Availles-en-Châtellerault

Availles-en-Châtellerault est une commune du Centre-Ouest de la France, située au sud de Châtellerault dans le département de la Vienne en région Nouvelle-Aquitaine.

Pour les articles homonymes, voir Availles.

Availles-en-Châtellerault

Mairie de Availles-en-Châtellerault

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Administration
Pays France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Vienne
Arrondissement Châtellerault
Intercommunalité Communauté d'agglomération Grand Châtellerault
Maire
Mandat
Bernard Biet
2020-2026
Code postal 86530
Code commune 86014
Démographie
Gentilé Availlais
Population
municipale
1 749 hab. (2018 )
Densité 113 hab./km2
Géographie
Coordonnées 46° 45′ 20″ nord, 0° 34′ 48″ est
Altitude Min. 47 m
Max. 135 m
Superficie 15,46 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Châtellerault
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Chauvigny
Législatives Troisième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Availles-en-Châtellerault
Géolocalisation sur la carte : Vienne
Availles-en-Châtellerault
Géolocalisation sur la carte : France
Availles-en-Châtellerault
Géolocalisation sur la carte : France
Availles-en-Châtellerault
Liens
Site web https://www.availlesenchatellerault.fr/

    Ses habitants sont appelés les Availlais[1].

    Géographie

    Géologie et relief

    La région d'Availles-en-Châtellerault présente un paysage de plaines vallonnées plus ou moins boisées et de vallées. Le terroir se compose[2] :

    • de calcaires (pour 41 %) dans les vallées et les terrasses alluviales ;
    • de champagnes ou aubues (sol gris clair, argilo-limoneux, sur craie et donc calcaire) (pour 49 %) sur les collines ;
    • de Bornais (ce sont des sols brun clair sur limons, profonds et humides, à tendance siliceuse)(pour 10 %) sur les plateaux du Seuil du Poitou.

    Communes limitrophes

    Communes limitrophes d'Availles-en-Châtellerault
    Châtellerault Senillé-Saint-Sauveur
    Cenon-sur-Vienne
    Vouneuil-sur-Vienne Monthoiron

    Hydrographie

    La commune est traversée par km de cours d'eau, avec comme rivières principales la Vienne et l'Ozon pour une longueur identique de km.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[3]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[4].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[5]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[3]

    • Moyenne annuelle de température : 11,7 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2,2 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 6 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 14,9 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 2] : 680 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 10,7 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,4 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[7] complétée par des études régionales[8] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Naintre », sur la commune de Naintré, mise en service en 1985[9] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[10],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 12,4 °C et la hauteur de précipitations de 687,1 mm pour la période 1981-2010[11]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 4], « Poitiers-Biard », sur la commune de Biard, mise en service en 1921 et à 29 km[12], la température moyenne annuelle évolue de 11,5 °C pour la période 1971-2000[13] à 11,7 °C pour 1981-2010[14], puis à 12,2 °C pour 1991-2020[15].

    Urbanisme

    Typologie

    Availles-en-Châtellerault est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[16],[17],[18].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Chatellerault dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 44 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[19],[20].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (70,3 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (72,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (35,9 %), zones agricoles hétérogènes (27,2 %), forêts (22,7 %), prairies (7,2 %), zones urbanisées (6 %), eaux continentales[Note 7] (0,9 %)[21].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Toponymie

    Le nom du bourg proviendrait du gaulois aballo qui signifie pomme. Châtellerault a été rajouté en 1967[22].

    Histoire

    En 1945, pour fêter la Libération et le retour de la République, un arbre de la liberté est planté[23].

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    mars 2001 mars 2008 Jacky Peltier    
    mars 2008 avril 2018 (démissionnaire) François Arnault[24]    
    avril 2018 mai 2020 Jean-Denis Vaslin    
    mai 2020 En cours Bernard Biet    

    Instances judiciaires et administratives

    La commune relève du tribunal d'instance de Poitiers, du tribunal de grande instance de Poitiers, de la cour d'appel Poitiers, du tribunal pour enfants de Poitiers, du conseil de prud'hommes de Poitiers, du tribunal de commerce de Poitiers, du tribunal administratif de Poitiers et de la cour administrative d'appel de Bordeaux, du tribunal des pensions de Poitiers, du tribunal des affaires de la Sécurité sociale de la Vienne, de la cour d’assises de la Vienne.

    Services publics

    Les réformes successives de la Poste ont conduit à la fermeture de nombreux bureaux de poste ou à leur transformation en simple relais. Toutefois, la commune a pu maintenir le sien.

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[25]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[26].

    En 2018, la commune comptait 1 749 habitants[Note 8], en augmentation de 2,28 % par rapport à 2013 (Vienne : +1,47 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    552430540769791739771766756
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    738794765680693700714682702
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    709663665592618605606648669
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2009 2014
    6856809021 0661 1751 2261 3651 5811 751
    2018 - - - - - - - -
    1 749--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[27] puis Insee à partir de 2006[28].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    La densité de population de la commune est de 100 hab./km2. Celle du département est de 61 hab./km2.

    Économie

    Selon la direction régionale de l'Alimentation, de l'Agriculture et de la Forêt, il n'y avait plus que 11 exploitations agricoles en 2010 contre 16 en 2000[29].

    Les surfaces agricoles utilisées ont, toutefois durant cette période, augmenté et sont passées de 729 hectares en 2000 à 817 hectares en 2010[29]. Ces chiffres indiquent une concentration des terres sur un nombre plus faible d’exploitations. Cette tendance est conforme à l’évolution constatée sur tout le département de la Vienne puisque de 2000 à 2007, chaque exploitation a gagné en moyenne 20 hectares[30].

    67 % des surfaces agricoles sont destinées à la culture des céréales (blé tendre et maïs essentiellement mais aussi un peu d'orges), 10 % pour les oléagineux (tournesol), 4 % pour les protéagineux (pois) et 4 % reste en herbes[29].

    Culture locale et patrimoine

    Édifices civils

    • Maison forte de la Roche du Maine.
    • Le Pigeonnier du Perron, ancienne métairie de René Descartes transformée en hôtel-restaurant de très haut gamme.
    • Le souterrain-refuge, situé au sud d'Availles-en-Châtellerault, dans le hameau de Prinçay. C'est un souterrain qui a été aménagé en refuge sur deux étages. Il possède trois salles principales avec des banquettes, des niches à lampes et des tuyaux perforés dans la roche jusqu'à la surface du sol permettant l'aération du refuge.
    • Le château de la Tour d'Oyré, ancienne seigneurie de la famille d'Argence dont l'élévation, la toiture, le salon et le décor intérieur sont inscrits comme Monument Historique depuis 1987.

    Patrimoine naturel

    La commune contient deux zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) [31] qui couvrent 2 % de la surface communale :

    • les Meulieres ;
    • la carrière de la Doubtiere.

    La carrière de la Doubtiere

    C’est une ancienne carrière souterraine située au flanc du coteau qui marque le rebord nord du plateau de Chitré. Cette carrière, la plus intéressante d’une série située sur le même coteau, est localisée dans le parc d’un château. Cette localisation lui permet de bénéficier d’une relative tranquillité. Son intérêt biologique réside dans le fait qu’elle constitue un gîte d’hibernation important pour une forte population d'espèces variées de chauves-souris. Ainsi, dix espèces ont été recensées à ce jour :

    * Barbastelle d’Europe ;
    * Grand Murin. C’est un des plus grands chiroptères européens.C'est la 3e plus importante population de chauve-souris du site. Pour son hibernation, le Grand Murin utilise des cavités souterraines : des grottes ou d'anciennes carrières ou des caves. Dans tous les cas, la température doit être comprise entre 7 °C et 12 °C et l'hygrométrie doit être élevée. Comme pour les autres chiroptères européens, le Grand Murin est un insectivore strict dont le régime alimentaire comprend de gros coléoptères (> 10 mm) dont beaucoup sont glanés à même le sol. Cette espèce a subi une forte régression dans le Nord de l’Europe. Ainsi, elle est éteinte en Angleterre et aux Pays-Bas. Toutefois, en France, un recensement effectué en 1995 a pu comptabiliser 13 000 individus répartis dans 681 gîtes d’hibernation. Les principales menaces qui pèsent sur le Grand Murin concernent à la fois ses gîtes d’hibernation et d’estivage ainsi que ses territoires de chasse. En effet, la reconversion des milieux autrefois naturels ou semi-naturels riches en proies, en cultures intensives ainsi que les épandages d’insecticides constituent les facteurs essentiels de dégradation des lieux fréquentés par le Grand Murin. La protection réglementaire ou physique des gîtes, notamment par la pose de grilles, et le retour à des pratiques agricoles moins intensives et moins consommatrices de pesticides seraient les mesures les plus favorables au rétablissement des populations de cette espèce en déclin.
    * Grand Rhinolophe. Avec un effectif hivernant de 70 individus, le Grand Rhinolophe est la chauve-souris la plus importante du site. Cette espèce, le plus grand des rhinolophes européens avec son envergure atteignant 40 cm, utilise comme gîtes d’hibernation des cavités naturelles ou artificielles, souvent souterraines, aux caractéristiques bien définies; Il faut: une obscurité totale, une température comprise entre 5 °C et 12 °C, une hygrométrie supérieure à 96 %, une ventilation légère et surtout une tranquillité maximale car l’espèce est très sensible aux dérangements. En Europe, l’espèce est en net déclin. En France un recensement mené en 1997 comptabilisait 25 000 individus répartis dans 1 200 gîtes d’hibernation dont 50 % pour les régions Bretagne, Pays de Loire et Poitou-Charentes.
    * Murin à moustaches.
    * Murin à oreilles échancrées.
    * Murin de Bechstein.
    * Murin de Daubenton.
    * Murin de Natterer.
    * Oreillard roux.
    * Petit rhinolophe.

    Arbres remarquables

    Selon l'Inventaire des arbres remarquables de Poitou-Charentes[32], il y a un arbre remarquable sur la commune qui est un poirier sauvage.

    Personnalités liées à la commune

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[6].
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    7. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. Gentilé sur le site habitants.fr Consulté le 29/09/2008.
    2. Chambre Régionale d'agriculture de Poitou-Charente - 2007
    3. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    4. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    5. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    6. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    7. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    8. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    9. « Station Météo-France Naintre - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    10. « Orthodromie entre Availles-en-Châtellerault et Naintré », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station Météo-France Naintre - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    12. « Orthodromie entre Availles-en-Châtellerault et Biard », sur fr.distance.to (consulté le ).
    13. « Station météorologique de Poitiers-Biard - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Station météorologique de Poitiers-Biard - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Station météorologique de Poitiers-Biard - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    16. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    18. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    19. « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Châtellerault », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
    20. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    21. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    22. Le Patrimoine des communes de la Vienne en 2 tomes – Edition FLOHIC – 2002 – (ISBN 2-84234-128-7).
    23. Robert Petit, Les Arbres de la liberté à Poitiers et dans la Vienne, Poitiers : Éditions CLEF 89/Fédération des œuvres laïques, 1989, p. 219.
    24. Site de la préfecture de la Vienne, consulté le 10 mai 2008
    25. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    26. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    27. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    28. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    29. Fiches communales 2000 - 2010 de la Vienne
    30. Agreste – Enquête Structure 2007
    31. Secrétariat scientifique de l'inventaire des ZNIEFF, DREAL Poitou-Charentes , 2011
    32. Poitou-Charentes Nature, 2000
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