Nourriture

De manière générale, la nourriture désigne les aliments d'origine animale, végétale, fongique (parfois bactérienne ou minérale) ou chimique, consommés par des êtres vivants à des fins d'alimentation ou de récréation.

« Aliments » redirige ici. Pour l'obligation juridique, voir Obligation alimentaire.

Viande de chevreuil au lard avec des légumes et des knödel (cuisine allemande).
Joachim Beuckelaer, 1560-1565

Les aliments liquides sont appelés « boissons ».

Éléments de définitions juridiques

Dans toute l'Union européenne[1], la notion d'aliment désigne toute substance ou produit, transformé, partiellement transformé ou non transformé, destiné à être ingéré ou raisonnablement susceptible d’être ingéré par l’être humain. Ce terme recouvre les boissons, les gommes à mâcher et toute substance, y compris l’eau, intégrée intentionnellement dans les denrées alimentaires au cours de leur fabrication, de leur préparation ou de leur traitement. Il inclut l’eau au point de conformité défini à l’article 6 de la directive 98/83/CE[2].

Le terme « denrée alimentaire » n'inclut pas en Europe :

  • les aliments pour animaux ;
  • les animaux vivants (sauf s'ils sont préparés en vue de la consommation humaine ; huîtres par exemple) ;
  • les plantes avant leur récolte ;
  • les médicaments (au sens des directives 65/65/CEE et 92/73/CEE du Conseil) ;
  • les cosmétiques au sens de la directive 76/768/CEE du Conseil ;
  • le tabac et les produits du tabac (au sens de la directive 89/622/CEE du Conseil) ;
  • les stupéfiants et les substances psychotropes (au sens de la Convention unique des Nations unies sur les substances psychotropes de 1971) ;
  • les résidus et contaminants susceptibles d'être trouvés dans la nourriture.

En Europe toujours, les « denrées alimentaires génétiquement modifiées » sont « les denrées alimentaires contenant des OGM, consistant en de tels organismes ou produites à partir d'OGM »[3] et « on entend par «aliments pour animaux génétiquement modifiés», les aliments contenant des OGM, consistant en de tels organismes ou produits à partir d'OGM, pour animaux ». Elles sont soumises à une traçabilité et un étiquetage spécifique[4].

Aliments consommés, ou gaspillés

Une partie importante des denrées alimentaires est dégradée avant d'être consommée. Beaucoup d'aliments sont gaspillées. La FAO ( Food and Agriculture Organization) estime que nourrir toute la planète ne sera pas possible sans réduction du gaspillage et des déchets alimentaires[5]. La FAO a mené une analyse en 2011 et estime que 1,3 milliard de tonnes par an, soit environ un tiers de la production totale de denrées alimentaires destinées à la consommation humaine est gaspillé dans le monde[6]. En France le gaspillage alimentaire concerne plus de 10 millions de tonnes par an soit à peu près de 18 milliards de repas jetée à la poubelle.

Histoire

Alimentaire ou spirituelle, la nourriture désigne ce qui entretient la vie d'un organisme en lui procurant des substances à assimiler.

Elle assure la subsistance de l'homme.

Les divers panthéons ont inclus une déesse de la nourriture : ainsi Zywienia, épouse de Radegast, dieu de l'hospitalité, est-elle la déesse de la nourriture dans la mythologie slave.

Dénomination

Du fait de l'emploi courant dans la société du mot « nourriture », celui-ci s'est vu remplacé par de nombreuses autres dénominations, tantôt techniques, tantôt familières, tantôt argotiques : produit alimentaire, bouffe, rata, casse-dalle, etc.

En Union européenne, dans le domaine administratif de l'IAA (Industrie agroalimentaire) et de son activité de transformation d'aliments préparés, un Plan de Maîtrise Sanitaire, un agrément sanitaire ou une déclaration[7] avant l'ouverture peuvent être nécessaire pour les établissements produisant ou utilisant des POADAC (produits d'origine animale et denrées alimentaires en contenant) et POVDAC (produits d'origine végétale et denrées alimentaires en contenant).

Typologie

L'herbe dont se nourrissent les herbivores.

On distingue plusieurs grandes familles d'aliments :

Tous ces aliments sont classées en 4 grandes catégories par la classification NOVA.

Mauvaise alimentation

Beaucoup de personnes dans le monde subit une mauvais alimentation, cela peut conduire à des problèmes excessivement grave. Les méfaits les plus probables à cela sont les "intoxications alimentaires". Il s'agit de maladies d'origine alimentaire causées par des bactéries , des toxines , des virus , des parasites et des prions . Environ 7 millions de personnes meurent chaque année d'une intoxication alimentaire, et environ 10 fois plus souffrent d'une version non mortelle. En France, les intoxications alimentaires, ou infections d’origine alimentaires représenteraient chaque année environ 1,5 millions de cas et entraîneraient plus de 17 000 hospitalisations et plus de 200 décès[8]. deux facteurs les plus courants menant à des cas de maladies d'origine alimentaire sont la contamination croisée des aliments prêts à consommer à partir d'autres aliments non cuits et un mauvais contrôle de la température. Moins fréquemment, des effets indésirables aigus peuvent également survenir en cas de contamination chimique des aliments, par exemple en raison d'un stockage inapproprié ou de l'utilisation de savons et de désinfectants de qualité non alimentaire. Les aliments peuvent également être falsifiés par une très large gamme d'articles (appelés «corps étrangers») lors de l'élevage, de la fabrication, de la cuisson, de l'emballage, de la distribution ou de la vente. Ces corps étrangers peuvent inclure des parasites ou leurs excréments, des poils, des mégots de cigarettes, des copeaux de bois et toutes sortes d'autres contaminants. Il est possible que certains types d'aliments soient contaminés s'ils sont stockés ou présentés dans un contenant dangereux, tel qu'un pot en céramique avec un glaçage à base de plomb.

L'intoxication alimentaires est reconnue comme une maladie depuis Hippocrate. La vente d' aliments rances , contaminés ou frelatés était courante jusqu'à l'introduction des contrôles d' hygiène, Les mesures recommandées pour assurer la sécurité alimentaire comprennent le maintien d'une zone de préparation propre avec des aliments de différents types séparés, la garantie d'une température de cuisson adéquate et la réfrigération des aliments rapidement après la cuisson[9]. Les aliments qui se gâtent facilement, comme les viandes , les produits laitiers et les fruits de mer , doivent être préparés d'une certaine manière pour éviter de contaminer les personnes pour lesquelles ils sont préparés. En tant que tel, la règle de base est que les aliments froids (tels que Les produits laitiers) doivent être conservés au froid et les aliments chauds (tels que la soupe) doivent être conservés au chaud jusqu'au stockage. Les viandes froides, telles que le poulet, qui doivent être cuites ne doivent pas être mises à température ambiante pour décongélation, au risque d'une prolifération bactérienne dangereuse, comme Salmonella ou E. coli .

On a estimé que le régime alimentaire humain causait environ 35% des cancers dans une analyse épidémiologique humaine réalisée par Richard Doll et Richard Peto en 1981. Ces cancers peuvent être causés par des cancérogènes présents naturellement dans les aliments ou sous forme de contaminants. Les aliments contaminés par des champignons peuvent contenir des mycotoxines telles que les aflatoxines qui peuvent être trouvées dans le maïs et les arachides contaminés. D'autres cancérogènes identifiés dans les aliments comprennent les amines hétérocycliques générées dans la viande lors de la cuisson à haute température, les hydrocarbures polyaromatiques dans la viande carbonisée et le poisson fumé, et les nitrosamines.généré à partir de nitrites utilisés comme conservateurs alimentaires dans la viande séchée comme le bacon .

Les anticarcinogènes qui peuvent aider à prévenir le cancer peuvent également être trouvés dans de nombreux aliments, en particulier les fruits et légumes. Les antioxydants sont des groupes importants de composés qui peuvent aider à éliminer les produits chimiques potentiellement nocifs. Il est cependant souvent difficile d'identifier les composants spécifiques de l'alimentation qui servent à augmenter ou diminuer le risque de cancer car de nombreux aliments, tels que le steak de bœuf et le brocoli, contiennent de faibles concentrations à la fois de cancérigènes et d'anticarcinogènes. Il existe de nombreuses certifications internationales dans le domaine de la cuisine, telles que Monde Selection , AA Certification, iTQi. Ils utilisent des méthodes d'évaluation de haute qualité pour rendre les aliments plus sûrs.

Composition

Composition d'aliments courants

Les aliments sont composés de plusieurs types d'ingrédients, qu'on peut classer selon leur origine :

  • végétale ;
  • bactérienne ;
  • animale ;
  • fongique ;
  • minérale ;
  • chimique.

Aliments d'origine végétale

EauProtidesLipidesGlucides (solubles)Cellulose (fibre)MinérauxKilocalories
Légumes frais
Laitue941,20,230,60,7518
Tomate9310,340,60,622
Haricot vert892,40,271,40,540
Petit pois746,00,4162,20,590
Légumes secs
Haricots12191,56043330
Soja (grains)835183054,9420
Produits céréaliers
Blé tendre1411,51,56821,75330
Farine (blutage 75 %)129,51,2750,6350
Riz poli127,51,7770,2350
Pâtes, semoules8131,4760,4375
Pâtes cuites6150,6320,2150
Pain blanc3570,8550,32,3255
Fruits frais
Cerise801,20,5170,377
Orange8710,290,844
Banane751,40,52090
Châtaigne5242,6402200
Fruits secs
Figue2741623,5275
Noix4156015660
Confiture de fruits
300,50,1700,2280
Miel
200,50,2760,3300
En gramme pour 100 grammes

Aliments d'origine animale

Différents types de viandes
EauProtidesLipidesGlucides (solubles)MinérauxKilocalories
Viandes mi-grasses
Bœuf, mouton6017200,51,3250
Porc5516250,51,2290
Viandes maigres
Cheval7521211110
Filet de bœuf6720100,71,3180
Poulet702181,4150
Œuf de poule
7413120,60,9160
Poisson de rivière
Carpe781821,4100
Poisson de mer, maigre
Colin801721,690
Poisson de mer, gras
Thon6026131,6220
Huîtres
80101,861-1080
Abat
Foie de génisse7020431,7120
Cervelle de génisse7810921,5130
Charcuterie
Boudin3028411-10480
Jambon cuit4822221-10300
Saucisson sec3024351-10400
Lait de vache
87,53,53,94,80,868
Fromage
Camembert de Normandie55202310,9310
Gruyère français343030< 0,52,6390
En gramme pour 100 grammes

Aliments d'origine minérale

Dans cette famille, on trouve tous les minéraux fréquemment utilisés dans les processus de fabrication. Le plus fréquent est le Chlorure de Sodium (le sel). Cette catégorie est répartie en sels minéraux (calcium, sodium, potassium) et en oligo-éléments (fer, magnésium selon les cas, cuivre, cobalt, etc.).

Aliments acides et acidifiants

Il est important de distinguer le potentiel hydrogène (pH) des aliments de leur effet sur le corps humain une fois digérés. Par exemple, certains aliments basiques (pH élevé) auront pour effet de diminuer l'acidité (augmentation du pH, potentiel alcalinisant), alors que certains aliments acides (pH faible) auront pour effet d'augmenter l'acidité (diminution du pH, potentiel acidifiant)[réf. nécessaire].

Provenance

La nourriture provient de l'agriculture (élevages et cultures), de la cueillette, de la pêche et de la chasse.

Qualité des denrées

La qualité des denrées varie selon l'environnement, les modes de productions agricoles mis en œuvre, de la fraîcheur du produit, d'éventuelles contaminations (métaux lourds, pesticides, biocides, bactéries spécifiques, radionucléides, etc.) ou ruptures de la chaîne du froid. Dans la plupart des pays, des systèmes plus ou moins poussés de contrôle et surveillance existent, y compris pour les contaminations radioactives[10].

Signes, marques de certification et mentions valorisantes

Pour mettre en surbrillance les différentes natures des aliments dévolus au commerce, il existe quantité de labels sur lesquels le consommateur peut s'appuyer avec plus ou moins de certitude pour avoir une indication sur leurs vertus organoleptiques, sociales, environnementales ou/et sanitaires.

Des désignations (AOP), des identifications (IGP, STG, LR) et des marques collectives de certification officielles (AB) décernés par des organismes d'état permettent aux consommateurs de faire leur choix en fonction de critères objectifs et répondant à un cahier des charges précis.

En parallèle, des organisations privées ont créé des marques ou des signes distinctifs (Max Havelaar, Produit de l'année , etc.).

Réglementation

Dans la plupart des pays existe une législation alimentaire spécifique. C'est un corpus qui inclut des dispositions législatives, réglementaires et administratives concernant les denrées alimentaires en général et leur sécurité en particulier, au niveau communautaire en Europe ou national. Elle concerne toutes les étapes de la production, de la transformation et de la distribution des denrées alimentaires et également des aliments destinés ou donnés à des animaux producteurs de denrées alimentaires

L'« aliment » ou la denrée alimentaire (définition)

Dans l'Union européenne, un aliment ou denrée alimentaire est « toute substance ou produit, transformé, partiellement transformé ou non transformé, destiné à être ingéré ou raisonnablement susceptible d'être ingéré par l'être humain. Ce terme recouvre les boissons, les gommes à mâcher et toute substance, y compris l'eau, intégrée intentionnellement dans les denrées alimentaires au cours de leur fabrication, de leur préparation ou de leur traitement. Il inclut l'eau au point de conformité défini à l'article 6 de la directive 98/83/CE, sans préjudice des exigences des directives 80/778/CEE et 98/83/CE » ; le terme « denrée alimentaire » ne couvre pas :

  1. ) les aliments pour animaux[11] ;
  2. ) les animaux vivants à moins qu'ils ne soient préparés en vue de la consommation humaine[11] ;
  3. ) les plantes avant leur récolte[11] ;
  4. ) les médicaments au sens des directives 65/65/CEE et92/73/CEE du Conseil[11] ;
  5. ) les cosmétiques au sens de la directive 76/768/CEE du Conseil[11] ;
  6. ) le tabac et les produits du tabac au sens de la directive 89/622/CEE du Conseil[11] ;
  7. ) les stupéfiants et les substances psychotropes au sens de la Convention unique des Nations unies sur les stupéfiants de 1961 et de la Convention des Nations unies sur les substances psychotropes de 1971[11] ;
  8. ) les résidus et contaminants[11].

Le paquet hygiène

C'est l'ensemble des cinq règlements communautaires fixant des exigences relatives à l’hygiène des denrées alimentaires et des denrées animales[réf. nécessaire].

Il impose notamment un système de « traçabilité des denrées alimentaires, des aliments pour animaux, des animaux producteurs de denrées alimentaires et de toute autre substance destinée à être incorporée ou susceptible d’être incorporée dans des denrées alimentaires ou des aliments pour animaux, à toutes les étapes de la production, de la transformation et de la distribution »[12], y compris, dans une certaine mesure pour l'alimentation animale[13]. Pour l'alimentation humaine, la traçabilité doit être assurée de la fourche à la fourchette, via :

  1. une traçabilité fournisseur ou ascendante (traçabilité des matières premières et ingrédients ou aliments pour animaux et emballages) ;
  2. une traçabilité interne (traçabilité dans les processus de production) ;
  3. une traçabilité client ou descendante (traçabilité de la distribution du produit fini).

En 2002, un règlement a rappelé[14] que la législation alimentaire inclut aussi des exigences relatives aux aliments pour animaux, notamment à leur production et à leur utilisation, lorsque ces aliments sont destinés à des animaux producteurs de denrées alimentaires et ce, « sans préjudice des exigences similaires qui ont été appliquées à ce jour et seront appliquées en matière de législation alimentaire applicable à l'ensemble des animaux, y compris aux animaux de compagnie »[14].

Sécurité alimentaire et libre circulation des denrées alimentaires et des aliments pour animaux

Un règlement européen (CE 178/2002[14]) vise à renforcer et entretenir le « niveau de protection de la vie et de la santé humaines » dans l'exécution des politiques communautaires, tout en permettant une « libre circulation des denrées » dans la Communauté européenne. Il inclut :

  • des prescriptions sur la sécurité des denrées. Ces prescriptions sont mises en œuvre sous l'égide (à partir de 2002) de l'Autorité européenne de sécurité des aliments et d'un comité permanent de la chaîne alimentaire et de la santé animale[15], sur des bases scientifiques et techniques claires, et avec l'aide d'un réseau de laboratoires d'excellence (« La Communauté doit disposer en la matière d'un support scientifique et technique, de haute qualité, indépendant et efficace »[16] ;
  • ces prescriptions font l'objet d'une harmonisation européenne pour éviter les inégalités en matière de concurrence dans le marché intérieur européen. Le règlement rappelle[17], qu'il est nécessaire « de prendre en considération la production, la fabrication, le transport et la distribution des aliments donnés aux animaux producteurs de denrées alimentaires, y compris la production d'animaux susceptibles de servir d'aliments pour animaux dans les fermes aquacoles, étant donné qu'une contamination accidentelle ou intentionnelle, une falsification, des pratiques frauduleuses ou d'autres pratiques douteuses concernant les aliments pour animaux peuvent avoir un impact direct ou indirect sur la sécurité des denrées alimentaires », de même pour les intrants agricoles[18] ;
  • pour « réduire, d'éliminer ou d'éviter un risque pour la santé, les trois volets interconnectés de l'analyse des risques — évaluation des risques, gestion des risques et communication sur les risques — constituent une méthodologie systématique pour déterminer des mesures efficaces, proportionnées et ciblées ou d'autres actions pour protéger la santé »[19] ;
  • la confiance dans les évaluations des risques nécessite qu'elles soient « réalisées de manière indépendante, objective et transparente et se fonder sur les informations et les données scientifiques disponibles »[20], en intégrant tant que nécessaire « les facteurs sociétaux, économiques, traditionnels, éthiques et environnementaux, ainsi que la faisabilité des contrôles »[21], et le cas échéant le principe de précaution[22].

Notes et références

  1. Règlement 178/2002/CE
  2. JOL 330 du 05/12/1998 p. 32-54 (eau)
  3. Règlement (CE) no 1829/2003 Du Parlement européen et du Conseil du 22 septembre 2003 concernant les denrées alimentaires et les aliments pour animaux génétiquement modifiés (Voir points 6 et 7 du règlement)
  4. Cf. notamment le Règlement 1829/2003/CE sur l'étiquetage des OGM
  5. FAO/french.news.cn FAO : pour nourrir la planète, il est nécessaire de réduire les déchets alimentaires, mai 2011
  6. « Le gaspillage alimentaire dans le monde », sur ArcGIS StoryMaps (consulté le )
  7. Formulaire CERFA déclaratif
  8. « Intoxications alimentaires, les salmonelles 1ère cause de décès en France », sur www.pourquoidocteur.fr (consulté le )
  9. (en) Assistant Secretary for Public Affairs (ASPA), « 4 Steps to Food Safety », sur FoodSafety.gov, (consulté le )
  10. [PDF] Sophie Blanquart (2009) Risque de contamination des filières de production des denrées alimentaires par des rejets accidentels de radionucléides. Rédaction de fiches synthétiques à l'usage des décideurs, Thèse de doctorat vétérinaire de l'école nationale vétérinaire de Lyon, soutenue le 17 décembre 2009, 188 p.
  11. Eur-lex, Article 2 du Règlement CE178/2002 du Parlement européen et du Conseil du 28 janvier 2002, établissant les principes généraux et les prescriptions générales de la législation alimentaire, instituant l'Autorité européenne de sécurité des aliments et fixant des procédures relatives à la sécurité des denrées alimentaires
  12. Règlement européen 178/2002/CE du Parlement européen et du conseil du 28 janvier 2002 relatif à la sécurité des denrées alimentaires.
  13. Règlement CE no 183/2005 du Parlement européen et du Conseil du 12 janvier 2005 établissant des exigences en matière d’hygiène des aliments pour animaux décrit les mesures minimales selon les activités des établissements.
  14. Règlement CE178/2002 du parlement européen et du Conseil du 28 janvier 2002, établissant les principes généraux et les prescriptions générales de la législation alimentaire, instituant l'Autorité européenne de sécurité des aliments et fixant des procédures relatives à la sécurité des denrées alimentaires
  15. Alinéa 62 et suivants du règlement
  16. Alinéa 32 et suivants du règlement
  17. Alinéa 13 du règlement
  18. Alinéa 14 du règlement
  19. Alinea 17 du règlement
  20. Alinéa 18 du règlement
  21. Alinéa 19 du règlement
  22. Alinéas 20 et 21 du règlement

Voir aussi

Articles connexes

Bibliographie

  • Michel Chauvet, Encyclopédie des plantes alimentaires, Paris, Belin, , 878 p. (ISBN 978-2-7011-5971-3, notice BnF no FRBNF45594130, présentation en ligne).
  • Janick Auberger, Manger en Grèce classique : la nourriture, ses plaisirs et ses contraintes, Presses de l'Université Laval, Québec, 2010, 242 p. (ISBN 978-2-7637-8684-1)
  • Pierre Feillet, La nourriture des Français : de la maîtrise du feu… aux années 2030, Éd. Quae, Versailles, 2007, 245 p. (ISBN 978-2-7592-0049-8)

Filmographie

  • Nourriture divine : la cuisine des autres, documentaire réalisé par Mary Stephen, CNRS Images, Meudon, 2004, 21 min (DVD)

Liens externes

  • Base de données AFSSA/CIQUAL (mise à jour ) sur la composition nutritionnelle de plus de 1 300 aliments, avec teneurs en 42 constituants apportant des informations sur la teneur énergétique, les valeurs moyennes en nutriments majeurs, acides gras, vitamines (liposolubles et hydrosolubles), minéraux. Lorsque ces données sont disponibles, la base affiche aussi la valeur basse, la valeur haute, le nombre d'échantillons, avec sources et degrés de confiance des données. Les données sur les métaux lourds, résidus de pesticides et autres indésirables sont à rechercher ailleurs.
  • Qualitionnaire - Définitions légales et normatives - Aliment


  • Alimentation et gastronomie
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