Auguste Laforêt

Auguste Laforêt (1801-1880), juge au tribunal civil de Draguignan puis de Marseille, érudit polygraphe, historien, membre de l'Académie de Marseille. Auteur d'une Étude sur la marine des galères (1861).

Biographie

Repères

Marseille, Allée des Capucines, vers 1900.

Pierre Auguste Noël Laforêt est né le à Marseille[1], aux Allées des Capucines [2]. Son père, Jacques Laforest (1738-1803), était commerçant, propriétaire ; et sa mère, Sabine Crudère (1760-1803), était la fille de Jean-François Crudère, premier échevin de Marseille en 1774[3].

«Brillant élève du collège de Juilly, il fit ensuite ses études de droit à Aix, devint magistrat et passa dans sa ville la majeure partie de sa carrière»[2].

Il épouse Sidonie Meynier (née le ), le à Marseille[1].

  • Cinq enfants sont nés de cette union : Marie Charles Auguste Noël (1830)[4] ; Marie Louise Clémentine Alix (1834-1879) ; Octavie (1836-1896) ; Marie Sabine Cécile (1839-1840) ; Marie Louise Ernestine (1841-1867).

Octavie Laforêt épouse, le , à Marseille, Maximin Oddo, négociant[5]. Ils ont pour fils Constantin Oddo (1860-1926), petit-fils d'Auguste Laforêt, devenu professeur à l'École de médecine de Marseille, membre correspondant de l'Académie nationale de médecine. Constantin Oddo est reçu à l'Académie de Marseille le 14 [6]. Ce dernier a un fils, Paul Oddo (1917-2000), officier général, compagnon de la Libération.

Marseille, début du cours Pierre-Puget.

Personnalité marseillaise, Auguste Laforêt : «eut des succès d'homme du monde ; fort recherché dans les réunions les plus distinguées, on appréciait hautement l'aménité de son caractère, sa politesse exquise, son art de bien dire. Il recevait chez lui l'élite de la société marseillaise. "Toujours empressé auprès des dames, a écrit Bourguès, il semblait, avec sa chevelure blanche qu'ont eût dite poudrée à frimas, l'un de ses parlementaires de l'autre siècle, diserts et galants, égaré parmi nous"»[2].

Auguste Laforêt meurt le [7], à l'âge de 78 ans, à son domicile, au n° 66 du cours Pierre-Puget, à Marseille[8],[9]. Il était chevalier de la Légion d'honneur.

Carrière professionnelle

Auguste Laforêt est juge au tribunal de première instance à Draguignan en 1822[10].

Marseille, ancien palais de justice.

Il devient juge à Marseille à partir de 1831[11].

«Après quarante-sept ans de judicature pendant lesquels il avait siégé quarante ans au tribunal de Marseille, M. Laforêt prit sa retraite, le , laissant les plus honorables souvenirs. Il vivait au milieu d'une magnifique bibliothèque, de tableaux et d'objets d'art de tout genre qui peuplaient le cabinet de travail de son habitation du cours Pierre-Puget, des fenêtres de laquelle son regard pouvait embrasser, d'un côté, la mer immense, la rade, une grande partie de la cité ; de l'autre, toute la montée du boulevard Gazzino et la colline Notre-Dame-de-la-Garde»[11].

Érudit et académicien

La Revue de Marseille

Revue de Marseille, décembre 1876.

Auguste Laforêt fonde la Revue de Marseille et de Provence en 1855 avec trois associés : le journaliste Joseph Mathieu ; Rondelet, professeur à la faculté ; et Gaston de Flotte[12], homme de lettres[13]. Il la dirige jusqu'à sa mort en 1880.

Les bénéfices de cette revue étaient destinés «au soulagement des déshérités» : «Grâce à la Revue de Marseille, [Auguste Laforêt] put verser plus de 80 000 francs au trésorier des Conférences de Saint-Vincent-de-Paul. C'est là un fait admirable que d'avoir pu, non seulement assurer la vie d'une revue - chose déjà ingrate comme nous savons tous - mais encore d'avoir eu le secret d'en faire une source de profit pour les pauvres»[2].

Un journaliste et écrivain, défenseur des littératures « provinciales », Adolphe Kuntz de Rouvaire, a témoigné du contexte marseillais des revues dans lesquelles il a pu écrire (le Phocéen, la Tribune artistique et littéraire du Midi, le Mistral) dans les années 1850. Il écrit :

« Plus tard, Auguste Laforêt fonda la Revue de Marseille. Je fus amené à faire partie de la rédaction. C'est ainsi que d'excellents rapports s'établirent entre le directeur de la revue et moi. Depuis lors jusqu'à aujourd'hui, nos relations littéraires n'ont pas cessé. Auguste Laforêt, qui est un grave magistrat, a rendu bien des services à mes idées ; il n'est que trop juste que le public sache ce que la littérature provinciale doit à ce penseur profond et à cet homme de bien. Auguste Laforêt est un travailleur infatigable. Il a publié des travaux très curieux dans la Revue de Marseille, et ces articles, réunis en volume, nous arrivent aujourd'hui. Il y a là une mine de documents pour les travailleurs. Ses études sur la marine des galères sont on ne peut plus intéressantes. »»[14].

Auguste Laforêt a publié, sous forme d'articles dans la revue, des textes qui devinrent des ouvrages après coup : Étude sur la marine des galères, Le Bâton, Vals.... Il écrivit sous pseudonyme mais également des articles signés de son nom tels que :

  • «Le dernier monitoire à Marseille», , p. 477-490.
  • «Nécrologie : M. Fortuné Pin», , p. 372.
  • «Nécrologie de M. Plauche», , p. 596.
  • «Un souvenir de collège. Les cosaques à Juilly, en 1814», 1868, vol. 12, n° mai, p. 238-257.
  • «La place Monthyon, poésie», , p. 72-77.
  • «Le cinquième centenaire de Pétrarque», , p. 361-376.
  • «Nécrologie : M. S. Bertaut», , p. 668-670.
  • «Les voitures publiques à prix réduits : omnibus et tramways, , p. 89-101.
  • «Nécrologie : Madame veuve Olive», , p. 447-448.

L'essentiel de son travail consista, cependant, à solliciter et à accueillir des études de tout genre provenant de très nombreux collaborateurs.

À la mort d'Auguste Laforêt, en 1880, François Marin de Carranrais[15] (1850-1928) fut nommé membre du conseil d'administration de la Revue de Marseille et de Provence[16]. La revue disparaît en 1893[17]. En 1919, le docteur Émilien Castueil et l'écrivain Pierre Coutras[18] font reparaître la publication[19].

L'Académie de Marseille

Auguste Laforêt est élu le à l'Académie des sciences, belles-lettres et arts de Marseille, au fauteuil n° 30 (sciences), puis au fauteuil n° 25 (belles-lettres)[20] en 1873[21]. En 1863, il est élu à la fonction de président de l'Académie[22]. On le trouve en exercice l'année 1864.

Dans son discours d'ouverture de la séance publique, prononcé le , Auguste Laforêt retrace l'histoire de l'Académie, ses conflits avec l'Académie française, ses démêlés avec l'administration municipale marseillaise[23]. Il évoque les différends durables avec les représentants de la ville :

  • «L'autorité municipale, au siècle dernier, n'eut jamais de sympathie pour l'Académie. Elle ne lui accordait rien, que contrainte et forcée, pour ainsi dire, et sous réserves. Ainsi, après de nombreuses démarches et de longs pourparlers, les échevins, qui avaient consenti à donner la salle de l'Hôtel-de-Ville pour les séances publiques, ne voulurent renouveler, plus tard, cette autorisation, qu'à la condition qu'ils se placeraient eux-mêmes au bout de la table et qu'ils ne mettraient pas le chaperon sur leurs robes, ce qui, dans l'étiquette actuelle du costume, équivaudrait à la petite tenue. De son côté, l'Académie, comme pour faire acte de sa triple souveraineté scientifique, littéraire et artistique, décida que, dorénavant, le président ferait le discours d'ouverture, à chaque séance publique, le chapeau sur la tête»[24].

Curiste et homme d'affaires dans le thermalisme

Vals-les-Bains, source Pauline et Constantine, Grand Hôtel des Bains.

Auguste Laforêt est venu se faire soigner à Vals en Ardèche, où commence l'exploration des sources (connues cependant depuis le XVIIe siècle) et leur exploitation commerciale. Le thermalisme connaît une grande ferveur au XIXe siècle. Laforêt saisit cette conjoncture en homme d'affaires avisé.

  • «Il rachète les biens de Ferdinand Gaucherand : sources, maison, terrains, bains. Avec son fils Charles, son gendre Maximin Oddo et quelques amis, il fonde la Société Laforêt et Cie. De nouveaux forages font surgir les sources Pauline, Constantine, Souveraine, Convalescents et Alexandre. Le débit très élevé de cette dernière (29 m3 par 24h) permet l'agrandissement de l'établissement thermal et la construction du Grand Hôtel des Bains»[25].
Vals-les-Bains, Grand Hôtel des Bains.
  • Henry Vaschalde[26], administrateur d'établissement thermal à Vals, a dressé un historique de l'essor du thermalisme dans la ville qui mentionne l'action décisive de la famille Laforêt : «En 1864-65, deux grandes sociétés s'y fondèrent : la Société Gallimard et la Société Laforêt. La première commença par faire une immense publicité au dehors et lança en grand l'exportation des eaux ; la seconde, qui venait d'acquérir toute la propriété de l'Établissement des bains et ses dépendances, employa des sommes énormes sur les lieux ; elle prit à cœur de faire de Vals le Vichy du Midi. (...) En 1867-68, la Société Laforêt créa un établissement hydrothérapique très complet, construisit un magnifique établissement de bains, convertit toute sa propriété en parcs et jardins, au milieu desquels fut bâti le Grand Hôtel des Bains. En un mot, elle ne négligea rien pour assurer aux malades les ressources et les commodités que l'on exige aujourd'hui dans les stations thermales les plus fréquentées. (...) Toutes les sources de la Société Laforêt ont été analysées, approuvées par l'Académie de médecine et autorisées par l'État. Elles alimentent les douches et l'Établissement de bains qui se compose de 80 cabinets, dont 5 sont spécialement consacrés aux bains ferro-arsénicaux de la source Saint-Louis. Tel est aujourd'hui, l'Établissement dont le célèbre Dupasquier[27] posa la première pierre en 1845, en faisant établir les premiers bains qui devaient faire la réputation de Vals et qui, d'après ses consciencieuses recherches, étaient selon son expression : en tout semblables à ceux de Vichy. La Société Laforêt a consacré plus d'un million à ce bel établissement»[28].
Source à Vals-les-Bains.
  • En 1870 : «la Société Charles Laforêt et Cie s'associe à Louis Mathon et plusieurs autres partenaires pour fonder la Société Centrale. Ce groupe possède deux établissement thermaux, le Grand Hôtel des Bains et les parcs alentour»[25].

L'historien français Marc Boyer a également évoqué l'activité des Laforêt à Vals :

  • «...les capitalistes marseillais, les Laforêt père et fils et le gendre Oddo jouent, eux, la carte de la station de villégiature. Leur société, La Société générale d'eaux minérales et des bains de mer, présente à Vichy, tente avec peu de succès de lancer Euzet, dans le Gard, et part à l'assaut de Vals, achetant les thermes, le Grand Hôtel, continuant d'exploiter leurs sources et d'expédier les eaux»[29].

En 1866, Auguste Laforêt a publié une brochure : Les eaux de Vals ; suivie d'une seconde, en 1868 : Les Eaux de Vals : Vals autrefois, Vals aujourd'hui. Ces textes constituent de longs exposés fouillés sur l'histoire du lieu, de la région, des légendes et des personnages qui y furent liés. Bien qu'il évoque les conditions pratiques et commerciales du thermalisme à Vals, Auguste Laforêt n'y dévoile pas ses projets.

Œuvres

Galère réale pavoisée, in Auguste Laforêt, Étude sur la marine des galères.
Auguste Laforêt, Étude sur la marine des galères.

La marine des galères

Les Études sur la marine des galères furent d'abord publiées sous forme d'articles dans la Revue de Marseille et de Provence[30] à partir de , avant d'être réunies et éditées en 1861 (avec un titre au singulier : Étude...).

  • L'auteur définit son objectif : «présenter l'origine des galères, les points de similitude entre celles des temps anciens et celles des temps modernes, faire connaître leur construction, leur armement, leur équipage, décrire leur manière de naviguer et de combattre, révéler les moyens auxquels on avait recours pour suffire à l'entretien de leur chiourme, reconstruire notre arsenal, conduire le lecteurs dans les allées de ses jardins, dans les salles de son hôpital, sous les voûtes de ses magasins, repeupler les Tollards [31] de notre bagne comme les bancs de nos galères, voilà le plan que nous avons adopté»[32].

Le livre a connu un certain succès selon un académicien de Marseille, en 1920 : «Non seulement cette étude n'a pas vieilli, mais elle demeurée unique en son genre, à tel point qu'Ernest Lavisse, considéré comme notre historien national, a dû s'y référer fréquemment au cours de ses travaux sur le règne de Louis XIV»[2].

Ce travail a cependant été critiqué par l'historien Paul Masson : «L'ouvrage d'Auguste Laforêt qui n'est pas sans intérêt, n'est pas l'œuvre d'un historien. Il est bien insuffisant, et, surtout, il a besoin d'être corrigé sur beaucoup de points»[33].

Le bâton

Il s'agit d'une étude sur le bâton considéré comme signe d'autorité et de puissance (premier tome) et comme instrument de coercition et d'outrage (tome second). Pour la première fonction, l'auteur distingue : la crosse épiscopale, la crosse abbatiale, le bâton cantoral (celui du chantre ou maître de chœur dans une église), le sceptre et la main de justice, les bâtons de commandement, le bâton du chef d'orchestre, la baguette divinatoire, la bâtonnier de l'ordre des avocats, la bâton du voyageur et celui du pèlerin[34].

La peste de 1720

La peste de 1720, par Auguste Laforêt, 1863

Auguste Laforêt a utilisé des documents inédits provenant des archives marseillaises. Il note que cette peste ne fut jamais appelée par son nom :

  • «ce mal, on ne l'appela pas par son nom, ni alors, ni plus tard, ni même jamais. Malgré les 50 000 victimes qu'elle enleva à cette époque, dans la ville et son territoire, sur une population de 100 000 âmes environ, on peut dire, légalement parlant, que Marseille n'eut pas de peste. Dans tous les actes officiels - qu'ils émanent de l'autorité ecclésiastique ou municipale - dans les mandements de M. de Belsunce et les ordonnances des échevins, dans la correspondance même de ceux-ci avec l'intendant de la province, le mot peste ne se trouve pas une seule fois. C'est toujours la contagion, le mal contagieux ou même le mal tout court, un mal innommé. Il y a bien plus : quand tout danger fut passé, et que le moment fut venu de décerner les récompenses, le roi lui-même, dans ses lettres-patentes à M. le Bailli de Languedoc, dit, à son tour, qu'il le faisait lieutenant-général de ses armées pour le récompenser de ses services pendant que Marseille "était atteinte de la contagion"»[35].

Publications

  • Fleurs des Pyrénées, poésies, 1853.
  • Coutumes marseillaises : les Crèches de Noël. Souvenirs marseillais : Briquet, impr. de Vve M. Olive, Marseille, 1860.
  • Étude sur la marine des galères, A. Aubry, libraire, Paris ; Vve Marius Olive, éditeur, Marseille, 1861. (en ligne)
  • Souvenirs marseillais. La peste de 1720, impr. de Vve M. Olive, Marseille, 1863. (en ligne sur books.google.fr)
  • Les Eaux de Vals : Vals autrefois, Vals aujourd'hui, Vve Olive, Marseille, 1868.
  • La bâton. Étude historique et littéraire, impr. Marius Olive, Marseille, 1876 et 1879. Tome 1 et tome 2.

Bibliographie

Notes et références

Références

  1. Archives départementales des Bouches-du-Rhône, état civil, mariage, 1829/décembre.
  2. Réponse de M. Joseph Fournier, directeur de l'Académie, au discours de réception de M. le docteur C. Oddo, 14 mars 1920, Mémoires de l'Académie des sciences, belles-lettres et arts de Marseille, 1921, p. 449-450.
  3. Émile Perrier, Les bibliophiles et les collectionneurs provençaux anciens et modernes : arrondissement de Marseille, impr. de Barthelet et Cie, Marseille, 1897, p. 264.
  4. Né le 24 décembre 1830. Cf. Archives départementales des Bouches-du-Rhône, état civil, naissance, 1830/décembre.
  5. Archives départementales des Bouches-du-Rhône, état civil, mariage, 1857/mars.
  6. «Discours de réception de M. le docteur C. Oddo, membre de la classe des sciences», Mémoires de l'Académie des sciences, lettres et beaux-arts de Marseille, 1917-1920, 1921, p. 427.
  7. Archives départementales des Bouches-du-Rhône, état civil, décès, 1880/janvier, registre 2.
  8. Archives départementales des Bouches-du-Rhône, état civil, décès, 1880/janvier.
  9. Avant le cours Puget, Auguste Laforêt habita rue Saint-Pierre, près de l'octroi, cf. «Liste des membres résidants de l'académie de Marseille par ordre d'élection», Mémoires de l'Académie impériale des sciences, belles-lettres et arts de Marseille, années 1853-1857, 1858, p. 408 ; puis le cours Bonaparte au n° 98, cf. «Liste des membres résidants», Mémoires de l'Académie impériale des sciences, belles-lettres et arts de Marseille, années 1865-1866-1867, 1868, p. 325.
  10. Lors de sa réception à l'Académie de Marseille, le 24 mai 1857, Auguste Laforêt dit être «membre depuis 33 ans de la famille judiciaire». Cf. Mémoires de l'Académie impériale des sciences, belles-lettres et arts de Marseille, années 1853-1857, 1858, p. 229.
  11. Émile Perrier, Les bibliophiles et les collectionneurs provençaux anciens et modernes : arrondissement de Marseille, impr. de Barthelet et Cie, Marseille, 1897, p. 264-265.
  12. Gaston de Flotte (1805)1882). Cf. Data.bnf.fr.
  13. Étienne Bellot (1865-1910), Nos écrivains marseillais. Biographies locales, impr. Barthelet et cie, Marseille, 1896, p. 98.
  14. « La littérature en province, dans Le Bibliophile français : revue mensuelle des livres anciens et modernes, Librairie Bachelin-Deflorenne, Paris, 1865, p. 164 Lire en ligne.
  15. F. de Marin de Carranrais (1850-1929), data.bnf.fr.
  16. Mémoires de l'Académie des sciences, belles-lettres et arts de Marseille, 1929, p. 339.
  17. Fédération historique de Provence, 2018.
  18. Pierre Coutras (1889-1981). Cf. Data.bnf.fr.
  19. L'Intransigeant, 20 août 1919, p. 2.
  20. Académie des sciences, lettres et arts de Marseille, histoire des fauteuils de l'Académie, Régis Bertrand.
  21. Académie des sciences, lettres et arts de Marseille, histoire des fauteuils de l'Académie, Régis Bertrand.
  22. «Chronologie des académiciens», Régis Bertrand, Académie des sciences, lettres et arts de Marseille.
  23. «Discours d'ouverture prononcé par M. Auguste Laforêt, président, dans la séance publique du 22 mai 1864», Mémoires de l'Académie des sciences, belles-lettres et arts de Marseille, 1858, p. 487-515.
  24. «Discours d'ouverture prononcé par M. Auguste Laforêt, président, dans la séance publique du 22 mai 1864», Mémoires de l'Académie des sciences, belles-lettres et arts de Marseille, 1858, p. 499-500
  25. Vals-les-Bains, Inventaire du patrimoine thermal, Route des Villes d’Eaux du Massif Central, avril 2009, p. 12.
  26. Henry Vaschalde (1833-19..). Cf. Data.bnf.fr.
  27. Gaspard Alphose Dupasquier (1793-1848), professeur de chimie et médecin à l'Hôtel-Dieu de Lyon. Cf. Idref et Monuments aux grands hommes de la Martinière, patrimoine de Rhône-Alpes.
  28. ''Vals, station hydro-thermale de l'Ardèche. Son origine, ses progrès, son avenir, Henry Vaschalde, lu le 16 avril 1873 au Congrès des Sociétés savantes réunies à la Sorbonne, impr. Léopold Escudier, Aubenas, 1874, p. 15-18.
  29. Les villégiatures du XVIe au XXIe siècle, Marc Boyer, éd. EMS, Colombelles, 2008.
  30. Auguste Laforêt, Étude sur la marine des galères, 1861, avant-propos non paginé.
  31. «Tollard : lit de camp en planches, sur un plan incliné ; c'est le nom qu'il porte encore dans les bagnes actuels», note de l'auteur.
  32. Auguste Laforêt, Étude sur la marine des galères, 1861, p. 5.
  33. Paul Masson, Les galères de France (1481-1781). Marseille, port de guerre, Hachette, Paris, 1938, p. 7.
  34. Auguste Laforêt, Le bâton. Étude historique et littéraire, 1876 (premier tome).
  35. Auguste Laforêt, Souvenirs marseillais. La peste de 1720, impr. de Vve M. Olive, Marseille, 1863, p. 10.

Voir aussi

Article connexe

Liens externes

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