Rue de la Montagne (Courbevoie)
La rue de la Montagne est une voie de circulation se trouvant à Courbevoie[1].
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| Rue de la Montagne | |
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| Situation | |
|---|---|
| Pays |  France |
| Région | Île-de-France |
| Ville | Courbevoie |
| Début | Boulevard Saint-Denis |
| Fin | Rue Victor-Hugo |
| Morphologie | |
| Type | Rue |
| Histoire | |
| Anciens noms | Rue de la Montagne-des-Moines |
Situation et accès
Cette rue est accessible par la gare de Courbevoie.
Origine du nom
Château de la Montagne, cour d'honneur et communs.
Elle tient son nom de la très forte pente qui lui permet d'accéder aux coteaux de Courbevoie. L'ancien nom complet, Montagne-aux-Moines, pourrait provenir de l'ancien monastère du Saint-Esprit dont l'entrée se trouvait au no 17, boulevard Saint-Denis, dans l'axe de la rue.
Historique
Courbevoie, rue de la Montagne
Cette voie s'appelait autrefois rue de la Montagne-des-Moines[2].
Bâtiments remarquables et lieux de mémoire
- Emplacement du château de la Montagne, dit château de la Belle Gabrielle[3]. Il est toutefois très probable qu'il ait appartenu à Gabrielle d'Estrées, maîtresse du roi Henri IV. Il aurait en revanche appartenu à un Jean Thévenin, conseiller au Parlement en 1731.
Il s'y trouvait dans la cour intérieure une chapelle construite en 1873 pour une œuvre charitable créée par l'abbé de Villequier, œuvre qui fut déplacée rue de Colombes en 1881[4]
- Au no 14, l'Orphelinat des Arts fondé en 1881.
Notes et références
- Rue de la Montagne à courbevoie
- Children's homes and institutions in Department of Seine, France
- Courbevoie, ancien Château dit de la Belle Gabrielle, Rue de la Montagne
- Études sur la ville et paroisse de Courbevoie : Pierre Hébert, premier curé de Courbevoie, guillotiné à Paris sous la Terreur, et ses successeurs, Abbé Auguste Piquemal, 1908
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