Rugby à XV à Madagascar
Le rugby à XV est considéré, avec la pétanque, comme le sport national à Madagascar[2],[3],[4].
Fédération | Fédération malgache de rugby à XV |
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Clubs | 1 809 (2015)[réf. nécessaire] |
Licenciés | 27 822 (2015) [1] |
Palmarès masculin | 2 fois finaliste de la Coupe d'Afrique des Nations |
Apporté par la colonisation française, le sport est aujourd'hui largement pratiqué par la population urbaine de la capitale majoritairement défavorisée.La plupart des pratiquants ne sont pas licenciés et le championnat national reste amateur, mais peut rassembler jusqu'à des dizaines de milliers de personnes au stade Makis, où siège la Fédération malgache de rugby à XV[5],[6].
Il est estimé que 60 % des pratiquants sont des femmes à Madagascar. Les filles de la côte Saphir et leur capitaine Marcelia ont même fait l'objet d'un film de Christophe Vindis[7], La jeune fille et le ballon ovale, retraçant leur parcours de l'arrivée d'un ballon de rugby dans leur village en 2014 jusqu'à leur victoire dans le championnat national[8].
Notes et références
- « Makis de Madagascar - Rugby Afrique / Africa Rugby Afrique / Africa », sur rugbyafrique.com (consulté le ).
- « Sur Canal + : « Le rugby, sport roi à Madagascar » NewsMada - Les Actus De Madagascar | NewsMada - Les Actus De Madagascar », sur newsmada.com (consulté le ).
- (en) « Planet Rugby | International Rugby Union | Namibia Rugby Union News | 14-place jump for Madagascar » (version du 18 novembre 2012 sur l'Internet Archive), sur planetrugby.com, .
- « WebCite query result », sur webcitation.org (consulté le ).
- « VIDEO. Au cœur du rugby à 7 africain avec l'excellent reportage d'Intérieur Sport « Out of Africa » », sur lerugbynistere.fr (consulté le ).
- Admin, « Les sports préférés des Malgaches », sur guide-du-voyageur-a-madagascar.com, (consulté le ).
- « La jeune fille et le ballon ovale Archives », sur terres-en-melees.com (consulté le ).
- « « La Jeune Fille et le ballon ovale », le récit d’une émancipation », La Croix, (ISSN 0242-6056, lire en ligne, consulté le ).