Wynd (entreprise)
Wynd est un éditeur de logiciel développant une plateforme de commerce unifiée à destination de la distribution, pour répondre aux enjeux de transformation omnicanale.
Wynd
Thematic Groupe | |
Création | 11/02/2013 |
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Forme juridique | Société par actions simplifiée |
Siège social | Paris 75015 France |
Direction | Ismael Ould (depuis le 14/02/2013) |
Activité | Programmation informatique
Ape 6201Z |
SIREN | 790728539 |
Site web | https://www.wynd.eu/fr/ |
La société est présente au Maroc, à Dubaï, Hong-Kong et Bangkok[1].
Histoire
Wynd a été créé en 2013 par Ismaël Ould et Arthur Perticoz afin de mettre à disposition de professions un outil pour gérer les flux financiers et logistiques[2].
En 2014, une première levée de fonds permet de récolter 1,8 million d'euros ; elle cible le développement de l'offre commerciale pour le secteur de la restauration[3].
En 2015, une seconde levée de fonds de 7 millions d'euros a lieu auprès de Orange Digital Ventures et Alven Capital[4].
En 2016, une troisième levée de fonds de 30 millions d'euros a lieu auprès de Sodexo Ventures et Orange Digital Ventures[2]. L'entreprise étend son portefeuille aux services, à la distribution spécialisée et du commerce du luxe et de la mode.[réf. nécessaire]
En 2017, la solution s'étend aux centres commerciaux.[réf. nécessaire]
En 2019, une levée de fonds de 72 millions d'euros auprès notamment de Natixis a pour but de développer l'intelligence artificielle au sein de l'entreprise[5]. Les Échos notent que pour une start-up en hyper-croissance, ces nouveaux fonds doivent être utilisés avec « précaution », ce qui n'est pas le cas selon le journal en raison du recrutement de 150 à 200 personnes[6]. La même année, Wynd figure dans le Next40[7].
En 2020, la 17e chambre du tribunal judiciaire de Paris condamne le directeur de la publication et un journaliste du site en-contact.com pour des propos diffamatoires tenus à l'encontre d'Ismaël Ould. Les magistrats considèrent que la « base factuelle » d'une enquête publiée sur le site[8] était « très limitée », alimentée par des témoignages anonymes, et qu'il y a eu un « manque de prudence » dans les termes employés pour qualifier les activités de la start-up[9].
Notes et références
- « Natixis investit dans la startup Wynd qui lève 72 millions d’euros », sur La Tribune (consulté le )
- Nicolas Rauline, « Wynd séduit Sodexo et lève 30 millions d'euros pour digitaliser les points de vente », sur Les Echos Executives, (consulté le )
- Marina Al Rubaee, « Wynd : la start-up qui “digitalise” la restauration lève 1, 8 million d’euros », sur Les Echos Executives, (consulté le )
- Elsa Bembaron, « Orange participe à la levée de fonds de 7 millions d'euros de Wynd », sur Le Figaro.fr, (consulté le )
- « Wynd lève 72 M€ pour se renforcer à l’international et booster sa solution à l’IA », sur usine-digitale.fr (consulté le )
- Guillaume Bregeras, « Wynd en route pour l'internationalisation avec 72 millions d'euros en poche », sur Les Echos Executives, (consulté le )
- BFM BUSINESS, « Next40: la liste complète des pépites de la French Tech dévoilée », sur BFM BUSINESS (consulté le )
- « Diffamation, chantage: les surprises de l'affaire opposant la start-up Wynd au magazine en-contact », sur Challenges (consulté le )
- Nicolas Bastuck, « La start-up Wynd défend sa e-réputation devant le tribunal », sur Le Point, (consulté le )
Liens externes
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