André Pédoussaut

Biographie

Peintre figuratif, surréalisant et abstrait de la seconde nouvelle école de Paris, André Pédoussaut est admis à l'École des beaux-arts de Paris dans l'atelier de Jean Dupas[2]. Il est lauréat du prix de la Casa de Velázquez en 1950 et sera résident à Madrid[3]. Il concourt sans succès pour le prix de Rome de 1951[4], mais l'obtient l'année suivante.

Il devient professeur à l'École nationale supérieure des beaux-arts de Paris et enseigne dans un atelier privé place des Vosges. Il installe son atelier sur la butte Montmartre et aura pour voisin le groupe des Amandiers dans les années 1960[5].

Une place de Laugnac (Lot-et-Garonne) porte son nom, ainsi qu'une salle du Centre culturel d'Agen.

^[Quand ?] Paris, galerie Bernheim-Jeune.
2005: Agen, Centre culturel, 30 ans de peinture. « Le peintre André Pédoussaut, privilégie le mouvement avec des groupes ou des foules : Allez Agen, Heure de pointe, Le Rugby »[6].

Relevé généalogique sur Filae
Où il est le condisciple de Paul Collomb, Geoffroy Dauvergne, Olivier Pettit, Paul Guiramand, Daniel Sénélar, Jacques Reverchon et Joseph Archepel (Alain Valtat, Catalogue raisonné du peintre Geoffroy Dauvergne (1922-1977), Sceaux, auto-édition, 1996.
Avec la 21^e promotion artistique de 1950 à 1951, dont Jean-Marie Granier et Luc Simon (A. Valtat, op. cit.).
Cette année-là le lauréat sera Daniel Sénélar (1925-2001).
Bernard Lehembre, Hervé Masson, peintre et homme politique de l'Île Maurice 1919-1990, éd. L'Harmattan, 2005, p. 282-283.
La Dépêche du Midi, 10 janvier 2005.

Dictionnaire Bénézit.
Jean-Marc Delaunay, Des Palais en Espagne, l'école des hautes études hispaniques, la Casa de Vélasquez, éditions de la Casa de Vélasquez, 1994, p. 533.

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