Saint-Aignan (Tarn-et-Garonne)

Saint-Aignan est une commune française située dans le département de Tarn-et-Garonne, en région Occitanie.

Pour les articles homonymes, voir Saint-Aignan.

Saint-Aignan

Mairie.
Administration
Pays France
Région Occitanie
Département Tarn-et-Garonne
Arrondissement Castelsarrasin
Intercommunalité Communauté de communes Terres des Confluences
Maire
Mandat
Philippe Fournié
2020-2026
Code postal 82100
Code commune 82152
Démographie
Gentilé Saint-Aignanais
Population
municipale
401 hab. (2018 )
Densité 83 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 01′ 09″ nord, 1° 04′ 31″ est
Altitude 79 m
Min. 67 m
Max. 138 m
Superficie 4,85 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Castelsarrasin
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Garonne-Lomagne-Brulhois
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : région Occitanie
Saint-Aignan
Géolocalisation sur la carte : Tarn-et-Garonne
Saint-Aignan
Géolocalisation sur la carte : France
Saint-Aignan
Géolocalisation sur la carte : France
Saint-Aignan

    Géographie

    Localisation

    Saint-Aignan est située sur la rive gauche de la Garonne. Au sud-ouest, le village est dominé par les coteaux boisés de chêne annonciateurs de la Lomagne proche. La superficie de la commune est de 484 hectares. L’arboriculture et les cultures céréalières occupent la majeure partie de la surface agricole. Les activités industrielles se trouvent à Castelsarrasin tout proche, à Montauban distant de 25 km, ou Toulouse que l’on atteint rapidement par l’autoroute.

    Communes limitrophes

    Communes limitrophes de Saint-Aignan[1]
    Castelsarrasin
    Castelmayran
    Castelferrus
    Enclave : Castelsarrasin
    Carte de la commune de Saint-Aignan et des proches communes.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat du Bassin du Sud-Ouest », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[4]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[2]

    • Moyenne annuelle de température : 12,8 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 8,3 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 15,6 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 2] : 746 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 10,6 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Castelsarrasin », sur la commune de Castelsarrasin, mise en service en 1990[8]et qui se trouve à km à vol d'oiseau[9],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 13,4 °C et la hauteur de précipitations de 691 mm pour la période 1981-2010[10]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Montauban », sur la commune de Montauban, mise en service en 1885 et à 22 km[11], la température moyenne annuelle évolue de 13,6 °C pour 1981-2010[12] à 14 °C pour 1991-2020[13].

    Urbanisme

    Typologie

    Saint-Aignan est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[14],[15],[16].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Castelsarrasin, dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire, qui regroupe 6 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[17],[18].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (65,8 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (83,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (36,8 %), cultures permanentes (17,5 %), zones urbanisées (15,6 %), zones agricoles hétérogènes (11,5 %), forêts (9,5 %), eaux continentales[Note 6] (9,1 %)[19].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Toponymie

    Ce n’est qu’en 1318, vraisemblablement sous l’influence des moniales, que le village, alors appelé Bragayrac, devient Saint-Aignan du nom de l’évêque qui sauva Orléans.

    Durant la Révolution, la commune porte le nom d'Aignan-sur-Roche[20].

    Ses habitants sont appelés les Saint-Aignanais[21].

    Histoire

    Au XIIe siècle, initié par Géraud de Sale, religieux ermite, disciple de Robert d’Arbrissel, l’ordre de Fontevrault s’installe, en 1122, à Bragayrac où il prend la suite d’une petite communauté féminine dépendante de l’abbaye moissagaise[22].
    Vers 1318, le prieuré dénombre jusqu'à 60 religieuses. Les calamités, les épidémies, les exactions, la guerre de Cent Ans (1337-1453) et un incendie mettent en péril cette petite communauté.

    En , le lieutenant sénéchal de Toulouse fait appel aux religieuses pour sauver l’hôpital Saint-Louis de Castelsarrasin de la ruine.

    En 1372, elles déclarent « n’être à Castelsarrasin qu’en attendant la construction d’un fort autour de leur prieuré de Saint-Aignan[23][réf. incomplète] ».

    La date de la réalisation du « fortin » n'est pas connue, mais un acte[24] fournit une description en marge : « Tout conduit au bout du pont de bois par lequel on entre dans le fort et prieuré du lieu, habité auparavant les guerres, des nonaines. Fort comprenant 25 maisons et enfermant un deuxième fort où était l’église et couvent desdites sœurs ». Au delà, l’abbaye de Grand Selves est abandonnée (1435), les moines de Belleperche sont sans ressource. Le dernier prieur, Jean Duret, fait abandon de sa charge. En 1436, « personne dans le couvent ni le village[25] ».

    Durant cette longue période, l’ordre de Fontevrault est en désordre. L’autorité de l’abbesse est contestée. Renée de Bourbon sollicite l’aide du Parlement et l’intervention du roi Louis XII.

    Le , Renée de Bourbon (1468 † 1534), la 27e abbesse de l'ordre de Fontevraud, redevient maîtresse de l'ordre monastique et la paix revient dans les murs du Prieuré. 1491-1534 : Renée de Bourbon (1468 † 1534) Gabriel Forest (1514-1539), prieur, arrive à Saint-Aignan. Deux précieux documents en attestent. Le premier aux archives de Tarn-et-Garonne pour « la nomination d’un peintre de Moissac, Jean Lemesque[26] ». Le second aux archives de Maine-et-Loire, un parchemin d’une exceptionnelle qualité de peinture « vue et figure des lieux[26]». Le peintre, indéniablement[réf. nécessaire] Jean Lemesque, représente un fort, un monastère, un cimetière, l’église, le barri avec, au carrefour, les « piliers de justice ». Plus loin, nous voyons le village de Castelferrus et l’enclave des « Esclapats » faisant partie de Saint-Aignan. Indiscutablement, ce document est indissociable d’un même procès : Forest contre Castelferrus et, par là même, Jean de Luppé, et contre Saint-Aignan. Effectivement, les habitants sont en procès contre Forest, l’accusant de « n’avoir pas tenu la main » aux réparations régulières de l’église. Gabriel Forest et Jean de Luppé sont contraints de se dessaisir « de la tierce partie des fruits décimaux… qui seront convertis et appliqués à la réparation de l’église » (1514-1525). C’est ainsi que l’église Saint-Jean-Baptiste est érigée et son clocher domine, aujourd'hui encore, le village.

    Les religieuses réinvestiront, de façon rocambolesque[précision nécessaire], le prieuré[27] en 1619. La prieure est, depuis toujours, « seigneuresse » du lieu. Ces dames construisent, commercent, gèrent, afferment le port, la tuilerie, les métairies, le moulin à nef… Les consuls s’affrontent à ce pouvoir en place. Les conflits d’intérêts ne manquent pas et sont quasi permanents.

    Pendant la Révolution, les bouleversements, tant au niveau des consuls, des habitants, des paroissiens et des religieux sont multiples : En , le corps municipal se rend au prieuré, lecture est faite de la loi portant sur la vente des biens nationaux. Le prieuré est vendu en trois lots à Richard de Castelsarrasin. Montagnards et Girondins s’échauffent, les visites domiciliaires se multiplient.

    La Garonne n’a cessé de divaguer sur les 3 km qui séparent Saint-Aignan de Castelsarrasin, apportant son lot d’inondations dramatiques. Malgré tout, sur ce fleuve turbulent, la navigation commerciale a été prospère durant quelques siècles, jusqu’à l’arrivée des nouveaux moyens de communications et surtout des ponts. Ils ont permis de traverser plus rapidement pour joindre les villes.

    Politique et administration

    Liste des maires

    Période Identité Étiquette Qualité
    décembre 1947 mars 1983 Jean-Marie Fournié PS  
    mars 1983 décembre 1983 Christian Caunes    
    janvier 1984 mai 2020 Jean-Marie Bence PS  
    mai 2020 En cours Philippe Fournié Sans étiquette Agriculteur
    Les données manquantes sont à compléter.

    Intercommunalité

    La commune fait partie de la communauté de communes Terres des Confluences.

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[28]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[29].

    En 2018, la commune comptait 401 habitants[Note 7], en diminution de 2,91 % par rapport à 2013 (Tarn-et-Garonne : +3,51 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    525420500528570553522522528
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    515513418433351340334325333
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    320301269215206211225257270
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2008
    304314302321393409413414414
    2013 2018 - - - - - - -
    413401-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[20] puis Insee à partir de 2006[30].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Église Saint-Jean-Baptiste
    • Église Saint-Jean-Baptiste de Saint-Aignan, du XVIe siècle, en briques rouges surmontée d'un clocher-mur. L'église est inscrite au titre des monuments historiques par arrêté du 5 avril 1979[31]. De nombreux objets sont référencés dans la base Palissy (voir les notices liées)[31].
    • L’embarcadère du XVIIe siècle, récemment sorti des remblais et restauré.
    • La rue des Arcades avec ses « embans » et une maison bourgeoise digne d’intérêt. De nombreux pigeonniers se trouvent sur le territoire du village.

    Personnalités liées à la commune

    Madame de la Tour d'Auzillis, dernière prieure, devant quitter son couvent sous la menace des révolutionnaires, écrit à sa famille : « Me voici à la veille de sortir de ma maison, mon cher neveu, pour me rendre chez vous ... En conséquence, je vous prie de me porter une robe noire, la jupe de même, une coiffe qu'on appelle anglaise et un bonnet, de petites manchettes, un mantelet ... pour pouvoir faire mon voyage tranquillement et en même temps mettre ma vie en sûreté, car il nous est expressément recommandé de ne pas sortir de notre maison avec notre costume. » (Archive privée).

    Pour approfondir

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[5].
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    5. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    6. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. Carte IGN sous Géoportail
    2. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    3. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    4. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    5. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    6. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    7. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
    8. « Station Météo-France Castelsarrasin - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    9. « Orthodromie entre Saint-Aignan et Castelsarrasin », sur fr.distance.to (consulté le ).
    10. « Station Météo-France Castelsarrasin - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    11. « Orthodromie entre Saint-Aignan et Montauban », sur fr.distance.to (consulté le ).
    12. « Station météorologique de Montauban - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Montauban - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Castelsarrasin », sur insee.fr (consulté le ).
    18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    20. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    21. Nom des habitants de la commune sur habitants.fr.
    22. Acte de délaissement archives Maine-et-Loire 213H1
    23. Moulenq tome 4
    24. Archives départementales de Tarn-et-Garonne (ADTG) H228
    25. ADTG H228-H230
    26. ADTG H230
    27. livre « Grande Histoire d’un petit village ». Boutonnet, Dalphrase, Macabiau pages 51 à 63
    28. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    29. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    30. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    31. « Église Saint-Jean-Baptiste », sur Plateforme ouverte du patrimoine,
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