Arte France

Arte France est une société française d’édition de programmes de télévision créée le sous le nom La Sept. Devenue le pôle français de la chaîne franco-allemande Arte à la création de cette dernière le , elle prend le nom La Sept-Arte le , puis son nom actuel le .

Arte France

Création
Dates clés  : Début des émissions de La Sept

 : Création d'Arte
 : Début des émissions d'Arte
 : Changement de nom pour La Sept-Arte
 : GIE avec La Cinquième
 : Changement de nom pour Arte France

Personnages clés Georges Duby, Jérôme Clément
Forme juridique Société anonyme à directoire et conseil de surveillance
Siège social Issy-les-Moulineaux
 France
Direction Bruno Patino (président) / Frédéric Bereyziat (directeur général en charge des ressources)
Directeurs Bruno Patino (depuis le )
Actionnaires France Télévisions (45 %)
État français (25 %)
Radio France (15 %)
INA (15 %)
Activité Télévision, radiodiffusion, édition, cinéma
Produits Chaînes de télévision, web radio, production audiovisuelle, édition
Sociétés sœurs Arte Deutschland TV
Filiales Télévision : Arte (disponible également via Arte Deutschland TV) et TV5 Monde (3,29%)
Radio : Arte Radio
Production et autres : Arte France Cinéma et Arte France Développement (Arte Studio et Arte Éditions)
SIREN 334689122

La société possède des filiales dans le cinéma avec Arte France Cinéma, la radio avec Arte Radio et l’édition (livre ou multimédia) ainsi que la production avec Arte France Développement. Elle a également participé ou participe encore au financement de chaînes françaises et internationales telle que TV5 Monde.

Histoire de la société

La Sept (1986-1992)

Logo de La Sept (du 30 mai 1989 au 30 mai 1992).

Projet

Dans les années 1980, le paysage audiovisuel français est en plein bouleversement avec une libéralisation menant à l’apparition d’opérateurs privés (Canal+, La Cinq, TV6 et TF1). Dès 1984, François Mitterrand, alors président de la République, a l’idée d’une chaîne culturelle et éducative à vocation européenne[1]. Le , Georges Fillioud, secrétaire d’État chargé des Techniques de la communication dans le gouvernement Laurent Fabius, charge Pierre Desgraupes, ancien PDG d’Antenne 2, d’imaginer un nouveau programme de télévision publique de dimension européenne destiné à être diffusé par le futur satellite TDF 1. En , Desgraupes remet le rapport « Canal 1 ». Le mois suivant, le gouvernement annonce la création d’une nouvelle chaîne de service public inspirée du rapport[2].

Le , La Sept, pour « Société d’Édition de Programmes de Télévision », est créée. Elle est détenue à 45 % par FR3, à 25 % par l’État français, à 15 % par Radio France et à 15 % par l’INA[3]. Bernard Faivre d’Arcier est le président du directoire jusqu’à l’automne où il se voit remplacé par Georges Duby, historien au Collège de France. En , la société se dote d’un Comité des programmes ouvert aux représentants des chaînes publiques européennes. Le , La Sept signe un premier accord de coopération avec la ZDF (Allemagne). Entre 1987 et 1988, de nombreux autres accords sont signés avec l’ARD (Allemagne), la RTBF (Belgique), la SSR (Suisse), la Danmarks Radio (Danemark), la SVT (Suède), Channel 4 (Royaume-Uni), l’ORF (Autriche), la RTVE (Espagne) et l’ERT (Grèce)[2].

Le , La Sept devient la « Société européenne de programmes de télévision » et change de statut pour devenir diffuseur en plus de producteur de programmes[1],[2]. En avril, elle reçoit l’autorisation du CSA d’émettre sur un canal du satellite TDF 1[4].

Début de la diffusion

1989 : début de diffusion, via le satellite TDF 1[3],[5], le , touchant un nombre de téléspectateurs très réduit[6]. Puis s’ajoute la diffusion via les réseaux câblés européens et les réseaux hertziens d’Europe de l’Est à la suite d’accords passés par la chaine[2].

1990 : augmentation importante de la couverture de La Sept par la reprise de ses programmes sur FR3 le samedi de 15h à minuit, à la demande de Jérôme Clément, président de La Sept[7] du [3] au , dans le cadre de La Sept sur la 3[8].

Programmes emblématiques

Intégration dans Arte (1990-1992)

Le , à la veille de la réunification allemande, un traité interétatique entre la France et les onze länder allemands établissant les fondements d’une Chaîne Culturelle Européenne (CCE) est signé à Berlin. Le , la chaîne « Arte », pour « Association relative à la télévision européenne », est créée sous la forme d’un groupement européen d’intérêt économique (GEIE). Le groupement est composé de deux pôles paritaires : La Sept en France et Arte Deutschland TV GmbH en Allemagne[3].

Le , La Sept crée La Sept Cinéma, une société de production cinématographique. En , elle fonde La Sept Vidéo, une société de production, d’édition et de commercialisation de vidéos[3].

Le , Arte commence sa diffusion par câble et satellite lors d’une soirée spéciale en direct de l’Opéra de Strasbourg. Le , la chaîne étend sa visibilité en France en récupérant le 5e réseau hertzien terrestre français, jusqu’alors attribué à La Cinq qui vient de faire faillite[3],[9]. La Sept a perdu son rôle de diffuseur et n’est plus qu’une société d’édition de programmes de télévision intégrée à Arte.

La Sept-Arte (1993-2000)

Logo de La Sept-Arte du au

Le , La Sept change de nom pour celui de « La Sept-Arte »[3].

En , La Sept-Arte lance Arte Éditions, qui doit prolonger les programmes de la chaîne dans le domaine du livre et du multimédia[3].

En 1994, une nouvelle chaîne publique voit le jour : La Cinquième. Le ministre de la Communication Nicolas Sarkozy impose alors la création le d’un groupement d’intérêt économique (GIE) incluant La Sept-Arte et La Cinquième afin de faire des économies. À partir du , les deux chaînes doivent se partager le canal no 5 : La Cinquième diffuse ses programmes de 3 h à 19 h et Arte diffuse les siens le reste du temps[10],[11].

Le , la chaîne Festival (future France 4) fait ses débuts. La Sept-Arte en est actionnaire à hauteur de 11 %[12].

Fin 1996, face à l’échec du GIE La Sept-Arte/La Cinquième en termes d’économies, le ministre de la Culture Philippe Douste-Blazy envisage la création d’une nouvelle société dotée d’un budget propre[13]. Cette structure est mise en place par le gouvernement Jospin après les élections législatives françaises de 1997[10].

Le , La Sept Cinéma prend le nom d’Arte France Cinéma[3].

En , La Sept-Arte/La Cinquième devient actionnaire de la chaîne francophone internationale TV5 Monde à hauteur de 12,5 %. TV5 Monde diffuse quelques émissions d’Arte France qu’elle co-produit ou achète et dont elle réalise le sous-titrage en 13 langues[14],[15].

Au moment de la création du groupe France Télévisions en 2000, le gouvernement Jospin, sa ministre de la Culture et de la Communication Catherine Trautmann et le directeur des chaînes publiques Marc Tessier veulent faire passer le groupement La Sept-Arte /La Cinquième dans le giron de la nouvelle holding publique. Jérôme Clément, président du Comité de gérance d’Arte, obtient avec l’appui des Allemands qu’Arte soit maintenue en dehors de cette holding par un amendement voté au Sénat le . La chaîne reste donc indépendante[16],[17],[18], tandis que La Cinquième intègre France Télévisions le et prend le nom de France 5 le [10].

Arte France (depuis 2000)

Le , La Sept-Arte prend le nom d’Arte France. Le , La Sept Vidéo change de nom pour celui d’Arte France Développement[3].

En 2001, Arte France devient actionnaire à 25 % de l’Agence française de coopération médias (CFI), chargée d’aider le développement des médias des pays du Sud[19]. Une convention fixant le cadre de la collaboration est signée entre les deux sociétés le [20]. En , Arte France devient actionnaire à 15 % de la nouvelle chaîne culturelle canadienne francophone ARTV[14]. Elle revend sa participation à Radio Canada le [21].

En , Arte France lance Arte Radio, une webradio à la demande qui propose des formats courts (reportages, documentaires, créations sonores...)[22],[23].

En 2008, lors de création de la holding Audiovisuel extérieur de la France (AEF), Arte France réduit sa participation dans TV5 Monde à moins de 4 %[15].

Début juillet 2020, la présidente Véronique Cayla doit quitter son poste alors qu’elle arrive en fin de carrière à 70 ans[24]. Bruno Patino est nommé à sa place à la tête d’Arte France[25].

Identité visuelle

Le premier habillage, conçu par Hélène Guétary, met en scène des personnages insolites, telles des sœurs jumelles, ou des moutons qui occupent les nuits de la chaîne pendant plus de 15 ans pour accompagner les téléspectateurs dans leur sommeil. Cet interlude bénéficie d’une reconnaissance remarquable[26] et a même été commercialisé en vidéocassette[27]. Radio Nova signe la bande-son.

En janvier 1995, la chaîne change d’habillage et de charte graphique conçus par l’agence britannique Lambie-Naim & Company. La typographie du logo évolue pour être plus lisible, opte pour une couleur orange et s’affiche à l’écran avec un angle à 4 degrés.

En janvier 2001, Arte lance un nouvel habillage signé de l’agence Razorfish. Les jingles identitaires mettent en scène des personnages de la vie quotidienne dans un esprit zen.

Le 3 janvier 2004, la chaîne lance un nouvel habillage plus dynamique, signé de l’agence allemande Velvet Mediendesign, qui a pour thème la « curiosité », d’où son nouveau slogan « Vivons curieux ». Les jingles identitaires mettent en scène des personnages dans des situations de curiosité. La bande son est toujours conçue par Nova Prod, sous la direction artistique de Catherine Lagarde[28].

Pour les vacances de Noël 2005, Hélène Guétary réalise un habillage mettant en scène des personnages de toutes origines chantant des chansons de Noël dans leurs langues et dans leurs tenues de fête traditionnelles.

Avec les nouvelles technologies, Arte doit évoluer son mode de diffusion numérique. Par conséquent, la chaîne lance le 6 septembre 2008 un habillage revisité par l’agence Luxlotusliner[29] réalisé en 16/9 et en haute définition. Chaque jingle montre un visage d’homme, de femme ou d’enfant regardant face à la caméra, tel un portrait photographique. La musique est signée Tibo Javoy et Keren Ann et supervisée par Nova Prod.

Le 28 février 2011, Arte met en place un nouvel habillage et un logo qui se pare d’une couleur rouge tout en gardant sa forme[30].

Le 25 mars 2017, la chaîne lance un nouvel habillage réalisé par l’agence britannique The Partners en coopération avec Lambie-Nairn. Le logo conserve sa forme et sa couleur, mais il s’affiche désormais en verticale et apparaît comme un aimant à l’écran.

Organisation

Le Directoire

Le Directoire assure la gestion de la société. Il est composé de trois membres nommés pour cinq ans : le président, le directeur général et le directeur de la gestion et de la coordination[31].

Présidents[32] :

Directeurs généraux[32] :

  • Victor Rocaries[N 4] : 1992 - 1993
  • Hélène Font : 1993 -
  • Jean Rozat : [36] -
  • Anne Durupty[N 5] : - [37]
  • Régine Hatchondo : -
  • Frédéric Béreyziat : depuis le

Le Conseil de surveillance

Le Conseil de surveillance décide des grandes orientations stratégiques et économiques. Il contrôle et nomme les membres du Directoire. Il est composé de onze membres qui se réunissent quatre fois par an[31].

Présidents du conseil de surveillance :

Vice-présidents :

Mission

Arte France, comme Arte Deutschland TV GmbH, est chargée de concevoir, produire et acheter des programmes pour alimenter la grille d’Arte[42]. Les deux pôles doivent fournir respectivement 40 % des programmes et les chaînes européennes partenaires les 20 % restants[43].

Capital

Le capital d’Arte France est détenu conjointement par des entreprises publiques ou des organismes d’État[42] :

Siège social

Le siège d’Arte France se situe au 8 rue Marceau à Issy-les-Moulineaux, dans les Hauts-de-Seine[44].

Budget

Le budget 2016 s’élève à 270,15 millions d’€. Les recettes comprennent essentiellement la contribution audiovisuelle publique : 264,5 M d’€[45]. Les dépenses principales sont la production et l’achat de programmes : 149,25 M d’€, la subvention à Arte GEIE : 63,64 M d’€.

Activités

Télévision

Arte France participe au capital de plusieurs chaînes de télévision en France et à l’international :

  • Arte, chaîne franco-allemande à vocation culturelle européenne
    Détenue à parité par Arte France et Arte Deutschland TV GmbH ;
  • TV5 Monde, chaîne francophone internationale créée le
    Arte France est actionnaire à 12,5 % depuis 1999, sa participation étant réduite à 3,29 % en 2008.

Elle a également été par le passé au capital de plusieurs chaînes :

  • Arte Belgique, version belge d’Arte diffusée du à 2015 ;
  • Festival, chaîne thématique créée le et remplacée par France 4 le
    Arte France est actionnaire à 11 % jusqu’à sa disparition ;
  • ICI ARTV (ex-ARTV), chaîne culturelle québécoise créée le
    Arte France est actionnaire à 15 % à sa création et revend sa participation le .

Radio

  • Arte Radio, webradio à la demande créée en qui propose des format courts (reportages, documentaires, créations sonores…) dans sa sonothèque.

Production et autres

  • Arte France Cinéma (ex-La Sept Cinéma), société de production cinématographique créée le  ;
  • Arte France Développement (ex-La Sept Vidéo), société créée en 1992 qui regroupe :
    • Arte Studio, société proposant des moyens de conception, la réalisation et production de projets audiovisuels ;
    • Arte Éditions, société d’édition et de commercialisation de livres, DVD, CD et BD, créée en  ;

Communication

Activité de lobbying en France

Pour l’année 2017, Arte France déclare à la Haute Autorité pour la transparence de la vie publique exercer des activités de lobbying en France pour un montant qui n’excède pas 50 000 euros[46].

Polémiques

Affaire Roswell

Lors de la première émission de L’Odyssée de l’étrange le sur TF1, Jacques Pradel annonce la sortie d’un film prouvant l’existence de l’extraterrestre de Roswell comportant des images publiées ensuite par le magazine VSD[47]. La chaîne Arte décide de dénoncer ce qu’elle considère comme un canular, en diffusant le une soirée intitulée Extraterrestres, la preuve[48]. Avec un contre-document « pseudo-russe » réalisé par Jean-Teddy Filippe montrant lui aussi la dissection d’une chose venue de l’espace, suivi d’un débat animé par Michel Polac[47].

Après avoir commercialisé une cassette VHS sous le titre L’extra-terrestre de Roswell, TF1 diffuse le [49] de larges extraits du film présenté par Ray Santilli comme la dissection de l’extra-terrestre de Roswell. Le film a été vendu à vingt-sept pays pour une somme totale estimée à trente millions de francs[50],[51]. À la suite de cette diffusion, l’émission a été décriée dans la presse[52]. En 2005, Santilli avoue que le film est un faux, l’extra-terrestre ayant été fabriqué par John Humphreys[53].

Notes et références

Notes

  1. Jérôme Clément, président, est aussi président du Comité de gérance d'Arte GEIE du au puis du au et vice-président du au puis du au .
  2. Véronique Cayla, présidente, est aussi présidente du Comité de gérance d'Arte GEIE du au .
  3. Bruno Patino, président, est aussi président du Comité de gérance d'Arte GEIE du .
  4. Victor Rocaries, directeur général, est aussi directeur des programmes d'Arte GEIE du au et directeur de la gestion du au .
  5. Anne Durupty, directrice générale, est aussi vice-présidente du Comité de gérance d'Arte GEIE depuis le .
  6. Daniel Toscan du Plantier, vice-président, est aussi vice-président de l'Assemblée générale d'Arte GEIE du au .
  7. Nicolas Seydoux, vice-président, est aussi président de l'Assemblée générale d'Arte GEIE depuis le .

Références

  1. « Naissance d'Arte, télévision franco-allemande », sur le site de l'Ina (consulté le ).
  2. Pierre Lefort, « La Sept et le projet de chaîne culturelle européenne », Relations internationales, Presses universitaires de France, no 126, , p. 97-110 (ISBN 9782130556565, lire en ligne).
  3. [PDF]« 1991-2001 : Arte 10 ans », sur le site d'Arte, (consulté le ).
  4. « Décision européenne du 20 avril 1989 no 89-46 du CSA », sur legifrance.gouv.fr (consulté le ).
  5. « Lancement de La Sept », sur le site de l'Ina, (consulté le ).
  6. « Histoire d'entreprises : Arte, une aventure franco-allemande », (consulté le ).
  7. « FR3 : La grille Chancel », sur lesoir.be
  8. Olivier Millot, « Aux origines d'Arte… était la Sept », sur telerama.fr,
  9. Aurélie Marx, « Arte, une aventure franco-allemande », sur histoire-entreprises.fr, (consulté le ).
  10. « La Cinquième, la chaîne de la connaissance », sur le site de l'Ina, (consulté le ).
  11. « France 5 leur doit beaucoup », sur le site du Parisien, (consulté le ).
  12. Martine Esquirou, « Festival fait son cinéma à la télé », sur le site de Libération, (consulté le ).
  13. Martine Esquirou, « Cinquième-Arte, mariage forcé. », sur le site de Libération, (consulté le ).
  14. [PDF]« Arte 20 ans », sur le site d'Arte (consulté le ).
  15. « Partenariat entre Arte France et TV5 Monde », sur le site d'Arte (consulté le ).
  16. « Catherine Trautmann », sur le site du Ministère de la Culture, (consulté le ).
  17. Emmanuel Berretta, « France Télé sans pub : Arte ne se sent pas inquiétée », sur le site du Point, (consulté le ).
  18. Marc Endeweld, France Télévisions, Off the Record : Histoires secrètes d'une télé publique sous influences, Éditions Flammarion, 479 p. (ISBN 978-2-08-125442-8, présentation en ligne).
  19. « CFI - L'institution », sur cfi.fr (consulté le ).
  20. « CFI / ARTE France : Signature d’une convention cadre de collaboration », sur le site d'Arte, (consulté le ).
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  24. « Bruno Patino nommé à la tête d'Arte France », sur Les Echos, (consulté le )
  25. « Bruno Patino devient le nouveau président d’Arte France », Le Monde.fr, (lire en ligne, consulté le )
  26. Le choix d'Arte, de Jérôme Clément, édition Grasset, 2011, p. 178.
  27. « Notice bibliographique », sur BNF
  28. « "Le nouveau son d'ARTE", reportage audio dans les coulisses de la création sonore d'Arte. », sur arteradio.com,
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  30. « Communiqué de presse : Arte change d'habillage le 28 février », sur arte.tv,
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  34. Nathalie Silbert, « Véronique Cayla prendra la tête d'Arte France en 2011 », sur le site des Échos, (consulté le ).
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  47. Béatrice Bocard, « Les Martiens contre-attaquent. Mardi, Arte organisait une soirée contre les extraterrestres, Jacques Pradel et la crédulité », Libération, (lire en ligne, consulté le ).
  48. « Fiche Ina.fr, Extraterrestres, la preuve », sur ina.fr, , ARTE, création originale, débat.
  49. « Fiche Ina.fr, TF1 Spécial crash de Roswell, L'odyssée de l'étrange », sur ina.fr, .
  50. Anne Taverne, La cassette de Pradel, un Objet Vendeur Non Identifié. TF1 a acheté le film de la prétendue autopsie de l'E.T. de Roswell., Libération, .
  51. Le Squelette de Roswell débarque à TF1 : un os (moelleux) que Jacques Pradel entend ronger jusqu'au bout, Meskens, Joëlle, archives.lesoir.be, p. 18, .
  52. Loïc Prigent, TF1, 20h50, «l'Odyssée de l'étrange». Magazine surnaturel. Jacques Pradel sur Mars et ça repart. Après sa vidéo sur «l'extra-terrestre» de Roswell, l'animateur insiste sur TF1., liberation.fr, .
  53. (en) « I made the Roswell alien », sur bbc.co.uk (consulté le ).

Voir aussi

Articles connexes

Liens externes

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