Amélie Mesureur

Amélie de Wailly, épouse Mesureur, née le 3 mars 1853 à Paris et morte le 7 décembre 1926 dans cette même ville, est une poètesse et romancière française.

Biographie

Elle a été nommée chevalier de la Légion d'honneur en 1921[1]. Elle fut présidente de la Société Victor Hugo[2].

Elle a épousé Gustave Mesureur le 25 septembre 1873[1] et est la mère de la compositrice Suzanne Mesureur (1882-1927)[4].

Elle meurt le 7 décembre 1926 en son domicile au n^o 6 quai de Gesvres dans le 4^e arrondissement de Paris[5], et, est inhumée au côté de son époux au Cimetière du Père-Lachaise (93^e division)[6]

Nos enfants (Alphonse Lemerre 1885)
Le petit monde (Lorenz 1886)
Rimes roses (Alphonse Lemerre 1902), prix Archon-Despérouses de l’Académie française en 1893
Gestes d'enfants (Alphonse Lemerre 1902), prix Le-Fèvre-Deumier de l’Académie française en 1903
Le dernier des pifferari, suivi de Le petit mousse ; illustrations de Slom, Société française d'éditions d'art, 1904 (Lire en ligne)
Clairs horizons, A. Lemerre, 1909, prix Jules Davaine de l’Académie française en 1911
Les voix de la patrie (Alphonse Lemerre 1920)
À la recherche d'une source
Histoire d'un enfant de Paris : 1870-1871 lire en ligne, prix Montyon de l’Académie française en 1890

Les fêtes de Victor Hugo à Guernesey, juillet 1914 (Société Victor Hugo), inclut trois poèmes d'Amélie Mesureur, Apothéose Lire en ligne
Inauguration d'un buste du poète (à l'initiative d'Amélie Mesureur) Lire en ligne
Hommage à la Belgique (page suivante)
Photo de la vice-présidente de la Société Victor Hugo Photo
Relation de la commémoration au Panthéon, devant le tombeau de Hugo ; XXXI^e anniversaire de la mort de Victor Hugo Lire en ligne

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