Saint-Jean-de-Thouars

Saint-Jean-de-Thouars est une commune du Centre-Ouest de la France située dans le département des Deux-Sèvres en région Nouvelle-Aquitaine.

Pour les articles homonymes, voir Saint-Jean.

Saint-Jean-de-Thouars

L'église de Saint-Jean-de-Thouars.
Administration
Pays France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Deux-Sèvres
Arrondissement Bressuire
Intercommunalité Communauté de communes du Thouarsais
Maire
Mandat
André Beville
2020-2026
Code postal 79100
Code commune 79259
Démographie
Gentilé Saint-Jeantais
Population
municipale
1 365 hab. (2018 )
Densité 275 hab./km2
Géographie
Coordonnées 46° 57′ 54″ nord, 0° 12′ 38″ ouest
Altitude Min. 48 m
Max. 111 m
Superficie 4,96 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Thouars
(banlieue)
Aire d'attraction Thouars
(commune du pôle principal)
Élections
Départementales Canton de Thouars
Législatives Troisième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Saint-Jean-de-Thouars
Géolocalisation sur la carte : Deux-Sèvres
Saint-Jean-de-Thouars
Géolocalisation sur la carte : France
Saint-Jean-de-Thouars
Géolocalisation sur la carte : France
Saint-Jean-de-Thouars

    Ses habitants sont appelés les Saint-Jeantais.

    Géographie

    Saint-Jean-de-Thouars est localisée au nord du département des Deux-Sèvres. C'est une commune résidentielle baignée par la rivière le Thouet qui la sépare de Thouars.

    Communes limitrophes

    Saint-Jacques-de-Thouars Thouars
    N Missé
    O    Saint-Jean de Thouars    E
    S
    Mauzé-Thouarsais Luzay

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de température : 11,6 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2,4 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 5 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 14,4 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 2] : 676 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11,2 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,2 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Thouars-Stna », sur la commune de Thouars, mise en service en 1975[7] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[8],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 12,6 °C et la hauteur de précipitations de 578,7 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 4], « Poitiers-Biard », sur la commune de Biard, dans le département de la Vienne, mise en service en 1921 et à 58 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 11,5 °C pour la période 1971-2000[11] à 11,7 °C pour 1981-2010[12], puis à 12,2 °C pour 1991-2020[13].

    Urbanisme

    Typologie

    Saint-Jean-de-Thouars est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[14],[15],[16]. Elle appartient à l'unité urbaine de Thouars, une agglomération intra-départementale regroupant 4 communes[17] et 17 181 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[18],[19].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Thouars, dont elle est une commune du pôle principal[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 26 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[20],[21].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (69,6 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (78,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (41,6 %), zones agricoles hétérogènes (24 %), zones urbanisées (23,5 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (5,2 %), prairies (4 %), forêts (1,6 %)[22].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Histoire

    Possiblement fondée au IXe siècle[23], l'abbaye de Saint-Jean de Bonneval-lès-Thouars a bénéficié d'importants domaines accordés par le roi Lothaire en 973[24]. C'est tout naturellement autour de cette abbaye que le bourg de la commune s'est développé.

    Sur la carte de Cassini, représentant la France entre 1756 et 1789, le village est identifié sous le nom de Saint-Jean-de-Bonneval.

    Du latin Bonæ vallis[25], le nom « de Bonneval » vient du fait que l'abbaye était située en haut d'une vallée fertile arrosée par un ruisseau[23] ; la commune a été rebaptisée Saint-Jean-de-Thouars en 1910.

    Politique et administration

    Liste des maires

    Les différents maires qui se sont succédé à Saint-Jean-de-Bonneval puis à Saint-Jean-de-Thouars sont les suivants[26] :

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
     ? 20 brumaire de l'an III Ambroise Joubert -  
    12 frimaire de l'an III 11 brumaire de l'an IV Pierre Gorry -  
    21 frimaire de l'an IV 2 floréal de l'an V Jacques Raineau -  
    12 prairial de l'an V 3 germinal de l'an VII Jean Blatteau -  
    17 floréal de l'an VII 3 prairial de l'an VIII Guillaume Bertault -  
    11 prairial de l'an VIII 27 octobre 1829 Jérôme Genty -  
    27 octobre 1829 31 décembre 1853 Pierre Rouger -  
    27 février 1854 21 septembre 1865 Auguste Cotilleau -  
    24 novembre 1865 18 avril 1871 Maxime Gallot -  
    14 mai 1871 9 mars 1874 Louis Hacault -  
    11 mars 1874 14 septembre 1876 Henri Deboeuf - Cultivateur
    8 octobre 1876 31 décembre 1877 Louis Hacault -  
    21 janvier 1878 13 mai 1884 Pierre Grolleau -  
    18 mai 1884 14 mai 1889 Henri Deboeuf -  
    15 septembre 1889 12 février 1910 Auguste Marcheteau -  
    10 mars 1910 13 mai 1912 Baptiste Foucher -  
    15 mai 1912 15 mai 1920 René Berthonneau -  
    16 mai 1920 15 septembre 1937 Paul Gallot -  
    16 septembre 1937 28 octobre 1944 Léon Jussiaume -  
    29 octobre 1944 6 mai 1953 Abel Clochard -  
    7 mai 1953 26 mars 1977 Abel Bremand -  
    27 mars 1977 mars 2001 Jean Bernis - Professeur
    mars 2001 réélu en 2008[27] André Béville PS Directeur d'école

    Intercommunalité

    La commune de Saint-Jean-de-Thouars fait partie de la communauté de communes du Thouarsais et du syndicat du Pays Thouarsais.

    Politique environnementale

    Dans son palmarès 2020, le Conseil national de villes et villages fleuris a attribué deux fleurs à la commune[28].

    Économie

    La zone d'activités économiques Saint-Jean-Missé est l'une des 19 ZAE implantées sur le territoire de la communauté de communes du Thouarsais[29]. Elle s'étend sur 222 849 m². Parmi la cinquantaine d'entreprises ou de professionnels installés sur le territoire de la commune, plus d'une trentaine sont présents au sein de cette ZAE[30].

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[31]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[32].

    En 2018, la commune comptait 1 365 habitants[Note 7], en augmentation de 3,33 % par rapport à 2013 (Deux-Sèvres : +0,85 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    328269325311306324383366345
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    337380435444428517555544545
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    519547543512583660626613699
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    6506061 0821 2571 3681 3171 3641 3361 353
    2018 - - - - - - - -
    1 365--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[33] puis Insee à partir de 2006[34].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Enseignement

    L'instruction a commencé à être donnée dans la commune dès 1828[35]. En 2007, la municipalité a inauguré un nouveau groupe scolaire, l'école primaire Bonneval, doté d'un restaurant scolaire[36].

    Manifestations culturelles et festivités

    À chaque fin du mois d'août, se déroule la traditionnelle Fête des battages à l'ancienne mise en place en 2002. Plusieurs animations ponctuent cette fête : vide-greniers, marché des producteurs locaux, manèges, expositions de maquettes, tombola, etc.[37].

    Sports

    La commune dispose de plusieurs installations sportives : terrain de football, halle des sports, courts de tennis, terrain de beach volley et mur d'escalade. Six clubs sportifs sont recensés sur la commune : le Football-Club Saint-Jean-Missé, le Basket-Ball Saint-Jeantais, le Tennis club Saint-Jeantais, le Volley Loisirs Saint-Jeantais, la Gymnastique volontaire et l'Association Saint-Jeantaise de patinage de loisirs.

    À noter que le F.C. Saint-Jean-Missé est le club de football des communes de Saint-Jean-de-Thouars et de Missé. En 2019, ce club comprend 70 licenciés seniors répartis en 3 équipes (une en 3e division et deux en 5e division)[38].

    Lieux et monuments

    Personnalités liées à la commune

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Hugues Imbert, Histoire de Thouars, Niort, L. Clouzot, , 415 p. (lire en ligne), pages 377 à 383  : document utilisé comme source pour la rédaction de cet article.

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    4. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    6. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    7. « Station Météo-France Thouars-Stna - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Saint-Jean-de-Thouars et Thouars », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Thouars-Stna - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Saint-Jean-de-Thouars et Biard », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Poitiers-Biard - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Poitiers-Biard - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Poitiers-Biard - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Unité urbaine 2020 de Thouars », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    18. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    19. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    20. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Thouars », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
    21. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    22. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    23. Pierre-Victor-Jean Berthre de Bourniseaux, Histoire de la ville de Thouars : depuis l'an 759 jusqu'en 1815, Niort, A.-P. Morisset, , 318 p. (lire en ligne), pages 89 à 94.
    24. Selon une charte du roi Lothaire datée du 17 juin 973 à Poitiers.
    25. Henri Beauchet-Filleau, Pouillé du diocèse de Poitiers, L. Clouzot (Niort) et H. Oudin (Poitiers), (lire en ligne), page 180.
    26. « Liste des maires », sur http://stjeandethouars.free.fr (consulté le ).
    27. Site de la préfecture, consulté le 31 août 2008
    28. Site des villes et villages fleuris, consulté le 6 février 2021.
    29. « Zones d'activités économiques du Thouarsais », sur https://www.thouars-communaute.fr (consulté le ).
    30. « Espace économique de la commune de Saint-Jean-de-Thouars », sur http://stjeandethouars.free.fr (consulté le ).
    31. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    32. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    33. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    34. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    35. Victor Chudreau, « Monographie des écoles pour la commune de Saint-Jean-de-Thouars », sur https://archives-deux-sevres-vienne.fr/, (consulté le ).
    36. « Inauguration de l'Ecole primaire de Bonneval », sur http://stjeandethouars.free.fr, (consulté le ).
    37. « La Fête des battages, 18e édition », La Nouvelle République du Centre-Ouest, (lire en ligne, consulté le ).
    38. « Le FC Saint-Jean-Missé veut mieux faire », La Nouvelle République du Centre-Ouest, (lire en ligne, consulté le ).
      • Hugues Imbert, Histoire de Thouars, Niort, L. Clouzot, , 415 p. (lire en ligne), page 382.
    39. Christian Bonnin, « Rugby : L'US THouars applaudit à la réussite de Thomas Lavault », La Nouvelle République du Centre-Ouest, (lire en ligne, consulté le ).
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