Tortequesne

Tortequesne est une commune française située dans le département du Pas-de-Calais en région Hauts-de-France.

Tortequesne

Le clocher de l'église.
Administration
Pays France
Région Hauts-de-France
Département Pas-de-Calais
Arrondissement Arras
Intercommunalité Communauté de communes Osartis Marquion
Maire
Mandat
Jean-Paul Pont
2020-2026
Code postal 62490
Code commune 62825
Démographie
Population
municipale
836 hab. (2018 )
Densité 248 hab./km2
Géographie
Coordonnées 50° 17′ 24″ nord, 3° 02′ 23″ est
Altitude Min. 36 m
Max. 71 m
Superficie 3,37 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Lécluse
(banlieue)
Aire d'attraction Douai
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Brebières
Législatives Première circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
Tortequesne
Géolocalisation sur la carte : Pas-de-Calais
Tortequesne
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Tortequesne
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Tortequesne
Liens
Site web tortequesne.fr

    Géographie

    La commune de Tortequesne se situe sur la D 956 entre Douai et Bapaume, dans le triangle Arras, Cambrai, Douai, dans la vallée de la Sensée. La Sensée est une rivière qui a été détournée en 1963 dans la Marche Navire dont le lit délimite la frontière entre le Nord et le Pas-de-Calais et se jette dans l'étang de Tortequesne.

    Communes limitrophes

    Urbanisme

    Typologie

    Tortequesne est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[1],[2],[3]. Elle appartient à l'unité urbaine de Lécluse, une agglomération inter-départementale regroupant 2 communes[4] et 2 198 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[5],[6].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Douai dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 61 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[7],[8].

    Occupation des sols

    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (65,8 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (68,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (58,6 %), zones urbanisées (17,2 %), zones humides intérieures (11,4 %), prairies (6,8 %), forêts (5,7 %), zones agricoles hétérogènes (0,4 %)[9].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[10].

    Toponymie

    Le nom du village, Tortequesne, est parfois orthographié Tortequenne[11].

    Tortequesne ou Tortequenne ?

    Pourquoi connaissons-nous deux orthographes différentes pour désigner cette localité ? Quelle est l'origine de cette dualité ?

    Comme tous les villages et villes de France, le patronyme du village de Tortequesne (ou Tortequenne ?) a constamment évolué au cours de ces derniers siècles.

    Les traces les plus lointaines que l'on connaisse relatent d'un « chevalier François de Torteken qui figure au tournoi d’Anchin en 1096 » ou encore du « village de Torken, ou Torquenne » en 1722[12].

    Cependant, l'orthographe actuelle « Tortequesne » existait dès le XIVe siècle, non pas pour désigner la localité, mais pour qualifier la famille de Tortequesne, propriétaire de la seigneurie d’Hamel. La famille de Tortequesne s’éteindra en 1533 avec la mort de Philippe de Tortequesne. Ses armoiries constituent aujourd'hui celles de la commune d'Hamel[13].

    Les armoiries actuelles se blasonnent d'un chêne tordu, rappelant l'étymologie du nom de la commune.

    Les cahiers de doléances de la Révolution témoignent de l'orthographe « Tortequesne » en 1789, mais Tortequenne prenait déjà 2 « n » sur les cartes de Cassini en 1745.

    Les deux orthographes ont ensuite coexisté jusque notre période contemporaine, même si l'usage voulait que Tortequenne soit généralement ainsi orthographié jusqu’aux années 1980.

    Mais cette liberté de choix devint incompatible avec la révolution informatique naissante dans les années 1980. Le secrétaire de mairie M. Christian Debert essuya donc les plâtres sur l'écran de son minitel flambant neuf.

    Quelle n’était pas sa stupéfaction quand la machine refusait de valider des dossiers de Tortequenne sous prétexte que la commune n’existait pas. Pourquoi ce refus ? S'étant enquis auprès du ministère de l'Intérieur, les différents services du minitel, système embryonnaire de notre internet, avaient opté pour « Tortequesne » dans leur programmation.

    La rigueur et le système binaire de l'informatique allaient mettre un terme à plus de 200 ans de coexistence orthographique. C'est ainsi que « Tortequesne » devint l'orthographe officielle.

    Histoire

    Le village de Tortequesne représenté dans l'album De Croy.

    « Torteken, Torquenne dans les chartes. Ce nom semble indiquer un lieu consacré à Thor ou Teutates, dieu de la guerre chez les Gaulois, au temps où le culte druidrique florissait en cette contrée. Le chevalier Frémin de Torteken figure au tournoi d’Anchin en 1096. Au XIIe siècle, ce village dépendit de la châtellerie de Lécluse. »[14] Le nom est également issu du gaulois cassanos signifiant chêne[15].

    Données historiques :

    1297 : en juin, Philippe le Bel, entrant en Flandre, s'empare du château de Tortequesne. (Le Glay, 1843, II, p. 180).

    1304 : la garnison française de Douai prend le château et le brûle...tordam caudam ceperuntnet castellum combusserunt...(Lettenhove, histoire, I, p. 484, cité par B.M.D, Mn, 1695).

    1597 : mention de...Jeban Desmaretz, sieur du chastel lèz Tortequenne... (B.M.D. Mn 1695 p. 260).

    1632 : sentence de la gouvernance de Douai...un vieux chasteau, dongeon, fossetz et singles...(B.M.D. Mn 1695 p. 173).

    1694 : relief de Lécluse, au profit de Louis Crule ...le chastelet de Tortequesne, et autrement Mont-Héricourt, se consistant en un chasteau, cense, enclos et fossetz...(B.M.D. Mn 1695 p. 1265).

    1722 : dénombrement servi par le sieur Crulle... un donjon...au village de Torquesne, que l'on dit de Montéricourt et vulgairement du châtelet, la bassecourt...entourés de fossetz...(B.M.D. Mn 1695 p. 269).

    1785 : dénombrement servi par Louis Cresle:...fief du châtelet, sans seigneurie, etc. donjon et châtelet enclos d'eau, maisons, édifices, granges, étables, maréchaussées, colombiers, manoirs...fief de Montericourt et vulgairement du châtelet, tenant deux sens à la chaussée de Lécluse à Douay, canal appelé le Buironneau, rendant eau auxdits fossés... (B.M.D. Mn 1695).

    Le châtelet de Tortequesne, qui commandait le passage de la Sensée sur la route de Douai à Bapaume par Lécluse, était semble-t-il une dépendance du château de Lécluse.

    Politique et administration

    Tortequesne dans son canton et dans l'arrondissement d'Arras.
    La mairie derrière le monument aux morts, édifié au début des années 1920, qui a perdu dans les années 1980 la statue édifiée à son sommet[16].

    En 2010, la commune de Tortequesne a été récompensée par le label « Ville Internet @ »[17].

    Liste des maires successifs[18]
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    1796 1814 DAGNIAUX Charles Joseph    
    1813 1816 BARREE    
    1816 1833 DUBOIS Louis    
    1833 1841 RICQ Charles    
    1841 1869 LEFEBVRE Louis    
    1869 1870 RIGOMONT François    
    1923 1928 René Lefebvre    
    1928 1929 Gustave Pennequin    
    1929 1945 Raymond Stienne    
    1945 1967 Jules Godin    
    1967   Léon Waymel    
        Jean Fauveaux    
    avant 1981   André Martin    
    Les données manquantes sont à compléter.
      2001 Jean Caron    
    2001 2014[19] André Martin    
    mars 2014[20],[21],[22] 4 novembre 2014 Bernard Mayeux   Retraité de Stora Enzo

    Démographie

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[23]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[24].

    En 2018, la commune comptait 836 habitants[Note 3], en augmentation de 11,91 % par rapport à 2013 (Pas-de-Calais : +0,1 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    422469509572567557578584567
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    573629648661674653613591537
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    514487464348387392387401403
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    415489504578719686713716724
    2017 2018 - - - - - - -
    826836-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[25] puis Insee à partir de 2006[26].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    La population de la commune est relativement jeune. Le taux de personnes d'un âge supérieur à 60 ans (16,1 %) est en effet inférieur au taux national (21,6 %) et au taux départemental (19,8 %). Contrairement aux répartitions nationale et départementale, la population masculine de la commune est supérieure à la population féminine (51,5 % contre 48,4 % au niveau national et 48,2 % au niveau départemental).

    La répartition de la population de la commune par tranches d'âge est, en 2007, la suivante :

    • 51,5 % d'hommes (0 à 14 ans = 23,6 %, 15 à 29 ans = 17,3 %, 30 à 44 ans = 21,4 %, 45 à 59 ans = 25,7 %, plus de 60 ans = 11,9 %) ;
    • 48,5 % de femmes (0 à 14 ans = 15 %, 15 à 29 ans = 19 %, 30 à 44 ans = 21,9 %, 45 à 59 ans = 23,6 %, plus de 60 ans = 20,5 %).
    Pyramide des âges à Tortequesne en 2007 en pourcentage[27]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,0 
    90 ans ou +
    0,3 
    4,9 
    75 à 89 ans
    7,5 
    7,0 
    60 à 74 ans
    12,7 
    25,7 
    45 à 59 ans
    23,6 
    21,4 
    30 à 44 ans
    21,9 
    17,3 
    15 à 29 ans
    19,0 
    23,6 
    0 à 14 ans
    15,0 
    Pyramide des âges du département du Pas-de-Calais en 2007 en pourcentage[28]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,2 
    90 ans ou +
    0,8 
    5,1 
    75 à 89 ans
    9,1 
    11,1 
    60 à 74 ans
    12,9 
    21,0 
    45 à 59 ans
    20,1 
    20,9 
    30 à 44 ans
    19,6 
    20,4 
    15 à 29 ans
    18,5 
    21,3 
    0 à 14 ans
    18,9 

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    La cloche baptisée Jeanne-Juliette en 1923.
    Monument aux morts situé au cimetière. Il fut érigé en 1922 en mémoire des soldats de Tortequesne morts au champ d'honneur lors de la Grande Guerre.
    École Léon-Waymel vue de la rue de Bellonne.

    Le monument aux morts du cimetière fut érigé en 1922 pour honorer la mémoire des Poilus de Tortequesne morts pour la France lors de la Grande Guerre.

    L'église actuelle, paroisse Saint-Martin, fut bâtie en 1827, aux frais de la commune et grâce à la générosité de madame la marquise de la Rianderie. Partiellement détruite lors des bombardements de 1917, elle fut dotée de son clocher actuel au sortir de la grande guerre. Initialement, le clocher abritait deux cloches. La plus petite des deux est disparue dans les années 1960. Elle fut vendue pour financer les travaux d'électrification de la sonnerie. En 1923, la cloche Jeanne Juliette fut érigée dans le clocher et baptisée en présence du curé de la paroisse, Jules Corroyer, et de René Lefebvre, maire de la commune de Tortequenne. Sur la cloche, on peut lire l'inscription suivante :

    « Je fus baptisée à Tortequenne en 1923 par Jules Corroyer, curé et en présence de René Lefebvre, maire.
    Je me nomme Jeanne Juliette. J'ai pour parrain, Jean Baptiste Pecqueur et pour marraine, Juliette Cayet. La victoire des poilus m’a mise dans ce clocher pour tenir la place d’une sœur morte au Champ d’Honneur. Symbole de la résurrection du village, je veux éternellement chanter la paix pour les vivants et pour les morts. »

    Les plaques de cocher de Tortequesne

    En 1835, à la suite d'une circulaire des préfets et de l'administration des Ponts et Chaussées, l'ensemble des routes de France fut équipé de plaques indicatrices. Ces plaques de fonte étaient situées aux entrées, sorties et carrefours des villes et villages, à une hauteur de 2,30 m pour être visibles des cavaliers et des cochers.

    Ces plaques, devenues rares aujourd'hui, de par les destructions des dernières guerres doivent être préservées et sont propriétés de la commune. Il en subsiste deux à Tortequesne, visibles sur les axes anciennement nommés « chemin de grande communication n°10 » et « chemin de grande communication n°43 ».

    Chemin de grande communication no 10.

    Personnalités liées à la commune

    • 1925 Louis Thbaut, né à Aniche, le , 1er au concours général de dissertation française en 1943, devient instituteur puis professeur de collège ; il reprend des études universitaires en 1969 ; il obtient le titre de docteur de 3e cycle avec une thèse sur Pierre-Joseph Laurent ; cofondateur de la Société d'histoire d'Aniche ; il décède le en Lozère et est inhumé dans le carré des pauvres à Tortequesne.
    • Louis Dubois : grognard de Napoléon. Dubois Louis est mort en 1874 à l'âge de 84 ans, cultivateur à Tortequesne, rue de Sailly (habitation actuelle de M. et Mme Jean Caron) ; il serait donc né en 1790 pendant la Révolution. C'est son frère plus âgé qui a été appelé par Napoléon à l'âge de 20 ans, vers 1809 ; mais c'est Louis, plus jeune frère qui est parti à sa place. Il n'aurait pas donné signe de vie à sa famille pendant sept ans ; pourtant il savait lire et écrire puisqu'il était caporal au 67e Régiment de ligne dont il a suivi les campagnes. Il serait revenu de Russie à pied en faisant des petits boulots pour survivre sur la route.

    Napoléon Ier à l'île d'Elbe, Louis XVIII devenu roi de France le décora de la Fleur de Lys à Nîmes le où le 67e régiment de ligne était cantonné. Napoléon III, honorant le vœu de son illustre oncle décora Louis Dubois de la médaille de Sainte-Hélène (décret du ). (source : Pages histoire du site de la commune de Tortequesne)

    Héraldique

    Blason de la commune sur le fronton de la mairie.

    Les armes de Tortequesne se blasonnent ainsi :

    « d'argent à la champagne du même chargée de huit vergettes de sable, au chêne tordu arraché de sinople au tronc aussi de sable brochant sur le tout. »

    Le blason officiel, utilisé par la commune et créé par un dessinateur de Tortequesne représente également un chêne tordu. Sur ce modèle, le chêne n'est plus un arbrisseau, mais un arbre adulte.

    Pour approfondir

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    2. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    3. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    4. « Unité urbaine 2020 de Lécluse », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    5. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    6. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    7. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Douai », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
    8. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    9. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    10. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    11. « Alors, Tortequesne ou Tortequenne? : Pourquoi existe-t-il deux orthographes différentes pour désigner cette localité : Tortequesne et Tortequenne », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
    12. Sources : Mémorial historique et archéologique du département du Pas-de-Calais de Louis Joseph Harbaville. 1842
    13. Sources : Serge Dormard, Hamel, histoire d’un village du Douaisis
    14. (fr) Mémorial historique et archéologique du département du Pas-de-Calais par Louis Joseph Harbaville (1842), page 277
    15. Henriette Walter, L'Aventure des mots français venus d'ailleurs, Robert Laffont, p. 44
    16. « Tortequesne: le monument aux morts se situe devant la mairie : Initialement surmonté de son célèbre poilu, une tempête survenue dans les années 80, a littéralement déboulonné la vaillante sentinelle du haut de son socle. La statue n’a pas résisté à cette chute fatale. Seule la colonne pyramidale reste identique à l’état d’origine. Elle est ornée de la croix de guerre attribuée à la commune de Tortequesne le 23 septembre 1920 », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
    17. Palmarès 2010 des Villes Internet sur le site officiel de l'association. Consulté le 19 décembre 2009.
    18. Ces données sont issues des archives municipales.
    19. « Bilan des maires à Tortequesne - André Martin : « J’ai toujours souhaité que l’école continue à vivre » : Il aime la vie locale, mais aujourd’hui, André Martin, âgé de 73 ans, et après cinq mandats, a décidé d’arrêter et de laisser la main à des plus jeunes que lui », La Voix du Nord, .
    20. « Tortequesne: Bernard Mayeux a été élu maire par les conseillers : C'est au scrutin secret à majorité absolue que Bernard Mayeux a été élu en tant que maire de la commune de Tortequesne, vendredi soir », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
    21. « Liste des communes et des maires » [xls], Préfecture du Pas-de-Calais, (consulté le ).
    22. A.D. (CLP), « Tortequesne : une salle polyvalente prévue pour 2018 : Bernard Mayeux, 66 ans, marié, trois enfants, retraité de Stora Enzo, a été élu maire en mars. Il avait été conseiller municipal de 1977 à 1983, puis de nouveau à partir de 2001, avant de devenir premier adjoint en 2008 », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
    23. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    24. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    25. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    26. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    27. « Évolution et structure de la population à Tortequesne en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    28. « Résultats du recensement de la population du Pas-de-Calais en 2007 » [archive du ], sur le site de l'Insee (consulté le ).
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