Argentières

Argentières () est une commune française située dans le département de Seine-et-Marne en région Île-de-France.

Ne doit pas être confondu avec Argentière.

Cet article possède un paronyme, voir Armentières.

Argentières

L'église paroissiale.

Blason
Administration
Pays France
Région Île-de-France
Département Seine-et-Marne
Arrondissement Melun
Intercommunalité Communauté de communes Brie des Rivières et Châteaux
Maire
Mandat
Patrice Saint Jalmes
2020-2026
Code postal 77390
Code commune 77007
Démographie
Gentilé Argentiers
Population
municipale
366 hab. (2018 )
Densité 142 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 05′ 32″ nord, 2° 52′ 12″ est
Altitude Min. 73 m
Max. 107 m
Superficie 2,57 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Paris
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Nangis
Législatives Troisième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Île-de-France
Argentières
Géolocalisation sur la carte : Seine-et-Marne
Argentières
Géolocalisation sur la carte : France
Argentières
Géolocalisation sur la carte : France
Argentières

    Géographie

    Localisation

    La commune est située à environ 6,3 kilomètres au nord-ouest de Mormant[Carte 1].

    Communes limitrophes

    Communes limitrophes de Argentières
    Chaumes-en-Brie
    Courtomer
    Beauvoir Aubepierre-Ozouer-le-Repos

    Réseau hydrographique

    Carte des réseaux hydrographique et routier d'Argentières.

    Le réseau hydrographique de la commune se compose de deux cours d'eau référencés :

    • la rivière l’Yerres, longue de 97,4 km[1], affluent en rive droite de la Seine, parcourt la commune d'est en ouest ;
    • le fossé 02 des Traversins, canal de 1,03 km[2] (ou ru du Bouillant[3]), en limite sud est de la commune.

    La longueur totale des cours d'eau sur la commune est de 3,06 km[4].

    Gestion des cours d'eau

    Afin d’atteindre le bon état des eaux imposé par la Directive-cadre sur l'eau du , plusieurs outils de gestion intégrée s’articulent à différentes échelles pour définir et mettre en œuvre un programme d’actions de réhabilitation et de gestion des milieux aquatiques : le SDAGE (Schéma directeur d'aménagement et de gestion des eaux), à l’échelle du bassin hydrographique, et le SAGE (Schéma d'aménagement et de gestion des eaux), à l’échelle locale. Ce dernier fixe les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine. Le département de Seine-et-Marne est couvert par six SAGE, au sein du bassin Seine-Normandie[5].

    La commune fait partie du SAGE « Yerres », approuvé le et mis en révision en 2018, au sein du Bassin Seine-Normandie. Le territoire de ce SAGE correspond au bassin versant de l’Yerres, d'une superficie de 1 017 km2, parcouru par un réseau hydrographique de 450 kilomètres de long environ, répartis entre le cours de l’Yerres et ses affluents principaux que sont : le ru de l’Etang de Beuvron, la Visandre, l’Yvron, le Bréon, l’Avon, la Marsange, la Barbançonne, le Réveillon[6]. Le pilotage et l’animation du SAGE sont assurés par le syndicat mixte pour l’Assainissement et la Gestion des eaux du bassin versant de l’Yerres (SYAGE), qualifié de « structure porteuse »[7].

    Climat

    Paramètres climatiques pour la commune sur la période 1971-2000

    - Moyenne annuelle de température : 11,1 °C
    - Nombre de jours avec une température inférieure à -5°C : 3,1 j
    - Nombre de jours avec une température supérieure à 30°C : 4,8 j
    - Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 15,5 °C
    - Cumuls annuels de précipitation : 696 mm
    - Nombre de jours de précipitation en janvier : 0,2 j
    - Nombre de jours de précipitation en juillet : 0,3 j

    La commune bénéficie d’un « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats en France définie en 2010. Ce type affecte l’ensemble du Bassin parisien avec une extension vers le sud, dont la totalité des communes de Seine-et-Marne[8].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir cette typologie comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-contre[8]. Avec le changement climatique, ces variables ont pu depuis évoluer. Cette évolution peut être constatée sur la station météorologique historique de Météo-France la plus proche, Melun - Villaroche , qui se trouve à 15 km à vol d'oiseau[9], où la température moyenne annuelle évolue de 11,2 °C pour 1981-2010[10], à 11,6 °C pour 1991-2020[11].

    Réseau Natura 2000

    Sites Natura 2000 sur le territoire communal.

    Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d’intérêt écologique élaboré à partir des Directives « Habitats » et « Oiseaux ». Ce réseau est constitué de Zones spéciales de conservation (ZSC) et de Zones de protection spéciale (ZPS). Dans les zones de ce réseau, les États Membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[12].

    Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la « directive Habitats »[13] : « L'Yerres de sa source a Chaumes-en-Brie », d'une superficie de 18 ha, un tronçon de 40 km de l'Yerres qui héberge une faune piscicole et une végétation aquatique devenues rares en Ile-de-France[14],[15].

    Urbanisme

    Typologie

    Argentières est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[16],[17],[18].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire regroupe 1 929 communes[19],[20].

    Lieux-dits, écarts et quartiers

    La commune compte 27 lieux-dits administratifs répertoriés[21].

    Occupation des sols

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (46,5 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (46,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (43,8% ), terres arables (38,7% ), zones urbanisées (9,8% ), zones agricoles hétérogènes (7,8 %)[22].

    Parallèlement, L'Institut Paris Région, agence d'urbanisme de la région Île-de-France, a mis en place un inventaire numérique de l'occupation du sol de l'Île-de-France, dénommé le MOS (Mode d'occupation du sol), actualisé régulièrement depuis sa première édition en 1982. Réalisé à partir de photos aériennes, le Mos distingue les espaces naturels, agricoles et forestiers mais aussi les espaces urbains (habitat, infrastructures, équipements, activités économiques, etc.) selon une classification pouvant aller jusqu'à 81 postes, différente de celle de Corine Land Cover[23],[24],[25]. L'Institut met également à disposition des outils permettant de visualiser par photo aérienne l'évolution de l'occupation des sols de la commune entre 1949 et 2018[Carte 2].

    Planification

    La commune disposait en 2019 d'un plan local d'urbanisme approuvé[26].

    Logement

    En 2016, le nombre total de logements dans la commune était de 154 dont 100 % de maisons.

    Parmi ces logements, 94,1 % étaient des résidences principales, 3,3 % des résidences secondaires et 2,6 % des logements vacants.

    La part des ménages propriétaires de leur résidence principale s’élevait à 94,4 % contre 4,3 % de locataires et 1,3 % logés gratuitement[27].

    Voies de communication et transports

    La commune est desservie par les lignes d’autocars No 4, 14, 20, 23 et 24 du réseau Transdev-IdF[28].

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous la forme Argentarias en 1189[29]. En 1658, ce toponyme apparait sous sa forme actuelle.

    Du latin *argentum suivi du suffixe -aria[30]. La compréhension de ce toponyme n'est guère difficile et rappelle l'existence en ces lieux d'un terrain argentifère exploité en des temps lointains, aux activités liées à l'exploitation ou à l'utilisation de ce métal[30].

    Histoire

    Son premier nom, Argenteriare, laisse à supposer que les Romains y auraient exploité une mine d'argent ou qu'il y aurait eu une industrie à base de ce métal. Jusqu'à la Révolution, le village dépendait de la seigneurie de l'abbaye de Saint-Germain-des-Prés et rattaché à l'abbaye de Chaumes-en-Brie. Les habitants d’Argentières furent les premiers serfs affranchis par l’abbaye de chaumes en 1205. Les villageois passaient pour être indépendants et décrits comme « fiers et hauts »[réf. nécessaire].

    Il est à noter dans cette idée que la commune d’Argentières est la seule du canton et des environs à ne pas avoir d'exploitations agricoles aux mains des barons, comtes, ou marquis… survivance de l'Ancien Régime.

    Politique et administration

    Liste des maires

    La mairie.
    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    1977 1983 Daniel Jouan    
    1983 1985 Jules Klene    
    1985 2008 Luc Flores    
    mars 2008 2020 René Sapierre[31]    

    Équipements et services

    Eau et assainissement

    L’organisation de la distribution de l’eau potable, de la collecte et du traitement des eaux usées et pluviales relève des communes. La loi NOTRe de 2015 a accru le rôle des EPCI à fiscalité propre en leur transférant cette compétence. Ce transfert devait en principe être effectif au , mais la loi Ferrand-Fesneau du a introduit la possibilité d’un report de ce transfert au [32],[33].

    Assainissement des eaux usées

    En 2020, la gestion du service d'assainissement collectif de la commune d'Argentières est assurée par la Communauté de communes Brie des Rivières et Châteaux (CCBRC) pour la collecte, le transport et la dépollution. Ce service est géré en délégation par une entreprise privée, dont le contrat arrive à échéance le [34],[35],[36].

    L’assainissement non collectif (ANC) désigne les installations individuelles de traitement des eaux domestiques qui ne sont pas desservies par un réseau public de collecte des eaux usées et qui doivent en conséquence traiter elles-mêmes leurs eaux usées avant de les rejeter dans le milieu naturel[37]. La Communauté de communes Brie des Rivières et Châteaux (CCBRC) assure pour le compte de la commune le service public d'assainissement non collectif (SPANC), qui a pour mission de vérifier la bonne exécution des travaux de réalisation et de réhabilitation, ainsi que le bon fonctionnement et l’entretien des installations. Cette prestation est réalisée en régie[34],[38],[39].

    Eau potable

    En 2020, l'alimentation en eau potable de la commune est assurée par la Communauté de communes Brie des Rivières et Châteaux (CCBRC) qui en a délégué la gestion à l'entreprise Suez, dont le contrat expire le [34],[40].

    Population et société

    Démographie

    Les habitants sont appelés les Argentiers.

    Autrefois, par dérision et moqueries, les natifs de ce village étaient surnommés les Tazins[41], des personnes qui vivent de leur productions : potagers, animaux de basse cour et de leur ferme.

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[42]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[43].

    En 2018, la commune comptait 366 habitants[Note 4], en diminution de 6,87 % par rapport à 2013 (Seine-et-Marne : +3,47 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    204180191188190188188172171
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    163156161151157150141164140
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    133144126137163157134129128
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2009 2014
    121157242230276364361383392
    2018 - - - - - - - -
    366--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[44] puis Insee à partir de 2006[45].)
    Histogramme de l'évolution démographique
    Fresque agricole.

    Économie

    Revenus de la population et fiscalité

    En 2017, le nombre de ménages fiscaux de la commune était de 141, représentant 378 personnes et la médiane du revenu disponible par unité de consommation de 27 920 euros[46].

    Emploi

    En 2017 , le nombre total d’emplois dans la zone était de 22, occupant 194 actifs résidants. Le taux d'activité de la population (actifs ayant un emploi) âgée de 15 à 64 ans s'élevait à 77,8 % contre un taux de chômage de 3 %. Les 19,1 % d’inactifs se répartissent de la façon suivante : 8,3 % d’étudiants et stagiaires non rémunérés, 7,4 % de retraités ou préretraités et 3,5 % pour les autres inactifs[47].

    Entreprises et commerces

    En 2018, le nombre d'établissements actifs était de 21 dont 6 dans la construction, 3 dans le commerce de gros et de détail, transports, hébergement et restauration, 1 dans l’information et communication, 1 dans les activités financières et d'assurance, 6 dans les activités spécialisées, scientifiques et techniques et activités de services administratifs et de soutien, 2 dans l’administration publique, enseignement, santé humaine et action sociale et 2 étaient relatifs aux autres activités de services[48].

    En 2019, 4 entreprises ont été créées sur le territoire de la commune, dont 3 individuelles.

    Au 1er janvier 2020, la commune ne disposait pas d’hôtel et de terrain de camping[49].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • L'église Saint-Bon XVe siècle.
    L’église d’Argentières a été construite au XVe siècle et fut reconstruite au XVIIIe siècle. Elle ne se compose que d’une seule nef et n’a pas de transept. Son patron est saint Bonnet (ou saint Bon), sa fête est le .
    En son sein, quatre statues représentant : « saint Bon », « saint Jacques », « saint Vincent » et « la Vierge et l’Enfant ».
    La cloche, après avoir été fêlée, fut changée avec le soutien financier de la famille Nicolas (les descendants étant les actuels détenteurs des vins Nicolas), propriétaire à l’époque du Château d'Arcy (Chaumes-en-Brie). En remerciements, leur nom fut gravé dessus. Elle fut bénite le . Un bénitier en forme de coquille Saint-Jacques, attesterait de la situation du village à proximité des chemins de Compostelle et du passage des pèlerins.
    Dans le chœur se trouve une dalle funéraire classée en 1907[50]. et mesurant 2,22 m de long pour 1,10 m de large. Elle représenterait Guillaume de Troyes, écuyer, seigneur de Montcouvent mort en 1517 ; et une femme coiffée à la mode d’Anne de Bretagne, avec à ses pieds sa fillette décédée (d'après l'inscription plus ou moins visible de la dalle)[51].
    L’édifice possède une poutre au plafond, datant peut-être de 1460, sculptée à chaque extrémité d'un animal fantastique (crocodile, monstre ou griffon) qui figurait également sur le blason de Guillaume de Troyes. Une telle poutre est appelée « engoulant ou rageur ».
    Découverte récente dans l'église de fresques murales datant de la renaissance. Restauration en cours.
    Avec le temps, il ne restait qu’un pigeonnier en 1823, en 1889, ne subsistait qu’une ferme, et de nos jours quelques pans de murs en ruines, au lieudit Montcouvent , à l'écart du village dans un chemin qui borde l’Yerres.
    Le dernier seigneur de Montcouvent y ayant séjourné fut Jean-François de Soisson (1664–1726). De 1756 à 1774, on trouve un certain Louis Martin des Fontaines, conseiller du roi (Louis XV), auditeur en sa chambre des comptes et seigneur d’Arcy et de Montcouvent d’Argentières.
    D’après la légende, 22 souterrains partiraient de ces ruines pour arriver directement au sein de l'église d’Argentières ; dans la crypte funéraire des seigneurs de Montcouvent qui étaient exhumés dans le chœur de l'église Saint-Bon. Cette sépulture aurait été violée pendant la terreur.
    D'autres pensent que ces souterrains mèneraient aux différents châteaux du secteur (Beauvoir, Arcy, commune de Chaumes-en-Brie...).
    Il se dit aussi que dans les années 1980, quelqu'un aurait découvert un de ces fameux souterrains (contenant casques, fusils et autres armures), menant directement à l'autel de l'église[réf. nécessaire].

    Héraldique

    Blason
    De gueules au pairle d'argent chargé d'un cœur de sinople, au chef d’azur, chargé d’une fleur de lis accompagnée de deux grappes de raisin le tout d'or.
    Détails

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    • Cartes
    1. « Localisation de Argentières, » sur Géoportail (consulté le 4 mai 2020)..
    2. IAU Île-de-France, « Évolution de l'occupation des sols de la commune vue par photo aérienne (1949-2018) », sur cartoviz.institutparisregion.fr (consulté le ).

    Références

    1. Sandre, « Fiche cours d'eau - L’Yerres (F4--0210) » (consulté le ).
    2. Sandre, « Fiche cours d'eau - Fossé 02 des Traversins (F4742000) » (consulté le ).
    3. Plan cadastral de Argentières
    4. Site SIGES – Seine-Normandie (Système d’information pour la gestion des eaux souterraines en Seine-Normandie), consulté le 20 septembre 2018
    5. « SAGE dans le département de Seine-et-Marne », sur le site de la préfecture de Seine-et-Marne (consulté le ).
    6. « SAGE Yerres - Documents », sur https://www.gesteau.fr/ (consulté le ).
    7. site officiel du Syndicat mixte pour l’Assainissement et la Gestion des eaux du bassin versant de l’Yerres (SYAGE)
    8. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le ).
    9. « Orthodromie entre Argentières et Melun-Villaroche », sur fr.distance.to (consulté le ).
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    13. « Liste des zones Natura 2000 de la commune d'Argentières », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    14. « L’Yerres de sa source à Chaumes-en Brie - ZSC - FR1100812 », sur www.driee.ile-de-france.developpement-durable.gouv.fr, (consulté le ).
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    49. Statistiques officielles de l'Insee, section «Tourisme en 2020», consulté le 18 janvier 2021
    50. « dalle funéraire d'un écuyer, mort en 1517, et de sa femme », notice no PM77000016, base Palissy, ministère français de la Culture.
    51. Guillaume de Troyes est présent au mariage de la fille d'Hector de Troyes à Auxerre en 1508. Etienne Meunier. Recueil de familles issues du patriciat d'Auxerre au Moyen Age. SGY
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