meuleudi

Breton

Étymologie

Du verbe meuliñ (« louer, honorer »).

Nom commun

meuleudi féminin \møˈ.løː.di\[1][2] (pluriel: meuleudioù)

  1. Éloge, louange.
    • Steuet en doa poltredoù priñsezed ha rouanezed, hag eus ar broioù estren e teue dezhañ ar vrasañ meuleudi.  (Jakez Riou, Geotenn ar Wercʼhez, Éditions Al Liamm, 1957, p. 64)
      Il avait exécuté des portraits de princesses et de reines, et, des pays étrangers, lui étaient venus les plus grands éloges.
    • E kaninn ho meuleudi d’am breudeur Breiz-Izel.  (I.-P.-M. ar Skour, Kloarek Koat ar Rannou ha Penn-herez Kerzanton, c. 1870, p. 1)
      Je chanterai vos louanges à mes frères de Bretagne.
    • E brezhoneg e voe kanet meuleudioù I. V. Kergrist, [...].  (Keleier ar Vro, in Arvor, niv. 143, 10 Here 1943, p. 3)
      On chanta en breton les louanges de N. D. de Kergrist.

Références

  1. Sous la direction de Martial Ménard et Iwan Kadored, Geriadur brezhoneg An Here, An Here, 2001, p. 914
  2. F. Favereau, Geriadur ar brezhoneg a-vremañ - Dictionnaire du breton contemporain, Skol Vreizh, 1992, p. 523
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