Slocan (Colombie-Britannique)
Slocan est un village canadien de la province de Colombie-Britannique. Le village de Slocan tient son nom d’une langue amérindienne et le mot veut dire « percer le crâne », dû à leur méthode de pêche au saumon. (source wiki en anglais)
Village de Slocan | |||
Administration | |||
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Pays | Canada | ||
Province | Colombie-Britannique | ||
Maire | Jessica Lunn | ||
Démographie | |||
Gentilé | Slocannais | ||
Population | 296 hab. (2011) | ||
Densité | 379 hab./km2 | ||
Géographie | |||
Coordonnées | 49° 45′ 46″ nord, 117° 27′ 47″ ouest | ||
Superficie | 78 ha = 0,78 km2 | ||
Divers | |||
Langue(s) | Anglais | ||
Code géographique | |||
Localisation | |||
Géolocalisation sur la carte : Colombie-Britannique
Géolocalisation sur la carte : Colombie-Britannique
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Liens | |||
Site web | www.slocancity.com | ||
Histoire
Le village a été habité depuis 1892, mais il fut officiellement en fondé en 1901.
Durant la Seconde Guerre mondiale, Slocan a été un camp d'internement pour citoyens canadiens d'origine japonaise. Parmi ses détenus figurent les célèbres David Suzuki, et Joy Kogawa[1], auteur de Obasan.
Démographie
,[4]
Personnalité
- Un aviateur de l'Écrasement du Liberator III à Saint-Donat en 1943 était originaire de Slocan.
Notes et références
- « Joy Kogawa » dans L'Encyclopédie canadienne, Historica Canada, 1985–. (consulté le ).
- « Statistique Canada - Profils des communautés de 2006 - Slocan » (consulté le )
- « Statistique Canada - Profils des communautés de 2016 - Slocan » (consulté le )
- « Statistique Canada - Modifications aux chiffres de population et des logements, Recensement de 2016 » (consulté le )
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