Sainte-Eusoye

Sainte-Eusoye est une commune française située dans le département de l'Oise en région Hauts-de-France.

Sainte-Eusoye

Ancienne grange cistercienne.
Administration
Pays France
Région Hauts-de-France
Département Oise
Arrondissement Clermont
Intercommunalité CC de l'Oise Picarde
Maire
Mandat
Pierre Dugrosprez
2020-2026
Code postal 60480
Code commune 60573
Démographie
Gentilé Eusébiens, Eusébiennes
Population
municipale
329 hab. (2018 )
Densité 39 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 34′ 40″ nord, 2° 14′ 46″ est
Altitude Min. 95 m
Max. 178 m
Superficie 8,48 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Beauvais
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Saint-Just-en-Chaussée
Législatives 1re circonscription de l'Oise
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
Sainte-Eusoye
Géolocalisation sur la carte : Oise
Sainte-Eusoye
Géolocalisation sur la carte : France
Sainte-Eusoye
Géolocalisation sur la carte : France
Sainte-Eusoye
Liens
Site web www.sainte-eusoye.fr

    Ses habitants sont appelés les Eusébiens et les Eusébiennes.

    Géographie

    Description

    Représentations cartographiques de la commune
    Carte OpenStreetMap
    Carte topographique

    Communes limitrophes

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de température : 10,2 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3,3 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 2,4 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 14,2 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 2] : 710 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11,4 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 8,3 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Rouvroy-les-Merles », sur la commune de Rouvroy-les-Merles, mise en service en 1989[7] et qui se trouve à 11 km à vol d'oiseau[8],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 10,5 °C et la hauteur de précipitations de 656,1 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 4], « Beauvais-Tillé », sur la commune de Tillé, mise en service en 1944 et à 16 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 10,4 °C pour la période 1971-2000[11] à 10,6 °C pour 1981-2010[12], puis à 11,1 °C pour 1991-2020[13].

    Urbanisme

    Typologie

    Sainte-Eusoye est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[14],[15],[16].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Beauvais dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 162 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[17],[18].

    Occupation des sols

    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (95 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (95 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (89,2 %), zones agricoles hétérogènes (5,8 %), zones urbanisées (3,8 %), forêts (1,2 %)[19].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[20].

    Politique et administration

    Rattachements administratifs et électoraux

    La commune se trouve dans l'arrondissement de Clermont du département de l'Oise. Pour l'élection des députés, elle fait partie de la première circonscription de l'Oise.

    Elle faisait partie depuis 1793 du canton de Froissy[21]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune fait désormais partie du canton de Saint-Just-en-Chaussée.

    Intercommunalité

    La commune faisait partie de la communauté de communes des Vallées de la Brèche et de la Noye créée fin 1992.

    Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République (Loi NOTRe) du , qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants[22], le préfet de l'Oise a publié en un projet de nouveau schéma départemental de coopération intercommunale, qui prévoit la fusion de plusieurs intercommunalités[23], et notamment celle de Crèvecœur-le-Grand (CCC) et celle des Vallées de la Brèche et de la Noye (CCVBN), soit une intercommunalité de 61 communes pour une population totale de 27 196 habitants[24].

    Après avis favorable de la majorité des conseils communautaires et municipaux concernés[25], cette intercommunalité dénommée communauté de communes de l'Oise picarde et dont la commune est désormais membre, est créée au [26].

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    avant 1988  ? Jean Dufossé    
    Les données manquantes sont à compléter.
    mars 2001[27] En cours
    (au 11 mai 2016)
    Pierre Dugrosprez   Agriculteur
    Vice-président de la CCVBN (2014 → 2016)
    Vice-président de la CC de l'Oise Picarde (2017 → )
    Réélu pour le mandat 2014-2020-/small>[28],[29]

    Politique environnementale

    La commune, malgré sa faible importance, s'est dotée en 2007 d'un réseau d'assainissement collectif et d'une station d'épuration[27].

    Un verger de 24 arbres fruitiers (16 pommiers, 5 poiriers, 2 pruniers et 1 noyer) d'espèces anciennes a été planté en 2014 par le conseil municipal, afin de permettre de se remémorer et de retrouver l’histoire de la commune. Les fruits seront mis à disposition des habitants de la commune et de ceux de Sauveleux[30].

    Distinctions et labels

    La qualité du fleurissement de la commune a été reconnue par un 4e prix ex-aequo au concours départemental des villes et villages fleuris en 2017, catégorie « communes de 301 à 1000 habitants[31] ».

    Population et société

    Démographie

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[32]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[33].

    En 2018, la commune comptait 329 habitants[Note 7], en augmentation de 8,58 % par rapport à 2013 (Oise : +1,44 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    541735592593631495461454444
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    389389319281279253242224225
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    203219210181164148154168158
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2008
    138147170202210229238240241
    2013 2018 - - - - - - -
    303329-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[21] puis Insee à partir de 2006[34].)
    Histogramme de l'évolution démographique
    Pyramide des âges en 2007

    La population de la commune est relativement jeune. Le taux de personnes d'un âge supérieur à 60 ans (14,9 %) est en effet inférieur au taux national (21,6 %) et au taux départemental (17,5 %). Contrairement aux répartitions nationale et départementale, la population masculine de la commune est supérieure à la population féminine (51,9 % contre 48,4 % au niveau national et 49,3 % au niveau départemental).

    La répartition de la population de la commune par tranches d'âge est, en 2007, la suivante :

    • 51,9 % d’hommes (0 à 14 ans = 21,6 %, 15 à 29 ans = 21,6 %, 30 à 44 ans = 24,8 %, 45 à 59 ans = 20 %, plus de 60 ans = 12 %) ;
    • 48,1 % de femmes (0 à 14 ans = 18,1 %, 15 à 29 ans = 15,5 %, 30 à 44 ans = 26,7 %, 45 à 59 ans = 21,6 %, plus de 60 ans = 18,1 %).
    Pyramide des âges à Sainte-Eusoye en 2007 en pourcentage[35]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,0 
    90  ans ou +
    0,9 
    4,8 
    75 à 89 ans
    6,9 
    7,2 
    60 à 74 ans
    10,3 
    20,0 
    45 à 59 ans
    21,6 
    24,8 
    30 à 44 ans
    26,7 
    21,6 
    15 à 29 ans
    15,5 
    21,6 
    0 à 14 ans
    18,1 
    Pyramide des âges du département de l'Oise en 2007 en pourcentage[36]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,2 
    90  ans ou +
    0,8 
    4,5 
    75 à 89 ans
    7,1 
    11,0 
    60 à 74 ans
    11,5 
    21,1 
    45 à 59 ans
    20,7 
    22,0 
    30 à 44 ans
    21,6 
    20,0 
    15 à 29 ans
    18,5 
    21,3 
    0 à 14 ans
    19,9 

    Enseignement

    Les enfants de la commune sont scolarisés au groupe scolaire Le Moustier de Froissy, dans le cadre d'un regroupement pédagogique concentré rassemblant les communes de Froissy, La Neuville-Saint Pierre, Noirémont, Reuil-sur-Brêche et Sainte- Eusoye. L'école primaire accueille 210 élèves pour l'année scolaire 2015-2016[37].

    Autres équipements

    La commune a préempté en 2013 l'ancien presbytère, où elle a transféré en la mairie du village[38],[39],[40].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • Ferme du Troussures : elle se compose des ruines d'une ancienne grange cistercienne ainsi qu'un pigeonnier inscrit au titre des monuments historiques depuis 1989[41]. La ferme était dépendante de l'abbaye de Chaalis.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    4. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    6. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - », sur www.observatoireclimat-hautsdefrance.org (consulté le )
    7. « Station Météo-France Rouvroy-les-Merles - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Sainte-Eusoye et Rouvroy-les-Merles », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Rouvroy-les-Merles - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Sainte-Eusoye et Tillé », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Beauvais », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
    18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    20. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    21. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    22. Section III de l'article L. 5210-1-1 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance
    23. « Projet de schéma départemental de coopération intercommunale de l'Oise » [PDF], Préfecture de l'Oise, (consulté le ), p. 13-25.
    24. « La nouvelle carte intercommunale de l'oise : intercommunalité à fiscalité propre au  », Le Bonhomme picard, édition de Grandvilliers, , p. 15.
    25. R. Th., « La fusion des communautés de communes est définitive », Le Bonhomme picard, édition de Grandvilliers, no 3417, , p. 6 « Les 6 projets de fusion de communautés de communes ou d’agglomération ont tous recueilli une majorité favorable ; ils pourront ainsi tous être conduits à leur terme ».
    26. Sylvie Godin, « Naissance de l'Oise picarde : Jacques Cotel dirige un territoire de 26 500 habitants », Le Bonhomme picard, édition de Grandvilliers, no 3430, , p. 17.
    27. Frédéric Hennebert, « La station d'épuration qui fait rêver », Parisien, édition de l'Oise, (lire en ligne) « Pierre Dugrosprez, lui, n'a pas hésité. A peine élu en 2001, cet agriculteur a fait de l'assainissement l'une de ses priorités. « Je ne suis pas écolo, mais je veux qu'on respecte la terre. On n'est plus au Moyen Age, on ne peut plus renvoyer les eaux n'importe où », explique-t-il ».
    28. Réélu pour le mandat 2014-2020 : « Les maires en place », Le Bonhomme picard, édition de Grandvilliers, no 3284, , p. 18 (ISSN 1144-5092).
    29. « Pierre Dugrosprez entame un 4e mandat », Le Bonhomme picard, édition de Grandvilliers, no 3607, , p. 27.
    30. « Des pommiers et des poiriers réservés aux habitants du village », Le Bonhomme picard, édition de Grandvilliers, no 3393, , p. 29.
    31. « 4e prix départemental l’an passé Le village accentue ses efforts d’embellissement : Le village joue la carte de l’embellissement à travers ses plantations et ses aménagements qui renforcent son caractère rural et bucolique », Le Bonhomme picard, édition de Grandvilliers, no 3494, , p. 18.
    32. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    33. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    34. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    35. « Évolution et structure de la population à Sainte-Eusoye en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    36. « Résultats du recensement de la population de l'Oise en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    37. « La nouvelle école du Moustier a été inaugurée », Le Courrier picard, édition de Grandvilliers, no 3384, , p. 27 « Le bâtiment [de l'école primaire] réhabilité et agrandi en 2014 et 2015 regroupe sept classes, une salle de restauration et une salle pour activités périscolaires ».
    38. « Le presbytère deviendra finalement une mairie : Des avancées sur le projet de nouvelle mairie : voilà ce qu'il faut retenir de l'année 2013 et de la cérémonie des vœux prononcés, samedi 11 janvier, par le maire, Pierre Dugrosprez », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
    39. « Sainte-Eusoye : Une nouvelle mairie pour 2016 », Le Courrier picard, (lire en ligne).
    40. Sylvie Godin, « La nouvelle mairie dans un cadre exceptionnel », Le Bonhomme picard, édition de Grandvilliers, no 3446, , p. 19.
    41. « Ferme de Troussures », notice no PA00114979, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    42. « Fonts baptismaux », notice no PM60001415, base Palissy, ministère français de la Culture.
    • Portail de l’Oise
    • Portail des communes de France
    Cet article est issu de Wikipedia. Le texte est sous licence Creative Commons - Attribution - Partage dans les Mêmes. Des conditions supplémentaires peuvent s'appliquer aux fichiers multimédias.