Dysphasie

La dysphasie est un trouble central lié au « développement du langage oral et [elle peut] toucher les aspects réceptifs (décoder le langage reçu) et/ou expressifs (phonologiques, lexicaux, syntaxiques…) »[1].

Elle peut cibler plus particulièrement l’expression (« dysphasie expressive »), la compréhension (« dysphasie de réception ») ou les deux à la fois (« dysphasie mixte »). Ce trouble a des répercussions de longue durée sur la communication du sujet atteint, puisqu’il s’agit d’un trouble structurel de l’apprentissage du langage, d’une anomalie du développement du langage.

Le mot dysphasie a été formé du préfixe dys signifiant : « mauvais, erroné, difficile » et du radical grec phasis signifiant : « parole, langage ». Étymologiquement, dysphasie signifie « mauvais langage » et/ou « parole difficile ».

On a employé par le passé le terme d’audimutité (terme québécois) pour désigner une mutité congénitale en l’absence de surdité. On emploie maintenant le terme dysphasie.

Au Québec, environ 3 % à 4 % des enfants d’âge préscolaire présenteraient cette pathologie tandis qu’une étude belge rapporte des taux de 5 % à 20 % pour les enfants d’âge préscolaire et primaire[2]. Deux dysphasiques sur trois sont des garçons. En France, le rapport Ringard[3] avance le chiffre de 2 % des enfants scolarisés.

Caractéristiques

Signes révélateurs de la dysphasie

  • Pendant la première année de sa vie, l’enfant est silencieux et il n’a pas d’activités d’échange (par exemple, pointer son index vers des objets pour les désigner).
  • À 18 mois, il ne dit pas de mots qui ont une signification comme « papa » ou « maman ».
  • À 24 mois, il ne dit pas de phrases significatives de deux à quatre mots.
  • À 3 ans, seuls ses proches le comprennent car il a un langage inintelligible ou hors du contexte. Attention : toutefois, cette caractéristique peut être liée à un simple retard de parole.

Par la suite, divers troubles sont vécus par ces jeunes

Troubles de langage

  • Production verbale indistincte, discours peu structuré ;
  • manque de vocabulaire ;
  • l’enfant ne pose pas de questions et il est incapable d’exprimer des demandes spécifiques contrairement aux autres jeunes ;
  • il comprend la signification de surface d’un discours ou d’un texte, mais il a de la difficulté à comprendre le sens profond, les concepts abstraits ou la distinction entre ce qui est important et ce qui ne l’est pas.

Symptômes

Les enfants atteints de dysphasie commencent à présenter un retard de langage à partir de 2 à 5 ans[4]. Malgré leur désir d’interagir avec les autres, ils éprouvent des difficultés à le faire. Souvent ils se découragent puisque les personnes autour d’eux ont de la difficulté à les comprendre. Ceci peut engendrer de l’isolement, de la colère, une atteinte à l’estime de soi, etc.

Exemple de manifestations fréquentes de la dysphasie

Voici quelques manifestations fréquentes de la dysphasie :[réf. souhaitée]

Expressif Réceptif
Discours avec hésitation / pauses Messages compris au sens littéral  (par exemple l’expression : tombé dans les pommes)
Utilisation de mots de remplissage (par exemple : truc, chose) Sarcasme difficilement compris
Utilisation et organisation de sons inadéquats à l’intérieur du mot Difficulté à comprendre certains types de questions : où, quand comment, pourquoi, qui, quoi
Omissions de déterminants Notions de contraire difficilement comprises (exemples de contraires :  gentil---méchant, jour----nuit, grand---petit, etc.)
Utilisation de phrases courtes Difficulté à comprendre une double tâche (par exemple  : « Va chercher le crayon sur la table et mets-le dans ton coffre à crayon »)
Difficulté à présenter des demandes verbales Difficulté à comprendre les messages longs et complexes
Difficulté à raconter des histoires / faits vécus / etc. Mots abstraits difficilement compris

Quelques exemples de discours dysphasique (exemples tirés d'observations faites auprès d'enfants entre 3 et 5 ans, à Montréal par Alexandra Suchecki dans le cadre du travail Dysphasie +)  :

              «  Moi j’ai bonbons » au lieu de dire « Moi, j’ai des bonbons »

              « Les loups tétombé » au lieu de dire « Les loups sont tombés »

              «  keskipasse » au lieu de dire « Qu’est-ce qu'il se passe »

Troubles scolaires

  • En classe, il a de la difficulté à comprendre les consignes ;
  • il présente des troubles d’apprentissage en lecture, en écriture ou en mathématiques.

Troubles de la perception du temps

  • Il se détache difficilement du moment présent ;
  • il s’adapte difficilement aux changements dans la routine ;
  • il présente un déficit lié au vocabulaire relatif au temps.

Troubles cognitifs

  • Il développe peu de jeux symboliques ;
  • il est facilement distrait, peu attentif ou il bouge beaucoup.

Troubles sociaux

  • Il vit des frustrations lorsqu’il cherche ses mots et qu’il n’y arrive pas ;
  • il a aussi tendance à vivre de l’insécurité, à s’isoler, à réagir de façon démesurée et à avoir une faible estime de soi.

Les enfants ne sont pas les seuls à être touchés. La dysphasie étant un trouble structurel, il est acquis depuis la naissance et reste tout au long de la vie.

Classification des différents types de dysphasie

Syndrome phonologique-syntaxique (la forme de dysphasie la plus fréquente)

  • L'enfant a un langage déficitaire avec de grosses difficultés d'expression et des difficultés de compréhension moindres. Le trouble premier est phonologique : l’enfant est difficilement intelligible et c’est cette phonologie déficiente qui masque les difficultés syntaxiques sous-jacentes. Il souffre donc également d’agrammatisme : son langage est télégraphique, peu ou pas d’utilisation des pronoms (je, tu, il…), les conjonctions de coordination ne sont pas utilisées. Le temps verbal est inapproprié, mais l’enfant conserve une conscience syntaxique : il est capable de distinguer une phrase correcte grammaticalement d’une autre incorrecte. Il n’a pas ou peu de manque de mots, mais son stock lexical est réduit, sans qu’il n’ait de réel problème pour accéder à celui-ci. Il présente également une hypospontanéïté verbale. Une dysgraphie est possible, avec une motricité manuelle généralement déficiente.

Dysphasie de production phonologique

  • Cette dysphasie ressemble à la première par son trouble phonologique, mais qui se rapporte plutôt à ses difficultés de régulation. La fluence de la parole est conservée mais l’intelligibilité est très mauvaise. L’enfant procède par stratégies d’approches pour produire et associer les bons phonèmes des mots. Son langage automatique est souvent bien meilleur que celui obtenu en situation dirigée (dissociation automatico-volontaire). Il présente un manque du mot et est dyssyntaxique. Alors que dans le syndrome phonologique syntaxique, on a un enfant qui n’emploie pas les morphèmes grammaticaux, ici, l’enfant ne sait pas les agencer dans sa phrase. Il présente également de grosses difficultés dans la chronologie du récit.

Agnosie auditivo-verbale, ou dysphasie réceptive

  • C’est une des formes les plus graves de la dysphasie. Il est alors impossible à l’enfant qui souffre de ce trouble de reconnaître un objet ou un lieu par le son qui le caractérise, tel que le bruit de l’eau, le son caractéristique d’une ambiance telle qu’une rue animée, le bruit d’un avion, etc. Cette dysphasie s’appelle « surdité verbale » lorsqu’elle est particulière aux sons.

Lexicale-syntaxique ou dysphasie de type mnésique

  • L’enfant éprouve de grosses difficultés à s’exprimer du fait que son stock lexical est déficitaire, très pauvre pour son âge. Il a un gros manque de mots. On parle de trouble du contrôle sémantique. Les notions d’espace et de temps sont difficilement maîtrisées : difficulté à se rappeler l’ordre des jours dans la semaine, ce que l’on fait tel ou tel jour. Il présente donc aussi de grosses difficultés dans la construction d’un récit et les difficultés de compréhension augmentent avec la longueur du texte. Pour s’exprimer, l’enfant utilisera des phrases courtes, genre « sujet-verbe-complément ». Tous les petits vocables qui ne sont pas évocateurs pour l’enfant sont écartés de ses phrases. L’informativité de son discours est pauvre.

Sémantique-pragmatique

Article détaillé : Trouble pragmatique du langage.

Le syndrome sémantique pragmatique constituait autrefois une catégorie nosologique à part. D'après Laurent Mottron, il a été rejeté par l'association américaine de psychiatrie, mais également par celle de pédiatrie et celle de neurologie en 1999, pour cause de chevauchement avec les critères diagnostiques des troubles envahissants du développement, en particulier du syndrome d'Asperger. Cela a conduit à l'abandon de ce diagnostic dans la pratique clinique au Québec[5], et à son emploi en tant que caractérisation d'une forme de dysphasie en France. Par la suite, ce diagnostic a été réintégré dans le DSM-5 sous le nom de « Trouble pragmatique du langage ».

Il s'agit d'un trouble de la formulation. L’enfant tend à utiliser le vocable de manière rigide, plaquée, et souvent inadaptée à la situation. De ce fait, il a du mal à comprendre les instructions qui lui sont données. Une phrase longue et complexe sera mal interprétée. L’enfant ne retient que les termes les plus évocateurs pour formuler une réponse, laquelle ne sera pas toujours en adéquation avec le contexte. Le contact visuel est fuyant. On parle de cocktail party syndrom pour dénoter l’incohérence de ses énoncés qui passent du coq-à-l’âne sans lien apparent.

Préventions

Une prise en charge précoce permet souvent d'améliorer le langage et d’aider l’enfant. Les parents peuvent déjà déceler des anomalies du langage chez leur bébé comme la difficulté à traiter et émettre peu de son comparativement à d’autres bébés du même âge. (citation directe de Madame Tessier, directrice de l’association Dysphasie)[réf. nécessaire]. Cependant comme le retard n’est pas nécessairement important à ce stade, la plupart des parents attendent quelques années avant d’avoir une première consultation.[réf. nécessaire]

Pour savoir auprès d'un spécialiste si un enfant souffre d’un des troubles de « dys », il faut aller voir un orthophoniste. Une vérification de l’audition et de la vision est aussi faite pour savoir s’il ne s’agit pas de la source du problème. L’orthophoniste effectue un bilan de langage mais « il ne sera pas toujours possible de poser clairement un diagnostic dès le premier bilan. »[6] Ce bilan peut-être effectué avant 4 ans. Après 3 ans, la rééducation individuelle peut s’envisager. Après le bilan, il y a « soit rééducation sur un temps donné »[6], « soit consultation chez un médecin spécialisé […] pour des examens complémentaires. » [6] Toutefois, un entretien avec un psychologue est nécessaire pour savoir s’il existe des troubles du comportement et/ou de la personnalité et si l’enfant n’a pas de problèmes psychiques pour savoir s’il aura des difficultés avec la rééducation.

Conseils

Voici quelques conseils à suivre en présence de personnes dysphasiques :[réf. nécessaire]

1) Utiliser des supports visuels (pictogrammes, gestes)
2) Faire de courtes phrases
3) Séparer vos demandes; une consigne à la fois
4) Regarder l’enfant dans les yeux lorsque vous lui parlez
5) Reformuler des phrases non comprises autrement
6) Parler lentement, clairement, en articulant
7) Demander à l’enfant s’il a compris
8) Prévoir des activités de courte durée
9) Alterner les activités verbales avec d’autres types d’activités (ex. jeux de motricité, collation, etc.).
10) Donner une récompense après une tâche (par exemple : Bravo !, Super !, autocollants)

Causes de la pathologie

Les causes de l’atteinte dysphasique sont encore mal connues. Parmi celles qui sont retenues fréquemment, nous pouvons citer certains facteurs génétiques (environ trois fois plus de garçons atteints que de filles), neurobiologiques, épilepsie partielle, et certaines anomalies neuro-développementales.

La dysphasie est un trouble du langage indépendant de toute autre pathologie. On ne doit pas confondre les symptômes dysphasiques avec ceux de la déficience intellectuelle, du manque de stimulation, etc.[7]

Les causes exactes de la dysphasie ne sont pas toujours claires. Il y aurait cependant deux principales hypothèses, selon que la cause soit génétique ou neurobiologique (particularités dans le fonctionnement cérébral). Deux études présentent des résultats contradictoires. Dans la première, Rosenberger & Hier (1980), ne détectent aucune lésion cérébrale, mais plutôt une asymétrie cérébrale anormale entre les sujets de l’étude. Une seconde étude de Caparulo, Cohen, Rothman, Young, Katz, Shaywitz & Shaywitz (1981) contredit les résultats de Rosemberger & Hier. Ces chercheurs ont trouvé une anormalité cérébrale chez 6 des 16 sujets. Les contradictions entre les résultats des chercheurs pourraient découler d’une différence dans la nature et la sévérité du trouble.

Les apprentissages scolaires

Les jeunes sujets à la dysphasie devraient théoriquement pouvoir poursuivre leur scolarité en milieu ordinaire, avec des adaptations pédagogiques, parfois une aide humaine telle qu'une Auxiliaire de Vie Scolaire (AVS), de membres des réseaux d’aides spécialisées aux élèves en difficulté en école publique (RASED) et l'aide de rééducateurs : l'orthophonie est essentielle, la psychomotricité, l'ergothérapie, le soutien psychologique peuvent également se révéler intéressants. Si la dysphasie est importante et le maintien en milieu ordinaire trop difficile et douloureux pour l'enfant, une scolarisation en milieu adapté peut être envisagée dans une classe ULIS[8]. L'enfant aura dans ces écoles intégrées la possibilité de suivre un enseignement adapté et de suivre des rééducations sur place.

En plus de la rééducation orthophonique et si l'enfant présente des difficultés spatio-temporelles, des séances de psychomotricité peuvent être conseillées.

Pour les enfants ayant de grandes difficultés, deux projets leur sont proposés : "le PPS (Projet personnalisé de scolarisation) et le PAI (Projet d’accueil individualisé). Le PPS prévoit les modalités de déroulement de la scolarité, assorties des aménagements nécessaires, coordonnées avec l’ensemble des actions utiles pour répondre aux besoins particuliers de l’élève"[9]

L’enfant ou les parents peuvent le demander en faisant une évaluation par la MDPH (Maison départementale de personnes handicapées). Chaque "acteur contribuant à la scolarisation de l’élève et à son accompagnement"[9] écrit dans un carnet de route qui permet "d’assurer la cohérence et la continuité du parcours scolaire."[9] Le PAI est là pour faciliter la scolarisation. Il se demande auprès du médecin de l’Éducation nationale ou auprès des services de la PMI (Protection maternelle et infantile). Il sert à organiser la journée de l’enfant dans l’établissement, permet à l’enfant quand il est absent ou hospitalisé d’avoir ses cours, et de préciser le protocole de premier soin à pratiquer en cas de nécessité.

Si l’enfant ne bénéficie pas de ces projets, il est tout de même nécessaire de discuter de ses difficultés avec l’enseignant qui pourra adapter ses cours, son enseignement.

Cette section est vide, insuffisamment détaillée ou incomplète. Votre aide est la bienvenue ! Comment faire ?

Les services d'accompagnement au Canada (dysphasie)

Au Canada (à Montréal et plus précisément à Laval), il existe une association pour la dysphasie (Association Dysphasie+) qui offre un soutien aux personnes dysphasiques, dyspraxiques, ou qui ont des troubles primaires du langage (ou autres handicaps du même type) ainsi qu’à leur entourage. Le but de cette association est de favoriser une meilleure connaissance de la dysphasie en plus d’animer des ateliers interactifs adaptés aux groupes d’âge et, enfin, de stimuler le langage chez ceux-ci. Les activités, qui prennent différentes formes, permettent d’observer les habiletés des enfants, adolescents ou adultes  sous différents angles : langage, autonomie, interaction socio-affective, éveil musical, comment agir en société (puisque les décodages sociaux chez ces personnes sont parfois difficiles), etc. L’association Dysphasie+ est un très bon exemple de programme de prévention et de stimulation langagière que les parents peuvent offrir à leurs enfants dès l’âge de 2 ans[10]. La réadaptation peut favoriser un meilleur développement et fournir des techniques à l’enfant qui veut communiquer ainsi qu’aux parents. L’association offre en plus une formation aux intervenants des écoles ou milieux de garde ou tout autre endroit pouvant accueillir des personnes atteintes de dysphasie afin de faciliter leur intégration.

Toujours au Canada mais dans la région de la Ville de Québec, existe une autre association, celle de Dysphasie Québec. Association pour venir en aide et soutien les parents d'enfants dysphasiques, des adolescents et jeunes adultes dysphasiques. L'association peut offrir des séances d'information dans les écoles, les employeurs, professionnels de la santé. Consulter le site web: www.dysphasie-quebec.com

Les services d'accompagnement médico-social de type SSEFIS ou SESSAD (France)

Les interventions des professionnels de ces services peuvent avoir lieu dans les locaux de ces services ou par des visites à domicile. Un service de soutien à l’éducation familiale et à l’intégration scolaire (SSEFIS) est à destination d'enfants de plus de 3 ans qui suivent une scolarité à l’école ordinaire ainsi que pour des enfants de 3 à 6 ans qui ne peuvent bénéficier d’une telle scolarité. Le SSEFIS effectue l’ensemble des prises en charge définies à l’article 2 des annexes XXIV Quater :

  • accompagnement de la famille et de l’entourage habituel de l’enfant dans l'apprentissage des moyens de communication ;
  • surveillance médicale régulière, générale du handicap ;
  • éveil et développement de la communication ;
  • enseignement et soutien pour l’acquisition des connaissances d’un niveau culturel optimum ;
  • actions tendant à développer la personnalité et l’insertion sociale.

Le SSEFIS s’appuie sur une équipe pluridisciplinaire. Les orientations vers cette structure se font à travers la MDPH.

Notes et références

  1. Fédération Française des DYS, « Dysphasie | Fédération Française des Dys », sur www.ffdys.com (consulté le 21 mars 2016)
  2. Anne Van Hout, 1989
  3. Rapport Ringard
  4. « Centre de Réadaptation Marie-Enfant du CHU Sainte-Justine »
  5. Laurent Mottron, L'autisme, une autre intelligence: diagnostic, cognition et support des personnes autistes sans déficience intellectuelle, Éditions Mardaga, coll. « Pratiques psychologiques: Cognition, émotion et santé », , 235 p. (ISBN 2870098693 et 9782870098691), p. 62.
  6. Administrator, « dysphasie.org - Précisez le diagnostic », sur dysphasie.org (consulté le 7 mars 2016)
  7. « Dysphasie Québec »
  8. Fédération Française des DYS, « Aides pour les enfants, adolescents et jeunes adultes | Fédération Française des Dys : Dyslexie, dysorthographie, dysphasie, dyspraxie, troubles mnésiques, dyscalculie. », sur www.ffdys.com (consulté le 12 février 2016)
  9. Direction générale de l’Enseignement scolaire, « Scolariser les élèves autistes ou présentant des troubles envahissants du développement »,
  10. Directrice de Dysphasie +, Madame Tessier, « Association Dysphasie + »

Voir aussi

Articles connexes

Bibliographie

  • C.-L. Gérard, V. Brun, Les dysphasies, Éditions Masson 2003 (ISBN 2-29-401269-0)
  • Melnitzky, D. (2004). L'Élève ayant une dysphasie, communication présentée dans le cadre du cours Psychologie de l'Éducation, Université de Montréal, Montréal.
  • Laurent Danon-Boileau, Les troubles du langage et de la communication chez l'enfant, PUF 2004 (ISBN 978-2-13-054504-0)

Liens externes

This article is issued from Wikipedia. The text is licensed under Creative Commons - Attribution - Sharealike. Additional terms may apply for the media files.