Angèle Jacq

Angèle Jacq, née le à Landudal et morte le à Quimper[1],[2], est une romancière française. Ancienne agricultrice, devenue employée de banque, elle écrit plusieurs romans historiques situés en Bretagne.

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Son œuvre littéraire lui vaut de recevoir, dès 2003, le collier de l'Ordre de l'Hermine, décerné par l'Institut culturel de Bretagne, qui lui est remis à Saint-Malo en 2003[3]. Elle milite également pour la langue bretonne, dont elle est une locutrice. Elle a pris position contre la destruction de la mémoire collective des Bretons et pour une éducation populaire détachée de l'État[4]. Signataire de l'Appel de Carhaix, elle est porte-parole du Collectif Breton pour la Démocratie.

En 2008, elle est à l'initiative d'une pétition, « 101 écrivains pour les langues régionales »[5]

Œuvres

Romans à caractère historique :

  • Les braises de la liberté, France-Empire 1995. Republié en 2010 [Coop-Breizh], ce roman fait l'objet d'une suite, Tinaig éditée par Coop Breizh
  • Légendes de Bretagne, France-Empire 1997.
  • Le voyage de Jabel, Edilarge 1999, réédité aux Éditions du Palémon en 2004
  • Ma langue au chat, Le Palémon 2002
  • Dans la série Les hommes libres :
    • Tome 1 : Ils n'avaient que leurs mains, Le Palémon 2003
    • Tome 2 : Un brassard et des sabots, Le Palémon 2005
    • Tome 3 : Liberté Frankiz Fahafana, Le Palémon 2007
  • Pêcheur de Guinée, Le Temps éditeur 2018

Notes et références

Liens externes

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