Athesans-Étroitefontaine

Athesans-Étroitefontaine (prononcé localement : at'zan ètroit'fontaine, le E d'Athesans n'est pas prononcé, ce qui donne « atzan ») est une commune française, située dans le département de la Haute-Saône en région Bourgogne-Franche-Comté.

Athesans-Étroitefontaine

Le village au début du XXe siècle.
Administration
Pays France
Région Bourgogne-Franche-Comté
Département Haute-Saône
Arrondissement Lure
Intercommunalité Communauté de communes du Pays de Villersexel
Maire
Mandat
Alain Bizzotto
2020-2026
Code postal 70110
Code commune 70031
Démographie
Population
municipale
649 hab. (2018 )
Densité 50 hab./km2
Géographie
Coordonnées 47° 35′ 51″ nord, 6° 30′ 40″ est
Altitude Min. 269 m
Max. 367 m
Superficie 12,88 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Lure
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Villersexel
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Bourgogne-Franche-Comté
Athesans-Étroitefontaine
Géolocalisation sur la carte : Haute-Saône
Athesans-Étroitefontaine
Géolocalisation sur la carte : France
Athesans-Étroitefontaine
Géolocalisation sur la carte : France
Athesans-Étroitefontaine

    Géographie

    Situation

    Topographie

    Ce terroir s'est avéré propice à l'élevage, à la polyculture et à la création de vergers. La commune est entourée de forêts et une partie notable de son territoire est boisée. Le bois de Saint-Georges peut être considéré comme l'extrémité Ouest d'un vaste massif forestier courant sur un terrain vallonné jusqu'aux portes de Montbéliard, et dont l'élément central est la forêt de Granges. Massif plus réduit, le Bois de Saint-Servais est placé aux abords immédiats du village d'Athesans.

    Géologie

    Le territoire communal repose sur le bassin houiller keupérien de Haute-Saône[1].

    Hydrographie

    Le ruisseau Le Rognon s'écoule à l'écart du village, au sud-est.

    Le relief légèrement vallonné de la commune a été favorable à la création d'étangs artificiels, tels que l'étang de la Mouillère et l'étang Lombard.

    Morphologie du bâti

    Le village d'Athesans, qui inclut les hameaux d'Étroitefontaine et de Saint-Georges, constitue la partie principale de la commune.

    Urbanisme

    Typologie

    Athesans-Étroitefontaine est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[2],[3],[4].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Lure, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 33 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[5],[6].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (59,9 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (59,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (59,8 %), prairies (16,4 %), zones agricoles hétérogènes (12,2 %), terres arables (6,2 %), zones urbanisées (5,4 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (0,1 %)[7].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[8].

    Toponymie

    Il y a un demi-siècle, Théodore Perrenot a développé une thèse, mise en doute depuis, selon laquelle la terminaison ANS d'Athesans, fréquente dans la Haute-Saône serait un suffixe burgonde : -ingos. Anciennes appellations d'Athesans : Athesun (1174), Athesans (1431), Atessan (1696) Athesans-Saint-Georges (1789), Athesans-les-Forges (1793).[réf. nécessaire]

    Histoire

    Des sarcophages d'époque mérovingienne ont été découverts au XIXe siècle et constituent sans doute la plus ancienne trace d'occupation humaine. Ces sarcophages sont conservés menés à Besançon{{référence incomplète|[9].

    Si l'existence d'une seigneurie d'Athesans est prouvée dès le XIIe siècle, les édifices les plus anciens ne sont que des fermes. Cette vocation agricole est confirmée par la toponymie : les lieux-dits les Essarts, les Breuleux sont des traces des défrichements de la forêt. Il n'y avait pas de château médiéval, car Athesans était entre les mains de seigneurs qui se contentaient de prélever des revenus sur les exploitations agricoles mais qui ne résidaient pas sur place.[réf. nécessaire]. À Étroitefontaine, appartenant alors à une seigneurie distincte, les mêmes causes donnèrent les mêmes effets[réf. nécessaire].

    Les édifices les plus anciens étaient des fermes, aujourd'hui démolies (maisons Ruffier, Tourdot-Charpin) dont l'une portait sur sa porte de grange le millésime 1648 (date qui coïncide avec la fin de la guerre de Trente Ans). Cet état de fait s'explique par l'histoire du village, qui bien qu'ancien, n'a pris son essor que tardivement, au XVIIIe siècle au temps de la création des forges de Saint-Georges.

    La forge de Saint-Georges est créée en 1717 par la famille Perreney de Baleure. Cette activité donne un temps au village son nom révolutionnaire d'Athesans-les-Forges. La forge est vendue comme bien national en 1797 ou 1798. Son activité d'abord importante décline dans la seconde moitié du XIXe siècle et le haut-fourneau est éteint en 1865[réf. nécessaire].

    Une ancienne exploitation de sel se trouve à la limite de Gouhenans, faisant partie des Salines de Gouhenans. De 1840 à 1845, le puits Lissot exploite du charbon de terre[10]. Du charbon de bois est produit au hameau de Saint-Georges. Au lieu-dit les Carrières, on exploitait autrefois une roche calcaire friable, impropre à la taille, pour en tirer des moellons et de la chaux[réf. nécessaire].

    La concession de Lomont d'une superficie de 2 336 ha est accordée en juillet 1904 pour l'exploitation de la houille du Stéphanien. Mais il n'y a aucune extraction de charbon en raison du manque de moyen techniques pour l'extraction du gisement situé à plus d'un kilomètre sous terre[11],[12].

    De 1911 à 1938, la commune est desservie par la ligne de Vesoul à Saint-Georges des chemins de fer vicinaux de la Haute-Saône, surnommé « le Tacot ». On peut encore voir aujourd'hui le tracé de l'ancienne ligne du « tacot » ainsi que les anciennes gares de Saint-Georges et d'Athesans[13].

    Athesans absorbe entre 1790 et 1794 Saint-Georges. En 1972, les communes d'Athesans et d'Étroitefontaine fusionnent sous le nom d'Athesans-Étroitefontaine[14].

    Politique et administration

    Carte départementale représentant en rouge la communauté de communes du Pays de Villersexel.

    Rattachements administratifs et électoraux

    La commune fait partie de l'arrondissement de Vesoul du département de la Haute-Saône, en région Bourgogne-Franche-Comté. Pour l'élection des députés, elle dépend de la deuxième circonscription de la Haute-Saône.

    Elle fait partie depuis 1795 du canton de Villersexel[14]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, le canton s'est agrandi, passant de 32 à 47 communes.

    La commune d'Athesans-Étroitefontaine fait partie du ressort du tribunal d'instance, du conseil de prud'hommes et du tribunal paritaire des baux ruraux de Lure, du tribunal de grande instance, du tribunal de commerce et de la cour d'assises de Vesoul, du tribunal des affaires de Sécurité sociale du Territoire de Belfort et de la cour d'appel de Besançon.

    Dans l'ordre administratif, elle relève du Tribunal administratif et que de la cour administrative d'appel de Nancy[15],[16].

    Intercommunalité

    La commune est membre de la communauté de communes du Pays de Villersexel, créée en le .

    Liste des maires

    La mairie.
    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    juin 1995 En cours
    (au 3 juin 2020)
    Alain Bizzotto   Réélu pour le mandat 2020-2026[17]

    Population et société

    Évolutions démographiques

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[18]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[19].

    En 2018, la commune comptait 649 habitants[Note 3], en diminution de 3,85 % par rapport à 2013 (Haute-Saône : −1,23 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    485566567527586663650700705
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    563646643642629557546512522
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    475542578515506485423511462
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2010 2015
    479604545573584564575662662
    2018 - - - - - - - -
    649--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[14] puis Insee à partir de 2006[20].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    En dépit de la diminution du nombre des exploitations agricoles, le village s'est maintenu en devenant un lieu de résidence pour ouvriers et employés des villes environnantes (spécialement Lure, Magny-Vernois, Sochaux et Montbéliard).

    Enseignement

    L'école.

    Athesans-Étroitefontaine est rattachée à l'académie de Besançon.

    Le SIVU du Tacot, constitué des communes villages d’Athesans-Étroitefontaine, Villafans, La Vergenne, Senargent, Mignafans, Mignavillers et Gouhenans[21] a édifié à Athesans son nouveau pôle éducatif, qui intègre l'ancienne école communale de quatre classes construite en 1956, restructuré en bâtiment basse consommation (BBC) avec un bardage bois en 2014[22],[23]. Le pôle comprend également un centre périscolaire, construit également par l'intercommunalité aux normes BBC en 2013, et qui accueillait alors une dizaine d’élèves le matin, 35 le midi et 15 le soir[24]

    Subsistent également les bâtiments désaffectés de l'ancien pensionnat Jeanne d'Arc. Pour les niveaux de scolarisation des collégiens et des lycéens, le collège Louis Pergaud de Villersexel et le lycée G-Colomb de Lure sont les établissements privilégiés.

    Santé

    Athesans-Etroitefontaine dispose d'un cabinet de médecin généraliste ainsi que d'une pharmacie. Des infirmières à domicile résident dans la commune. L'hôpital de Lure se situe à douze kilomètres, le centre hospitalier de Vesoul et le tout nouvel hôpital de Belfort-Montbéliard (situé à Trevenans) sont accessibles l'un et l'autre en trente minutes par la route.

    Services

    La commune dispose des services assurés par la mairie ainsi que de ceux de l'agence postale communale. L'ensemble des autres services publics sont disponibles à Lure (Pôle emploi, EDF, le centre des impôts, justice, bibliothèque, médiathèque, cinéma et espace culturels).

    Cultes

    Athesans-Étroitefontaine est au centre de l'unité pastorale d'Athesans-Moffans[25], faisant partie du doyenné de Lure, qui dépend de l'archidiocèse de Besançon[26].

    Le village dispose d'une église catholique.

    Manifestations culturelles et festivités

    Fête patronale au mois de mai. Foire le premier dimanche de septembre[27].

    Économie

    Le dynamisme actuel d'Athesans s'explique essentiellement par sa situation sur les axes routiers, ce qui lui a permis de se maintenir au niveau démographique, et ce qui a favorisé le maintien de commerces traditionnels et l'apparition de services médicaux (médecins et pharmacie).

    Le village dépendant économiquement des deux centres urbains de Lure et de l'agglomération d'Héricourt-Montbéliard. Ces deux pôles offrent de nombreux emplois et sont rapidement accessibles par une voie expresse passant dans ces axes à proximité d'Athesans-Étroitefontaine.

    Un élevage d'escargots existe.

    Lieux et monuments

    • La croix de grès dans le Bois de Saint-Servais, datée de 1826, s'élève sur les lieux d'une ancienne chapelle dont on voit quelques rares pierres[28].
    • L'église Saint-Servais est en style néo-gothique des années 1830. Une de ses cloches date de 1500 et compte parmi les plus anciennes du département de la Haute-Saône.
    • Statue à Notre-Dame-de-la-Libération, au sud, sur la route de Villafans, sur la route par laquelle les troupes coloniales sont entrées dans le village à l'automne 1944. Le hameau de Saint-Georges est dominé par un vaste pavillon de chasse aux allures de château, dont la partie la plus ancienne fut construite vers 1820 par L. de Pourtalès, propriétaire des forges.
    • Des vestiges des puits des mines de sel et de charbon sont encore visible en certains endroits : le puits Lissot (1840-1845) de la concession d'Athesans et les puits no 12 et 16 des mines de Gouhenans.
    • Ancien château du XVIIe siècle, réaménagé et agrandi pour en faire une école libre en 1893 puis un pensionnat privée de jeunes filles en 1903, puis mixte en 1960 avant de se voir désaffecté en 2002[29].
    • Parcours des anciennes bornes de la commune.
    • Étang de la Mouillière. Hameau de Saint-Georges avec anciennes forges. Grande fontaine d'Étroitefontaine.

    Personnalités liées à la commune

    • L'abbé Constant Tournier, curé d'Athesans, est l'auteur de plusieurs livres sur le protestantisme dans la région :
      • Le Protestantisme dans le Pays De Montbéliard, imprimerie Jacquin, Besançon 1889 ;
      • Le Catholicisme et le Protestantisme dans le pays de Montbéliard, imprimerie Jacquin, Besançon 1894, 492 pages (réédité en 1921) ;
      • La crise huguenote à Besançon au XVIe siècle, Besançon, Jacquin, 1910 ;
      • Le Miracle De Faverney vu et raconté par un Protestant De Montbéliard Imprimerie Jacques et Demontrond, Besançon, 1932.
      • Le Monument de Chagey et le patriotisme luthérien dans le pays de Montbéliard, imprimerie Jacquin, 1899[30]
    • Benoît le Gouz de Saint-Seine (1900-1973), officier pendant la Seconde Guerre mondiale (Off. de la Légion d'Honneur), il sera élu plusieurs fois dans l'immédiat après-guerre. C'est sous ses mandats que le village verra l'apparition de l'eau courante, de l'électricité ou encore de l'école communale.
    • Hermann Bacchetta, ancien maire plusieurs fois réélu[Quand ?]. A donné son nom à une rue d'Athesans. Il a donné au village sa physionomie actuelle. Divers édifices tant publics que privés ayant été rénovés par son entreprise de maçonnerie.
    • Charles Page, ancien maire[Quand ?], qui a également donné son nom à une rue du village.
    • Lucien Tharradin (1904-1957), homme politique, résistant, maire de Montbéliard et sénateur du Doubs Lucien Tharradin et son épouse reposent au cimetière d'Athesans.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. Édouard Thirria, Manuel à l'usage de l'habitant du département de la Haute-Saône, (lire en ligne), p. 184-185.
    2. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    3. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    4. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    5. « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Lure », sur insee.fr (consulté le ).
    6. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    7. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    8. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    9. Suchaux, Dictionnaire des communes de la Haute-Saône}} éditions Marcel Bon, Vesoul, 1969
    10. « Compte-rendu des travaux des Ingénieurs des Mines », p. 20 (Haute-Saône).
    11. Carilian-Goeury et Vor Dalmont, Annales des mines, partie administrative, ou Recueil de lois, décrets, arrêtés et autres actes concernant les mines et usines, vol. 3, (lire en ligne), p. 162-165.
    12. Jean-Jacques Parietti, Les dossiers de la Houillère 2 : Le puits Arthur de Buyer, Association des amis du musée de la mine, (présentation en ligne), p. 4.
    13. Jean-Claude Riffaud, « Les chemins de fer vicinaux de la Haute-Saône », dans Magazine des Tramways à Vapeur et des Secondaires, no 9 (1979)
    14. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    15. « Juridictions de Vesoul », sur le site du ministère de la Justice (consulté le ).
    16. « Carte judiciaire » [PDF], sur le site du ministère de la Justice (consulté le ).
    17. « Un 5e mandat pour Alain Bizzotto », sur L'Est républicain, (consulté le ).
    18. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    19. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    20. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    21. « Le SIVU du Tacot sur les rails », L'Est républicain, (lire en ligne) « Les communes d’Athesans-Étroitefontaine, Gouhenans, La Vergenne, Mignavillers, Senargent-Mignafans et Villafans ont décidé de s’associer au sein d’un Syndicat intercommunal à vocation unique pour la gestion des écoles. Il a été baptisé « SIVU du Tacot ».Ce Syndicat a pour objet la construction des écoles à Athesans, leurs annexes et leurs voies d’accès, l’entretien et le fonctionnement (y compris la participation pour les fournitures scolaires ou divers) des écoles ».
    22. « Athesans-Étroitefontaine Construction et rénovation à l’école », L'Est républicain, (lire en ligne).
    23. « Le sivu du Tacot sera prêt à l’heure », L'Est républicain, édition de Vesoul - Haute-Saône, (lire en ligne).
    24. « Le centre périscolaire a ouvert ses portes », L'Est républicain, (lire en ligne).
    25. « Unité pastorale d'Athesans-Moffans », sur le site du diocèse de Besançon (consulté le ).
    26. « Doyenné de Lure », sur le site du diocèse de Besançon (consulté le ).
    27. « 23e édition de la foire ’Athesans », L'Est républicain, (lire en ligne).
    28. « La croix de Saint-Servais à nouveau debout », L'Est républicain, édition de Vesoul - Haute-Saône, (lire en ligne).
    29. « Le château d'Athesans », sur besac.com.
    30. Abbé Tournier, Le monument de Chagey ou le patriotisme luthérien dans le pays de Montbéliard par l'abbé Tournier curé d'Athesans, Besançon, Paul Jacquin, (lire en ligne).
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