Baphomet

Baphomet est le nom donné par certains occultistes du XIXe siècle à l'idole mystérieuse que les chevaliers de l’ordre du Temple furent accusés de vénérer. Le plus souvent représentée par la tête d'un homme barbu, l'idole était vénérée mais également crainte pour sa laideur. Ses caractéristiques notoires sont des seins ainsi qu'une tête de bouc.

Pour les articles homonymes, voir Baphomet (homonymie).

Représentation de Baphomet, 1854.
Clé de voûte du XVIe siècle dans la forteresse de Tomar, Portugal, souvent interprétée comme une représentation possible de Baphomet

Origine et légende

Dans le Nouveau Testament, l'Évangile selon Matthieu mentionne à plusieurs reprises une séparation du bien et du mal par un clivage gauche / droite. La gauche symbolisée par des boucs représentant le mal, et la droite incarnée par des brebis s'identifiant au bien, symbole du Christ sous le nom de Fils de l'homme.

  • Nouveau Testament (Matthieu, chapitre 25, versets 32 à 34) : Toutes les nations seront assemblées devant lui. Il séparera les uns d'avec les autres, comme le berger sépare les brebis d'avec les boucs ; et il mettra les brebis à sa droite, et les boucs à sa gauche.
  • Nouveau Testament (Matthieu, chapitre 25, verset 41) : Ensuite il dira à ceux qui seront à sa gauche : Retirez-vous de moi, maudits ; allez dans le feu éternel qui a été préparé pour le diable et pour ses anges. Car j'ai eu faim, et vous ne m'avez pas donné à manger ; j'ai eu soif, et vous ne m'avez pas donné à boire.

Signification du terme

La première attestation[1] du nom Baphomet paraît être une déformation du nom de Mahomet dans une lettre de 1098 d'Anselme II d'Ostrevent de Ribemont (compagnon de Godefroid de Bouillon et porte-étendard du Vermandois) relatant le siège d'Antioche lors de la première croisade :

« Sequenti die aurora apparente, altis vocibus Baphometh invocaverunt ; et nos Deum nostrum in cordibus nostris deprecantes, impetum facientes in eos, de muris civitatis omnes expulimus.[2] »

« Alors que l'aube pointait, ils invoquèrent bruyamment Baphometh ; et nous priâmes silencieusement notre Dieu en nos cœurs, alors nous attaquâmes et ils furent rejetés des murs de la cité. »

En effet, étant souvent très ignorants de l’Islam, les chevaliers francs arrivant en Orient pensaient que les Sarrasins adoraient des idoles et prenaient le Prophète pour un de leurs dieux[1]. Baphomet apparaît également en 1195 dans le poème Senhor, per los nostes peccatz du troubadour Gavaudan en pleine période des Croisades, comme l'occitanisation de Mahomet [3]. Une autre hypothèse fait état d'une adaptation française récente du mot Bafomet qui est le nom de Mahomet en vieille langue d'oc. (Mafomet en langue valencienne est une forme assez proche) Il voudrait donc dire «béni» en arabe.

Le nom apparaît abondamment lors du procès de l'ordre du Temple en 1307, sous le règne de Philippe IV le Bel. Les Templiers, à la chute des États latins d’Orient en 1291 ont été nombreux à s’exiler en France et représentent une force militaire et financière puissante face à un pouvoir royal affaibli par les dettes. Ils ont, entre autres, été accusés d'apostasie, pour avoir en Orient renié le Christ et adoré « Baphomet » [4]. Le nom de l'idole supposément adorée par les Templiers apparaît à la fois dans l'accusation et dans certains aveux obtenus lors des interrogatoires menés par l'Inquisition.

Selon Heinrich Finke, on trouve d'ailleurs également la forme Magometus dans les interrogatoires du procès[5].

Hugh Schonfield[6], spécialiste des manuscrits de la mer Morte, pensa qu'il s'agissait d'un mot codé. En effet, en appliquant le code Atbash (système de chiffrement très ancien) au mot Baphomet écrit en caractères hébreux, on obtient sophia, qui signifie « sagesse » en grec. Selon son interprétation, en vénérant Baphomet, les Templiers auraient voué en vérité un culte au principe de sagesse… ou aussi à la gnose. Pierre Klossowski, dans ses notes et éclaircissements à son roman de 1965 préfère y voir le Basileus philosophorum métallicorum : le souverain des philosophes métallurgistes, c'est-à-dire des alchimistes.

Plusieurs autres étymologies fantaisistes ont été proposées : Baphe-métous, baptême de sagesse ; Bios-phos-métis, vie-lumière-sagesse ; Bapho ou Bafo, nom d'un port de Chypre dont le Temple fut très peu de temps le propriétaire ; Abufihamat, corruption de l'expression arabe « le Père de la compréhension », Maphomet « L'Incompris », ou encore de l'arabe Ouba el-Phoumet, « Père de la bouche », etc.

Pour Joseph von Hammer-Purgstall, Baphé est le baptême et Météos, l'initiation, il s'agirait donc d'un baptême du feu, qui se ratache au gnosticisme et est à rapprocher de la grande fête des templiers qui avait lieu le jour de la Pentecôte, c'est-à-dire le jour où le Saint-Esprit descendit sur les apôtres sous forme de langues de feu[7].

Pour John Charpentier, c'est une contraction avec élision de sept lettres de l'ensemble Bap(tiste-Ma)homet[7].

Emile Ollivier suggère un rapprochement avec Baffo, le port de Chypre, qui avait eu un temple fameux consacré à Astarté[7].

Pour Gérard de Sède[8], c'est le terme Bapheus mété qui signifie "teinturier de la Lune" qui est a rapprocher de Baphomet. Dans ce cas, baffometi, pris adjectivement dans in figuram baffometi, pourrait se traduire par "A la manière des teinturiers de la Lune" qui désigne alchimiquement ceux qui peuvent transformer l'argent en or, c'est-à-dire les adeptes parvenus à la réalisation du grand œuvre[7].

Description

Représentations

Le « Baphomet » de l'église Saint-Merri.

La représentation de Baphomet pourrait être inspirée du visage imprimé sur le Saint-Suaire de Turin. De nombreuses suppositions sur son véritable visage ont été effectuées : ainsi, on lui attribue le visage barbu de l'église de Templecombe à Somerset[9]. À Paris dans le 4e arrondissement, on trouve un diable sur le tympan du porche de l’église Saint-Merri. Il fut sculpté entre 1841 et 1843. Certains y voient l'image d'un Baphomet[10]. Cette insolite présence est signalée par Umberto Eco dans son roman Le Pendule de Foucault.

Toutefois, l'idole possiblement vénérée par les Templiers est de formes très diverses selon les témoignages recueillis durant les procès : tantôt très grande, tantôt tenant dans une poche, parfois en bois, en os ou en métal, sous la forme d'une statue ou d'une toile de peinture, l'idole représente souvent une tête d'homme barbu mais peut également être un lion à tête de femme, ou un visage presque humain pâle avec des cheveux frisés. Les inquisiteurs recherchèrent activement des têtes en bois ou en métal représentant Baphomet, qui auraient été nombreuses. Même les membres haut placés de l'Ordre du Temple, tels que Hugues de Pairaud, furent incapables de décrire la tête, expliquant qu'elle était trop hideuse pour être décrite, ou bien qu'ils fussent trop loin pour la voir[9].

Dans le même ordre d'idées d'allusion à la symbolique du ternaire, une clé de voûte représentant trois faces humaines à la bouche ouverte fut découverte dans une salle de la forteresse de Tomar. Seuls, des experts ont pu avoir accès à la partie du château qui la contient. Cette salle est interdite au public[11].

Idée d'une influence orientale

La créature fantasmagorique fait presque immanquablement l'objet d'un engouement chez les individus ou groupes qui s'intéressent aux Templiers, en particulier lorsqu'on aborde les prétendues pratiques hétérodoxes qu'ils auraient acquises au Proche-Orient, au contact des cultures déjà en place parmi les États latins d'Orient.

Une autre théorie en fait la tête conservée d'Hugues de Payns, selon le témoignage d'un frère templier conservé dans les archives du Vatican[12]. Cependant, rien ne permet de donner foi à ce témoignage, non plus qu'il est possible de l'infirmer, ni même de vérifier son existence, attestée par l'historien Heinrich Finke, lui-même cité par l'abbé Pétel.

Dans l'antimaçonnisme et le conspirationnisme

Le Baphomet en franc-maçonnerie, dans le canular de Taxil, illustration de Pierre Méjanel.

Serge Abad-Gallardo, membre démissionnaire de la franc-maçonnerie française de l'obédience maçonnique de l'Ordre maçonnique mixte international « le Droit humain » ayant atteint le 18e degré maçonnique, cite le 29e degré maçonnique faisant partie des Hauts grades maçonniques comme plaçant le candidat au grade devant une effigie du Baphomet et à côté un crucifix que le candidat doit piétiner. Il interprète ce rite maçonnique dans le sens où la glorification de l'homme recherchée passe par le rejet du Dieu des chrétiens[13]. Cyril Dougados, membre démissionnaire de la franc-maçonnerie française de l'obédience maçonnique de la Grande Loge nationale française ayant atteint le 32e degré maçonnique, précise que dans des grades de perfectionnement (hauts grades maçonniques) l'oeil omniscient est remplacé par le Baphomet[14]. L'historien et essayiste espagnol Alberto Bárcena Pérez[15] a publié le rituel maçonnique complet dans lequel se trouve la référence au Baphomet[13]. De même, l'essayiste espagnol Manuel Guerra Gómez dénonce la procession du Baphomet, également au 29e degré maçonnique du Rite écossais ancien et accepté, en relevant que la génuflexion en son hommage se fait en pliant le genou gauche au lieu du genou droit pour une génuflexion catholique devant le saint-sacrement[16]. Le Baphomet en franc-maçonnerie apparait également dans le canular de Taxil, également au 29e degré maçonnique du Rite écossais ancien et accepté, celui de "Grand écossais de saint André d’Ecosse" ou "Chevalier de saint André d’Ecosse" dans son ouvrage Les mystères de la Franc-maçonnerie (1886)[17].

Culte autour de Baphomet

Vitrail de la chapelle de la commanderie de la Villedieu, avec ajout d'un Baphomet lors de sa rénovation de 2012[réf. nécessaire]

Selon certaines sources invérifiables car légendaires, le culte de Baphomet aurait eu lieu durant les rites secrets des Templiers. L'effigie de Baphomet était sortie et montrée à tout le monde, sous la lumière de bougies noires. Très laide, elle provoquerait l'effroi en la voyant. Durant certains rites, les Templiers embrassaient la tête puis l'entouraient de cordelettes ; celles-ci étaient par la suite portées autour d'eux-mêmes. Cette pratique serait issue d'une coutume palestinienne qui voulait que ces cordelettes aient des propriétés magiques telles que la guérison des malades[9].

Un Baphomet est représenté sur la partie inférieure d'un vitrail de la chapelle de la Commanderie de la Villedieu à Élancourt, mais celui-ci a été ajouté librement par les personnes ayant effectué la restauration de la chapelle en 2012, car aucun des vitraux d'origine n'a été retrouvé. Rien ne permet donc d'attester qu'une telle représentation était présente sur les vitraux templiers d'origine.[réf. nécessaire]

Le culte de Baphomet serait à rapprocher du johannisme qui consiste à renier le Christ pour ensuite mieux le servir[18].

Aux États-Unis un culte de Baphomet s'est développé au début du XXIe siècle au sein d'un Temple satanique, ayant le statut de religion et dont le siège est à New York. Le 25 juillet 2015, en présence de plus de 700 adeptes, une statue à son effigie a été érigée à Détroit. Certains journalistes estiment que « Les actions du Temple satanique, délibérément provocatrices, [...] sont surtout menées contre ce qu'il estime être des représentations religieuses allant à l'encontre de la séparation de l’Église et de l’État »[19].

Baphomet dans la littérature et la culture populaire

Le Baphomet, Paris, Mercure de France, 1965. Roman de Pierre Klossowski.

La figure de Baphomet a été reprise au XIXe siècle par certaines personnalités du mouvement de l'occultisme et de l'hermétisme. Par la suite le personnage de Baphomet fait de nombreuses apparitions dans les films, les jeux vidéo et les jeux de rôle, en tant qu'être démoniaque qu'il s'agit de vaincre.

Le plasticien, graphiste, illustrateur, sculpteur et designer suisse Hans Ruedi Giger a utilisé l'image de Baphomet dans de nombreuses œuvres (la série des « Necronom »).

L'Empire du Baphomet est un roman uchronique de science-fiction de Pierre Barbet, paru en 1972, dans lequel Baphomet est le nom d'un extraterrestre qui manipule des humains au XIIe siècle.

Le Baphomet apparaît aussi dans le manga de Kentaro Miura Berserk, de la dark fantasy et où des sectes lui vouent un culte bestialement sexuel.

Dans le roman Miss Charity de Marie-Aude Murail, paru en 2008, l'héroïne éponyme a à son service une domestique écossaise, prénommée Tabitha, qui est persuadée que sa jeune maîtresse est possédée par les démons Azazel, Baphomet et Astaroth[20]. Au fil des années, à chaque fois que Charity fait quelque chose d'original ou d'excentrique, sa domestique mentionne, avec un fatalisme mêlé de ravissement, l'influence de Baphomet sur son caractère.

Baphomet apparaît en tant que dieu du peuple de la nuit dans le film Cabal (Nightbreed) de Clive Barker, tiré du roman Cabal de ce dernier. Dans le film d'épouvante américain Return to House on Haunted Hill, suite non distribuée sur le sol français de La Maison de l'horreur, la statuette de Baphomet est le cœur du sinistre hôpital psychiatrique à l'abandon.

Dans l'univers de Donjons et Dragons, Baphomet est un Prince-démon qui règne sur la 600e strate des Abysses.

Baphomet apparaît dans le comic The Wicked + The Divine, de Jamie McKelvie et Kieron Gillen, réincarné en humain.

Baphomet dans la culture heavy metal

La figure de Baphomet est un élément visuel omniprésent dans le milieu du metal extrême, plus particulièrement dans le black metal, où elle est souvent associée à des idéologies satanistes et individualistes. De nombreux groupes de metal extrême ont utilisé la figure de Baphomet sur leurs pochettes d'albums comme Dimmu Borgir, Mysticum, Behemoth, Samael, Angel Witch, Slayer, Darkthrone, Ringworm, Nifelheim ou Abigor entre autres[21].

La formation de New wave of British heavy metal (NWOBHM) Angel Witch utilise l'image de Baphomet comme symbole pour le groupe. Baphomet est également le titre d'un morceau exclusif à la compilation Metal for Muthas publiée en décembre 1979.

Il existe un certain nombre de groupes de metal nommés Baphomet[22], le plus ancien étant le groupe de death metal Baphomet formé en 1987 à Buffalo, dans l'état de New York.

Plusieurs groupes de metal ont évoqué Baphomet dans le titre de l'une de leurs chansons :

  • Le groupe de black metal italien Malfeitor a un titre intitulé Baphomet sur l'album Unio Mystica Maxima.
  • Le groupe de black metal allemand Dark Fortress a un titre intitulé Baphomet sur l'album Eidolon.
  • Baphomet's Lust La Luxure de Baphomet ») est une chanson du groupe de black metal israélien Melechesh sur l'album As Jerusalem Burns.
  • Streaks of blood (Baphomet) Traces de sang (Baphomet)) » est une chanson du groupe de death metal américain Dying Fetus sur l'album Grotesque Impalement.
  • Baphomet's Throne Le Trône de Baphomet ») est une chanson du groupe de black metal suisse Samael sur l'album Ceremony Of Opposites.
  • Horns of Baphomet Les Cornes de Baphomet ») est une chanson du groupe de death metal polonais Behemoth sur l'album Zos Kia Cultus.
  • Baphomet est une chanson du groupe de black metal autrichien Belphegor sur l'album Totenritual.
  • Le rappeur de trap metal, Prxjek crée aussi dans son album Let The World burn , Call The Baphomet

Le chanteur de Psychonaut 4 est connu sous le nom de Graf von Baphomet[23].

Baphomet dans les jeux vidéo

Ci-dessous une liste non exhaustive de jeux vidéo dans lesquels le mythe de Baphomet est évoqué:

  • Il a été repris dans un jeu vidéo sur les Templiers : Les Chevaliers de Baphomet. Il n'apparaît pas dans les jeux suivants même si le titre est resté pour la série qui se nomme en anglais Broken Sword.
  • Il apparaît en tant que boss de fin du jeu vidéo Doom II, sous le nom de "Icon Of Sin" (littéralement, "icône du péché").
  • Il a été repris dans le jeu vidéo en ligne Ragnarok Online, où il est désigné comme le mal absolu.
  • Il apparaîtrait dans la série Final Fantasy
  • Il apparaît dans le jeu vidéo Shin Megami Tensei: Lucifer's Call dans lequel il fait partie des nombreux démons recrutables et jouables dans l'équipe du héros. Son design semble directement inspiré de l'illustration d'Éliphas Lévi.
  • Il apparaît dans le jeu Darklands de Microprose.
  • Il apparaît dans le jeu vidéo online nommé Lineage : il y est considéré comme un démon. On peut y retrouver aussi Beleth qui serait un frère ou une sœur de Baphomet.
  • Il se retrouve dans le jeu d'aventure Post Mortem édité par la société Microïds.
  • Il joue le rôle de boss de fin du jeu vidéo Silent Hill et se nomme Incubus.
  • Il joue le rôle de marchand échangeant des items très puissants contre des points de vie dans The Binding of Isaac et The Binding of Isaac : Rebirth. Il fait aussi office de boss dans une des fins du jeu.
  • Il joue le rôle de boss dans le jeu vidéo La-Mulana
  • il apparaît dans Assassins Creed Unity : les récits parisiens
  • Il apparaît dans le MMORPG "Rappelz", en tant que familier.
  • Il apparaît dans Pony Island, sous la forme de Lady Abyss'.
  • Il apparaît dans le jeu Agony.
  • Il apparaît comme boss de raid de clan dans le jeu mobile Legacy of the Beast du groupe Iron Maiden.

Notes et références

  1. Collectif (sous la direction de Patrick Jean-Baptiste), Dictionnaire universel des dieux, déesses et démons, Paris, Seuil, , 918 p. (ISBN 978-2-02-133851-5), p. 124–125
  2. Godefridi Bullonii (de Bouillon), « Godefridi Bullonii epistolae et diplomata; accedunt appendices », sur Google Books,
  3. (en) Michael Routledge, The Troubadours : An Introduction, Simon Gaunt and Sarah Kay, Cambridge University Press, , p. 112
  4. Malcolm Barber, Le procès des Templiers, Presses Universitaires de Rennes,
  5. Mentionné par Salomon Reinach, Cultes, mythes et religions (édition établie par Hervé Duchêne), Robert Laffont, 1996 (ISBN 2-221-07348-7) p. 1015.
  6. Hugh Schonfield, The Essene Odyssey: The Mystery of the True Teacher and the Essene Impact on the Shaping of Human Destiny, Tisbury, Element Books, 1984, p. 164.
  7. , Louis Charpentier, Les Mystères Templiers, Paris, R. Laffont, coll. « Les énigmes de l'univers », , 288 p., ill., pl., couv. ill. ; 21 cm (ISSN 0768-3294, notice BnF no FRBNF32948109), p.232.
  8. Gérard de Sède, Les Templiers sont parmi nous, éditions Julliard.
  9. (fr) Elmar Gruber et Peter Fiebag, Les grands mystères de ce monde, France Loisirs, , 216 p. (ISBN 978-2-7441-6316-6 et 2-7441-6316-3)
  10. Georges Poisson, Histoire de l'Architecture à Paris, Paris, 1997, p. 443. L'auteur précise que cette sculpture date de la restauration menée dans les années 1841-1843.
  11. Documentaire Arte
  12. Le témoignage d'Étienne de Troyes, qui serait contenu dans les archives du Vatican, est le suivant : « Cette tête m'a paru être de chair depuis le sommet jusqu'au nœud du cou, avec des cheveux blancs, sans placage d'or ni d'argent. La face était également de chair ; elle m'a paru très livide et très pâle, avec une barbe de poils noirs et blancs, semblable à celle des Templiers. J'ai ouï dire que cette tête était celle du premier grand maître du Temple, Hugues de Paynes [sic]. Du nœud du cou jusqu'aux épaules inclusivement, elle était incrustée d'or, d'argent et de pierres précieuses. »
  13. Annelise Dumont, « Je ne pouvais plus rester chez les francs-maçons, entrevue de Serge Abad-Gallardo », Écho magazine, no 22, , p.34.
  14. Wednesday Event - La Franc-maçonnerie - intégrale - partie 1, 14 minutes 15 secondes à 14 minutes 30 secondes, entrevue de Cyril Dougados
  15. Alberto Bárcena Pérez, Iglesia y masonería: las dos ciudades, editorial San Roman, (2016).
  16. (es) Manuel Guerra-La Masoneria.wmv, 17 déc. 2011, 29'30 à 30'15
  17. Léo Taxil, Les mystères de la Franc-maçonnerie, (1886).
  18. (fr) Pierre Ripert, Dictionnaire du diable des démons et sorciers, Maxi-Poches Références, , 281 p. (ISBN 2-7434-3282-9)
  19. lemonde.fr, « Le Temple satanique de Détroit dévoile son imposante statue de Baphomet » (consulté le )
  20. Marie-Aude Murail, Miss Charity, éditions l'École des loisirs, chapitre 2.
  21. « Baphomet on cover », sur RateYourMusic (consulté le )
  22. « Search results - Encyclopaedia Metallum: The Metal Archives », sur www.metal-archives.com (consulté le )
  23. https://www.metal-archives.com/artists/Graf_von_Baphomet/166635

Voir aussi

Articles connexes

Liens externes

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