Que serais-je sans toi ? est le 7e roman en français du romancier Guillaume Musso. Il conte l’histoire d’une femme tiraillée entre son père, devenu voleur, et son premier amour, policier.

Citations

Prologue

J’ai toujours préféré la folie des passions à la sagesse de l’indifférence.
  • Que serais-je sans toi ?, Guillaume Musso, éd. XO Éditions, 2009  (ISBN 978-2-84563-419-0), chap. Préface, p. 9 (voir la fiche de référence de l'œuvre)
  • Citation choisie pour le 11 décembre 2010.


Le premier amour est toujours le dernier.
  • Que serais-je sans toi ?, Guillaume Musso, éd. XO Éditions, 2009  (ISBN 978-2-84563-419-0), chap. 1 (« Cet été-là... »), p. 13 (voir la fiche de référence de l'œuvre)
Les plus belles histoires d’amour sont celles qu’on n’a pas eu le temps de vivre.
  • Que serais-je sans toi ?, Guillaume Musso, éd. XO Éditions, 2009  (ISBN 978-2-84563-419-0), chap. 1 (« Cet été-là... »), p. 15 (voir la fiche de référence de l'œuvre)

Partie 1 – Sous le ciel de Paris

C’est pour les mêmes raisons qu’on déteste une personne ou qu’on l’aime.
  • Citation de Russel Banks.
  • Que serais-je sans toi ?, Guillaume Musso, éd. XO Éditions, 2009  (ISBN 978-2-84563-419-0), partie 1 (« Sous le ciel de Paris »), chap. 2 (« Le plus grand des voleurs »), p. 33 (voir la fiche de référence de l'œuvre)
Il y a deux sortes de gens. Il y a ceux qui vivent, jouent et meurent. Et il y a ceux qui ne font jamais rien d’autre que se tenir en équilibre sur l’arête de la vie. Il y a les acteurs. Et il y a les funambules.
  • Citation de Maxence Fermine.
  • Que serais-je sans toi ?, Guillaume Musso, éd. XO Éditions, 2009  (ISBN 978-2-84563-419-0), partie 1 (« Sous le ciel de Paris »), chap. 3 (« Mon frère solitude »), p. 39 (voir la fiche de référence de l'œuvre)
Au-delà de sa valeur marchande, toute création artistique [a] quelque chose de sacré et [participe] à la transmission d’un patrimoine culturel accumulé au cours des siècles. Le vol d’une œuvre d’art [constitue] donc une atteinte face aux valeurs et aux fondements de notre civilisation.
  • Que serais-je sans toi ?, Guillaume Musso, éd. XO Éditions, 2009  (ISBN 978-2-84563-419-0), partie 1 (« Sous le ciel de Paris »), chap. 3 (« Mon frère solitude »), p. 40 (voir la fiche de référence de l'œuvre)
Telle est la nature humaine : tôt ou tard, la confiance entraîne le relâchement et le relâchement vous conduit à commettre une faute.
  • Que serais-je sans toi ?, Guillaume Musso, éd. XO Éditions, 2009  (ISBN 978-2-84563-419-0), partie 1 (« Sous le ciel de Paris »), chap. 3 (« Mon frère solitude »), p. 41 (voir la fiche de référence de l'œuvre)
Il n’y a que les ennemis qui se disent la vérité ; les amis et les amants mentent sans cesse, pris au piège dans la toile du devoir.
  • Que serais-je sans toi ?, Guillaume Musso, éd. XO Éditions, 2009  (ISBN 978-2-84563-419-0), partie 1 (« Sous le ciel de Paris »), chap. 4 (« Deux hommes dans la ville »), p. 49 (voir la fiche de référence de l'œuvre)
Les perdants sont toujours battus par eux-mêmes. [...] Parfois, il est plus facile de perdre que de payer le prix que réclame la victoire [...].
  • Que serais-je sans toi ?, Guillaume Musso, éd. XO Éditions, 2009  (ISBN 978-2-84563-419-0), partie 1 (« Sous le ciel de Paris »), chap. 4 (« Deux hommes dans la ville »), p. 55 (voir la fiche de référence de l'œuvre)
J’aurais dû avoir deux cœurs, le premier insensible, le second constamment amoureux, j’aurais confié ce dernier à celles pour qui il bat et avec l’autre j’aurais vécu heureux.
  • Que serais-je sans toi ?, Guillaume Musso, éd. XO Éditions, 2009  (ISBN 978-2-84563-419-0), partie 1 (« Sous le ciel de Paris »), chap. 5 (« Les amants du Pont-Neuf »), p. 59 (voir la fiche de référence de l'œuvre)
Nul besoin de mentir. Simplement, ne pas dire toute la vérité. Simplement, faire de la politique.
  • Que serais-je sans toi ?, Guillaume Musso, éd. XO Éditions, 2009  (ISBN 978-2-84563-419-0), partie 1 (« Sous le ciel de Paris »), chap. 5 (« Les amants du Pont-Neuf »), p. 67 (voir la fiche de référence de l'œuvre)
Je sais maintenant que ce qui fait d’un homme un imbécile, c’est son inaptitude à suivre même les bons conseils qu’il se donne à lui-même.
  • Que serais-je sans toi ?, Guillaume Musso, éd. XO Éditions, 2009  (ISBN 978-2-84563-419-0), partie 1 (« Sous le ciel de Paris »), chap. 7 (« Les duellistes »), p. 79 (voir la fiche de référence de l'œuvre)
Notre vie est un livre qui s’écrit tout seul. Nous sommes des personnages de roman qui ne comprennent pas toujours bien ce que veut l’auteur.
  • Que serais-je sans toi ?, Guillaume Musso, éd. XO Éditions, 2009  (ISBN 978-2-84563-419-0), partie 1 (« Sous le ciel de Paris »), chap. 8 (« La clé du paradis »), p. 93 (voir la fiche de référence de l'œuvre)
La crainte du pire est tellement plus effrayant que la certitude du pire.
  • Que serais-je sans toi ?, Guillaume Musso, éd. XO Éditions, 2009  (ISBN 978-2-84563-419-0), partie 1 (« Sous le ciel de Paris »), chap. 8 (« La clé du paradis »), p. 104 (voir la fiche de référence de l'œuvre)
Mais voici le plus atroce : l’art de la vie consiste à cacher aux personnes les plus chères la joie que l’on a d’être avec elles, sinon on les perd.
  • Que serais-je sans toi ?, Guillaume Musso, éd. XO Éditions, 2009  (ISBN 978-2-84563-419-0), partie 1 (« Sous le ciel de Paris »), chap. 11 (« Le jour où tu partiras »), p. 119 (voir la fiche de référence de l'œuvre)
Nous devons préserver notre fragilité parce qu’elle nous rapproche les uns des autres, alors que la force nous éloigne.
  • Que serais-je sans toi ?, Guillaume Musso, éd. XO Éditions, 2009  (ISBN 978-2-84563-419-0), partie 1 (« Sous le ciel de Paris »), chap. 12 (« Laisse-moi verser une larme »), p. 127 (voir la fiche de référence de l'œuvre)
Svetlana a des larmes dans les yeux, de celles qui lavent, qui font du bien et raniment un regard que l’on croyait éteint pour toujours.
  • Que serais-je sans toi ?, Guillaume Musso, éd. XO Éditions, 2009  (ISBN 978-2-84563-419-0), partie 1 (« Sous le ciel de Paris »), chap. 12 (« Laisse-moi verser une larme »), p. 132 (voir la fiche de référence de l'œuvre)
L’amour et la mort n’ont que deux lettres de différence.
  • Que serais-je sans toi ?, Guillaume Musso, éd. XO Éditions, 2009  (ISBN 978-2-84563-419-0), partie 1 (« Sous le ciel de Paris »), chap. 13 (« La part manquante »), p. 138 (voir la fiche de référence de l'œuvre)

Partie 2 – Les rues de San-Francisco

Si deux personnes s’aiment, il ne peut y avoir de fin heureuse.
  • Que serais-je sans toi ?, Guillaume Musso, éd. XO Éditions, 2009  (ISBN 978-2-84563-419-0), partie 2 (« Les rues de San-Francisco »), chap. 14 (« Valentine »), p. 141 (voir la fiche de référence de l'œuvre)
On promet toujours plus qu’on ne peut tenir.
  • Que serais-je sans toi ?, Guillaume Musso, éd. XO Éditions, 2009  (ISBN 978-2-84563-419-0), partie 2 (« Les rues de San-Francisco »), chap. 14 (« Valentine »), p. 149 (voir la fiche de référence de l'œuvre)
Il y a dans notre âme des choses auxquelles nous ne savons pas combien nous tenons. Ou bien, si nous vivons sans elles, c’est parce que nous remettons de jour en jour, par peur d’échouer ou de souffrir, d’entrer en leur possession.
  • Que serais-je sans toi ?, Guillaume Musso, éd. XO Éditions, 2009  (ISBN 978-2-84563-419-0), partie 2 (« Les rues de San-Francisco »), chap. 15 (« Alter ego »), p. 153 (voir la fiche de référence de l'œuvre)
La carte de notre vie est pliée de telle sorte que nous ne voyons pas une seule grande route qui la traverse, mais au fur et à mesure qu’elle s’ouvre, toujours une petite route neuve.
  • Que serais-je sans toi ?, Guillaume Musso, éd. XO Éditions, 2009  (ISBN 978-2-84563-419-0), partie 2 (« Les rues de San-Francisco »), chap. 16 (« California here I come »), p. 161 (voir la fiche de référence de l'œuvre)
C’est dans les mots que nous pensons, car le mot donne à la pensée son existence la plus haute et la plus vraie.
  • Que serais-je sans toi ?, Guillaume Musso, éd. XO Éditions, 2009  (ISBN 978-2-84563-419-0), partie 2 (« Les rues de San-Francisco »), chap. 16 (« California here I come »), p. 164 (voir la fiche de référence de l'œuvre)
Chacun de nous a dans le cœur une chambre royale ; je l’ai murée, mais elle n’est pas détruite.
  • Que serais-je sans toi ?, Guillaume Musso, éd. XO Éditions, 2009  (ISBN 978-2-84563-419-0), partie 2 (« Les rues de San-Francisco »), chap. 17 (« La soif de l’autre »), p. 171 (voir la fiche de référence de l'œuvre)
Votre âme sœur peut-être en même temps votre âme damnée.
  • Que serais-je sans toi ?, Guillaume Musso, éd. XO Éditions, 2009  (ISBN 978-2-84563-419-0), partie 2 (« Les rues de San-Francisco »), chap. 17 (« La soif de l'autre »), p. 174 (voir la fiche de référence de l'œuvre)
S’il y a une chose à laquelle tu tiens par-dessus tout, n’essaie pas de la retenir. Si elle te revient, elle sera à toi pour toujours. Si elle ne te revient pas, c’est que dès le départ elle n’était pas à toi.
  • Citation du film Indecent Proposal (Proposition indécente).
  • Que serais-je sans toi ?, Guillaume Musso, éd. XO Éditions, 2009  (ISBN 978-2-84563-419-0), partie 2 (« Les rues de San-Francisco »), chap. 18 (« Les souvenirs et les regrets aussi... »), p. 181 (voir la fiche de référence de l'œuvre)
Le passé ne meurt jamais. Ce n’est même pas le passé.
  • (en) The past is never dead. It’s not even past.
  • Que serais-je sans toi ?, Guillaume Musso, éd. XO Éditions, 2009  (ISBN 978-2-84563-419-0), partie 2 (« Les rues de San-Francisco »), chap. 18 (« Les souvenirs et les regrets aussi... »), p. 184 (voir la fiche de référence de l'œuvre)
L’amour, c’est le droit que l’on donne à l’autre de nous persécuter.
  • Que serais-je sans toi ?, Guillaume Musso, éd. XO Éditions, 2009  (ISBN 978-2-84563-419-0), partie 2 (« Les rues de San-Francisco »), chap. 19 (« Tu vois, je n’ai rien oublié... »), p. 189 (voir la fiche de référence de l'œuvre)
Le bonheur ne repasse jamais les plats.
  • Que serais-je sans toi ?, Guillaume Musso, éd. XO Éditions, 2009  (ISBN 978-2-84563-419-0), partie 2 (« Les rues de San-Francisco »), chap. 19 (« Tu vois, je n’ai rien oublié... »), p. 198 (voir la fiche de référence de l'œuvre)
Aimer, c’est espérer tout gagner en risquant de tout perdre, et c’est aussi parfois accepter de prendre le risque d’être moins aimé que l’on n’aime.
  • Que serais-je sans toi ?, Guillaume Musso, éd. XO Éditions, 2009  (ISBN 978-2-84563-419-0), partie 2 (« Les rues de San-Francisco »), chap. 19 (« Tu vois, je n’ai rien oublié... »), p. 199 (voir la fiche de référence de l'œuvre)
Mon père m’a donné un cœur, mais vous l’avez fait battre.
  • Que serais-je sans toi ?, Guillaume Musso, éd. XO Éditions, 2009  (ISBN 978-2-84563-419-0), partie 2 (« Les rues de San-Francisco »), chap. 20 (« Two Lovers »), p. 201 (voir la fiche de référence de l'œuvre)
Aimer quelqu’un, c’est le dépouiller de son âme et c’est lui apprendre ainsi – dans ce rapt – combien son âme est grande, inépuisable et claire. Nous souffrons tous de cela : de ne pas être assez volés. Nous souffrons des forces qui sont en nous et que personne ne sait piller, pour nous les faire découvrir.
  • Que serais-je sans toi ?, Guillaume Musso, éd. XO Éditions, 2009  (ISBN 978-2-84563-419-0), partie 2 (« Les rues de San-Francisco »), chap. 21 (« Nous nous sommes tant aimés »), p. 209 (voir la fiche de référence de l'œuvre)
C’est bizarre la vie [...]. Tout se passe parfois comme si on s’infligeait un châtiment pour se punir d’une faute qu’on a soi-même du mal à identifier.
  • Que serais-je sans toi ?, Guillaume Musso, éd. XO Éditions, 2009  (ISBN 978-2-84563-419-0), partie 2 (« Les rues de San-Francisco »), chap. 21 (« Nous nous sommes tant aimés »), p. 212 (voir la fiche de référence de l'œuvre)
Tromper l’autre, ça commence d’abord dans la tête.
  • Que serais-je sans toi ?, Guillaume Musso, éd. XO Éditions, 2009  (ISBN 978-2-84563-419-0), partie 2 (« Les rues de San-Francisco »), chap. 21 (« Nous nous sommes tant aimés »), p. 213 (voir la fiche de référence de l'œuvre)
L’amour ! Il n’y a rien de plus fragile ni de plus éphémère. L’amour c’est comme un feu un jour de pluie : tu dois tout le temps le protéger, l’alimenter et en prendre soin, sinon il s’éteint...
  • Que serais-je sans toi ?, Guillaume Musso, éd. XO Éditions, 2009  (ISBN 978-2-84563-419-0), partie 2 (« Les rues de San-Francisco »), chap. 21 (« Nous nous sommes tant aimés »), p. 214 (voir la fiche de référence de l'œuvre)

Gabrielle, fille d’Archibald : Il y a des amours qui durent.
Archibald : Non, ce qui dure, c’est la douleur qui reste après l’amour.
Gabrielle : Je n’aime pas ce que tu dis.
Archibald : Si tu as peur d’entendre certaines réponses, il vaut mieux ne pas poser certaines questions.

  • Que serais-je sans toi ?, Guillaume Musso, éd. XO Éditions, 2009  (ISBN 978-2-84563-419-0), partie 2 (« Les rues de San-Francisco »), chap. 21 (« Nous nous sommes tant aimés »), p. 214 (voir la fiche de référence de l'œuvre)

Archibald : Il y a quelquechose que je voulais te donner : une lettre [...]
Gabrielle, fille d’Archibald : Une lettre ?
Archibald : Oui, tu sais, le truc qu’utilisaient les gens pour s’écrire avant l’invention des e-mails...

  • Que serais-je sans toi ?, Guillaume Musso, éd. XO Éditions, 2009  (ISBN 978-2-84563-419-0), partie 2 (« Les rues de San-Francisco »), chap. 21 (« Nous nous sommes tant aimés »), p. 214 (voir la fiche de référence de l'œuvre)
Attendre, ce n’est pas se battre !
  • Que serais-je sans toi ?, Guillaume Musso, éd. XO Éditions, 2009  (ISBN 978-2-84563-419-0), partie 2 (« Les rues de San-Francisco »), chap. 21 (« Nous nous sommes tant aimés »), p. 218 (voir la fiche de référence de l'œuvre)
La vie de chacun d’entre nous n’est pas une tentative d’aimer. Elle est l’unique essai.
  • Que serais-je sans toi ?, Guillaume Musso, éd. XO Éditions, 2009  (ISBN 978-2-84563-419-0), partie 2 (« Les rues de San-Francisco »), chap. 22 (« La Lettre de Valentine »), p. 221 (voir la fiche de référence de l'œuvre)
Au grand jeu de la vie, les plus malheureux sont ceux qui n’ont pas pris le risque d’être heureux.
  • Que serais-je sans toi ?, Guillaume Musso, éd. XO Éditions, 2009  (ISBN 978-2-84563-419-0), partie 2 (« Les rues de San-Francisco »), chap. 22 (« La Lettre de Valentine »), p. 223 (voir la fiche de référence de l'œuvre)

Partie 3 – La compagnie des anges

Si on [peut] toujours composer avec ses remords, il [est] plus difficile de le faire avec ses regrets.
  • Que serais-je sans toi ?, Guillaume Musso, éd. XO Éditions, 2009  (ISBN 978-2-84563-419-0), partie 3 (« La compagnie des anges »), chap. 24 (« La grande évasion »), p. 243 (voir la fiche de référence de l'œuvre)
Ne pense pas aux choses que tu n’as pas comme si elles étaient déjà là ; fais plutôt le compte des biens les plus précieux que tu possèdes, et songe à quel point tu les rechercherais, si tu ne les avais pas.
  • Que serais-je sans toi ?, Guillaume Musso, éd. XO Éditions, 2009  (ISBN 978-2-84563-419-0), partie 3 (« La compagnie des anges »), chap. 25 (« La zone des départs »), p. 245 (voir la fiche de référence de l'œuvre)
C’est notre lumière, pas notre ombre, qui nous effraie le plus.
  • Que serais-je sans toi ?, Guillaume Musso, éd. XO Éditions, 2009  (ISBN 978-2-84563-419-0), partie 3 (« La compagnie des anges »), chap. 26 (« Les belles choses que porte le ciel »), p. 262 (voir la fiche de référence de l'œuvre)
Un baiser fait moins de bruit qu’un canon, mais l’écho en dure plus longtemps.
  • Citation de Olivier Wendell Holmes.
  • Que serais-je sans toi ?, Guillaume Musso, éd. XO Éditions, 2009  (ISBN 978-2-84563-419-0), partie 3 (« La compagnie des anges »), chap. 29 (« Eternally yours »), p. 289 (voir la fiche de référence de l'œuvre)
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