bréler

Voir aussi : brêler

Français

Étymologie

Du latin prelum ou prælum[1].

Verbe

bréler \bʁe.le\ transitif 1er groupe (voir la conjugaison)

  1. Effectuer un brêlage.
    • Deux hommes de la section brèlent les guindages de la droite du pont, les deux autres brèlent ceux de la gauche.  (Gaspard Herman Cotty, Félix Vicq d'Azyr et Jean Le Rond d’Alembert, Encyclopédie méthodique, ou par ordre de matières, Panckoucke, 1832, 637 pages, volume 6, partie II, p.527)
    • bréler les poutrelles sur les bateaux;  (J. Corréard, Journal des sciences militaires, édité par R. Chapelot., 1835, p.96)
    • Si l’on veut augmenter encore la surface d’appui, on peut bréler deux madriers sous le trépied,  (Albert Donny et collègues, Manuel du voyageur et du résident au Congo, Hayez, 1901, p.132)
    • À ce stade, on peut estimer avoir utilisé — mais avec des sécurités énormes — près de 150 m de liens végétaux pour bréler  (Pierre Pétrequin, Dominique Baudais, Les sites littoraux néolithiques de Clairvaux-les-lacs (Jura), Les Éditions de la MSH, 1er janvier 1989, 508 pages, p.159)

Variantes orthographiques

Traductions

Références

  1. Enée Aimé Escallier, Remarques sur le patois : suivies d'un vocabulaire latin-français inédit du XIV siècle, avec gloses et notes explicatives pour servir a l'histoire des mots de la langue français, V. Wartelle, 1856, 658 pages, p.130
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