Virginie Terrasse
Virginie Terrasse est photographe[1], directrice artistique, enseignante et productrice[2].
En 2010 elle est lauréate du Prix international photographique Levallois-Epson[3]pour son travail "La Palestine comment ?"[4]. En elle est finaliste du Prix HSBC[5], en mai de la même année "La Palestine comment ?" est exposé et pré-sélectionné au Prix Roger Thérond OffSète Image Documentaire de Sète.
En tant que directrice artistique, elle est lauréate en 2012 du grand prix du jury[6]du WebTV Festival de La Rochelle et le Prix Historia de l’inattendu[7]pour la plateforme interactive documentaire "La Nuit oubliée - " et en 2013 du Mediterranean Journalist Award dans la catégorie Nouveaux médias de la Fondation Anna Lindh pour le webdocumentaire "Sout el shabab"[8].
Parcours
Autodidacte, elle devient photographe indépendante en 2002. Son travail personnel observe les rapports que l'homme entretient avec son environnement, afin de documenter une époque, un lieu, un pays… Plus précisément comment chaque individu s’adapte ou non à l’espace ou au territoire dans lequel il vit.
Entre 2005 et 2008, Virginie Terrasse a réalisé la direction artistique du projet culturel Territoires de fictions ainsi que le commissariat des expositions. Avec Wilfrid Estève et Benjamin Boccas, elle a créé et développé en 2005 le concept de la petite œuvre multimédia dont l'acronyme est la POM[9]. En 2006, elle cofonde le studio Hans Lucas dont elle est membre associé.
Depuis, parallèlement à son travail de photographe, elle réalise des Petites Œuvres Multimédias ainsi que des webdocumentaires et est soutenue par le CNC[10]. En 2006, elle cofonde le studio de création et de production Hans Lucas[2] et depuis, enseigne le digital storytelling en université (Université Paris-Est Marne-la-Vallée et Université Montpellier III Paul Valéry), à l'ENSBA ainsi que des centres de formation (le CFPJ ou l'École des Métiers de l'Information).