Tassin-la-Demi-Lune

Tassin-la-Demi-Lune est une commune française située dans la métropole de Lyon en région Auvergne-Rhône-Alpes. Elle est une banlieue à l'ouest et contiguë à Lyon. Ses habitants sont appelés les Tassilunois[1].

Pour les articles homonymes, voir Tassin et Demi-lune (homonymie).

Tassin-la-Demi-Lune

L'horloge de Tassin-la-Demi-Lune.

Blason
Administration
Pays France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Circonscription départementale du Rhône
Métropole Métropole de Lyon
Arrondissement Lyon
Maire
Mandat
Pascal Charmot
2020-2026
Code postal 69160
Code commune 69244
Démographie
Gentilé Tassilunois[1]
Population
municipale
22 403 hab. (2018 )
Densité 2 876 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 45′ 51″ nord, 4° 46′ 50″ est
Altitude 225,2 m
Min. 186 m
Max. 309 m
Superficie 7,79 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Lyon
(banlieue)
Aire d'attraction Lyon
(commune du pôle principal)
Localisation
Géolocalisation sur la carte : métropole de Lyon
Tassin-la-Demi-Lune
Géolocalisation sur la carte : métropole de Lyon
Tassin-la-Demi-Lune
Géolocalisation sur la carte : France
Tassin-la-Demi-Lune
Géolocalisation sur la carte : France
Tassin-la-Demi-Lune
Liens
Site web tassinlademilune.fr

    Géographie

    Les « Trois-Renards » sont le terminus de la ligne 5 des tramways de l'OTL.

    La commune de Tassin-la-Demi-Lune est située en banlieue ouest de Lyon et fait partie de la métropole de Lyon.

    Elle est desservie par quatre gares, Écully-la-Demi-Lune, Tassin, Alaï et le Méridien.

    Plusieurs lignes de bus relient la commune à la station de métro Gorge de Loup (ligne D) : les lignes fortes C21, C24 et C24E, les lignes complémentaires 14, 45, 65, 72, 73, 73E, 86 et 98 ainsi que les lignes départementales 2Ex et 142. Les lignes 5 et 55 desservent également la commune depuis d'autres stations de métro.

    Communes limitrophes

    Urbanisme

    Typologie

    Tassin-la-Demi-Lune est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[2],[3],[4]. Elle appartient à l'unité urbaine de Lyon, une agglomération inter-départementale regroupant 124 communes[5] et 1 653 951 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue. L'agglomération de Lyon est la deuxième plus importante de la France en termes de population, derrière celle de Paris[6],[7].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Lyon, dont elle est une commune du pôle principal[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 398 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[8],[9].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires artificialisés (77,4 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (71,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones urbanisées (60,5 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (12,2 %), forêts (9,2 %), terres arables (6 %), prairies (5,3 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (4,7 %), zones agricoles hétérogènes (2,1 %)[10].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[11].

    Histoire

    Période gallo-romaine

    Agrippa fit aménager à la romaine, dès l'an 11 av. J.-C., les quatre voies, qui partaient de Lugdunum respectivement en direction de l'Aquitaine, du Rhin, de La Manche et de la Narbonnaise. La voie d'Aquitaine, partant de la place de Trion à Saint-Just, passait au Point-du-Jour puis à l’Étoile d'Alaï où elle traversait alors la commune de Tassin-la-Demi-Lune[M 1].

    Moyen Âge

    La première mention de Tassin date de 980, où le bourg figure dans une liste de paroisses dépendant de l'archevêque de Lyon. Entre 1072 et 1092, une assemblée de paix, tenue au château de Tassin[12],[13] entre l'archevêque de Lyon Humbert et le comte de Forez Artaud III, disposa vraisemblablement de l'abandon par ce dernier de la cogestion des terres épiscopales[14],[Note 3]. Roland de Tacins vend sa seigneurie de Tassin aux chanoines de Lyon en 1291[M 2].

    XIXe siècle

    Gravure de la ville en 1898 dans le journal Le Progrès.

    Suite à décision du Conseil général le 16 avril 1880, ratifiée le 3 janvier 1881 au Conseil d’État, une partie du quartier de La-Demi-Lune d'Écully est intégrée à la commune[15].

    Politique et administration

    Intercommunalité

    La ville est membre de la communauté urbaine de Lyon (ou Grand Lyon, ou Courly), créée par le gouvernement en 1969.

    Le Grand Lyon disparaît le , laissant place à la collectivité territoriale de la métropole de Lyon. La commune quitte ainsi le territoire administré par le conseil départemental du Rhône[16].

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    1894 1896 Émile Lachize   Médecin
    1896 1900 Alphonse Rieussec   Médecin
    1900 1903 Émile Lachize   Médecin
    1903 1908 Étienne Marin    
    1908 1930 Hippolyte Péragut    
    1930 1935 Pierre Vauboin    
    1935 1944 Édouard Ruelle    
    septembre 1944 octobre 1947 Joseph Huissoud    
    octobre 1947 juillet 1952 Pierre Audras   Démissionnaire
    octobre 1952 mars 1971 Joseph Huissoud    
    mars 1971 avril 1992 Georges Perret UDF-CDS Ancien acheteur
    Conseiller général du canton de Tassin-la-Demi-Lune (1985 → 2001)
    Délissionnaire
    avril 1992   Alain Imbert RPR puis UMP Chirurgien-dentiste
    Démissionnaire
    avril 2004 mars 2014 Jean-Claude Desseigne UDI Avocat
    Vice-président du Grand Lyon (2008 → 2014)
    mars 2014 En cours Pascal Charmot UMP-LR Chargé de projet
    Conseiller général du canton de Tassin-la-Demi-Lune (2008 → 2014)
    Conseiller de la Métropole de Lyon (2015 → )

    Distinctions et labels

    En 2014, la commune de Tassin la-Demi-Lune bénéficie du label « ville fleurie » avec « deux fleurs » attribuées par le Conseil national des villes et villages fleuris de France au concours des villes et villages fleuris[17].

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque année à la suite d'une enquête par sondage auprès d'un échantillon d'adresses représentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement réel tous les cinq ans[18],[Note 4]

    En 2018, la commune comptait 22 403 habitants[Note 5], en augmentation de 6,17 % par rapport à 2013 (Rhône : +4,48 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    395257326415656728816852868
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    9971 0811 1881 4221 6902 6643 5293 4793 518
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    4 0564 5284 6885 2635 8936 5126 7507 6758 574
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    10 93012 98314 88615 00115 46015 97718 20919 86822 356
    2018 - - - - - - - -
    22 403--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[19] puis Insee à partir de 2006[20].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Enseignement

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    Tassin-la-Demi-Lune est située dans l'académie de Lyon.

    Établissements scolaires publics
    • École maternelle Jacques-Prévert (12, avenue du Général-Leclerc).
    • École maternelle Demi-Lune (24, avenue Georges-Clemenceau).
    • École maternelle et élémentaire du Baraillon (8, chemin du Baraillon).
    • École élémentaire Leclerc (16, avenue du Général-Leclerc).
    • École élémentaire Berlier-Vincent (11 bis, avenue du Général-Leclerc).
    • Collège Jean-Jacques-Rousseau (27, rue François-Mermet).
    Établissements scolaires privés
    • École maternelle et élémentaire Vincent-Serre (13, avenue de la République).
    • École maternelle et élémentaire Saint-Charles (59, avenue de la République).
    • Institution Saint-Joseph (7, rue du Lieutenant Henri-Audras).
    • École maternelle et élémentaire Saint-Claude (62, avenue du 8-Mai-1945).
    • École maternelle et élémentaire nouvelle du Chapoly (18, chemin de la Chênaie).

    Équipements culturels

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    • Théâtre de l'Atrium (35, avenue du 8 mai 1945).
    • Cinéma Le Lem (62, avenue du 8 mai 1945).
    • École de musique de Tassin (12, rue Jules Ferry).

    Manifestations culturelles et festivités

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    • Mars : les mini-foulées (stade René-Dubot).
    • Mars : les foulées tassilunoises (course de 10 km).
    • Mars : fête de la langue française et de la francophonie (Atrium).
    • Avril : Scott 1000 bosses (course de cyclisme longue-distance).
    • Mai : assises internationales du roman (Atrium).
    • 21 juin : fête de la musique (place Péragut, parvis de l'Atrium, espace Jules Ferry...).
    • 13 juillet : spectacle pyrotechnique et bal des pompiers (place Péragut, caserne de Tassin).
    • Début septembre : olympiades de Tassin (stade René-Dubot, ou gymnase des Genetières en cas de mauvais temps).
    • Septembre : les 10 km de l'Horloge (course à pied).
    • Septembre : Fête de la Gastronomie
    • Septembre : journées européennes du patrimoine.
    • Septembre : forum des associations (Atrium).
    • Octobre : festival Lumière (cinéma Le Lem).
    • 8 décembre : fête des lumières (place Péragut, avenue de la République).
    • Marché des peintres et des sculpteurs : tous les premiers dimanche du mois (promenade des Tuileries).

    Sports

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    • U.O.D.L (Union Olympique Demi-Lunoise) :
      L'U.O.D.L Tassin est une association omnisports fondée le 24 décembre 1909 sous le nom de U.S.D.L (Union Sportive Demi-Lunoise).
    • Neliza racing Team :
      L'association Neliza est domiciliée dans la commune depuis 1997, date de sa création. Son but est d'aider les jeunes à débuter dans le sport motocycliste par des conseils aussi bien techniques que dans la recherche de formules permettant d'accéder à moindre coût à la compétition.

    L'association participe à de nombreuses compétitions en France, elle a notamment participé à la Junior Cup entre 1997 et 2002 dans le cadre des coupes de France Promosport, puis aux coupes de France Promosport en catégorie 125 cm3. Enfin, depuis 2007, elle engage une moto Honda 125CBR en championnat de France d'endurance moins de 25 cv (compétition organisée par la Fédération Française de Motocyclisme).

    • Cycloteam69 :
      Le Cylcoteam69, club cycliste de la ville, est un club phare de la région lyonnaise et a toujours accueilli des sportifs de talent comme Nicolas Fritsch, Jacques Chavanon, Yann Perrin, Olivier Rouméas ou encore Eric Sauvètre. En 2013, le club a refait plusieurs étapes du Tour de France 1903, notamment celle reliant Lyon à Marseille.

    Le club de football Tassin FC est intégré en juillet 2020 au sein du nouveau club GOAL FC qui regroupe également Monts d'Or Anse Foot (MDA), Champagne Sport Football et Futsal Saône Mont d'Or[21].

    Équipements sportifs
    • Gymnase des Coquelicots (impasse des Coquelicots).
    • Complexe Aquavert (1, chemin des Cytises).
    • Stade du Sauze (58 bis, avenue du 11 novembre). E
    • Gymnase des Genetières (1, rue des Cosmos).
    • Gymnase des Croisettes (1, avenue. Mathieu Misery).
    • Stade Bouliste (24, rue des Cerisiers).
    • Stade René Dubot (13, avenue Mathieu Misery).

    Économie

    En 2010, le revenu fiscal médian par ménage était de 34 551  ce qui plaçait Tassin-la-Demi-Lune au 7 092e rang parmi les 31 525 communes de plus de 39 ménages en métropole[22].

    En 2012, la part des ménages fiscaux imposés était de 76,3 %[23]

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    La place de la Demi-Lune, avec son horloge alors récemment érigée. On voit également l'emplacement de la station de la ligne 5 du tramway de l'OTL
    L'ancienne église, illustrée par Joannès Drevet (1854–1940).
    • L'Horloge qui orne le centre du fameux « point de croisement » en demi-lune des routes royales. Inaugurée le 5 avril 1908 en présence d'Édouard Herriot, elle est construite d'après les plans de MM. Robert et Chollat, jeunes architectes lyonnais, et du sculpteur Pierre Devaux. Située place Vauboin, elle a été rénovée en 2003 et « inaugurée » une seconde fois en 2007, pour le centenaire de la pose de sa première pierre. L'événement du centenaire a permis également de faire reconnaître et inscrire l'Horloge dans l'Inventaire supplémentaire des monuments historiques[24].
    • Le château fort est actuellement à l'état de « ruines ». Il n'en reste en effet qu'un mur d'enceinte dans la montée des Roches, une rue du bourg.
    • La ville de Tassin la-Demi Lune possédait autrefois, vers 1258, un château nommé château de Grange blanche. Il fut en partie détruit pour percer l'actuelle avenue Gambetta. Les ailes du château transformées en maisons indépendantes sont aujourd'hui encore visibles.
    • Le clocher de l'église autour de laquelle s'organisait le village de Tassin est conservé dans la propriété du prieuré. Il est donc encore visible dans le bourg de Tassin, plus précisément à la place de Tassin, près de l'actuelle église Saint-Claude.
    • L'église Saint-Claude a été édifiée entre 1866 et 1868 par l'architecte Clair Tisseur. La façade principale a été remise à neuf en 2007 et la façade nord ainsi que le parvis ont fait l'objet d'importants travaux en 2011.
    • Les vestiges de l'aqueduc de la Brévenne[25] du Rampant de fuite du siphon des Massues.
    • L'église moderne Saint-Joseph, construite en 1971 par les architectes Grimal, Mermet et Sabatier. Ses immenses baies vitrées laissent entrer la lumière et la vision de la verdure omniprésente à l'extérieur.
    L'ancienne église Saint-Joseph est construite sur les plans de Pierre Bossan et terminée en 1842[26].
    En 1968, le conseil municipal de Lyon approuve le rachat de l'église sise au 1 rue de Montribloud avec ses 2 000 mètres carrés de terrain pour la somme de 1 140 000 francs à l'Association Diocésaine de Lyon, afin d'aménager le carrefour d'extrémité de la bretelle d'accès au tunnel de Fourvière[27].

    Les parcs et les squares :

    • Parc de la Pomme (chemin de la Pomme).
    • Jardins de l'Hôtel de ville (avenue Charles de Gaulle, avenue Leclerc).
    • Parc de la Vernique (chemin de la Vernique).
    • Parc de l’Orangerie (rue de Belgique).
    • Parc Beauséjour (163, rue Charles de Gaulle).
    • Parc des Beaux Ombrages (rue professeur Depéret).
    • Square (rue Joliot Curie).
    • Parc de L’Atrium (35, avenue du 8 mai 1945).

    Personnalités liées à la commune

    • Pamphile-Antoine Donin de Rosière, deuxième maire de Bourgoin, y est né le 9 juillet 1775.
    • Charles Depéret (1854 - 1929), scientifique, a vécu à Tassin.
    • En mai 1897, le tueur en série Joseph Vacher assassina et jeta dans un puits un vagabond, Claudius Beaupied, 14 ans. Son corps ne sera retrouvé que cinq mois plus tard.
    • Charles Guthmüller (1897 - 1976), député des Vosges.
    • Le Professeur Pierre Stagnara[28] (1917-1995), dont les jeunes patientes souffrant de scoliose étaient hospitalisées à la clinique de la Demi-Lune. Le professeur Stagnara était un chirurgien de renommée internationale qui pratiquait à la clinique des Massues[réf. nécessaire]. Un homme brillant, généreux et bon d'une extrême simplicité. Un magicien de la chirurgie orthopédique.[non neutre]
    • Anne Sylvestre (1934-2020), chanteuse de son vrai nom Anne Beugras, née à Lyon, y a passé son enfance.
    • Marie Chaix (née en 1942), écrivain, sœur de la précédente.
    • Patricia Vivier (née en 1966), première participante à la première édition de la Junior Cup organisée à partir de 1997 par la Fédération française de moto[réf. nécessaire]
    • Anne Gastinel, violoncelliste et professeur au conservatoire national supérieur de musique et de danse de Lyon, y est née en 1971.
    • Stéphane Cayrol, journaliste, ancien présentateur à TLM et comédien, y est né en 1972.
    • Corinne Maîtrejean, escrimeuse fleuretiste française, y est née en 1979.
    • Guillaume Lacour (né en 1980), footballeur au club Évian TGFC, formé à l'Olympique lyonnais et plus précédemment au club local de l'UODL à Tassin où il a passé sa jeunesse.
    • Jérémy Berthod, footballeur de l'AJ Auxerre depuis 2008 et ancien de l'OL y est né en 1984.
    • Guillaume Joli, joueur de l'équipe de France de handball, a joué dans l'UOLD de Tassin de 1994 à 2000. Ses parents y vivent toujours.
    • Tiffany Fanjat, né en 1981 à Tassin-la-Demi-Lune, karatéka championne du monde en 2008, 2010 et 2012[29].
    • Woodkid, de son vrai nom Yoann Lemoine, (né en 1983 à Tassin-la-Demi-Lune) un réalisateur, musicien et graphiste français.
    • Guillaume Poix (né en 1986), dramaturge et écrivain né à Tassin
    • Marlène Saldana (originaire de la ville, née en 1978), comédienne et performeuse originaire de la commune[30].
    • Marine Pierlot, doublage vocal dans la Série « Monk » est née dans la commune[réf. nécessaire]

    Héraldique

    Les armes de la commune de Tassin-la-Demi-Lune se blasonnent ainsi :
    D'or aux trois bandes d'azur, à l'horloge du lieu du champ brochant sur le tout, adextrée en chef d'une étoile du même chargeant la deuxième bande et senestrée d'un croissant tourné aussi d'or chargeant la première bande, au chef aussi d'azur chargé de trois roses d'or.

    Voir aussi

    Sources

    • [Archives du Rhône, 3521 W 5] Direction départementale de l'équipement, Tunnel de Fourvière à Lyon : TUNNEL - FONCIER - acquisitions foncières - Dossier général : plans parcellaires de l'enquête de 1964 - arrêtés du Préfet - Dossiers parcellaires individualisés - Classement LYON no 3 à 38 - Classement TASSIN-LA-DEMI-LUNE no 1 à 11, Lyon, Ville de Lyon, 1963-1968. 

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Rémy Méjat indique 1083 avec comme signataires Humbert et Arthaud IV
    4. Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.
    5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. Gentilé sur le site habitants.fr Consulté le 29/09/2008.
    2. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    3. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    4. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    5. « Unité urbaine 2020 de Lyon », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    6. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    7. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    8. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Lyon », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
    9. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    10. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    11. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    12. "Actum in villa de Tazins, ad quoddam placitum quod fuit inter dominum Umbertum, Lugdunensem archiepiscopum, et Artaldum comitem" Cart. de Savigny, no 762. Lire en ligne
    13. P. GANIVET, Recherches sur l'évolution des pouvoirs dans les pays lyonnais..., Thèse de doctorat, 2000, p. 337.., p. 347.
    14. Michel Rubellin, Église et société chrétienne d'Agobard à Valdès, Lyon, Presses universitaires de Lyon, coll. « Collection d'histoire et d'archéologie médiévales » (no 10), , 550 p. (ISBN 2-7297-0712-3, notice BnF no FRBNF39073998, lire en ligne), p. 374.
    15. Collectif GRH, Chronique historique de Charbonnières-les-bains, Charbonnières-les-Bains, Syndicat d'Initiative de l'Ouest Lyonnais, , 438 p., p. 329
    16. Métropole : clap de fin pour le Grand Lyon, Lyon Capitale
    17. « Les villes et villages fleuris », sur le site officiel du « Concours des villes et villages fleuris » (consulté le ).
    18. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    19. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
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    • Rémy Méjat, TASSIN-LA-DEMI-LUNE : Son histoire, Son terroir, Ses habitants, Le Coteau, Editions HORVATH, , 267 p. (ISBN 2-7171-0297-3)
    1. p. 37
    2. p. 46
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