Symbole astronomique

Les symboles astronomiques sont des symboles utilisés pour représenter divers objets célestes, des positions particulières d'objets célestes ou certains événements propres à l'astronomie d'observation.

Cet extrait du Nautical Almanac de 1833 met en évidence l'usage de symboles astronomiques, dont ceux pour les phases de la lune, les planètes et les constellations du zodiaque.
« Désignation des objets célestes » dans un almanach allemand de 1850[1].

Usage

Les formes les plus anciennes des symboles astronomiques actuels apparaissent sur des papyrus grecs de l'antiquité tardive. Les codex byzantins dans lesquels ils sont conservés continuent et étendent ensuite l'inventaire[2],[3]. De nouveaux symboles sont introduits du XVIIIe au XXe siècles pour représenter les nombreuses planètes et objets mineurs découverts.

Tous ces symboles sont à une époque utilisés communément par les astronomes professionnels et amateurs, ainsi que par les astrologues. Bien qu'on les rencontre encore de nos jours dans les almanachs et les publications astrologiques, ils sont désormais peu fréquents dans les textes et publications astronomiques[4], à de rares exceptions comme les symboles solaires et terrestres apparaissant dans certaines constantes astronomiques et certains signes zodiacaux pour représenter les solstices et équinoxes.

Unicode assigne des codes à la plupart des symboles, principalement dans les sections « symboles divers[5] » et « symboles divers et pictogrammes[6] ».

Symboles

Soleil et Lune

L'usage de symboles astronomiques pour le soleil et la lune date de l'Antiquité. Ils apparaissent dans les papyrus d'horoscopes grecs sous la forme d'un cercle avec un rayon () pour le soleil et d'un croissant pour la lune[3]. Le symbole solaire moderne, un cercle avec un point au centre (☉), apparaît en Europe à la Renaissance[3].

Ces symboles sont également employés dans les textes alchimiques, le soleil représentant l'or, la lune l'argent, etc.

Dans l'usage académique moderne, le symbole solaire est utilisé pour les constantes relatives au soleil[7],[8] comme la luminosité (L), la masse (M) et le rayon (R) solaires.

Nom Symbole Encodage
Unicode
Affichage
Unicode
Signification
Soleil
[9],[10],[11]
U+2609 Soleil

[3]
U+1F71A 🜚 Soleil avec un rayon

[12],[13]
U+1F31E 🌞 Visage du Soleil
Lune, premier quartier
[14],[15],[16]
U+263D Croissant de Lune, premier quartier

[12],[17],[18]
U+1F31B 🌛
Pleine lune
[15],[16]
U+1F315 🌕

[12],[17],[18]
U+1F31D 🌝
Lune, dernier quartier
[15],[16]
U+263E Croissant de Lune, dernier quartier

[12],[17],[18]
U+1F31C 🌜
Nouvelle lune
[15],[16]
U+1F311 🌑

[12],[17],[18]
U+1F31A 🌚

Planètes

Représentation des systèmes zodiacaux Grec et Chaldéen, ainsi que des décans Égyptiens et les jours de la semaine romaine.

Des symboles pour les planètes classiques apparaissent dans les codex byzantins médiévaux dans lesquels d'anciens horoscopes sont conservés[2]. Les symboles pour Mercure, Vénus, Jupiter et Saturne ont été rattachés aux formes trouvées dans les papyrus de l'Antiquité grecque tardive[19]. Les symboles de Jupiter et Saturne sont identifiés comme monogrammes des noms grecs correspondants et celui de Mercure comme un caducée stylisé[19]. Selon Annie Scott Dill Maunder, les antécédents des symboles planétaires sont utilisés dans l'art pour représenter les dieux associés aux planètes ; le planisphère de Bianchini, découvert au XVIIIe siècle par Francesco Bianchini, réalisé au IIe siècle[20], représente les personnifications grecques des dieux associées à des versions précoces des symboles : Mercure et son caducée, Vénus dont le collier est relié à un autre collier par une corde, Mars et sa lance, Jupiter et son bâton, Saturne et sa faux, le Soleil et un cercle muni de rayons, et la Lune et un croissant attaché à sa coiffure[21].

Un diagramme du Compendium d'Astrologie (Johannes Kamateros, XIIe siècle) montre le soleil représenté par un cercle avec un rayon, Jupiter par la lettre zêta (initiale de Zeus, équivalent de Jupiter dans la mythologie grecque), Mars par un bouclier et une lance, et les autres planètes par des symboles ressemblant aux symboles modernes sans les croix. Celles-ci apparaissent vers le XVIe siècle. Selon Maunder, il pourrait s'agir « d'une tentative de donner une saveur chrétienne aux symboles des vieux dieux païens[21] ».

Les symboles d'Uranus sont créés peu après sa découverte. Le premier, , inventé par Johann Gottfried Koehler et amélioré par Johann Elert Bode, représente le platine, métal alors récemment découvert. Celui-ci, couramment appelé « or blanc », est découvert mêlé à du fer ; son symbole combine ceux du fer, ♂, et de l'or, ☉[22],[23]. Il combine ainsi également les symboles de Mars (♂) et du soleil (☉) : dans la mythologie grecque, Uranus représente les cieux et la puissance combinée de la lance de Mars et du Soleil[24]. Un autre symbole, , est suggéré par Jérôme Lalande en 1784 ; dans une lettre à William Herschel, il le décrit comme « un globe surmonté par la première lettre de votre nom[25] ».

Plusieurs symboles sont proposés pour Neptune en même temps que des noms pour la planète. Revendiquant sa découverte, Urbain Le Verrier propose à l'origine le nom « Neptune [26] » et un trident comme symbole[27] en affirmant de façon erronée qu'ils sont approuvés par le Bureau des longitudes[26]. En octobre, il cherche à nommer la planète « Leverrier », avec le soutien du directeur de l'observatoire François Arago[28], qui propose un autre symbole ()[29]. Cette suggestion rencontre une forte résistance en dehors de France[28] ; des almanachs français réintroduisent rapidement le nom « Herschel » pour Uranus, du nom de son découvreur William Herschel, et « Leverrier » pour la nouvelle planète[30]. James Pillans (en) de l'Université d'Édimbourg défend le nom « Janus » et propose une clé comme symbole[27]. Struve présente le nom « Neptune » à l'Académie des sciences de Russie le 29 décembre 1846[31]. En août 1847, le Bureau des longitudes annonce qu'il suit la pratique astronomique habituelle et adopte le nom « Neptune », Arago ne participant pas à cette décision[32].

L'Union astronomique internationale déconseille l'usage de ces symboles dans les publications scientifiques. Dans certains cas, comme les en-têtes de tables, le manuel de style de l'UAI préconise une ou deux lettres comme abréviation[33].

Nom Abréviation
UAI
Symbole Encodage
Unicode
Affichage
Unicode
Signification
Mercure Me
[9],[10],[34]
U+263F Casque ailé et caducée de Mercure[9] ou simplement le caducée[14],[34]
Vénus V
[9],[10],[34]
U+2640 Miroir de Vénus[9],[14],[34]
Terre E
[10],[14],[15]
U+2641 Orbe[35] ou symbole inversé de Vénus[14]

[9],[10],[34]
U+1F728 Globe terrestre avec équateur et méridien[9],[34]
Mars Ma
[9],[10],[34]
U+2642 Lance et bouclier de Mars[9],[14],[34]
Jupiter J
[9],[10],[34]
U+2643 Foudre[14] ou aigle[9] de Jupiter, ou la lettre grecque zêta ou Z pour Zeus, le dieu grec analogue à Jupiter[9],[34]
Saturne S
[9],[10],[34]
U+2644 Faucille ou faux de Saturne[9],[14],[34]
Uranus U
[22],[23]
U+26E2

[15],[16],[34]
U+2645 H de William Herschel.
Neptune N
[9],[10],[16]
U+2646 Trident de Neptune[9]

[29],[34]
Globe surmonté des lettres L et V d'Urbain Le Verrier[29],[34] (plus courant dans la littérature ancienne, principalement française)
Système solaire avec symboles astrologiques.

Planètes mineures

À la suite de la découverte de Cérès par Giuseppe Piazzi, une faucille est choisie comme symbole[36].

Le symbole pour Pallas, la lance de Pallas Athena, est inventé par Franz Xaver von Zach et introduit dans sa Monatliche Correspondenz zur beförderung der erd- und himmels-kunde[37]. Dans une lettre à von Zach, le découvreur Heinrich Olbers l'approuve mais souhaite que le manche de la faucille de Cérès soit décoré d'un pommeau plutôt qu'une croix, pour mieux le différencier de Vénus[37].

Karl Ludwig Harding, découvreur de Junon, propose ce nom et l'usage d'un sceptre surmonté d'une étoile comme symbole astronomique[38].

Le symbole pour Vesta est inventé par Carl Friedrich Gauss, à l'initiative d'Heinrich Olbers ; il choisit de nommer l'astéroïde du nom de la déesse Vesta et dessine le symbole ⚶ () en conséquence : l'autel de la déesse, le feu sacré (en) brûlant dessus[39],[40]. Certains contemporains utilisent un symbole plus élaboré ([41],[42]).

Les deux astéroïdes suivants, Astrée et Hébé, sont découverts par Karl Ludwig Hencke. Il demande que le symbole pour Astrée soit une ancre renversée[43] ; une paire de balances est parfois utilisée à la place[11],[44]. Gauss nomme Hébé à la demande d'Hencke et choisit un verre de vin comme symbole[45],[46].

Des symboles sont créés au fur et à mesure des découvertes d'astéroïdes. Iris reçoit le symbole d'un arc-en-ciel et d'une étoile[47] : Flore, une fleur[47] ; Métis, un œil et une étoile[48] ; Hygie, un serpent dressé avec une étoile sur la tête[49] ; Parthénope, un poisson dressé et une étoile[49] ; Victoria, une étoile surmontée d'une branche de laurier[50] ; Égérie, un bouclier[51] ; Irène, une colombe portant une branche d'olivier, la tête surmontée d'une étoile[52] ; Eunomie, un cœur surmonté d'une étoile[53] ; Psyché, une aile de papillon munie d'une étoile[54] ; Thétis, un dauphin avec une étoile[55] ; Melpomène, une dague au-dessus d'une étoile[56] ; Fortune, une étoile surmontant une roue de la Fortune[56].

Johann Franz Encke introduit un changement majeur dans le Berliner Astronomisches Jahrbuch de 1854 (publié en 1851) : des nombres entourés d'un cercle aulieu de symboles à partir d'Astrée, les quatre premiers astéroïdes continuant à être notés par leurs symboles traditionnels. Cette innovation est rapidement adoptée par la communauté astronomique. En 1852, Astrée est décalée au numéro 5, mais les astéroïdes Cérès à Vesta ne seront référencés par leur ordre de découverte qu'à partir de l'édition de 1867. Le cercle est par la suite transformé en parenthèses, celles-ci étant d'ailleurs parfois omises dans les décennies suivantes[11].

Quelques astéroïdes reçoivent un symbole par la suite. Proserpine, Bellone, Leucothée et Fidès, découverts par Karl Theodor Robert Luther, se voient attribuer respectivement une grenade avec une étoile à l'intérieur[57], une fouet et une lanche[58], un phare antique[59] et une croix[60]. Amphitrite, découvert par Albert Marth, reçoit une coquille comme symbole[61].

Le nom et le symbole de Pluton sont annoncés par ses découvreurs le 1er mai 1930[62]. Le symbole, un monogramme des lettres PL, peut être interprété comme « Pluton » ou « Percival Lowell », l'astronome qui lança la quête d'une planète au-delà de Neptune à l'Observatoire Lowell[9].

Nom Symbole Encodage
Unicode
Affichage
Unicode
Signification
Cérès
[11],[15],[34]
U+26B3 Faucille renversée[34]
Pallas
[37]
U+26B4 Lance[37],[44]
Junon
[38],[63]
U+26B5 Sceptre surmonté d'une étoile[38]

[34],[64]
Vesta
[39]
U+26B6 Autel surmonté d'un feu[39]

[11],[44],[64]
Astrée
[43],[44]
Ancre[43]

[65]
Paire de balances[34],[44]
Hébé
[45],[66],[67]
Verre de vin[45]

[11],[34],[44]
U+1F377 🍷
Iris
[11],[34]
Arc-en-ciel avec une étoile à l'intérieur[47]
Flore
[11],[44]
U+2698 Fleur[47]
Métis
[11],[34],[44]
Œil surmonté d'une étoile[48]
Hygie
[49],[56]
Serpent et étoile[49]

[11],[44]
U+2695 Bâton d'Asclépios
Parthénope
[11],[49]
Poisson et étoile[49]

[65]
Harpe[44]
Victoria
[11],[44]
Étoile et branche de laurier[50]
Égérie
[56]
Bouclier[51]
Irène
[65]
Colombe portant un rameau d'oliver dans sa bouche, à la tête surmontée d'une étoile[52]
Eunomie
[11],[44]
Cœur surmonté d'une étoile[53]
Psyché
[56]
Aile de papillon et étoile[54]
Thétis
[55]
Dauphin et étoile[55]
Melpomène
[56]
Dague surmontant une étoile[56]
Fortune
[56]
Étoile surmontant une roue[56]
Proserpine
[57]
Grenade avec une étoile au centre[57]
Bellone
[58]
Fouet et lance[58]
Amphitrite
[68]
Coquillage[61]
Leucothée
[59]
Ancien phare[59]
Fidès
[60]
Croix latine aux extrémités élargies et arrondies[60],[68]
Pluton
[9],[10]
U+2647 Monogramme PL[9]

[69]
Modification du symbole astrologique pour Neptune, avec un cercle à la place de la pointe centrale du trident.
Liste de symboles pour les corps célestes de la ceinture principale d'astéroïdes.

Zodiaque

Les symboles du zodiaque ont plusieurs interprétations. Selon le contexte, un symbole zodiacal peut noter une constellation, un signe ou un point de l'écliptique.

Les listes de phénomènes astronomiques publiés par les éphémérides incluent quelquefois les conjonctions d'étoiles et de planètes ; plutôt que d'écrire le nom complet de l'étoile, une lettre grecque et le symbole de la constellation de l'étoile sont parfois employés[70],[71]. Dans l'usage scientifique moderne, toutes les constellations — dont celles du zodiaque — disposent d'une abréviation de trois lettres[72].

En astronomie, un signe est une unité de mesure d'arc désormais obsolète, égale à 30°[73],[74]. La longitude écliptique était ainsi mesurée en signes, degrés, minutes et secondes. Le signe était exprimé par un nombre de 0 à 11[75] ou par le symbole correspondant[74].

Les symboles du zodiaque sont parfois utilisés pour représenter des points sur l'écliptique, chaque symbole représentant le « premier point » de chaque signe. Ainsi, Bélier ♈ est l'équinoxe vernal, Cancer ♋ le solstice d'été, etc.[76],[77]

Nom Abréviation
UAI
Symbole Encodage
Unicode
Affichage
Unicode
Bélier Ari U+2648
Taureau Tau U+2649
Gémeaux Gem U+264A
Cancer Cnc U+264B
Lion Leo U+264C
Vierge Vir U+264D
Balance Lib U+264E
Scorpion Sco U+264F
Ophiuchus Oph U+26CE
Sagittaire Sgr U+2650
Capricorne Cap U+2651
Verseau Aqr U+2652
Poissons Psc U+2653

Autres symboles

Les symboles pour les aspects et les nœuds apparaissent dans les textes médiévaux, leur usage différant toutefois de l'usage moderne ; ☊ représente alors un nœud descendant, ☋ un nœud ascendant[3]. En décrivant les éléments d'une orbite, ☊ note parfois la longitude écliptique du nœud ascendant, bien qu'il soit plus courant d'utiliser Ω (lettre grecque oméga majuscule), à l'origine un substitut typographique[78].

Les symboles des aspects apparaissent dans les codex byzantins[3]. Des cinq aspects ptolémaïques, seuls trois sont utilisés en astronomie : conjonction, opposition et quadrature[79]. Leur usage a disparu à l'époque contemporaine.

Les symboles pour comète (☄) et étoile () ont été utilisés dans des publications d'observations de comètes. Dans les tables correspondantes, ☄ symbolise la comète et l'étoile de référence pour sa position[80].

Nom Symbole Encodage
Unicode
Affichage
Unicode
Nœud ascendant
[10],[15]
U+260A
Nœud descendant
[10],[15]
U+260B
Conjonction
[15],[16]
U+260C
Opposition
[15],[16]
U+260D
quadrature
[15],[16]
U+25A1
Comète
[15],[68],[80]
U+2604
Étoile
[15],[68],[80]
U+2605

Annexes

Articles connexes

Références

  1. (de) Johann Franz Encke, Berliner Astronomisches Jahrbuch für 1853, Berlin, , p. VIII
  2. (en) Otto Neugebauer, A history of ancient mathematical astronomy : in three parts, Berlin/Heidelberg/New York, Springer-Verlag, , 1456 p. (ISBN 0-387-06995-X), p. 788–789
  3. (en) Otto Neugebauer et H. B. Van Hoesen, Greek Horoscopes, (ISBN 0-8357-0314-2), p. 1, 159, 163
  4. (en) Wesley Washington Pasko, American dictionary of printing and bookmaking, (lire en ligne), p. 29
  5. « Symboles divers », The Unicode Consortium
  6. (en) « Miscellaneous Symbols and Pictographs », The Unicode Consortium
  7. (en) Simon F. Green, Mark H. Jones et S. Jocelyn Burnell, An introduction to the sun and stars, Cambridge University Press, , p. 8
  8. (en) Aruna Goswami, Principles and Perspectives in Cosmochemistry : Lecture Notes of the Kodai School on 'Synthesis of Elements in Stars' Held at Kodaikanal Observatory, India, April 29 - May 13, 2008, , p. 4–5
  9. (en) « Planet Symbols », NASA
  10. (en) Arthur Cox, Allen's astrophysical quantities, Springer, (ISBN 0-387-95189-X), p. 2
  11. (en) James L. Hilton, « When Did the asteroids Become Minor Planets? »,
  12. A. Frey, Nouveau manuel complet de typographie contenant les principes théoriques et pratiques de cet art, (lire en ligne), p. 379
  13. Éphémérides des mouvemens célestes, (lire en ligne), p. XXXIV
  14. (en) The Penny cyclopædia of the Society for the Diffusion of Useful Knowledge, vol. 22, C. Knight, (lire en ligne), p. 197
  15. (en) The Encyclopedia Americana : a library of universal knowledge, vol. 26, Encyclopedia Americana Corp., (lire en ligne), p. 162–163
  16. (en) Edmund Whitman Putnam, The essence of astronomy : things every one should know about the sun, moon, and stars, G.P. Putnam's sons, (lire en ligne), p. 197
  17. Almanach de Gotha, vol. 158, (lire en ligne), p. II
  18. Almanach Hachette, Hachette, (lire en ligne), p. 8
  19. (en) Alexander Jones (trad. du grec ancien), Astronomical papyri from Oxyrhynchus, Philadelphie, American philosophical society, , 471 p. (ISBN 0-87169-233-3), p. 62–63
  20. (en) « Bianchini's planisphere », Florence, Italie, Istituto e Museo di Storia della Scienza
  21. (en) A. S. D. Maunder, « The origin of the symbols of the planets », The Observatory, vol. 57, , p. 238–247 (Bibcode 1934Obs....57..238M)
  22. (de) Johann Elert Bode, Von dem neu entdeckten Planeten, (lire en ligne), p. 95–96
  23. (en) B. A. Gould, Report on the history of the discovery of Neptune, Smithsonian Institution, (lire en ligne), p. 5
  24. (en) Fraser Cain, « Symbol for Uranus », Universe Today,
  25. Francisca Herschel, « The meaning of the symbol H+o for the planet Uranus », The Observatory, (Bibcode 1917Obs....40..306H, lire en ligne)
  26. (en) Mark Littmann et E. M. Standish, Planets Beyond : Discovering the Outer Solar System, Courier Dover Publications, (ISBN 0-486-43602-0), p. 50
  27. (de) James Pillans, « Ueber den Namen des neuen Planeten », Astronomische Nachrichten, vol. 25, no 26, , p. 389–392 (DOI 10.1002/asna.18470252602, Bibcode 1847AN.....25..389., lire en ligne)
  28. (en) Richard Baum et William Sheehan, In Search of Planet Vulcan : The Ghost in Newton's Clockwork Universe, Basic Books, (ISBN 0-7382-0889-2), p. 109–110
  29. (de) H. C. Schumacher, « Name de Neuen Planeten », Astronomische Nachrichten, vol. 25, , p. 81–82 (DOI 10.1002/asna.18470250603, Bibcode 1846AN.....25...81L, lire en ligne)
  30. (en) « The Naming of Uranus and Neptune », Astronomical Society of the Pacific Leaflets, vol. 8, , p. 9–15 (Bibcode 1958ASPL....8....9G)
  31. (en) J. R. Hind, « Second report of proceedings in the Cambridge Observatory relating to the new Planet (Neptune) », Astronomische Nachrichten, vol. 25, no 21, , p. 309–314 (DOI 10.1002/asna.18470252102, Bibcode 1847AN.....25..309.)
  32. Bureau des longitudes, Connaissance des temps : ou des mouvementes célestes, à l'usage des astronomes, (lire en ligne)
  33. [PDF] (en) The IAU Style Manual, (lire en ligne), p. 27
  34. (en) Hiram Mattison, High-School Astronomy, Sheldon & Co., (lire en ligne), p. 32–36
  35. (en) Matt Williams, « Signs of the Planets », Universe Today,
  36. (de) Johann Elert Bode, Berliner astronomisches Jahrbuch führ das Jahr 1804, (lire en ligne), p. 97–98
  37. (de) Franz Xaver von Zach, Monatliche correspondenz zur beförderung der erd- und himmels-kunde, vol. 6, (lire en ligne), p. 95-96
  38. (de) Franz Xaver von Zach, Monatliche correspondenz zur beförderung der erd- und himmels-kunde, vol. 10, (lire en ligne), p. 471
  39. (de) Franz Xaver von Zach, Monatliche correspondenz zur beförderung der erd- und himmels-kunde, vol. 15, (lire en ligne), p. 507
  40. (it) Francesco Carlini, Effemeridi astronomiche di Milano per l'anno 1809, (lire en ligne)
  41. Bureau des longitudes, Annuaire pour l'an 1808, (lire en ligne), p. 5
  42. (it) Stanislao Canovai et Gaetano del-Ricco, Elementi di fisica matematica, (lire en ligne), p. 149
  43. (de) Deutsche Akademie der Wissenschaften zu Berlin et Königlich Preussische Akademie der Wissenschaften zu Berlin, Bericht über die zur Bekanntmachung geeigneten Verhandlungen der Königl. Preuss. Akademie der Wissenschaften zu Berlin, (lire en ligne), p. 406
    « Der Planet hat mit Einwilligung des Entdeckers den Namen Astraea erhalten, und sein Zeichen wird nach dem Wunsche des Hr. Hencke ein umgekehrter Anker sein. »
  44. (en) Lutz D. Schmadel, Dictionary of minor planet names, Springer, (ISBN 0-354-06174-7), p. 15–18
  45. (de) G. A. Jahn, Wöchentliche Unterhaltungen für Dilettanten und Freunde der Astronomie, Geographie und Witterungskunde, (lire en ligne), p. 315
  46. (de) Franz Steger, Ergänzungs-conversationslexikon, vol. 3, (lire en ligne), p. 442
    « Hofrath Gauß gab auf Hencke's Ansuchen diesem neuen Planetoiden den Namen Hebe mit dem Zeichen (ein Weinglas). »
  47. (en) « Report of the Council to the Twenty-eighth Annual General Meeting », Monthly notices of the Royal Astronomical Society, vol. 8, , p. 82 (Bibcode 1848MNRAS...8...82., lire en ligne) :
    « The symbol adopted for [Iris] is a semicircle to represent the rainbow, with an interior star and a base line for the horizon....The symbol adopted for [Flora's] designation is the figure of a flower. »
  48. (en) « Extract of a Letter from Mr. Graham », Monthly notices of the Royal Astronomical Society, vol. 8, , p. 147 (lire en ligne) :
    « I trust, therefore, that astronomers will adopt this name [viz. Metis], with an eye and star for symbol. »
  49. (en) Annibale de Gasparis, « Letter to Mr. Hind, from Professor Annibale de Gasparis », Monthly notices of the Royal Astronomical Society, vol. 11, , p. 1 (Bibcode 1850MNRAS..11....1D, lire en ligne) :
    « The symbol of Hygeia is a serpent (like a Greek ζ) crowned with a star. That of Parthenope is a fish crowned with a star. »
  50. (en) Hind, « Letter from Mr. Hind », Monthly notices of the Royal Astronomical Society, vol. 11, , p. 2 (Bibcode 1850MNRAS..11....2H, lire en ligne) :
    « I have called the new planet Victoria, for which I have devised, as a symbol, a star and laurel branch, emblematic of the Goddess of Victory. »
  51. Académie des sciences, « Correspondance », Comptes-rendus des séances de l'Académie des sciences, vol. 32, , p. 224 (lire en ligne) :
    « M. De Gasparis adresse ses remerciments à l'Académie, qui lui a décerné, dans la séance solennelle du 16 décembre 1850, deux des médailles de la fondation Lalande, pour la découverte des planètes Hygie, Parthénope et Egérie. M. de Gasparis annonce qu'il a choisi, pour symbole de cette dernière planète, la figure d'un bouclier. »
  52. (en) Hind, « On the Discovery of a Fourth New Planet, at Mr. Bishop's Observatory, Regent's Park », Monthly notices of the Royal Astronomical Society, vol. 11, , p. 171 (lire en ligne) :
    « Sir John Herschel, who kindly undertook the selection of a name for this, the fourteenth member of the ultra-zodiacal group, has suggested Irene as one suitable to the present time, the symbol to be a dove carrying an olive-branch with a star on the head; and since the announcement of this name, I have been gratified in receiving from all quarters the most unqualified expressions of approbation. »
  53. (de) Annibale de Gasparis, « Beobachtungen und Elemente der Eunomia », Astronomische Nachrichten, vol. 33, , p. 174 (DOI 10.1002/asna.18520331107, Bibcode 1851AN.....33..173D, lire en ligne) :
    « J'ai proposé le nom Eunomia pour la nouvelle planète. Le symbole serait un cœur surmonté d'une étoile. »
  54. (de) A. Sonntag, « Elemente und Ephemeride der Psyche », Astronomische Nachrichten, vol. 34, no 20, , p. 283–286 (DOI 10.1002/asna.18520342010, Bibcode 1852AN.....34..283., lire en ligne) :
    « (in a footnote) Herr Professor de Gasparis schreibt mir, in Bezug auf den von ihm März 17 entdeckten neuen Planeten: "J'ai proposé, avec l'approbation de Mr. Hind, le nom de Psyché pour la nouvelle planète, ayant pour symbole une aile de papillon surmontée d'une étoile." »
  55. (de) R. Luther, « Beobachtungen der Thetis auf der Bilker Sternwarte », Astronomische Nachrichten, vol. 34, no 16, , p. 243–244 (DOI 10.1002/asna.18520341606, lire en ligne) :
    « Herr Director Argelander in Bonn, welcher der hiesigen Sternwarte schon seit längerer Zeit seinen Schutz und Beistand zu Theil werden lässt, hat die Entdeckung des April-Planeten zuerst constatirt und mir bei dieser Gelegenheit dafür den Namen Thetis und das Zeichen [symbol pictured] vorgeschlagen, wodurch der der silberfüssigen Göttinn geheiligte Delphin angedeutet wird. Indem ich mich hiermit einverstanden erkläre, ersuche ich die sämmtlichen Herren Astronomen, diesen Namen und dieses Zeichen annehmen und beibehalten zu wollen. »
  56. (en) J. R. Hind, An astronomical vocabulary, (lire en ligne), p. V
  57. (de) R. Luther, « Beobachtungen des neuesten Planeten auf der Bilker Sternwarte », Astronomische Nachrichten, vol. 36, no 24, , p. 349–350 (DOI 10.1002/asna.18530362403, lire en ligne)
  58. (de) J. F. Encke, « Beobachtung der Bellona, nebst Nachrichten über die Bilker Sternwarte », Astronomische Nachrichten, vol. 38, no 9, , p. 143–144 (DOI 10.1002/asna.18540380907, Bibcode 1854AN.....38..143., lire en ligne)
  59. (de) G. Rümker, « Name und Zeichen des von Herrn R. Luther zu Bilk am 19. April entdeckten Planeten », Astronomische Nachrichten, vol. 40, no 24, , p. 373–374 (DOI 10.1002/asna.18550402405, lire en ligne)
  60. (de) R. Luther, « Schreiben des Herrn Dr. R. Luther, Directors der Sternwarte zu Bilk, an den Herausgeber », Astronomische Nachrichten, vol. 42, no 7, , p. 107–108 (DOI 10.1002/asna.18550420705, Bibcode 1855AN.....42..107L, lire en ligne)
  61. (de) A. Marth, « Elemente und Ephemeride des Marz 1 in London entdeckten Planeten Amphitrite », Astronomische Nachrichten, vol. 38, no 11, , p. 167–168 (DOI 10.1002/asna.18540381103, Bibcode 1854AN.....38..167., lire en ligne)
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    « ...observe, that 60 seconds make a minute, 60 minutes make a degree, 30 degrees make a sign, and 12 signs make a circle. »
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