Rue Raspail

Elle est desservie par la station de métro Mairie d'Ivry sur la ligne 7 du métro de Paris.

Plaque de la rue.

Cette rue est nommée en hommage à François-Vincent Raspail.

Des fouilles menées en 1995[1], à l'angle de la rue Saint-Just (anciennement rue Denis-Papin) ont permis de révéler les fondations de l'ancienne chapelle Notre-Dame-des-Anges ou Notre-Dame-des-Champs, citée par l'abbé Lebeuf en 1757[2].

En 2003, cette rue du centre d'Ivry, dont le tracé sinueux révèle l'ancienneté, a livré aux archéologues de l'Institut national de recherches archéologiques préventives de nombreuses traces du passé, lors d'une campagne de fouilles dirigée par Jean-Yves Dufour, d’une petite parcelle urbaine de 900 m², située au 44-46 de la rue Raspail à Ivry-sur-Seine[3].

Ont été mis au jour, outre des vestiges néolithiques et gaulois, les restes d'un habitat du haut Moyen Âge, et les fondations de bâtiments des XV^e et XVI^e, ainsi que d'une maison du XVIII^e[4]^,[5].

• La Tour Raspail, construite en 1968, lors du programme de rénovation du centre-ville d’Ivry-sur-Seine[6]^,[7]^,[8].
• Au numéro 8, un immeuble inscrit au patrimoine, sous la référence IA00130046[9].
• Au numéro 11, maison de Madeleine Delbrêl[10]^,[11].
• Emplacement de l'ancien château d'Ivry[12].
• Hôtel-de-Ville.
• Théâtre des Quartiers d'Ivry.
• La manufacture des œillets, qui héberge l'école professionnelle supérieure d'arts graphiques.
• À l'angle avec la rue Saint-Just se trouve les anciens bains-douches municipales.

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  Immeuble aux numéros 8 et 10.
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  Maison au 7 de la rue.
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  Manufacture des œillets.
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  Repère de nivellement, rue Raspail, marquant l'altitude de 34.53 mètres.
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  La Tour Raspail à l'angle des Étoiles d'Ivry.
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  Bains-douches.

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