18
  29. (de) Thomas Schuler, « Die Gabe des Vergessens : Der Bertelsmann-Chef legt sein viertes und persönlichstes Buch vor », Neue Zürcher Zeitung, , p. 63
  30. (de) 175 Jahre Bertelsmann : Eine Zukunftsgeschichte, Munich, C. Bertelsmann Verlag, 2010978-3-570-10175-9, p. 22
  31. « Reinhard Mohn, refondateur de Bertelsmann, philosophe de l'entreprise », sur L'Écho, (consulté le )
  32. (de) Thomas Lehning, Das Medienhaus : Geschichte und Gegenwart des Bertelsmann-Konzerns, Paderborn, München, Wilhelm Fink Verlag, 20043-7705-4035-2, p. 33
  33. (de) Thomas Lehning, Das Medienhaus : Geschichte und Gegenwart des Bertelsmann-Konzerns, Paderborn, München, Wilhelm Fink Verlag, 20043-7705-4035-2, p. 34
  34. (de) 175 Jahre Bertelsmann : Eine Zukunftsgeschichte, Munich, C. Bertelsmann Verlag, 2010978-3-570-10175-9, p. 135
  35. (de) Günther Bähr, « Das allerletzte Kapitel », Focus, , p. 96–97
  36. (de) Erich Reimann, « Letztes Kapitel vor Gericht : Bertelsmann Buchclub soll abgewickelt werden, Vertriebspartner haben etwas dagegen », Wiesbadener Kurier,
  37. (de) Volker Ackermann, Torsten Groth, Markus Plate, Arist von Schlippe, Große deutsche Familienunternehmen : Generationenfolge, Familienstrategie und Unternehmensentwicklung, Gœttingue, Vandenhoeck & Ruprecht, 2011978-3-525-40338-9, p. 82
  38. (de) Thomas Lehning, Das Medienhaus : Geschichte und Gegenwart des Bertelsmann-Konzerns, Paderborn, München, Wilhelm Fink Verlag, 20043-7705-4035-2, p. 87
  39. (de) « Bertelsmann wird heute 175 Jahre alt : 1950–1960 », Westfalen-Blatt,
  40. (de) « Superstar und Freund der Mohns », Neue Westfälische, , p. 3
  41. (de) Jan Philip Holtman, Pfadabhängigkeit strategischer Entscheidungen : Eine Fallstudie am Beispiel des Bertelsmann-Buchclubs Deutschland, Cologne, Kölner Wissenschaftsverlag, 20083-937404-57-0 (lire en ligne), p. 126
  42. (de) « Die UFA gibt die Filmproduktion auf – aber nicht für immer », Handelsblatt, , p. 7
  43. (de) « UFA: Klappe zu », Der Spiegel, (lire en ligne)
  44. (de) « Bertelsmann wird heute 175 Jahre alt : 1960–1970 », Westfalen-Blatt,
  45. (de) « Verlage: Freundlicher Moloch », Der Spiegel, (lire en ligne)
  46. (de) 175 Jahre Bertelsmann : Eine Zukunftsgeschichte, Munich, C. Bertelsmann Verlag, 2010978-3-570-10175-9, p. 36
  47. (de) 175 Jahre Bertelsmann : Eine Zukunftsgeschichte, Munich, C. Bertelsmann Verlag, 2010978-3-570-10175-9, p. 37
  48. (de) Thomas Lehning, Das Medienhaus : Geschichte und Gegenwart des Bertelsmann-Konzerns, Paderborn, München, Wilhelm Fink Verlag, 20043-7705-4035-2, p. 88
  49. (de) Thomas Lehning, Das Medienhaus : Geschichte und Gegenwart des Bertelsmann-Konzerns, Paderborn, München, Wilhelm Fink Verlag, 20043-7705-4035-2, p. 91
  50. (de) « Gütersloher Zentrale in neuem Gebäude », Bertelsmann (consulté le )
  51. (de) 175 Jahre Bertelsmann : Eine Zukunftsgeschichte, Munich, C. Bertelsmann Verlag, 2010978-3-570-10175-9, p. 43
  52. (de) 175 Jahre Bertelsmann : Eine Zukunftsgeschichte, Munich, C. Bertelsmann Verlag, 2010978-3-570-10175-9, p. 40
  53. (de) Thomas Lehning, Das Medienhaus : Geschichte und Gegenwart des Bertelsmann-Konzerns, Paderborn, München, Wilhelm Fink Verlag, 20043-7705-4035-2, p. 56
  54. (de) Thomas Lehning, Das Medienhaus : Geschichte und Gegenwart des Bertelsmann-Konzerns, Paderborn, München, Wilhelm Fink Verlag, 20043-7705-4035-2, p. 57
  55. (de) Christine Hierl, Medienkonzentration und die Internationalisierung deutscher Medienkonzerne am Beispiel der Bertelsmann AG, Munich, Grin Verlag978-3-638-60658-5,
  56. (de) Reinhard Mohn, Erfolg durch Menschlichkeit und Freiheit, Munich, C. Bertelsmann Verlag, 2008978-3-570-01110-2
  57. (de) 175 Jahre Bertelsmann : Eine Zukunftsgeschichte, Munich, C. Bertelsmann Verlag, 2010978-3-570-10175-9, p. 44–45
  58. (de) « Top-Manager Manfred Fischer ist tot », sur Manager Magazin, (consulté le )
  59. (de) Heinz-Günter Kemmer, « Rückzug an die Spitze », sur Die Zeit, (consulté le )
  60. (de) « Verlage: Im Zweifel selbst », Der Spiegel, (lire en ligne)
  61. (de) « Bertelsmann: Die Kehrseite », Der Spiegel, (lire en ligne)
  62. (de) Gunhild Freese, Richard Gaul, « Kopflos in die Krise », sur Die Zeit, (consulté le )
  63. (de) Jean-Marc Göttert, Die Bertelsmann Methode : Die 10 Erfolgsgeheimnisse des vielseitigsten Medienunternehmens der Welt, Munich, Redline, 2013978-3-86414-393-9, p. 85
  64. (de) Thomas Lehning, Das Medienhaus : Geschichte und Gegenwart des Bertelsmann-Konzerns, Paderborn, München, Wilhelm Fink Verlag, 20043-7705-4035-2, p. 109
  65. (de) 175 Jahre Bertelsmann : Eine Zukunftsgeschichte, Munich, C. Bertelsmann Verlag, 2010978-3-570-10175-9, p. 46
  66. (de) « Bertelsmann wird heute 175 Jahre alt : 1980–1990 », Westfalen-Blatt,
  67. (de) 175 Jahre Bertelsmann : Eine Zukunftsgeschichte, Munich, C. Bertelsmann Verlag, 2010978-3-570-10175-9, p. 48
  68. (de) « Ariola & Co. », Westfalen-Blatt,
  69. (de) Ludger Osterkamp, « Sonopress kehrt zu seinem Namen zurück : Bei den Mitarbeitern und den Kunden hieß die Firma ohnehin nie anders », sur Neue Westfälische, (consulté le )
  70. (de) « Chronik: Das rasante Wachstum des Bertelsmann-Verlags », sur Spiegel Online, (consulté le )
  71. (de) « Bertelsmann : Geschichte und Profil », Institut für Medien- und Kommunikationspolitik (consulté le )
  72. (de) 175 Jahre Bertelsmann : Eine Zukunftsgeschichte, Munich, C. Bertelsmann Verlag, 2010978-3-570-10175-9, p. 53
  73. (de) « Im Osten viel Neues », Bertelsmann (consulté le )
  74. (de) 175 Jahre Bertelsmann : Eine Zukunftsgeschichte, Munich, C. Bertelsmann Verlag, 2010978-3-570-10175-9, p. 55
  75. (de) 175 Jahre Bertelsmann : Eine Zukunftsgeschichte, Munich, C. Bertelsmann Verlag, 2010978-3-570-10175-9, p. 54
  76. (de) « Bertelsmann wird heute 175 Jahre alt : 1990–2000 », Westfalen-Blatt,
  77. (de) Jean-Marc Göttert, « Die reichsten Deutschen: Der asketische Revolutionär », sur Spiegel Online, (consulté le )
  78. (de) Thomas Lehning, Das Medienhaus : Geschichte und Gegenwart des Bertelsmann-Konzerns, Paderborn, München, Wilhelm Fink Verlag, 20043-7705-4035-2, p. 274
  79. (de) Andreas Donath, « Bertelsmann: Kein Groll wegen Time Warner + AOL », sur Golem, (consulté le )
  80. (de) Ingrid Scheithauer, « Die gesamte Wertschöpfungskette besetzen : Thomas Middelhoff sieht Bertelsmann im Multimedia-Geschäft gut gerüstet », Frankfurter Rundschau, , p. 11
  81. (de) « Fernsehen: Teuflisch intelligent », Der Spiegel, (lire en ligne)
  82. Martine Esquirou, « Fusion entre Audiofina (CLT) et UFA (Bertelsmann) », sur Libération, (consulté le )
  83. (de) Gunhild Freese, « Die Weichen für das TV-Geschäft der Zukunft sind gestellt », Die Zeit,
  84. (de) « Bertelsmann: Neue Chefs », Der Spiegel, (lire en ligne)
  85. (de) « Bertelsmann will mit Multimedia Milliarden umsetzen : Umsatz soll im Jahr 2000 mehr als zwei Milliarden Mark betragen », sur Die Welt, (consulté le )
  86. (de) « Personalien: Wachwechsel bei Bertelsmann », Börsen-Zeitung, , p. 15
  87. (de) Oliver Herrgesell, « Bertelsmann kauft die US-Verlagsgruppe Random House », (consulté le )
  88. « Bertelsmann prend le contrôle de l'éditeur Random House », sur L'Écho, (consulté le )
  89. (de) Florian Rötzer, « Bertelsmann kauft Random House », sur Heise Online, (consulté le )
  90. (de) 175 Jahre Bertelsmann : Eine Zukunftsgeschichte, Munich, C. Bertelsmann Verlag, 2010978-3-570-10175-9, p. 58
  91. (de) Thomas Lehning, Das Medienhaus : Geschichte und Gegenwart des Bertelsmann-Konzerns, Paderborn, München, Wilhelm Fink Verlag, 20043-7705-4035-2, p. 121
  92. « Bertelsmann louche vers Springer », sur Libération, (consulté le )
  93. (de) « Bertelsmann erwirbt Wissenschaftsverlag », Sächsische Zeitung, , p. 20
  94. (de) « Bertelsmann kauft Springer-Wissenschaftsverlag », Der Tagesspiegel, , p. 22
  95. Nicole Penicaut, « Bertelsmann quitte AOL Europe : Vivendi, majoritaire dans AOL France, pourrait lui succéder. », sur Libération, (consulté le )
  96. (de) Maris Hubschmid, « Der tiefe Fall des Thomas Middelhoff », sur Der Tagesspiegel, (consulté le )
  97. (de) « Bertelsmann wird führender TV-Sender », Süddeutsche Zeitung, , p. 25
  98. (de) 175 Jahre Bertelsmann : Eine Zukunftsgeschichte, Munich, C. Bertelsmann Verlag, 2010978-3-570-10175-9, p. 57
  99. (de) « GBL durch Aktientausch neuer Bertelsmann Gesellschafter », sur Buchmarkt, (consulté le )
  100. (de) Ludger Fertmann, « Middelhoff schwört Führung aufs Internet ein », Die Welt, , p. 25
  101. (de) « Klage fallen gelassen: Bertelsmann kauft sich bei Napster ein », sur Spiegel Online, (consulté le )
  102. (de) Goetz Hamann, « Napster ist geschnappt : Bertelsmann kauft die Musiktauschbörse – und sich einen Vertriebskanal », (consulté le )
  103. (de) « Napster: Das letzte Gericht », sur faz.net, (consulté le )
  104. (de) 175 Jahre Bertelsmann : Eine Zukunftsgeschichte, Munich, C. Bertelsmann Verlag, 2010978-3-570-10175-9, p. 66
  105. Tim Gerber, « Napster: Bertelsmann rassuré en Allemagne », sur Libération, (consulté le )
  106. (de) « Streit um Napster belastet Netto-Gewinn », sur faz.net, (consulté le )
  107. (de) « Bertelsmann muss an die Börse », sur Spiegel Online, (consulté le )
  108. (de) 175 Jahre Bertelsmann : Eine Zukunftsgeschichte, Munich, C. Bertelsmann Verlag, 2010978-3-570-10175-9, p. 68
  109. (de) « Bertelsmann-Chef muss gehen », Handelsblatt, , p. 1
  110. (de) « Bertelsmann: Sieg der alten Garde », sur Spiegel Online, (consulté le )
  111. (de) Thomas Schulz, Thomas Tuma, « Konzerne: Westfälischer Unfrieden », Der Spiegel, (lire en ligne)
  112. (de) « Thielen zieht die Bremse », sur Manager Magazin, (consulté le )
  113. (de) « Bertelsmann wird heute 175 Jahre alt : 2000–2009 », Westfalen-Blatt,
  114. (de) 175 Jahre Bertelsmann : Eine Zukunftsgeschichte, Munich, C. Bertelsmann Verlag, 2010978-3-570-10175-9, p. 72
  115. (de) Alexandra Knape, « Berliner Verlag wird verkauft », sur Manager Magazin, (consulté le )
  116. (de) « Bertelsmann verkauft Bertelsmann-Springer an Cinven und Candover », (consulté le )
  117. (de) Boi Feddern, « Bertelsmann und Sony planen gemeinsames Musikunternehmen », sur Heise Online, (consulté le )
  118. (de) Arndt Ohler, Birgit Jennen, « Krise zwingt BMG in Ehe mit Sony », Financial Times Deutschland, , p. 1
  119. (de) Ralf Niemczyk, « Sony BMG: Schrumpfkur in den Aufschwung », Tagesanzeiger, , p. 53
  120. « Rachat par Bertelsmann des parts de GBLdans son capital, pour éviter la cotation », sur Challenges, (consulté le )
  121. « Le groupe Bertelsmann rachète au prix fort la participation de GBL », sur Les Échos, (consulté le )
  122. (de) « Musikverlag BMG geht an Vivendi », Wiener Zeitung, , p. 26
  123. (de) « Bertelsmann treibt Schuldenabbau voran », Handelsblatt, , p. 18
  124. (de) 175 Jahre Bertelsmann : Eine Zukunftsgeschichte, Munich, C. Bertelsmann Verlag, 2010978-3-570-10175-9, p. 75
  125. « L’enfer du miracle allemand », Le Monde diplomatique, (lire en ligne, consulté le )
  126. (de) « Neuer Bertelsmannchef Ostrowski: Mehr Innovation, mehr Wachstum, keine Internetprojekte », sur Spiegel Online, (consulté le )
  127. (de) Hans-Peter Siebenhaar, « Ostrowski als gehemmter Wachstumstreiber », sur Handelsblatt, (consulté le )
  128. (de) Hans-Peter Siebenhaar, « Bertelsmann macht Musik aus », Handelsblatt, , p. 14
  129. « L'allemand Bertelsmann cède sa part de Sony BMG », sur Le Monde, (consulté le )
  130. (de) Rudolf Walther, « Keine zweite Wikipedia », sur taz.de, (consulté le )
  131. (de) « Bertelsmann-Tochter kauft Brockhaus », sur Manager Magazin, (consulté le )
  132. (de) Juliane Paperlein, « Überraschender Wechsel: Finanzchef Rabe beerbt Ostrowski bei Bertelsmann », sur horizont.net, (consulté le )
  133. (de) Klaus Boldt, « Größter Medienkonzern Europas: Bertelsmann-Chef Ostrowski geht », sur Spiegel Online, (consulté le )
  134. (de) « Finanzvorstand Rabe löst Konzernchef Ostrowski ab », sur Süddeutsche Zeitung, (consulté le )
  135. (de) « Bertelsmann muss sich bei RTL bescheiden : Medienkonzern winken 1,4 Mrd. Euro Erlös », Börsen-Zeitung, , p. 9
  136. (de) « Bertelsmann nimmt 1,4 Milliarden Euro ein », sur Handelsblatt, (consulté le )
  137. Alexandre Debouté, « Le nouveau géant Penguin Random House veut défier Amazon », sur Le Figaro, (consulté le )
  138. (de) « Medienkonzern: Bertelsmann übernimmt Gruner + Jahr komplett », sur Die Zeit, (consulté le )
  139. « Bertelsmann contrôle totalement Gruner + Jahr », sur Le Figaro, (consulté le )
  140. (de) « Bertelsmann: Bildung als dritte Geschäftssäule », sur Handelsblatt, (consulté le )
  141. Cécile Boutelet, « Bertelsmann mise sur la formation sur Internet », sur Le Monde, (consulté le )
  142. « Bertelsmann se renforce dans l'éducation avec une acquisition aux Etats-Unis », (consulté le )
  143. (de) « Bertelsmann Education Group bündelt Bildungsgeschäfte », sur boersenblatt.net, (consulté le )
  144. (de) « Bis Ende 2015: Bertelsmann schließt seinen Buchclub », sur faz.net, (consulté le )
  145. Clément Solym, « Le Club de lecture de Bertelsmann, historique et dépassé », sur ActuaLitté, (consulté le )
  146. (de) Manfred Schneider, « Vergessen, was man nicht wissen muss – über das Ende der Buchklubs », Neue Zürcher Zeitung, , p. 19
  147. (de) « Klage gegen Aus für Bertelsmann-Buchclub », sur Handelsblatt, (consulté le )
  148. (de) « 1,7 Mrd. Euro Umsatz und 9.000 Beschäftigte: Bertelsmann schafft größte Druckerei-Gruppe », sur Meedia, (consulté le )
  149. Julie Torterolo, « Bertelsmann fusionne toutes ses filiales d'imprimerie », sur ActuaLitté, (consulté le )
  150. (de) « Neue Geschäfte, höhere Ziele: Bertelsmann stellt sich breiter auf », sur Der Tagesspiegel, (consulté le )
  151. (de) « Bertelsmann könnte Anteil an Penguin/Random House ausweiten », sur derwesten.de, (consulté le )
  152. (de) « Bertelsmann stockt bei Penguin Random House auf », sur derstandard.at, (consulté le )
  153. (de) « Pearson trennt sich von Penguin Random House: Bertelsmann will riesigen Buchkonzern komplett », sur handelsblatt.com, (consulté le )
  154. (de) Catrin Bialek, « Bertelsmann kauft bei Random zu: Schlüsselposition für Gütersloher », sur wiwo.de, (consulté le )
  155. (de) Annette Becker, « Expansion teuer erkauft », Börsen-Zeitung, , p. 6
  156. (de) « Verlag zahlt Rekordpreis für Obama-Memoiren », sur spiegel.de, (consulté le )
  157. (en) Stephanie Merry, « Michelle Obama's 'Becoming' could become the best-selling memoir ever », sur washingtonpost.com, (consulté le )
  158. (de) « Arvato-Chef Carro verlässt Bertelsmann », sur waz.de, (consulté le )
  159. (de) Hans-Peter Siebenhaar, « Gütersloher Ränkespiele », sur handelsblatt.com, (consulté le )
  160. (de) « CRM-Geschäft: Bertelsmann erwägt Verkauf von Arvato-Teilen », sur handelsblatt.com, (consulté le )
  161. (de) « Neuer CRM-Riese mit enormer Schlagkraft: Bertelsmann und Saham verschmelzen CRM-Geschäfte zu Majorel », sur absatzwirtschaft.de, (consulté le )
  162. (de) « Bertelsmanns Call-Center-Geschäft investiert in globales Wachstum », sur reuters.com, (consulté le )
  163. (de) « Bertelsmann übernimmt OnCourse Learning », sur buchreport.de, (consulté le )
  164. (de) Annette Becker, « Bertelsmann baut Bildungsgeschäft aus », Börsen-Zeitung, , p. 10
  165. (de) « Bertelsmann kauft US-Bildungsanbieter OnCourse Learning », sur sueddeutsche.de, (consulté le )
  166. (de) Vera Bauer, « Udacity: Google und Bertelsmann finanzieren 75.000 Stipendien », sur mobilegeeks.de, (consulté le )
  167. (de) Annette Mattgey, « Bertelsmann spendiert 50.000 Udacity-Stipendien », sur wuv.de, (consulté le )
  168. (de) Annette Becker, « Bertelsmann setzt auf stärkere Kooperation der Segmente », Börsen-Zeitung, , p. 11
  169. (de) Steffen Klusmann, Thomas Schulz, « „Allein schaufeln wir nur unser eigenes Grab“ », Der Spiegel, , p. 78
  170. (de) « RTL und Gruner + Jahr bündeln Vermarktung », Neue Westfälische, , p. 6
  171. (de) Gregory Lipinski, « Ausbau der AdAlliance: Bertelsmann holt Axel Springer und Funke an Bord », sur meedia.de, (consulté le )
  172. (de) Jürgen Scharrer, « Digitalvermarktung: Was hinter der Partnerschaft von Ad Alliance und Media Impact steckt », sur horizont.net, (consulté le )
  173. (de) Carsten Germis, « Medienkonzern: Bertelsmann bündelt sein Geschäft in Kreativ-Allianz », sur faz.net, (consulté le )
  174. (de) « Content Alliance: Bertelsmann vernetzt Inhalte-Produktion im Konzern unter Leitung von G+J-Chefin Julia Jäkel », sur meedia.de, (consulté le )
  175. (de) « Bertelsmann will Medientöchter als „Content Alliance“ bündeln », sur handelsblatt.com, (consulté le )
  176. (de) « Bertelsmann startet Content Alliance in Deutschland / Gemeinsame Formate im Fokus », sur boersenblatt.net, (consulté le )
  177. Paul Sandle, « Pearson closes chapter with Penguin Random House sale », sur Reuters,
  178. « Bertelsmann to acquire Simon & Schuster for more than $2 billion: source », sur Reuters,
  179. « Bertelsmann prêt à céder le groupe M6 ? », sur CB News (consulté le )
  180. « En cédant M6 et RTL, Bertelsmann est prêt à se retirer du marché français », Le Monde.fr, (lire en ligne, consulté le )
  181. (de) Martin Krause, « Bertelsmann sucht Strategie », Neue Westfälische,
  182. (de) « Neue Rechtsform von Bertelsmann jetzt amtlich », Börsen-Zeitung, , p. 11
  183. Clément Solym, « Numérique et mondiale : la décennie à venir pour Bertelsmann », sur ActuaLitté, (consulté le )
  184. (de) « Bertelsmann lockt neue Investoren », Kölner Stadt-Anzeiger,
  185. (de) Stephan Rechlin, « Liz Mohn lässt Fremdkapital zu », Westfalen-Blatt,
  186. (de) « Zeitenwende bei Medienriese Bertelsmann », Sächsische Zeitung, , p. 24
  187. (de) Ileana Grabitz, « Bertelsmann liebäugelt mit der Börse : Einfluß der Familie Mohn soll bleiben », Die Welt, , p. 12
  188. (de) « Bertelsmann öffnet sich für Börsengang », Frankfurter Rundschau, , p. 37
  189. (de) Oliver Horst, « Bertelsmann bleibt Börse fern : Familie favorisiert andere Finanzierungswege », Westfalen-Blatt,
  190. (de) Caspar Busse, « Bertelsmann sagt Börsengang ab : Stattdessen sollen nun RTL-Aktien verkauft werden », Süddeutsche Zeitung, , p. 21
  191. (de) « Anleihen vierfach überzeichnet: Bertelsmann holt sich bei Investoren Geld », sur n-tv, (consulté le )
  192. (de) « Kapitalmarktorientierung », Bertelsmann (consulté le )
  193. (de) Bernhard Hertlein, « Bereit zu großen Übernahmen », Westfalen-Blatt,
  194. (de) Ralph Gerstenberg, « Nur im eigenen Interesse », sur Deutschlandfunk, (consulté le )
  195. (de) « Bertelsmann-Gruppe: Rezension bei Printmedien und Fernsehbeteiligungen », Handelsblatt, , p. 23
  196. (de) « Von der Welt lernen: Warum Reinhard Mohn die Bertelsmann Stiftung gründete », Fondation Bertelsmann (consulté le )
  197. (de) Thomas Schuler, « Die Methode Bertelsmann: Eine Stiftung regiert das Land », sur Die Tageszeitung, (consulté le )
  198. (de) « Bertelsmann bewahrt Tradition », sur n-tv, (consulté le )
  199. (de) « Aktionärsstruktur », Bertelsmann (consulté le )
  200. (de) « Spitzenwechsel – Thomas Rabe neuer Bertelsmann-Chef », sur Hamburger Abendblatt, (consulté le )
  201. (de) « Man kann alles verkaufen », Der Spiegel, (lire en ligne)
  202. (de) « Management », Bertelsmann (consulté le )
  203. (de) Hans-Peter Siebenhaar, « Der neue Machtzirkel », Handelsblatt, , p. 54
  204. (de) Bernhard Hertlein, « Bertelsmann wird weiblicher : Thomas Rabe installiert neues Beratergremium », Westfalen-Blatt,
  205. (de) Hans-Peter Siebenhaar, « Neuordnung: Bertelsmann-Vorstand wird feminisiert », sur Handelsblatt, (consulté le )
  206. (de) « Christoph Mohn übernimmt Aufsichtsratsvorsitz bei Bertelsmann », sur Der Westen, (consulté le )
  207. « Liz Mohn, la dame de fer de Bertelsmann », sur Le Figaro, (consulté le )
  208. (de) « Aufsichtsrat », Bertelsmann (consulté le )
  209. (de) « Bertelsmann Essentials » [PDF], Bertelsmann (consulté le )
  210. (de) « Bertelsmann ist keine Aktiengesellschaft mehr », sur Handelsblatt, (consulté le )
  211. (de) « Aus 5 mach' 8 : Bertelsmann-Chef Thomas Rabe erklärt den Konzernumbau für beendet und bleibt seinem Ziel treu: 2 Milliarden Euro Umsatz bis 2020 », Horizont, , p. 11
  212. (de) « Das neue Bertelsmann » [PDF], Bertelsmann (consulté le ), p. 16–17
  213. (de) « Gelingt der digitale Umbruch? », Handelsblatt, , p. 36
  214. (en) « Companies (Selection) » [PDF], RTL Group (consulté le )
  215. (de) Hans-Peter Siebenhaar, « Der Medien-Kommissar: Die Börsenwette namens RTL », sur Handelsblatt, (consulté le )
  216. (de) Stefan Winterbauer, « RTL Group gründet mit dem RTL Digital Hub eine Online-Video-Zentrale – Chef ist Marcel Reichart », sur Meedia, (consulté le )
  217. (de) Thomas Lückerath, « Zukauf in den USA: RTL-Tochter FremantleMedia übernimmt 495 Productions », sur DWDL, (consulté le )
  218. Martine Esquirou, « Mégafusion dans la télé européenne : La CLT et UFA, filiale télé de Bertelsmann, s'allient en radio et télévision. », sur Libération, (consulté le )
  219. (de) James Harding, Lutz Meier, « Heute entsteht Europas größter TV-Konzern », Financial Times Deutschland, , p. 1
  220. (de) « Mehrheit an RTL Group: Bertelsmann mit neuem Gesellschafter », sur Rheinische Post, (consulté le )
  221. « Bertelsmann met en Bourse une partie de RTL Group », sur Le Figaro, (consulté le )
  222. (de) Rüdiger Wischenbart, « Das Goldene Zeitalter für Buchverlage beginnt », Die Welt, , p. 22
  223. (de) « Fusion abgeschlossen: Bertelsmann und Pearson gründen Buchgiganten », sur Handelsblatt, (consulté le )
  224. (de) « Bertelsmann wird größter Verleger von Büchern in englischer Sprache », Süddeutsche Zeitung, , p. 23
  225. (de) Wieland Freund, « Jetzt machen es die Bücher wie die Autos », sur Die Welt, (consulté le )
  226. (de) « Fusion mit britischem Konkurrenten: Bertelsmann schmiedet weltgrößten Buchverlag », sur Spiegel Online, (consulté le )
  227. (en) « Global Publishing Leaders 2015: Penguin Random House », sur Publishers Weekly (consulté le )
  228. (en) « Global Map of Offices », Penguin Random House (consulté le )
  229. (de) « Bertelsmann könnte Anteil an Penguin/Random House ausweiten », sur Der Westen, (consulté le )
  230. (de) « Zeitschriftenverlag: Bertelsmann übernimmt Gruner + Jahr vollständig », sur faz.net, (consulté le )
  231. (de) « Finanzdaten », Gruner + Jahr (consulté le )
  232. (de) Johannes Ritter, « Abschied von Amerika: Gruner + Jahr verkauft das Druckgeschäft », sur faz.net, (consulté le )
  233. (de) Georg Altrogge, « Trotz Minusbilanz: Warum Bertelsmann-Chef Rabe Gruner + Jahr auf Kurs sieht », sur Meedia, (consulté le )
  234. (de) « Gruner + Jahr: Das lechzt », sur Spiegel Online, (consulté le )
  235. (de) « Das Nokia unter den Verlagen », Kress Report, , p. 6
  236. (de) Caspar Busse, « Verlegte Geschäfte », Süddeutsche Zeitung, , p. 31
  237. « Médias: Bertelsmann prend le contrôle complet de l'éditeur Gruner + Jahr », sur La Libre, (consulté le )
  238. (de) « Bertelsmann geht auf Einkaufstour », Neue Westfälische,
  239. (de) « Bertelsmann gibt das Musikgeschäft auf : Sony-BMG-Anteil verkauft / Neue Sparte in Berlin », Der Tagesspiegel, , p. 15
  240. (de) « Wachsen mit der Musik », Neue Westfälische,
  241. (de) « Bertelsmann kauft Musikrechteverlag BMG ganz », sur Die Welt, (consulté le )
  242. (de) Renzo Wellinger, « Bertelsmann und KKR bündeln Kräfte im Musikrechtegeschäft », sur Musikmarkt, (consulté le )
  243. Lauren Silva Laughlin, « Selon KKR et Bertelsmann, la musique peut encore rapporter », sur Le Monde, (consulté le )
  244. (de) « Wieder im Besitz von BMG: Bertelsmann macht Musik », sur n-tv, (consulté le )
  245. (de) Stefan Schelp, « Da steckt Geld drin : Meinungsbörse », Neue Westfälische, , p. 27
  246. (de) « Bertelsmann Industrie heißt künftig Arvato », Süddeutsche Zeitung, , p. 28
  247. (de) « Bertelsmann Drucksparte setzt verstärkt auf Dienstleistungen », Die Welt, , p. 24
  248. (de) « Arvato auf Wachstumskurs : Bertelsmann Industrie gibt sich einen neuen Namen », Handelsblatt, , p. 19
  249. (de) Michael Delker, « Der größte Arbeitgeber in Ostwestfalen-Lippe », Westfalen-Blatt,
  250. (de) « Über Arvato: Geschichte », Arvato (consulté le )
  251. (de) « Arvatos neuer Buch-Rekord », Westfalen-Blatt,
  252. (de) « Zuwachs in verschiedenen Sparten », Neue Westfälische, , p. 13
  253. (de) « Arvato expandiert nach Bielefeld », Neue Westfälische,
  254. (de) Stefan Schelp, « Neuer Chef verordnet Arvato mehr Wachstum », Neue Westfälische, , p. 10
  255. (de) « Bertelsmann bündelt Druckgeschäft », Südwest Presse, , p. 10
  256. (de) Eike Horstmann, « Europas größte Druckereigruppe », Neue Westfälische, , p. 11
  257. (de) « Druck-Gigant entsteht in Gütersloh », Neue Westfälische, , p. 9
  258. « Bertelsmann fusionne ses activités d’impression en hélio et en offset », sur Caractere, (consulté le )
  259. (de) « Bertelsmann baut neue Print-Einheit auf », sur Der Standard, (consulté le )
  260. (de) « Bertelsmann tauft Drucksparte Be Printers : Springer bleibt Mitgesellschafter von Prinovis », Neue Westfälische,
  261. (de) Gerd Bergmann, « Umsatz bei Be Printers stagniert », sur Deutscher Drucker, (consulté le )
  262. (de) « Bertelsmann Education Group: Lernen im 21. Jahrhundert », Bertelsmann (consulté le )
  263. (de) « Bertelsmann bündelt Bildungsgeschäft in eigener Sparte », sur Focus Online, (consulté le )
  264. (de) « Bertelsmann: Bildungsgeschäft jetzt unter einem Dach », sur Handelsblatt, (consulté le )
  265. (de) Christian Meier, « Bertelsmann kauft E-Learning-Plattform für dreistelligen Millionen-Betrag », sur Meedia, (consulté le )
  266. (de) « Bertelsmann Digital Media Investments », sur Gründerszene (consulté le )
  267. (de) Niklas Wirminghaus, « Bertelsmann-Fonds BDMI schließt Berliner Büro : Nur noch New York », sur Gründerszene, (consulté le )
  268. (de) Antje Kullrich, « Gewinnsprung bei Bertelsmann : Deutlich weniger Sonderlasten als im Vorjahr – Neue Konzernstruktur mit acht Geschäftsbereichen », Börsen-Zeitung, , p. 8
  269. (de) Ottomar Gottschalk, Verwaltungsbauten : Flexibel, kommunikativ, nutzerorientiert, Berlin, Wiesbaden3-7625-3085-8, Bauverlag, , 4e éd., p. 220
  270. (de) « Büffeln fürs Business », sur Brand Eins, 2000-08-00 (consulté le )
  271. (de) « Bertelsmann Inc.: Büroturm am Times Square preisgünstig erworben », Handelsblatt, , p. 25
  272. (en) Charles Bagli, « New York: Manhattan: Bertelsmann Building Sold », sur nytimes.com, (consulté le )
  273. (de) Rainer Haubrich, « Es geht doch! : Berlins erste Rekonstruktion seit der Wende: Heute weiht Bertelsmann das Kommandantenhaus ein », Die Welt, , p. 27
  274. (de) « Bertelsmann expandiert nach Südamerika », sur boersenblatt.net, (consulté le )
  275. (de) « Standorte », Bertelsmann (consulté le )
  276. (de) Stefan Schelp, « Weltweit unterwegs, in Europa verwurzelt : Bertelsmann steckt sich hohe Umsatzziele », Neue Westfälische, , p. 5
  277. Antoine Oury, « Bertelsmann investit massivement sur les marchés brésilien, chinois et indien », sur AcctuaLitté, (consulté le )
  278. (de) « Bertelsmann plant Wachstum in Schwellenländern », Neue Westfälische, , p. 6
  279. (de) « Bertelsmann forciert Bildungsgeschäft – investiert in Brasilien », sur Der Standard, (consulté le )
  280. (de) « Brain und Business: Bertelsmann forciert Bildungsgeschäft in Brasilien », sur Buchreport, (consulté le )
  281. (de) « Bertelsmann will in China wachsen », Westfalen-Blatt,
  282. (de) Petra Schwengler, « Bertelsmann verdient gut in China », (consulté le )
  283. (de) « Bertelsmann setzt in Indien auf E-Commerce », Börsen-Zeitung, , p. 11
  284. (de) Markus Trantow, « Bertelsmann investiert in E-Commerce in Indien », sur turi2, (consulté le )
  285. (de) Andreas Puff-Trojan, « Papier ist geduldig », profil, , p. 164
  286. (de) Stefan Brams, « Ein Adler für die Bertelsfrau : Vernon Award-Verleihung löste Debatte über Bertelsmanns NS-Vergangenheit aus », Neue Westfälische,
  287. (de) Gerhard Hegmann, « Bertelsmann gesteht Fehler in NS-Zeit ein : Historiker belegen führende Rolle bei Wehrmachtsliteratur / Bericht widerlegt frühere Geschichtsdarstellung », Financial Times Deutschland, , p. 5
  288. « Une histoire. Bertelsmann et le IIIe Reich. », sur Libération, (consulté le )
  289. (de) « Ganz geringe Beträge », Stuttgarter Zeitung, , p. 13
  290. (de) Siegfried Lokatis, « Feldpost von Bertelsmann », Neue Zürcher Zeitung, , p. 27
  291. (de) Wieland Freund, « Bertelsmann im Dritten Reich: Der Abschlussbericht der Kommission », sur Die Welt, (consulté le )
  292. (de) Nicole Adolph, « Widerstandslegende enttarnt », Der Tagesspiegel, , p. 27
  293. Marcel Linden, « Le géant allemand Bertelsmann forcé d'assumer son passé nazi », sur La Libre, (consulté le )
  294. « Le passé nazi de Bertelsmann avéré », sur Libération, (consulté le )
  295. (de) Dirk Fuhrig, « Legende vom Widerstandsverlag : Bertelsmann hatte während NS-Zeit keine blütenweiße Weste », Frankfurter Rundschau, , p. 13
  296. (de) Volker Ullrich, « Ein Musterbetrieb », Die Zeit, (lire en ligne, consulté le )
  297. (de) Stefan Brams, « Bertelsmanns Gedächtnis », Neue Westfälische,
  298. (de) Steffen Grimberg, « Bertelsmann-Stiftung reagiert auf Kritik », sur Die Tageszeitung, (consulté le )
  299. (de) Harald Schumann, « Politik aus Gütersloh », Der Tagesspiegel, , p. 7
  300. (de) Edgar Fels, « Buchautor kritisiert Bertelsmann-Stiftung », Westfalen-Blatt,
  301. (de) Thomas Schuler, « Mit Liz und Tücke », Der Spiegel, (lire en ligne)
  302. (de) « Wahrheiten und Gemeinheiten », Handelsblatt, , p. 57

Bibliographie

  • (de) Siegfried Lokatis, « Feldpost von Bertelsmann : Die Editionspraxis des Gütersloher Verlags im Dritten Reich », Neue Zürcher Zeitung,
  • (de) Norbert Frei, Saul Friedländer, Trutz Rendtorff et Reinhard Wittmann, Bertelsmann sous le IIIe Riech [« Bertelsmann im Dritten Reich »], Munich, Bertelsmann, 20023-570-00713-8
  • (de) Thomas Lehning, Das Medienhaus : Geschichte und Gegenwart des Bertelsmann-Konzerns, Paderborn, München, Fink Verlag, 20043-7705-4035-2
  • (de) Frank Böckelmann et Hersch Fischler, Bertelsmann : Hinter der Fassade des Medienimperiums, Francfort-sur-le-Main, Eichborn Verlag, 20043-8218-5551-7
  • Pierre Hillard, Bertelsmann : La Fondation Bertelsmann et la « gouvernance mondiale », Paris, Editions François-Xavier de Guibert, 2009978-27554-0335-0
  • (de) Thomas Schuler, Bertelsmannrepublik Deutschland : Eine Stiftung macht Politik, Francfort-sur-le-Main, Campus Verlag, 2010978-3-593-39097-0
  • (de) 175 Jahre Bertelsmann : Eine Zukunftsgeschichte, Munich, C. Bertelsmann Verlag, 2010978-3-570-10175-9

Voir aussi

Articles connexes

Liens externes

  • Portail des entreprises
  • Portail de l’Allemagne
Cet article est issu de Wikipedia. Le texte est sous licence Creative Commons - Attribution - Partage dans les Mêmes. Des conditions supplémentaires peuvent s'appliquer aux fichiers multimédias.