Triumvirat (groupe)

Triumvirat était un groupe rock progressif allemand, originaire de Cologne. Il devint, durant les années 1970, une figure marquante de l'Eurock, le rock progressif d'Europe continentale, dont la variante allemande est appelée krautrock. Le terme Triumvirat est un dérivé du mot latin triumvirate, qui désigne un regroupement de trois hommes vraiment très puissants, une référence au groupe.

Triumvirat
Autre nom New Triumvirat
Pays d'origine Allemagne
Genre musical Rock progressif, krautrock
Années actives 19691980
Labels Titan Records, CBS Records, EMI Group
Influences Keith Emerson, The Nice, Emerson, Lake and Palmer
Site officiel www.triumvirat.net
Composition du groupe
Anciens membres Hans-Jürgen Fritz
Werner Frangenberg
Hans-Georg Pape
Helmut Köllen(†)
Hans Bathelt
Barry Palmer
Curt Cress

Les musiciens de la formation originale étaient Hans-Jürgen Fritz aux claviers, Werner Frangerberg à la basse et au chant et le parolier batteur-percussionniste Hans Bathelt. Ce qui est étonnant et n'aida sûrement pas à donner une certaine stabilité au trio furent les fréquents changements de musiciens tout au long de leur carrière, à chaque album un membre les quittait pour être remplacé par un autre. Et puis, on a souvent reproché au groupe leur ressemblance plus que frappante avec le trio britannique Emerson, Lake and Palmer, mais là où ça devenait vraiment ironique, c'est lorsque paraît l'album Ilusions on a Double Dimple de Triumvirat, sur lequel se trouve la chanson Lucky Girl. Un des plus grands succès du groupe ELP s'intitule Lucky Man.

Biographie

Débuts (1969–1974)

Le groupe s'est formé en 1969[1], il a commencé à se faire connaitre en jouant des succès des charts dans des clubs locaux de la ville de Cologne, en Allemagne. Le style musical des Nice et d'Emerson, Lake and Palmer était pour eux une grande influence, à tel point qu'ils incorporaient des pièces de ces formations dans leur répertoire comme Rondo et Hoedown, par exemple. Toutefois, ils délaissent progressivement les chansons d'autres groupes et se mettent à composer leur propre musique avec toujours une très nette influence de Keith Emerson, particulièrement dans le son des claviers, l'orgue Hammond entre autres. Au faîte de leur gloire, ils sont souvent qualifiés de « clone » de ELP par la presse spécialisée[2], pas seulement à cause de la ressemblance de leur musique et du son des claviers, mais aussi par la virtuosité et la formation classique de leur claviériste Hans-Jürgen Fritz.

Au début des années 1970, le trio envoie une démo à la maison de disques locale EMI Group, avec laquelle il signe son premier contrat d'enregistrement[1]. Le groupe produit alors son tout premier album, Mediterranean Tales/Across the Waters en 1972, composé de deux longues suites d'une face chacune[3]. Mais entretemps, le bassiste Frangerberg ayant quitté, il est remplacé juste avant que le trio n'entre en studio par Hans-Georg Pape à la basse et au chant. Exception notable au niveau du chant sur la pièce Eleven Kids, alors que c'est Hans-Jürgen Fritz qui chante, même chose pour les couplets de Broken Mirror qui sont aussi chantés par Fritz.

Ils entreprennent une tournée européenne et américaine, durant laquelle ils jouent aux États-Unis en première partie de Fleetwood Mac[4]. De retour en Allemagne, ils repartent en studio afin de produire leur deuxième album, Illusions on a Double Dimple en 1974 avec l'Opera House Orchestra de Cologne, la section de cuivres de Kurt Edelhagen et le saxophone de Karl Drewo pour la suite Mister Ten Percent, ainsi que les chœurs de Ulla Wiesmer, Brigitte Thomas, et Hanna Dölitzsch. Mais encore une fois, la même année, ils perdent leur bassiste-chanteur, Hans-Georg Pape qui les quitte à la suite de son mariage pour être remplacé par Helmut Köllen, un jeune guitariste-bassiste-chanteur qui est aussi le cousin de Hans-Jurgen Fritz[2]. Köllen travaillait d'ailleurs déjà dans l'entourage du groupe, puisqu'il était technicien de son. Assez étonnamment toutefois, chaque face a son caractère propre puisque sur la majeure partie de la suite Illusions.., Hans-Georg Pape joue de la basse, mais c'est Helmut Köllen qui chante alors que sur la face B sur laquelle ce dernier occupe la place de guitariste, bassiste et chanteur.

Spartacus et Old Loves Die Hard (1975–1977)

Tout cela mène à l'année 1975 alors que le trio entame l'enregistrement de leur troisième album, Spartacus[5], qui raconte l'histoire de cet esclave et gladiateur thrace en l'an 73 av. Jésus-Christ. Les paroles sont écrites par le batteur-parolier Hans Bathelt, avec l'aide du claviériste Hans-Jürgen Fritz et l'album parait sur EMI/Electrola, distribué en Amérique par Capitol Records. L'album se retrouve ainsi en 27e position sur les charts du Billboard[6].

Après la sortie du disque, Helmut Köllen les quitte pour entamer une carrière solo. Il débute l'enregistrement d'un premier album avec l'aide de Fritz aux claviers et Hans Bathelt pour le texte d'une des chansons, The Story of Life. Il retourne toutefois un peu plus tard avec le groupe qui avait déjà préparé de nouvelles chansons, mais cette réunion est de courte durée, entre autres raisons parce que les nouvelles compositions du groupe ne convenaient plus à son timbre de voix. Il allait se consacrer alors entièrement à sa nouvelle carrière solo lorsqu'il décède le à seulement 27 ans[2]. Il écoutait une cassette démo de son futur album solo sur la radio-cassette de sa voiture dans son garage alors que celle-ci était en marche, il fut empoisonné par le monoxyde de carbone. Son album terminé fut publié à titre posthume deux ans plus tard sous le titre You Won't See Me sur le label Harvest Records et dédié à ses parents[7].

L'album contient une chanson des Beatles, qu'il affectionnait beaucoup et une autre dont les paroles sont écrites par le batteur de Triumviurat, The Story of Life. Les musiciens présents sur l'album sont, entre autres, Hans-Jürgen Fritz aux claviers, Brigitte Witt aux chœurs qui participera plus tard avec le New Triumvirat ainsi que la sœur de Helmut, Elke Köllen aussi aux chœurs, Matthias Holtmann à la batterie et Helmut lui-même à la guitare, à la basse et au chant. Il enregistra aussi à titre d'invité, quelques chansons avec le groupe Jail, dont un single intitulé Julie en 1976, l'album contient la chanson You Can Help Me. Peu de temps après son décès, le groupe allemand Birth Control enregistra et publia une chanson en hommage au bassiste, intitulée We All Thought We Knew You, elle se trouve sur leur album Increase produit en 1977.

Pour ce qui est de Triumvirat, le groupe décide malgré tout de poursuivre, en engageant un chanteur britannique Barry Palmer, et en appelant à la rescousse leur premier bassiste Werner Frangerberg, et sort alors leur nouvel album Old Loves Die Hard, en 1976. Ce serait la dernière pochette du groupe à contenir le petit rat blanc, qui était la mascotte du groupe depuis leur deuxième album[1].

Pompeii

En 1977, autres changements de personnel, le bassiste Frangerberg et le batteur-parolier de la formation originale Hans Bathelt quittent le navire, le groupe fait alors appel à Curt Cress à la batterie (issu de la formation allemande Passport) et au bassiste Dieter Petereit pour l'album Pompeii, présenté sous la nouvelle appellation de New Triumvirat, à la suite de querelles légales provisoires entre le claviériste Hans-Jürgen Fritz et le batteur Hans Bathelt, concernant le nom du groupe. Ce sera du reste le dernier album à être encore progressif, le reste de leur discographie ne serait plus la même chose. C'est d'ailleurs la raison majeure du départ du batteur et parolier Hans Bathelt, insatisfait de la direction que prenait Hans-Jürgen Fritz et des pressions de la maison de disques, qui poussaient le groupe vers une musique plus pop et donc plus commerciale.

À La Carte et le début de la fin

L'album suivant qui sort en 1979, À la Carte, n'a plus grand chose à voir avec le Triumvirat progressif des années précédentes, cela dû aux pressions de la maison de disques qui voulait plus de ventes de la part du groupe. Étant seul pour mener la barque - les autres musiciens présents sur l'album ayant été engagés par contrat et étant simples salariés, ils n'avaient donc pas voix au chapitre -, Fritz ne se sent pas de taille pour protester et faire valoir ses idées et son point de vue, il doit donc céder et le résultat est cet album qui se vend d'ailleurs moins bien que les autres. Un nouveau changement de musiciens s'effectue pour cet album ; Barry Palmer quitte pour être remplacé par David Hanselmann au chant, Werner Kopal prend la place du bassiste Dieter Petereit alors que Curt Cress cède son poste au batteur Matthias Holtmann.

Russian Roulette et séparation (1980)

En 1980 sort ce qui sera le dernier album de la formation, Russian Roulette, avec des musiciens tels que Steve Lukather à la guitare et à la basse ainsi que Jeff Porcaro à la batterie du groupe américain Toto plus d'autres musiciens de studio. Mais il ne satisfait plus le claviériste Fritz qui mettra fin à l'aventure après ce qu'il considère comme l'album de la fin. En 1987, Barry Palmer produit un maxi-single intitulé Shimmering Gold (Maxi Version)/Shimmering Gold (Single Version)/Cold Nights, coproduit par Jurgen Fritz et Andreas Martin Krause ; Fritz y écrit aussi les paroles de la pièce Shimmering Gold', qui est elle-même écrite par Eugen Römer. Le tout est publié sur Titan Records.

En 1983, Fritz participe à deux albums d'un groupe allemand, Gänsehaut. Le premier est produit en 1983 Schmetterlinge Gibt's Nicht Mehr (Les papillons ne sont plus) et est un mélange de krautrock et de synth-pop, et le deuxième est publié l'année suivante et s'intitule Augenblicke (Moments) et se veut un peu plus relax et acoustique. Puis en 1986, Fritz toujours joue avec Andreas Martin sur un single du groupe allemand The Motive, Miss You So Much/Morning Comes (And She's Gone Away).

Toutefois malgré la fin de son groupe Triumvirat, Hans-Jürgen Fritz n'a pas encore dit son dernier mot en termes de musique, puisqu'il sort en 1989, un album qui consiste en une bande originale de film intitulé Es ist bicht leicht ein gott zu sein, pour le film It's Hard to Be a God, sur le label CBS Records[8]. La dernière pièce musicale, Hard to Be a God était chantée par Grant Stevens, le reste de l'album étant instrumental. Un film de Peter Fleischmann, sur un scénario de Peter Fleischmann et Jean-Claude Carrière, avec Edward Zentara et Werner Herzog. Puis en 1990, il sort à nouveau un album chez Columbia Records en Europe, et Sony pour l'Amérique, dans la collection Millenium, intitulé Dreams of Amadeus avec Ralf Hildenbeutel, dont les pièces musicales sont basés sur des thèmes de Mozart.

The Website Story, retour avorté et réédition de leur discographie

Depuis l'année 2002, selon le site officiel du groupe, Triumvirat devait être de retour avec un projet intitulé The Website Story, qu'ils ont enregistré en 1999, avec des chansons écrites en partenariat avec Fritz et John Miles ; le projet reste non publié faute d'intérêt de la part des maisons de disques[1].

En 2012, EMI sort la compilation Essential avec des chansons de leurs sept albums[1]. À noter que tous leurs albums, incluant leur dernier Russian Roulette sont réédités en 2002 avec des titres supplémentaires, autrefois disponibles uniquement en singles, mention spéciale pour Illusions on a Double Dimple qui est orné d'une pochette différente. En 2015, ce dernier atteint la 45e place de la liste des « 50 meilleurs albums de rock prog de tous les temps » établie par le magazine américain Rolling Stone[9].

Discographie

Albums studio

  • 1972 : Mediterranean Tales (Across The Waters) (1972 ; réédité en 2002 avec quatre chansons bonus, Be Home for Tea, Broken Mirror, Ride in the Night et Sing Me a Song)
  • 1974 : Illusions on a Double Dimple (1974 ; réédité en 2002 avec quatre pièces bonus, Dancer's Delight, Timothy, Dimplicity et Million Dollars)
  • 1975 : Spartacus (1975 ; réédité en 2002 avec deux pièces bonus, The Capital of Power (live) et Showstopper)
  • 1976 : Old Loves Die Hard (1976 ; réédité en 2012 avec en bonus les deux pièces Take a break today (Edit) et The Capitol of Power)
  • 1977 : Pompeii (1977 ; réédité en 2002 avec en bonus la pièce The Hymn (Edit))
  • 1978 : À la Carte (1978 ; réédité en 2002 avec les deux chansons Waterfall (Edit) et Jo Ann Walker (Edit))
  • 1980 : Russian Roulette (1980 ; réédité en 2002 avec en bonus la pièce The Ballad of Rudy Törner (English Intro))

Singles

  • 1972 : Be Home for Tea / Broken Mirror (Harvest)
  • 1973 : Dancer's Delight / Timothy (Harvest)
  • 1973 : Ride in the Night / Sing Me A Song (Harvest, EMI Electrola)
  • 1973 : Lucky Girl (Capitol Records ; Acétate d'une face seulement pour un single qui ne fut jamais distribué)
  • 1974 : Dimplicity / Million Dollars (Harvest, EMI Electrola)
  • 1974 : The Gladiator's Song/The Deadly Dream of Freedom (Capitol Records ; acétate jamais distribué en single)
  • 1976 : Take a Break Today / The Capitol of Power ( Harvest, EMI Electrola)
  • 1978 : Waterfall / Jo Ann Walker (Harvest, EMI Electrola)
  • 1978 : For You/Darlin' (Harvest - Brésil)
  • 1978 : Waterfall/(Oh, I'm) Late Again (Capitol Records)
  • 1978 : The Hymn / Dance on the Vulcano (Harvest, EMI Electrola)
  • 1978 : Waterfall/Darlin' (Harvest)
  • 1980 : Party Life / Games (Harvest, EMI Electrola)
  • 1980 : Come with Me / We're Rich on What We've Got (EMI)
  • 1980 : Party Life/Rien ne va plus
  • 2002 : The Website Story ; Let The Chips Lay Down

Compilations

  • 1083 : Grandes Exitos - Distribué en Argentine.
  • 1995 : The Gold Collection - Distribution exclusive à l'Allemagne, cet album inclut une chanson des Beach Boys, Darlin.
  • 1995 : The Best of Triumvirat - Parution exclusive au Brésil.
  • The Best of The Gold Collection - Novo - Réédition du premier Gold Collection, disponible uniquement au Brésil. Date de parution non précisée.
  • 2000 : Veni, Vidi, Vici
  • 2012 : Essential (EMI)

Disques pirates

  • 1974 : Triumvirat - Illusions On a Double Dimple Live (Palace Theatre, Providence, États-Unis, octobre)
  • 1974 : Triumvirat - Illusions On a Double Dimple Live (St. Bernard Cultural Center, Chalmette, LA, États-Unis, novembre)
  • 1974 : Triumvirat Live from Ultrasonic (enregistré au Studio Ultrasonic de Hempstead, New York, le 1er octobre)
  • 1974 : Triumvirat Live Tour 1974-75 (tournée américaine de 1974-1975)

Participation

  • 1971 : Lieder de Kurt Demmler - Label : AMIGA – 8 55 236 ; Hans-Georg Pape participe à la composition de la musique et fait les arrangements pour la pièce Die Jazzmusik Des Fabian Scheinemann.

Curiosités

  • 1992 : Basement Arrangements de Kemélions ; La pièce Liquid Dots Of Kaos contient des échantillonages tirés de Illusions on a Double Dimple.
  • 2003 : Beg for Mercy de G-Unit ; La pièce G-Unit contient des échantillonnages (samplings) de la chanson Million Dollars de Triumvirat.
  • 2006 : Rotten Apple de Lloyd Banks; La pièce The Cake renferme des échantillonnages de la pièce I believe de Triumvirat.

Compilations diverses avec d'autres groupes et musiciens

  • 2007 : Krautrock (Music For Your Brain) Vol. 2 ; La pièce Spartacus de Triumvirat se retrouve sur ce coffret compilation allemand de 6 CD sorti en 2007 sur le label Target Music - Le numéro de série est : Target Music - 06007 5300659 7.
  • 2009 : Krautrock (Music For Your Brain) Vol. 4 ; La suite Illusions on a Double Dimple se retrouve sur ce coffret compilation allemand de 6 CD, toujours sur le label Target Music - Le numéro de série est : Target Music - 30059.
  • 2013 : Krautrock (Music For Your Brain) Vol. 5 ; La pièce The School of Instant Pain fait partie des chansons incluses dans ce coffret compilation allemand à nouveau avec 6 CD sur le label Target Music. Le numéro de série est : Target Music – 013659-30060.

Discographie solo

Helmut Köllen

Gänsehaut

  • 1983 : Schmetterlinge Gibt's Nicht Mehr
  • 1984 : Augenblicke

The Motive

  • 1986 : Miss You So Much/Morning Comes (And She's Gone Away) - Single.

Solo

Albums studio
Singles
  • 1982 : Ohne Moos Nix Los/Keiner Kümmert Sich Um Mich - Synth Pop
  • 1982 : Nix/Keiner Kümmert Sich Um Mich - Synth Pop
Collaborations
  • 1972 : Child of Never Ending Love de Tanned Leather - Hans-Jürgen Fritz joue le piano en tant qu'invité sur cet album du groupe allemand Tanned Leather.
  • 1977 : Soul Survivor d'Eric Burdon - Hans-Jürgen Fritz est aux claviers avec John Bundrick et Zoot Money, Alexis Korner et Geoff Whitehorn à la guitare, les choristes P. P. Arnold, Vicki Brown et Maggie Bell, etc.
  • 1981 : Don't Stop The Show de Satin Whale - Hans-Jurgen Fritz au Grand Piano sur Too Late. Barry Palmer est au chant sur tout l'album.
  • 1984 : Gladbacher Freunde de Fly Dirt - Cet album du groupe allemand Fly Dirt a été une occasion pour le claviériste Hans-Jürgen Fritz et le batteur Hans Bathelt de travailler en dehors des cadres stricts de Triumvirat. Fritz était technicien en plus d'être chargé du mixing, puis il a collaboré à la composition de la pièce-titre avec Hans Bathelt et le batteur de Fly Dirt, Burkhardt Unrau.
  • 1986 - Heartbeatde Bad Boys Blue : Fritz claviers et arrangements, il a écrit la chanson One Night In Heaven.
  • 1987 - Love Is No Crime de Bad Boys Blue : Fritz aux claviers et arrangements en plus d'être ingénieur sur l'album.
  • 1988 - My Blue World de Bad Boys Blue ; Hans-Jurgen Fritz ne joue pas mais a fait les arrangements.
  • 2003 : Around The World de Bad Boys Blue - Fritz aux arrangements de 3 chansons.

Notes et références

  1. (en) « TRIUMVIRAT - Profile », sur cd-services.com (consulté le ).
  2. (en) « Helmut Kollen of Triumvirat – Rockers Who Died at Age 27 », sur ultimateclassicrock.com (consulté le ).
  3. (pt-BR) « Triumvirat: Mediterranean Tales, início da epopeia progressiva », sur Whiplash (consulté le ).
  4. (en) « Billboard », Billboard, vol. 86, no 44, ..
  5. (de) « Spartacus », sur babyblaue-seiten.de (consulté le ).
  6. (en) « Spartacus chat history », sur Billboard (consulté le ).
  7. (pt-BR) « Helmut Köllen: O legado do baixista do Triumvirat », sur whiplash.net (consulté le ).
  8. (de) « Fritz, Jürgen - Es ist nicht leicht, ein Gott zu sein - 1989 », sur krautrock-musikzirkus.de (consulté le ).
  9. (en) « 50 Greatest Prog Rock Albums of All Time. From the Court of the Crimson King to the Comatorium », sur Rolling Stone, (consulté le ).

Liens externes

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