Basilique Notre-Dame-du-Rosaire de Lourdes

La basilique Notre-Dame-du-Rosaire est la seconde en date des trois basiliques de Lourdes, plus important centre de pèlerinage des Hautes-Pyrénées et de France, depuis les apparitions de Lourdes. Consacrée en 1901, elle est dite « basilique inférieure » pour la distinguer des basiliques respectivement désignées « supérieure » (basilique de l'Immaculée-Conception) et « souterraine » (basilique Saint-Pie-X), toutes trois faisant partie du complexe du Sanctuaire de Lourdes qui comprend encore l'église Sainte-Bernadette, dernier en date de ses lieux de culte et nombre de chapelles. Il faut noter, en outre, que Lourdes possède aussi en centre-ville une église paroissiale, l'église du Sacré-Cœur dont la construction a été lancée par l'abbé Dominique Peyramale, curé de Lourdes à l'époque des apparitions de la Vierge Marie à Bernadette Soubirous.

Cette basilique n’est pas la seule basilique Notre-Dame-du-Rosaire.

Basilique Notre-Dame-du-Rosaire

La basilique Notre-Dame-du-Rosaire se situe au niveau de l'esplanade, tandis qu'au-dessus se trouve la basilique de l'Immaculée-Conception.
Présentation
Culte catholique
Dédicataire Notre-Dame du Rosaire
Type Basilique mineure
Rattachement Diocèse de Tarbes et Lourdes
Début de la construction 1883
Fin des travaux 1889
Style dominant Romano-byzantin
Protection  Inscrit MH (1995, Sanctuaires de Lourdes)
Site web www.lourdes-france.org
Géographie
Pays France
Région Occitanie
Département Hautes-Pyrénées
Ville Lourdes
Coordonnées 43° 05′ 51″ nord, 0° 03′ 27″ ouest [1]
Géolocalisation sur la carte : Pyrénées
Géolocalisation sur la carte : Hautes-Pyrénées

Située devant, et en contrebas de la première basilique, la basilique du Rosaire a été construite de 1883 à 1889 sur les plans de Léopold Hardy et consacrée en 1901 pour pallier le manque de place dans cette dernière, au regard du nombre croissant des pèlerins. Cependant elle se révéla elle-même insuffisante, ce qui décida une cinquantaine d'années plus tard les autorités ecclésiastiques à faire construire l'immense basilique souterraine Saint-Pie-X sous l'Esplanade du Rosaire.

La basilique ferme à l'ouest la perspective de l'Esplanade du Rosaire, qui commence à la Porte Saint-Michel au débouché du pont sur le Gave. C'est le lieu naturel de convergence des processions. Contrairement à l'usage le plus habituel, les deux basiliques ont leurs façades tournées vers l'Est, c'est-à-dire vers la ville et le château, orientation dictée par la disposition du terrain.

Historique

La première basilique s'est rapidement avérée trop petite par rapport au nombre de pèlerins venant à Lourdes ; d'ailleurs, le bâtiment construit au-dessus du rocher de la grotte de Massabielle était d'accès peu aisé. C'est pourquoi le nouvel évêque de Tarbes, Mgr Langénieux comprit rapidement la nécessité de construire un nouveau lieu de culte : déjà reparti de Lourdes pour devenir archevêque de Reims, il présenta lui-même un projet en ce sens au pape Pie IX en . Ce fut le supérieur des chapelains de Lourdes, le Père Rémi Sempé, qui prit en main sa réalisation. Les premiers fonds provinrent du reliquat des souscriptions collectées pour la « Manifestation de foi et d'espérance » de 1872. La construction put se poursuivre grâce à l'arrivée de dons provenant de tout le monde catholique[2].

Les plans de l'édifice ont été réalisés par l'architecte Léopold Hardy. Après d'importants travaux de préparation du terrain, la première pierre du nouvel édifice, dédié à Notre Dame du Rosaire fut bénite le , 25e anniversaire de la dernière apparition de la Vierge à Bernadette (lors de ses 18 apparitions, la Vierge avait toujours un chapelet dans ses mains, d'où le nom choisi pour l'édifice). Le gros œuvre fut achevé en 1889, et l'église bénite le de cette année[3].

La décoration, tant intérieure qu'extérieure restait à faire : celle-ci devait illustrer les mystères du Rosaire, et pour ce faire, l'architecte avait à l'origine prévu des groupes sculptés, pour la vision desquels avaient été ouverts des jours au plafond des chapelles. Ce furent finalement de grands panneaux de mosaïque qui furent réalisés, à partir de 1894 par le célèbre mosaïste franco-italien Giandomenico Facchina suivant les cartons de plusieurs peintres différents ; la série ne fut terminée qu'en 1907[4]. L'orgue construit par Aristide Cavaillé-Coll date de 1897[3].

La croix et la couronne dorées surmontent la coupole

Bien que l'édifice ne fut pas encore terminé (il y manquait en particulier des mosaïques), celui-ci fut consacré par Mgr Langénieux, entre-temps devenu cardinal, le alors que le père Sempé venait de mourir. En 1907 furent terminés les deux clochetons encadrant la façade. La croix et la couronne surmontant la coupole furent installées en 1923 et dorées cinq ans plus tard.

L'église reçut le titre de basilique mineure en 1926[5]. En 1995, l’État Français inscrit à l'inventaire des monuments historiques la basilique ainsi que différents édifices du sanctuaire de Lourdes[6].

Les dégradations dues au temps furent la cause d'une restauration d'ensemble dans les premières années du XXIe siècle. En particulier les mosaïques avaient souffert d'infiltrations d'humidité. Des travaux d’étanchéité du dôme et des rampent ont été nécessaire avant la restauration des mosaïques, et la restauration du chœur de la basilique. Les travaux ont duré une quinzaine d'années et ont coûté dix millions d'euros[5]. La restauration des mosaïques, de 2003 à 2005 s'est faite sous la direction de Michel Patrizio[4].

La décoration extérieure de la façade fut rehaussée par des mosaïques de l'atelier romain du Père Marko Ivan Rupnik, jésuite slovène, elles furent inaugurées le [5].

Description

Architecture

L'architecte choisi, Léopold Hardy, devait tenir compte de multiples contraintes, et en particulier celle de ne pas occulter la Basilique de l'Immaculée-Conception. L'édifice, de style romano-byzantin présente une forme en croix grecque avec une superficie de 2 000 m2 lui donnant une capacité d'accueil de 1 100 personnes.

Le parvis

Chapelle (extérieure) de Ste Bernadette

Vers l'extérieur, la basilique s'ouvre sur une vaste esplanade (dite « Esplanade du Rosaire ») pouvant rassembler quelque 80 000 visiteurs, encadrée par deux rampes d'accès en hémicycle supportées par des structures en arcades permettant de gagner la basilique de l'Immaculée Conception, située au-dessus et à laquelle mènent également des escaliers situés de chaque côté de la façade de la basilique inférieure, ainsi que sa crypte[3].

Les rampes d'accès à la basilique supérieure, les arcades et les escaliers ont été réalisés selon les plans de Jean-Marie Lacrampe, architecte de la ville de Lourdes. Rampes, arcades et escaliers sont disposés de façon symétrique par rapport à l'esplanade ; mais si les arcades situées du côté du Gave de Pau sont ouvertes à la circulation des fidèles qui se rendent à la source, à la grotte ou aux piscines, celles qui sont du côté opposé (vers la montagne) encadrent trois chapelles semi-circulaires en forme d'absides à cul-de-four creusées dans le rocher. Ces chapelles ont été affectées au culte bien après la basilique[3].

La plus proche de l'église est consacrée à Notre-Dame de Guadalupe, évoquant le plus important site marial d'AmériqueMexico).

La deuxième est dédiée à Sainte Bernadette et décorée d'une grande mosaïque sur fond doré, dessinée par Edgard Maxence figurant la Vierge entourée d'anges ; une statue de Bernadette est située au bas et d'autres saintes bergères sont évoquées dans des tableaux en bas du panneau principal : de gauche à droite sainte Solange, sainte Jeanne d'Arc, sainte Geneviève et sainte Germaine de Pibrac.

La troisième est consacrée à saint Pascal Baylon ; en raison de sa grande dévotion pour l'Eucharistie, le pape Léon XIII l'avait désigné en 1897 comme patron des Congrès eucharistiques ; sa statue est y exposée.

Les arcades supportent des statues datant des années 1910 à 1914, de bas en haut et symétriquement disposées par rapport à l'axe du parvis donc se faisant face deux à deux de façon lointaine : au niveau du parvis, et encadrant l'entrée vers la basilique, saint Pierre et saint Paul ; réparties le long des grandes rampes d'accès à la crypte et à la basilique supérieure, en partant du bas vers le haut : saint Martin et saint Rémi, saint Louis-Marie Grignion de Montfort et saint Vincent de Paul, sainte Anne et saint Joachim, saint Hyacinthe et saint Bernard, enfin saint Jean Baptiste et saint Jean l'Apôtre, tous ayant un rapport avec la vie de la Vierge ou avec sa dévotion.

Tympan du portail principal où est représentée Notre-Dame du Rosaire

Le tympan du portail d'entrée de la basilique est surmonté d'un grand groupe sculpté en pierre blanche, œuvre d'Henri-Charles Maniglier, figurant la Vierge et l'Enfant Jésus qui remettent un rosaire à saint Dominique. Cette sculpture a été offerte par l'architecte.

L'église

Nef et chœur de la basilique Notre Dame du Rosaire

De style romano-byzantin, son plan est en forme de croix grecque et permet d’accueillir 1 500 fidèles sur une surface au sol de 2 000 m2[7].

Autour de la coupole centrale, les deux bras du transept et le chœur sont percés chacun de cinq chapelles rayonnantes ornées de mosaïques réalisées par Giandomenico Facchina, dont une partie en émaux de Briare, qui aident à méditer les quinze Mystères du Rosaire (plus précisément, de la gauche vers la droite, les mystères joyeux, douloureux, glorieux).

Les mosaïques

Illustration en mosaïque de la Vierge (chœur de la basilique Notre Dame du Rosaire)

À peu près dépourvue de vitrages du fait de son emplacement et de sa configuration, la basilique possède en revanche un exceptionnel ensemble de mosaïques sur plus de 2 000 m2 de surface[7].

Mosaïque du chœur

La Vierge Marie est figurée sur une grande mosaïque décorant la voûte en cul-de-four du chœur, dont le dessin est dû à Maxence ; entourée de nombreux anges, bras ouverts, elle présente un geste d'accueil aux pèlerins, accompagnée de la devise qui manifeste son intercession : « Par Marie à Jésus ».

Mosaïques des chapelles

Les cartons des grandes mosaïques décorant les quinze chapelles rayonnantes dédiées chacune à l'un des mystères du Rosaire ont été dessinés par sept artistes différents[8] sur un espace de treize années ; les styles en sont donc très différents de l'une à l'autre. Chacune d'elles couvre 104 m2 et a coûté 30 000 francs.

La plupart des mosaïques adoptent le même schéma structurel fixé dès 1894 par Melchior Doze pour la Nativité  : le tableau principal, sous l'arcade principale délimitant la chapelle, est divisé en une partie inférieure représentant la scène terrestre et une partie supérieure symbolisant la scène céleste avec Dieu et les anges. Au-dessus de la scène principale sont représentés des personnages bibliques et des symboles en relation avec elle. Sur l'arcade principale, sous le tableau, de part et d'autre de l'autel, et aux endroits appropriés apparaissent également des textes tirés des Écritures Saintes, de la liturgie...

  • Chapelles du bras gauche du transept, du côté nef au côté chœur :
Les mystères joyeux, épisodes de l'enfance du Christ, sont tirés des évangiles de Saint Luc et Saint Matthieu[3] :
  1. L'Annonciation - Lc 1,26-38
  2. La Visitation - Lc 1,39-56
  3. La Nativité - Lc 2,1-20 et Mt 2,22-38
  4. La présentation au Temple - Lc 2,22-38
  5. Jésus parmi les Docteurs - Lc 2,41-50
  • Chapelles du chœur, de gauche à droite :
Les mystères douloureux sont tirés de scènes de la Passion du Christ[3] :
  1. L'agonie au Mont des Oliviers - Mt 26,36-44 - Mc 14,32-40 - Lc 22,39-46
  2. La flagellation - Mt 27,26 - Mc 15,15 - Jn 19,1
  3. Le couronnement d'épines - Mt 27,27-31 - Mc 15,16-20 - Jn 19,2-3
  4. Le portement de croix - Mt 27,32 - Mc 15,21 - Lc 23,26-31 - Jn 19,17
  5. La Crucifixion - Mt 27,33-50 - Mc 15,22-37 - Lc 23,33-46 - Jn 19,18-30
  • Bras droit du transept, de gauche à droite :
Les mystères glorieux sont des événements commençant à la Résurrection du Christ[3].
  1. La Résurrection - Mt 28,1-10 - Mc 16,1-11 - Lc 24,1-12 - Jn 20,1-18
  2. L' Ascension - Ac 1,9-11
  3. La Pentecôte - Ac 2,1-4
  4. L'Assomption de la Vierge - n'est pas rapportée par les textes canoniques reconnus par l'Église, mais par une tradition séculaire devenue, en ce qui concerne l'Assomption, dogme depuis sa proclamation par le pape Pie XII le par la constitution apostolique Munificentissimus Deus.
  5. Le Couronnement de la Vierge - n'est pas rapporté par les textes canoniques reconnus par l'Église, mais une évocation peut en être trouvée au chapitre 12 du Livre de l'Apocalypse : « Un grand signe parut dans le ciel : une femme enveloppée du soleil, la lune sous ses pieds, et une couronne de douze étoiles sur sa tête » : la Femme de l'Apocalypse est traditionnellement assimilée à la Vierge Marie.
Mosaïques extérieures

Les mystères lumineux n’ayant été introduits par le pape Jean-Paul II qu’en 2003, ils sont à l'extérieur de la basilique, répartis pour certains d'entre eux en différents panneaux afin de s'adapter aux espaces plats disponibles, et traduits en mosaïques de style beaucoup plus moderne par l'artiste jésuite slovène Marko Ivan Rupnik[9] :

  1. Le Baptême du Christ - Mt 3,13-17 - Mc 1,9-11 - Lc 3,21-22
  2. Les Noces de Cana - Jn 2,1-11
  3. L'annonce du Royaume des Cieux,
  4. La Transfiguration - Mt 17,1-9 - Mc 9,1-9 - Lc 9,28-36
  5. L'institution de l'Eucharistie - Mt 26,17-35 - Mc 14,12-25 - Lc 22,14-20

L'orgue

Vue de l'orgue

L'orgue a été construit en 1897 par Aristide Cavaillé-Coll ; le financement en fut permis par des collectes organisées en réparation des outrages du roman impie d'Émile Zola intitulé Lourdes[10] et mis à l'Index par le pape Léon XIII.

Il fut inauguré par Charles-Marie Widor le . Le premier organiste titulaire fut Joseph Antzenberger, remplacé en 1899, par le Père Noël Darros, jusqu'en 1954. Durant toute cette période le grand-orgue est conservé en l'état[11]. En 1955, des modifications sont apportés à l'orgue (suppression de 3 jeux anciens, ajouts ou transformations de 15 jeux, modification de l'harmonie). Ces modifications sont commandées au facteur d'orgues toulousain Maurice Puget[11].

L'orgue est ensuite modifié par le facteur espagnol Organeria Española d'Azpeitia en 1971, qui assure son électrification. Puis au début des années 2000, il est demandé de restaurer cet orgue dans son état d'origine (retour à l'ancienne tribune et à sa balustrade, restauration de la transmission mécanique d'origine, suppression de tous les ajouts postérieurs - dont l'électrification - suppression de la tuyauterie en zinc et plomb). Ces travaux sont réalisés par l'entreprise Pesce Frères entre 2002 et 2005[11].

L'orgue possède trois claviers de 56 notes et un pédalier de 30 notes avec transmission mécanique à Barker.

Composition
Grand-Orgue
Montre16'
Bourdon16'
Montre8'
Violoncelle8'
Flûte harmonique8'
Bourdon8'
Prestant4'
Quinte2.2/3'
Doublette2'
FournitureIV rangs
CymbaleIII rangs
Bombarde16'
Trompette8'
Clairon4'
Positif expressif
Principal8'
Salicional8'
Bourdon8'
Prestant4'
Doublette2'
Plein-jeuIV-V rangs
Nazard2.2/3'
Tierce1.3/5'
Piccolo1'
Basson-hautbois8'
Clarinette8'
Trémolo
Récit expressif
Quintaton16'
Flûte traversière8'
Cor de nuit8'
Gambe8'
Voix céleste8'
Flûte octaviante4'
Octavin2'
CornetV rangs
Trompette harmonique8'
Voix humaine8'
Clairon harmonique4'
Trémolo
Pédale
Flûte16'
Soubasse16'
Basse8'
Bourdon8'
Bombarde16'
Trompette8'

Notes et références

  1. Source des coordonnées : Géoportail
  2. Comité de la Manifestation, La France à Lourdes : récit des fêtes des 5, 6, 7 et 8 octobre 1872, Paris, Joseph Albanel, , 194 p. (lire en ligne).
  3. « Basilique de Lourdes », sur monumentshistoriques.free.fr (consulté le ).
  4. « Basilique du Rosaire Lourdes », sur Mosaïque et Architecture, (consulté le ).
  5. « Le chœur de la Basilique Notre-Dame du Rosaire restauré », Lourdes Info, (lire en ligne, consulté le ).
  6. « Domaine du sanctuaire de Lourdes », sur pop.culture.gouv.fr, Ministère de la Culture, (consulté le ).
  7. « Basilique Notre-Dame du Rosaire », sur lourdes-infotourisme.com (consulté le ).
  8. Melchior Doze, Georges Grallet, Louis Édouard Fournier, Felip Masó i de Falp, Edgard Maxence, Eugenio Cisterna, Joseph Wencker
  9. « L'oeuvre. Les mystères lumineux de la basilique du Rosaire. », La Croix, (ISSN 0242-6056, lire en ligne, consulté le )
  10. Émile Zola, Lourdes, Paris, , 598 p. (lire en ligne).
  11. « Basilique Notre-Dame du Rosaire », sur Orgues en France et dans le monde (consulté le ).

Annexes

Articles connexes

Liens externes

Bibliographie

  • J.Perrier, Expliquez-moi la Basilique du Rosaire, Lourdes, NDL Edt, (ISBN 978-2-36109-004-3).
  • Chantal Touvet (préf. Mgr Jacques Perrier), 1870-1908 : La vocation de la France, Lourdes, NDL Editions, coll. « Histoire des Sanctuaires de Lourdes » (no 2), , 745 p. (ISBN 978-2-916218-23-6)
  • Mgr Jacques Perrier, Lourdes : La basilique Notre-Dame du Rosaire, Strasbourg, Editions du Signe, , 96 p. (ISBN 978-2-7468-2081-4)
  • Mgr Jacques Perrier, Basilique Notre-Dame du Rosaire, Lourdes, NDL Editions, coll. « Expliquez-moi... », , 96 p. (ISBN 978-2-36109-004-3)
  • Ouvrage collectif, Lourdes, MSM, coll. « In Situ », , 224 p. (ISBN 978-2-35080-115-5)
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