Allouville-Bellefosse

Allouville-Bellefosse est une commune française située dans le département de la Seine-Maritime, en région Normandie.

Pour l’article homonyme, voir Bellefosse.

Allouville-Bellefosse

La mairie.
Administration
Pays France
Région Normandie
Département Seine-Maritime
Arrondissement Rouen
Intercommunalité Communauté de communes Yvetot Normandie
Maire
Mandat
Didier Terrier
2020-2026
Code postal 76190
Code commune 76001
Démographie
Gentilé Allouvillais
Population
municipale
1 158 hab. (2018 )
Densité 79 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 35′ 46″ nord, 0° 40′ 37″ est
Altitude Min. 114 m
Max. 154 m
Superficie 14,66 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Yvetot
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Yvetot
Législatives Dixième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Normandie
Allouville-Bellefosse
Géolocalisation sur la carte : Seine-Maritime
Allouville-Bellefosse
Géolocalisation sur la carte : France
Allouville-Bellefosse
Géolocalisation sur la carte : France
Allouville-Bellefosse

    Géographie

    Situation

    Carte de la commune.

    Cette commune du pays de Caux[1] est située dans le canton d'Yvetot.

    Communes limitrophes

    Communes limitrophes d’Allouville-Bellefosse
    Écretteville-lès-Baons Valliquerville
    Alvimare
    Trouville Bois-Himont

    Voies de communication et transports

    Le village est accessible par la route. La route départementale D 34 le traverse et rejoint, un peu à l'écart, à l'ouest, la route départementale D 33, un axe nord-sud qui coupe, au nord, la route nationale N 15 et l'autoroute A29.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[4]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[2]

    • Moyenne annuelle de température : 10,4 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2,9 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 1,9 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 13,8 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 2] : 965 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 13,9 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 8,8 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Auzebosc », sur la commune d'Auzebosc, mise en service en 1967[8] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[9],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 10,5 °C et la hauteur de précipitations de 933,3 mm pour la période 1981-2010[10]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 4], « Rouen-Boos », sur la commune de Boos, mise en service en 1968 et à 44 km[11], la température moyenne annuelle évolue de 10,1 °C pour la période 1971-2000[12] à 10,5 °C pour 1981-2010[13], puis à 11 °C pour 1991-2020[14].

    Urbanisme

    Typologie

    Allouville-Bellefosse est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[15],[16],[17].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Yvetot, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 15 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[18],[19].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (92,8 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (95,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (75,5 %), prairies (11,4 %), zones agricoles hétérogènes (5,9 %), zones urbanisées (3 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (2 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (1,8 %), forêts (0,4 %)[20].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[21].

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous la forme Adeloldvilla en 1050[22].

    Bellefosse, citée vers 1210 sous la forme latinisée de Bellam Fossam, est une ancienne paroisse de la commune[22].

    Histoire

    Cette commune est née de la fusion des communes d'Allouville et de Bellefosse en 1823[23].

    Politique et administration

    Liste des maires successifs[24]
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    1936   Demonchy    
    1967 1971 Gaston Hachard    
    1971 1978 Jacques Lecossais    
    1978   Paul Levieux    
    Les données manquantes sont à compléter.
    mars 2001 En cours
    (au 10 août 2020)
    Didier Terrier DVD[25] Technico-commercial retraité
    Vice-président de la CC d'Yvetot Normandie (2014 → )
    Conseiller départemental depuis 2021
    Réélu pour le mandat 2020-2026[26],[27]

    Population et société

    Évolution démographique

    La commune occupe[Quand ?] le 9 010e rang au niveau national, alors qu'elle était au 8 785e en 1999, et le 169e au niveau départemental sur 745 communes.

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[28]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[29].

    En 2018, la commune comptait 1 158 habitants[Note 7], en diminution de 1,19 % par rapport à 2013 (Seine-Maritime : +0,1 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 0471 1001 0721 0221 2391 3011 2461 2561 239
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 2251 1701 1871 2271 1801 0771 0671 040929
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    943871872857867842768743726
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2009 2014
    7056756619031 0079869861 1521 165
    2018 - - - - - - - -
    1 158--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[30] puis Insee à partir de 2006[31].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    La population de la commune est relativement jeune. Le taux de personnes d'un âge supérieur à 60 ans (19,2 %) est en effet inférieur au taux national (21,6 %) et au taux départemental (20,7 %).

    Contrairement aux répartitions nationale et départementale, la population masculine de la commune est supérieure à la population féminine (50,6 % contre 48,4 % au niveau national et 48,1 % au niveau départemental).

    La répartition de la population de la commune par tranches d'âge est, en 2007, la suivante :

    • 50,6 % d’hommes (0 à 14 ans = 22,8 %, 15 à 29 ans = 18,2 %, 30 à 44 ans = 20,9 %, 45 à 59 ans = 22,3 %, plus de 60 ans = 15,8 %) ;
    • 49,4 % de femmes (0 à 14 ans = 18,8 %, 15 à 29 ans = 15,5 %, 30 à 44 ans = 21,6 %, 45 à 59 ans = 21,4 %, plus de 60 ans = 22,6 %).
    Pyramide des âges à Allouville-Bellefosse en 2007 en pourcentage[32]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,5 
    90  ans ou +
    0,5 
    4,8 
    75 à 89 ans
    10,0 
    10,5 
    60 à 74 ans
    12,1 
    22,3 
    45 à 59 ans
    21,4 
    20,9 
    30 à 44 ans
    21,6 
    18,2 
    15 à 29 ans
    15,5 
    22,8 
    0 à 14 ans
    18,8 
    Pyramide des âges du département de la Seine-Maritime en 2007 en pourcentage[33]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,3 
    90  ans ou +
    1,1 
    5,6 
    75 à 89 ans
    9,1 
    12,0 
    60 à 74 ans
    13,2 
    20,9 
    45 à 59 ans
    20,2 
    20,5 
    30 à 44 ans
    19,5 
    20,9 
    15 à 29 ans
    19,2 
    19,9 
    0 à 14 ans
    17,8 

    Manifestations culturelles et festivités

    La fête de l'Oiseau organisée par le musée de la nature d'Allouville Bellefosse a lieu du 11 au .

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    L'église Saint-Quentin du XVIIIe siècle[34] a un clocher original dit « de Médicis ».

    Patrimoine naturel

    Site classé

    Le chêne d'Allouville est réputé être le plus vieux de France. Il date du IXe siècle. Dans son tronc, creux, sont établies deux petites chapelles superposées. L'arbre est étayé et une partie de sa ramure est recouverte d'essentes[35] (bardeaux) pour le protéger. Il fait plus de 9 mètres de circonférence[36]. Il est visité par plus de 60 000 personnes par an[36]. ( Site classé (1932)).

    Allouville-Bellefosse et le cinéma

    Le film Le Chêne d'Allouville réalisé par Serge Pénard en 1980 avec Jean Lefebvre dans le rôle de l'agriculteur et son fils missionnaire rentré depuis peu d'Afrique Bernard Menez et son second fils Henri Guybet qui s'oppose à Pierre Tornade le nouveau maire et à son farouche adjoint, François Dyrek, qui ne pensent qu'à la prospérité du village et qui par là-même risquent de détruire les fameuses racines du chêne plusieurs fois centenaire. Ce film a également été distribué sous le titre Ils sont fous ces Normands.

    Associations

    Le CHENE (Centre d'hébergement et d'étude de la nature et de l'environnement) accueille les animaux sauvages blessés et malades apportés par les particuliers, réalise des études environnementales, s'occupe du démazoutage des oiseaux touchés par les marées noires, soigne et relâche les animaux sauvages... Le centre est également l'un des seuls en France à pouvoir accueillir les phoques[réf. nécessaire] échoués, abandonnés par leur mère souvent effrayée par des touristes ou séparés lors d'une tempête. Le centre possède aussi la seule machine à démazouter les oiseaux. Il peut être visité par le public et comporte notamment un musée.

    Cartes postales anciennes

    Personnalités liées à la commune

    • Pierre Belain d'Esnambuc, né à Allouville-Bellefosse le 9 mars 1585, est le fondateur de la ville de Saint-Pierre à la Martinique. Pour le quatrième centenaire de sa naissance, en 1985, un bas-relief approximativement carré de 90 cm de côté, sculpté dans de l'ardoise, a été apposé au bas de la partie sud du clocher-porche de l'église Saint-Quentin, face au chêne millénaire, au centre du village.
    • Charles Patenotre, médecin réputé à la cour de Russie, est né dans cette commune.

    Voir aussi

    Bibliographie

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[5].
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. « Le pays de Caux », sur Atlas des paysages de la Haute-Normandie (consulté le ).
    2. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    3. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    4. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    5. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    6. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    7. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Normandie », sur normandie.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    8. « Station Météo-France Auzebosc - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    9. « Orthodromie entre Allouville-Bellefosse et Auzebosc », sur fr.distance.to (consulté le ).
    10. « Station Météo-France Auzebosc - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    11. « Orthodromie entre Allouville-Bellefosse et Boos », sur fr.distance.to (consulté le ).
    12. « Station météorologique de Rouen-Boos - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Rouen-Boos - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Station météorologique de Rouen-Boos - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    16. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    17. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    18. « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Yvetot », sur insee.fr (consulté le ).
    19. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    20. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    21. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    22. François de Beaurepaire - 1979 - Les noms des communes et anciennes paroisses de la Seine-Maritime - page 27.[réf. incomplète].
    23. Recueil des actes de la préfecture du Département de la Seine-Inférieure 1823 p. 214
    24. « Allouville-Bellefosse », sur http://seine76.fr (consulté le ).
    25. « Résultats municipales 2020 à Allouville-Bellefosse », sur lemonde.fr (consulté le ).
    26. « Municipales 2020. Le maire d’Allouville-Bellefosse se représente : Didier Terrier sera accompagné de 7 conseillers sortants et 8 nouveaux candidats », Paris-Normandie, (lire en ligne, consulté le ) « Didier Terrier est maire d’Allouville-Bellefosse depuis 2001 et brigue un nouveau mandat ».
    27. « Liste des maires » [PDF], Listes des élus, Préfecture de la Seine-Maritime (consulté le ).
    28. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    29. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    30. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    31. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    32. « Évolution et structure de la population à Allouville-Bellefosse en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    33. « Résultats du recensement de la population de la Seine-Maritime en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    34. « Église Saint-Quentin », notice no IA00020393, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    35. Terme dialectal de l'ouest signifiant bardeau.
    36. Jeroen Pater, Les Arbres remarquables, éditions du Rouergue, octobre 2006.
    • Portail de la Seine-Maritime
    • Portail des communes de France
    Cet article est issu de Wikipedia. Le texte est sous licence Creative Commons - Attribution - Partage dans les Mêmes. Des conditions supplémentaires peuvent s'appliquer aux fichiers multimédias.