Étienne Leroy

Étienne Leroy est le fils d'Étienne Leroy (père) et d'Anne-Adèle Petitjean.

Peintre de genre, de portraits, de nus et de paysages, Leroy est l'élève de François-Edouard Picot[2]. Il avait son atelier au n^o 20 rue Pétrelle, puis au n^o 31 rue Turgot à Paris (9^e)[3]. Il expose au Salon de 1850 à 1873.

Étienne Leroy est mort célibataire à son domicile parisien du n^o 31 rue Turgot, le 21 novembre 1876[4].

• 1850 : Rêverie[5] ; Une Grisette ;
• 1857 : Une Paysanne[6] ;
• 1859 : Les Adieux[7]^,[8] ;
• 1861 : La Promenade[9] ; Déception[10] ;
• 1864 : La Rencontre[11] ;
• 1865 : La Prière[12], la Société des Amis des arts du Limousin a acquis ce tableau pour sa première exposition du 1^er mai 1862 à Limoges[13] ; Les Mauvais conseils[14]
• 1866 : Le Matin[15] ; Portrait de Mlle M.S… ;
• 1867 : Cléopâtre[16] ;
• 1868 : La Toilette[17] ; L'Été ;
• 1869 : Aux Courses[18] ; Portrait de Mlle E.F… ;
• 1870 : Le Bijou[19] ; Surprise! ;
• 1872 : Le Printemps[20] ;
• 1873 : Romance nouvelle[21].

• Victorine-Louise Meurent, artiste peintre, née à Paris le 18 février 1844, membre de la Société des artistes français dès 1903, célèbre pour avoir été le modèle favori d'Édouard Manet, mais elle a aussi posé pour Édgar Degas, Alfred Stevens, Norbert Gœneutte, Toulouse-Lautrec, etc. Différents ateliers : 1 boulevard de Clichy, 21 rue Bréda, 2 bis Avenue des Tilleuls, 4 bis rue Dancourt. En 1875 et 1876, elle prend des cours du soir[22] à l'Académie Julian. Elle expose au Salon à partir de 1876[23]: en 1876 (Portrait de l'auteur); en 1879 (Bourgeoise de Nuremberg, au XVIe siècle); en 1885 (Le jour des Rameaux); en 1904, une étude (Le chat à la guêpe). Elle meurt chez elle à Colombes (6, avenue Marie-Thérèse) le 17 mars 1927.