Acide hyaluronique

L'acide hyaluronique (du grec hyalos = « vitreux » et « uronique » parce qu'il a d'abord été isolé de l'humeur vitrée et qu'il possède un haut taux d'acide uronique) est un glycosaminoglycane, non fixé à une protéine centrale et réparti largement parmi les tissus conjonctifs, épithéliaux et nerveux. On le trouve, par exemple, dans l'humeur vitrée et le liquide synovial. C'est l'un des principaux composants de la matrice extracellulaire. Il contribue de façon significative à la prolifération et à la migration des cellules. Il peut se trouver impliqué dans la progression de certaines tumeurs malignes.

Acide hyaluronique
Identification
No CAS 9004-61-9
No ECHA 100.029.695
No CE 232-678-0
Code ATC D03AX05, M09AX01, R01AX09, S01KA01
SMILES
InChI
Propriétés chimiques
Formule C14H21NO11
Masse molaire[1] 379,3166 ± 0,0162 g/mol
C 44,33 %, H 5,58 %, N 3,69 %, O 46,4 %,
Composés apparentés
Autres composés

Hyaluronate de sodium


Unités du SI et CNTP, sauf indication contraire.

Il est associé à une fraction protéique pour former une mucoprotéine.

Structure

Structure de l'acide hyaluronique, polymère d'acide hyalobiuronique.

La structure chimique de l'acide hyaluronique a été déterminée dans les années 1930 dans le laboratoire de Karl Meyer[réf. nécessaire].

L'acide hyaluronique est un polymère de disaccharides eux-mêmes composés d'acide D-glucuronique et de D-N-acétylglucosamine, liés entre eux par des liaisons glycosidiques alternées β-1,4 et β-1,3[2].

Les polymères de cette unité récurrente peuvent avoir une taille entre 105 et 107 Da[2] in vivo.

L'acide hyaluronique est stable du point de vue énergétique, en partie à cause des aspects stéréochimiques des disaccharides qui le composent.

L'acide hyaluronique est le plus simple glycosaminoglycane (GAG), il n'est pas sulfaté (c'est le seul GAG à ne pas l'être), se retrouve dans tous les tissus (essentiellement embryonnaires), possède une chaîne très longue (des milliers de sucres) et n'a qu'un seul type d'unité disaccharidique. Il est lié de façon non covalente à la protéine. C'est le GAG le plus précoce phylogénétiquement.

Synthèse

L'acide hyaluronique est synthétisé par les hyaluronanesynthases (HAS). Elle est formée dans les cellules mésenchymateuses, épithéliales et immunitaires ainsi que dans les cellules souche mésenchymateuse et hématopoïétique[2].

Fonctions

L'acide hyaluronique aide à protéger les articulations en augmentant la viscosité du liquide synovial et en rendant le cartilage plus élastique. Dans la peau, il comble les espaces inter-cellulaires et participe à l'hydratation et la cohésion des tissus.

Il a également des propriétés anti-angiogenèse[3], joue un rôle dans l'inflammation, la cicatrisation[4], les cancers[5] et les réactions immunitaires[6].

Les produits de dégradation de la chaîne hyaluronique ont leurs propres propriétés : ils se fixent à la protéine CD44 (antigène), activant les récepteurs de type Toll 4 et 2[7] intervenant dans l'inflammation.

Fabrication industrielle

L'acide hyaluronique est principalement obtenu, de façon industrielle, par deux procédés différents :

  1. Extraction de crêtes de coq, après broyage, traitement chimique et purification.
  2. Fermentation bactérienne : les filaments d'acide hyaluronique sont synthétisés par des bactéries.

Novozymes (Danemark) a finalisé en 2012 la construction en Chine d'une unité de production d'acide hyaluronique, par fermentation de bactéries Bacillus subtilis. Cette nouvelle voie d'accès permettrait de limiter les risques de contamination par des impuretés virales ou des endotoxines (fabrications à partir des crêtes de coq ou par fermentation de bactéries streptococcus)[8].

La viscosité du gel obtenu est proportionnelle à la longueur (poids moléculaire, exprimé en daltons) des fibres (du polymère). Cette viscosité va déterminer la vitesse de dégradation du produit après implantation.

Dégradation

Plusieurs études ont montré une influence des processus inflammatoires et la productions de radicaux libres dans la dégradation des chaînes d'acide hyaluronique au sein des articulations dans le cadre de pathologies inflammatoires articulaires[9],[10]. Pour certains, l'influence de l'exposition solaire et la production de radicaux libres qui en résulte[11] pourrait avoir le même effet sur ce phénomène de dégradation.

La dégradation de l'acide hyaluronique in vivo est assurée par une enzyme : l’hyaluronidase. L'action de cette enzyme naturellement présente au sein de tout organisme permet le renouvellement des chaînes d'acide hyaluronique contenues au sein de l'organisme. On compte environ 15 grammes d'acide hyaluronique pour un individu pesant 70 kilos, et 5 g de ce stock est renouvelé chaque jour. La peau contient à elle seule 50% de cette quantité d'acide hyaluronique[12].

L'utilisation de plus en plus courante en médecine esthétique de l'acide hyaluronique pour des injections de comblement et les risques liés à ces injections notamment les irrégularités de surface inesthétiques et les injections intra-vasculaires potentiellement à risque de provoquer des nécroses[13] a imposé la nécessité de formaliser la procédure à suivre en cas de survenue de complication[14], et notamment en cas de survenue de cécité qui représente la complication la plus grave pouvant survenir après ce type d'injection[15]

On retiendra essentiellement que l’hyaluronidase qu'elle soit d'origine humaine recombinante ou ovine, utilisée à ces fins ne présente pas à ce jour de problème de tolérance même à forte dose, hormis quelques rares cas décrits de réactions allergiques imposant un test préalable[16], et que le profil de réaction de l'acide hyaluronique à l’hyaluronidase dépend non seulement du type d'acide hyaluronique utilisé[17] mais aussi de l’hyaluronidase utilisée[18].

Applications médicales

L'acide hyaluronique est présent naturellement dans divers tissus du corps, comme la peau (essentiellement dans l'espace intercellulaire de l'épiderme[19]), le cartilage. Il est donc adapté aux applications biomédicales visant ces tissus. Le premier produit biomédical à base d'acide hyaluronique, Healon, a été développé dans les années 1970 et approuvé pour des usages en chirurgie ophtalmique : transplantation de cornée, cataracte, glaucome, etc.

L'acide hyaluronique est également utilisé pour traiter l'arthrose du genou. De tels traitements sont administrés sous forme d'injections dans l'articulation du genou afin, théoriquement, d'augmenter la viscosité du liquide synovial et de lubrifier ainsi l'articulation. Son efficacité sur les douleurs n'est toutefois pas démontrée[20] et le rapport entre bénéfices et effets secondaires est défavorable[21].

Dans certains cancers, les taux de produits de dégradation de l'acide hyaluronique retrouvés dans le sang ont montré une corrélation statistique positive avec le degré de malignité, une expression forte de ces produits dans le sang étaient liés à une activité forte du cancer dans le cas du cancer du sein[22],[23]. Dès lors, l'acide hyaluronique peut être utilisé pour suivre l'évolution de la maladie.

L'acide hyaluronique aurait, chez certaines espèces (le rat taupe) des vertus anticancéreuses, et par conséquent fait l’objet de nombreuses recherches dans la lutte contre le cancer[24],[25].

Il peut aussi être utilisé lors de soins post-opératoires pour favoriser la reconstitution des tissus, principalement après une opération de la cataracte.

L'acide hyaluronique est également utilisé en collyre pour l'hydratation de la cornée, en pastilles adoucissantes pour la gorge en cas d'extinction de voix et en traitement des atteintes aphteuses de la muqueuse buccale, où, en application locale, son effet « barrière » aux frottements et aux aliments acides atténue la douleur et accélère la cicatrisation.

L'acide hyaluronique est utilisé dans le traitement du reflux gastro-oesophagien en combinaison avec du sulfate de chondroïtine et de poloxamère 407 [26] sous forme liquide. A température corporelle, il forme un hydrogel bio-adhésif se répartissant sur la paroi œsophagienne[27], la protégeant ainsi des dommages causés par les acides gastriques et la pepsine[26]. L'acide hyaluronique et le sulfate de chondroïtine soulagent des symptômes du reflux [26],[28],[29] et contribuent à la régénération et à la cicatrisation de la muqueuse endommagée[30],[31],[32].

On utilise également l'acide hyaluronique (Macrolane) pour l'augmentation des volumes corporels (fesses, mollets, pectoraux) et la lipoatrophie liée au VIH.

Le marché de l'acide hyaluronique en pharmacie est estimé à 135 M€ (2012) [5].

Applications esthétiques

Depuis le début des années 2000, l'acide hyaluronique est utilisé en médecine esthétique comme produit injectable de comblement de rides. Des produits à base d'acide hyaluronique tels que Teosyal (laboratoireTeoxane), Restylane (laboratoire Galderma-Q-Med) ou Surgiderm (laboratoire Allergan) sont utilisés par les médecins et ont tendance à supplanter de plus en plus les injections de collagène car l'acide hyaluronique possède les propriétés suivantes :

  • Une tolérance biologique importante avec des risques d'allergies de l'ordre de l'exceptionnel[33]
  • Des formulations qui lui permettent d'obtenir des propriétés différentes selon le degré de réticulation du produit et une adaptabilité importante en fonction de la zone à traiter. Un produit fluide est plus hydratant que formateur de volume, un produit très réticulé est plus adapté pour donner du volume

L'acide hyaluronique est désormais couramment utilisé comme ingrédient de produits de beauté en raison de ses propriétés hydratantes. Certains laboratoires ont mis au point des crèmes anti-rides à base d'acide hyaluronique, dont l'efficacité est par ailleurs discutée[34],[35].

Les usages de l'acide hyaluronique en médecine esthétique peuvent être catégorisés selon le but recherché par les injections.

La correction de volume du visage

La correction des volumes du visage permet de redonner du volume à une zone qui aurait perdu de la projection par les processus normaux du vieillissement (la perte de masse osseuse, musculaire et graisseuse), ou la correction de volumes physiologiquement insuffisants.

Pour ces corrections de volume les produits choisis sont plutôt fortement réticulés, et injectés en profondeur, parfois directement au contact de l'os sous-jacent pour pouvoir projeter au maximum les volumes.

Ce type de procédure est adapté à[36] :

  • La correction de tempes creuses
  • La projection des pommettes
  • La masculinisation d'une mâchoire
  • La projection du menton
  • Certains défauts d'aspect du nez sont accessibles aux injections
  • Les joues creuses

D'autre défauts de volumes sont plus superficiels et nécessitent un acide hyaluronique modérément réticulé, en effet plus un produit est réticulé et plus il aura tendance à conserver sa forme, si le produit est injecté à proximité de la surface de la peau, on aura facilement tendance à le voir sous forme d'une boule visible à la surface de la peau. Pour ces défauts, l'injection est sous-cutanée, et est adaptée à :

  • La correction de cernes creux
  • Le comblement de sillons-nasogéniens
  • Le comblement de plis d'amertume
  • L'augmentation du volume des lèvres

La séance d’injections d’acide hyaluronique dure environ 15 minutes. Le spécialiste injecte l’acide hyaluronique dans le derme, à quelques millimètres de profondeur. Les effets de l’acide hyaluronique sont immédiats après injection et ont une durée de vie d’environ 6 à 9 mois. Par ailleurs, l’acide hyaluronique est résorbable, les effets non-désirés sont donc transitoires. [37]

La correction des volumes du corps

Les propriétés des acides hyaluroniques permettent de redonner du volume à toutes les parties du corps qui en manqueraient[38], par exemple au niveau des fesses. Le caractère transitoire et les quantités parfois importantes à injecter ne font toutefois pas des injections d'acide hyaluronique la technique de référence pour la correction des volumes du corps.

Dans la sphère intime se développent les injections pour :

  • L'augmentation du volume du gland[39]
  • L'augmentation du volume du gland dans le but de traiter l'éjaculation précoce[40]
  • L'augmentation du volume du corps du pénis[41]
  • Réduction du diamètre vaginal, stimulation du point G et correction des aspects cosmétiques du vagin[42]

Le lissage de surface cutané

La surface cutanée se marque au fil du temps par des rides qui peuvent se localiser notamment au niveau du front, entre les deux yeux (ride du lion), au coin externe des yeux (ride de la patte d'oie), autour de la bouche et sur les joues. Ces rides sont le plus souvent liées à la mise en jeux de mécanismes musculaires, et le traitement consiste dans un premier temps à traiter cette composante musculaire par l'injection de toxine botulique pour bloquer le mécanisme basal.

L'injection d'acide hyaluronique peut prendre place après ou avant ce traitement par toxine botulique pour venir lisser la surface cutanée en apportant du volume sous le pli de la ride à traiter[43]. Les injections sont dans ce cas préférentiellement intra dermiques et utilisent des acides hyaluroniques peu réticulés.

L'hydratation de la peau

Enfin par l'utilisation de techniques de mésothérapie, l'utilisation d'acide hyaluronique permet d'apporter de l'hydratation de la peau en profondeur à la peau pour lui permettre d'améliorer ses propriétés en termes de ridules et de présence de pores[44]. L'acide hyaluronique agit comme une éponge moléculaire : il est une des biomolécules ayant des propriétés hygroscopiques exceptionnelles (elle est capable de retenir jusqu'à mille fois son poids en eau) qui contribuent à l'hydratation de la peau[45].

Les contre-indications aux injections d'acide hyaluronique

  • infection en cours
  • grossesse
  • maladie auto-immunes / inflammatoire
  • herpes labial
  • antécédent d'allergie

Notes et références

  1. Masse molaire calculée d’après « Atomic weights of the elements 2007 », sur www.chem.qmul.ac.uk.
  2. B.-V. Nusgens, « Acide Hyaluronique et matrice extracellulaire : une molécule primitive ? », Annales de dermatologie, vol. 137, (lire en ligne)
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Voir aussi

Articles connexes

Lien externe


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