Argueil

Argueil est une commune française située dans le département de la Seine-Maritime en région Normandie.

Argueil

La mairie.

Héraldique
Administration
Pays France
Région Normandie
Département Seine-Maritime
Arrondissement Dieppe
Intercommunalité Communauté de communes des 4 rivières
Maire
Mandat
Isabelle Brequigny
2020-2026
Code postal 76780
Code commune 76025
Démographie
Gentilé Argueilleux ou Argueillois
Population
municipale
342 hab. (2018 )
Densité 49 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 32′ 30″ nord, 1° 30′ 57″ est
Altitude Min. 100 m
Max. 210 m
Superficie 6,95 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Rouen
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Gournay-en-Bray
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Normandie
Argueil
Géolocalisation sur la carte : Seine-Maritime
Argueil
Géolocalisation sur la carte : France
Argueil
Géolocalisation sur la carte : France
Argueil

    Géographie

    Carte de la commune.

    Commune du pays de Bray, Argueil est le plus petit chef-lieu de canton de la Seine-Maritime. Les collégiens se rendent à La Feuillie.

    Le bourg est situé à km de Forges-les-Eaux, à 16 km de Buchy, à 18 km de Gournay-en-Bray et à 21 km de Lyons-la-Forêt.

    Argueil était desservie par la gare de Sigy-Argueil située sur la ligne de Charleval à Serqueux aujourd'hui déferrée. De nos jours, la gare la plus proche d'Argueil est la gare de Forges-les-Eaux mais il vaut mieux aller jusqu'à la gare de Serqueux, située à 11 km bien mieux desservie (mis à part pour la direction de Gisors-Embranchement pour laquelle l'on choisira plutôt d'aller à Gournay - Ferrières située à 19 km).

    Communes limitrophes

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de température : 10,2 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3,2 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 2,7 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 14 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 2] : 846 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12,8 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 8,4 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Forges », sur la commune de Forges-les-Eaux, mise en service en 1959[7] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[8],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 10,5 °C et la hauteur de précipitations de 827,2 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 4], « Rouen-Boos », sur la commune de Boos, mise en service en 1968 et à 28 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 10,1 °C pour la période 1971-2000[11] à 10,5 °C pour 1981-2010[12], puis à 11 °C pour 1991-2020[13].

    Urbanisme

    Typologie

    Argueil est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[14],[15],[16].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Rouen, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 317 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[17],[18].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (87,9 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (87,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (48,4 %), terres arables (39,1 %), forêts (8,1 %), zones urbanisées (4 %), zones agricoles hétérogènes (0,4 %)[19].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[20].

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté pour la première fois sous la forme Orgoil vers 1043[21].

    Il s'agit d'une formation toponymique médiévale basée sur le mot orgueil (mentionné pour la première fois comme nom commun en 1080 sous la forme orgoill[22]) et utilisé dans ce cas pour désigner un lieu remarquable, peut-être une maison forte[23].

    Histoire

    Le village a été construit au pied de la colline du Mont Sauveur qui culmine à 210 m[24] qui servait de refuge aux villageois quand ils se sentaient menacés[réf. nécessaire].

    Quand Philippe Auguste intégra la Normandie au domaine royal, le village s'installa dans le vallon[réf. nécessaire] traversé par la Roulée, affluent de l'Andelle[25].

    Politique et administration

    Rattachements administratifs et électoraux

    La commune se trouve depuis 1926 dans l'arrondissement de Dieppe du département de la Seine-Maritime. Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 2012 de la deuxième circonscription de la Seine-Maritime.

    Elle faisait était depuis 1793 le chef-lieu du canton d'Argueil[26]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune intègre le canton de Gournay-en-Bray.

    Intercommunalité

    La commune était le siège de la petite communauté de communes des Monts et de l'Andelle, créée en 2003.

    Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République (Loi NOTRe) du 7 août 2015, qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants[27], cette intercommunalité fusionne avec d'autres pour former, le , la communauté de communes des 4 rivières dont la commune est désormais membre.

    Liste des maires

    Liste des maires successifs[28]
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
        J. Béal   Médecin
    Conseiller général d'Argueil (1907→ 1919)
    1930 1936 M. E. Boullet    
    Les données manquantes sont à compléter.
    1965 décembre 1974 Paul Lejeune    
    janvier 1975 décembre 2012[29] Michel Cordonnier UMP Médecin puis retraité
    Conseiller général d'Argueil (1998→ 2008)
    Démissionnaire
    janvier 2013 août 2016[30] Claudie Chapeyrou UMPLR Secrétaire de mairie
    Démissionnaire
    octobre 2016[31] En cours
    (au 10 août 2020)
    Isabelle Bréquigny   Vice-présidente de la CC des 4 rivières (2017 → )
    Réélue pour le mandat 2020-2026[32],[33]

    Politique de développement durable

    La commune se dote en 2018 d'un composteur pour la destruction et la valorisation des déchets verts, cendres et fumiers, pour les habitants qui souhaitent bénéficier de ce service[34].

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[35]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[36].

    En 2018, la commune comptait 342 habitants[Note 7], en augmentation de 3,64 % par rapport à 2013 (Seine-Maritime : +0,1 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    496296342392463474474464501
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    511500475428430425424419471
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    434410415368420455431421356
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2008
    366389374395379366344341338
    2013 2018 - - - - - - -
    330342-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[26] puis Insee à partir de 2006[37].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Manifestations culturelles et festivités

    • Fête annuelle dite fête Saint Maurice le 4e dimanche de septembre[réf. nécessaire].

    Economie

    Les deux commerces de la commune (une épicerie et un coiffeur) sont réinstallés en 2018 dans l'ancienne mairie, réhabilitée à cet effet, et comprenant également une halle ouverte sous deux arcades et des toilettes publiques[38].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Le Manoir d'Argeuil, Centre de vacances Odcvl
    • Le manoir d'Argueil : château comportant un donjon rectangulaire cantonné de tourelles, le tout élevé en brique et pierre aux XVe et XVIe siècles, auquel est accolé un corps de logis du XVIIIe siècle, et parc. Cette demeure a appartenu successivement aux familles Havart, de Briqueville, de Frémont d'Auneuil, de Trie-Pillavoine, de Valon et de Castelbajac [39],[40].
      La gestion du manoir[41] a été confiée à l'office départemental des centres de vacances et de loisirs, société coopérative française créée en 1939, qui commercialise principalement des séjours de vacances en France et à travers le monde pour groupes et familles.
    • Église Saint-Maurice.
    • Puits centenaire à la sente de Mont Huleu, rue de l'Abreuvoir, rénové en 2017[42].

    Cartes postales anciennes

    Patrimoine naturel

    ZNIEFF de type 1

    Le mont Sauveur est classé en zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) [24].

    Site classé

    Personnalités liées à la commune

    • Charlotte-Blanche-Marie-Sophie de la Rochefoucauld, marquise de Castelbajac, morte au château d'Argueil à 77 ans.
    • Pierre Colombel (1755 à Argueil-1841), homme politique.
    • Claude Marie II Ruffo de Laric dit « Le Chevalier » (Grenoble, - Argueil-en-Bray, ), 3e fils du comte Ruffo de Laric. Il épouse Anne Louise de Trie-Pilavoine, meurt au château d'Argueil à l'âge de 80 ans.

    Héraldique

    Les armes de la commune d'Argueil se blasonnent ainsi :
    D’azur à la croix alésée d’argent accompagnée de trois fleurs de lys d’or rangées en chef et d’un mont de trois coupeaux du même mouvant de la pointe.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    4. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    6. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Normandie », sur normandie.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    7. « Station Météo-France Forges - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Argueil et Forges-les-Eaux », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Forges - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Argueil et Boos », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Rouen-Boos - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Rouen-Boos - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Rouen-Boos - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Rouen », sur insee.fr (consulté le ).
    18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    20. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    21. François de Beaurepaire, Les Noms des communes et anciennes paroisse de la Seine-Maritime, Éd. Picard, Paris, 1979, p. 31
    22. Alain Rey (sous la direction de), Dictionnaire historique de la langue française, Le Robert, 2012, p. 2352a.
    23. François de Beaurepaire, op. cit..
    24. ZNIEFF 230000785 - Le mont Sauveur sur le site de l’INPN..
    25. histoire du manoir d'Argueil'
    26. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    27. Section III de l'article L. 5210-1-1 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance
    28. « Les maires de Argueil », sur http://www.francegenweb.org (consulté le ).
    29. Michel Cordonnier met fin à quarante ans de vie d'élu in L'Éclaireur brayon n° 6106 du 5 décembre 2012.
    30. Marie-Géraldine Dartois, « Démission. Claudie Chapeyrou n’est plus maire : Dans une lettre adressée aux habitants d'Argueil, le premier magistrat Claudie Chapyrou annonce qu'elle quitte ses fonctions de maire pour des raisons de santé », L'Éclaireur - La dépêche, (lire en ligne, consulté le ) « Claudie Chapeyrou était maire depuis 2013. Elle avait été élue suite à la démission de Michel Cordonnier ».
    31. Marie-Géraldine Dartois, « Isabelle Bréquigny élue maire d’Argueil : Le maire et les adjoints ont été élus à Argueil. Le nouveau conseil compte 5 femmes et toutes les générations sont représentées », L'Éclaireur - La dépêche, (lire en ligne, consulté le ) « Conseillère municipale depuis 2008 et 1re adjointe depuis 2014, elle a été élue au 1er tour avec 10 voix sur 11 ».
    32. Marie-Géraldine Dartois, « Municipales2020 : Isabelle Bréquigny est candidate à sa succession à Argueil : Maire depuis octobre 2016, Isabelle Bréquigny est candidate aux élections municipales à Argueil. Son équipe est constituée de 7 nouvelles têtes et de 4 conseillers sortants », L'Éclaireur - La Dépêche, (Maire depuis octobre 2016, Isabelle Bréquigny est candidate aux élections municipales à Argueil. Son équipe est constituée de 7 nouvelles têtes et de 4 conseillers sortants, consulté le ).
    33. « Liste des maires » [PDF], Listes des élus, Préfecture de la Seine-Maritime (consulté le ).
    34. Marie-Géraldine Dartois, « Création d’un grand composteur communal dès l'an prochain à Argueil : Un composteur communal et une collecte payante (20 euros par an), c'est le choix de la commune d'Argueil pour régler la question des déchets verts », L'Éclaireur - La dépêche, (lire en ligne, consulté le ).
    35. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    36. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    37. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    38. Marie-Géraldine Dartois, « L’ancienne mairie d’ Argueil transformée en halle commerciale : A Argueil, l'ancienne mairie va devenir halle commerciale et salle de réception d'ici 2018. Un projet mûrement réfléchi par la municipalité qui permet de sauver le bâtiment », L'Éclaireur - La dépêche, (lire en ligne, consulté le ).
    39. Dieudonné Dergny, La Normandie Monumentale et Pittoresque, Seine-inférieure, Le Havre, Lemale et Cie, imprimeurs, éditeurs, (lire en ligne), p. 275-276.
    40. Philippe Seydoux, Châteaux du Pays de Caux et du Pays de Bray, Paris, Éditions de la Morande, , 128 p. (ISBN 2-902091-17-6), p. 10.
    41. Manoir d'Argueil.
    42. Marie-Géraldine Dartois, « Le puits centenaire ressort de l’oubli près de Forges-les-Eaux : Le puits plus que centenaire de la sente Huleu vient d'être restauré à Argueil. Une remise en état réalisée par un employé municipal aux mains d'or », L'Éclaireur - La dépêche, (lire en ligne, consulté le ).
    43. « Le château d'Argueil et son parc », sur Carmen - L'application cartographique au service des données environnementales (consulté le ).
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