Renty

Renty est une commune française située dans le département du Pas-de-Calais en région Hauts-de-France.

Renty

La place.

Blason
Administration
Pays France
Région Hauts-de-France
Département Pas-de-Calais
Arrondissement Saint-Omer
Intercommunalité Communauté d'agglomération du Pays de Saint-Omer
Maire
Mandat
Jean-Marc Findinier
2020-2026
Code postal 62560
Code commune 62704
Démographie
Population
municipale
603 hab. (2018 )
Densité 38 hab./km2
Géographie
Coordonnées 50° 35′ 02″ nord, 2° 04′ 25″ est
Altitude Min. 77 m
Max. 186 m
Superficie 15,67 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Fauquembergues
(ville-centre)
Aire d'attraction Saint-Omer
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Fruges
Législatives Sixième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
Renty
Géolocalisation sur la carte : Pas-de-Calais
Renty
Géolocalisation sur la carte : France
Renty
Géolocalisation sur la carte : France
Renty
Liens
Site web renty.weebly.com

    Géographie

    Communes limitrophes

    Urbanisme

    Typologie

    Renty est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[1],[2],[3]. Elle appartient à l'unité urbaine de Fauquembergues, une agglomération intra-départementale regroupant 4 communes[4] et 2 550 habitants en 2017, dont elle est ville-centre[5],[6].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Saint-Omer, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 79 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[7],[8].

    Occupation des sols

    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (85,4 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (85,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (53,4 %), prairies (32 %), forêts (12,2 %), zones urbanisées (2,5 %)[9].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[10].

    Toponymie

    Renty s'est appelé Rentiacum : domaine de Rentius. Son nom est donc d'origine gallo-romaine.
    Rentica (XIe siècle), Renthi (1155), Renthy (1174), Renti (1175), Rentiacum (1320).
    Renteke en flamand[11].

    Rinti en picard.

    Histoire

    On raconte que saint Omer y fonda deux églises au VIIe siècle. La présence ancienne de saint Bertulphe, administrateur du comte Wambert de Renty, devint ensuite évangélisateur local et fondateur d'une abbaye mérovingienne. Wambert avait une sœur, Angadresme, qui après être devenue sainte est devenue la sainte patronne de la ville de Beauvais -une chapelle lui est consacrée en entrant à droite dans la cathédrale de Beauvais. Bertulphe s'en va ensuite fonder l'abbaye basse de Saint-Omer autour de laquelle s'établira la ville. Plus tard, lors du haut Moyen Âge à Renty, le château fort est construit au pied de la butte, en deçà de l'endroit où se trouve l'église actuelle. À l’époque, c'est un grand quadrilatère de forme rectangulaire, en pierre granitique et mélange de briques comme beaucoup d'habitations seigneuriales de l'époque. La terre cuite sous forme de briques et de tuiles existe dans la région depuis les Romains. Néanmoins, le château de Renty a près d'une mesure et demie de superficie (soit environ 4 800 m2). Quatre-vingts mètres de long par soixante mètres de large, avec une tour à chaque angle et deux autres de moindre diamètre encadrant l'entrée principale où se trouve le pont-levis. Les murs de Renty ont d'ailleurs été élevés sur les fondations d'une ancienne villa gallo-romaine "Praedium Rentica", comme l’indiquent des relevés cadastraux sur la Morinie. Renty était alors visiblement le centre d’une implantation d’habitats dans le canton. Après sa destruction au IXe siècle par les Vikings, s’éleva une "ferté" (ou fère, comme on dit dans l’Est), avec des palissades et un donjon en bois.

    Ce n'est que vers le milieu du XIIe siècle qu'Arnoult Ier de Renty décide de tout construire en "dur", c'est-à-dire en pierre. C’est lui qui fait construire deux établissements religieux dédiés à saint Bertulphe et à saint Denis en donnant au prieuré de Renty 120 mesures (38,5 ha) de terre avec terrage et dîme. Ceci a été confirmé en 1177 par le pape Alexandre III. À Renty, son petit-fils Arnoult II termine la construction qui est améliorée ensuite de génération en génération.

    Au centre de la forteresse, la cour intérieure est pavée d'un côté avec l'encart au pied du donjon en dalles calées en opus incertum, et le reste est de la terre battue. On accède à la forteresse par un pont-levis à double chaînage donnant sur la route de Fauquembergues à Verchocq. Non loin de là, sur la gauche, coule l'Aa. Cours d'eau sans affluent, trop petit pour être titré fleuve, trop indépendant pour être qualifié de rivière. Dans la cour, des bâtiments rapidement fabriqués en planches et rondins de bois abritent les écuries, la basse-cour, et quelques grandes salles construites en torchis et pierre avec des madriers pour la structure, accessibles de la cour sous de grandes voûtes soutenues par des croisées d’ogives. L’escalier extérieur est ménagé dans l’épaisseur du mur, avec des ouvertures qui permettent de surveiller chaque salle, et au besoin, de tirer sur l’assaillant. Ces salles servent à loger les réfugiés éventuels. Sur la face est extérieure se trouve à six mètres du sol, la deuxième sortie de la forteresse. On y accède par un pont mobile. Les tours sont très saillantes. La base plus large, appelée glacis, est construite en pierres plus grosses et bien appareillées. À l’intérieur, c’est un talus plein, et les murs sont percés de meurtrières avec un angle aigu destiné à empêcher l’ennemi de s’approcher des murs. Les bases du donjon, par contre, possèdent des arcs de décharge utilisés par les Byzantins dès le VIe siècle, qui soutiennent les murs. Si l’assaillant creuse une sape, sorte de galerie sous le mur, celui-ci ne s’effondre pas. Dès le début du XIIIe siècle, c’est une nouveauté pour l’Occident, rapportée des croisades sous Philippe-Auguste. C'est dans cette vallée plate qu'est situé le village de Renty, entre deux plateaux crayeux où s'installeront et camperont nombre d'armées assiégeantes, au nord des sept vallées, traversées par sept rivières: l'Authie, la Canche, le bras de Brosne, l'Embrienne, la Ternoise, la Planquette, la Créquoise. Renty était déjà un lieu de passage obligatoire avec une voie romaine pavée encore visible non loin, au XXIe siècle, et son ancienne villa du temps où on la nommait Rentiacum. Ce qui étymologiquement signifie la demeure de Rent ou Rentius, nom d'origine saxonne, mélange de flamand et de germain, agrémenté de latin. Chacun y a trouvé une origine discutable par son appellation controversée: pour d’autres, Renty viendrait de "rent" voulant dire déchirure en saxon, parallèle de "Aa" signifiant la même chose en franc gothique. Doit-on y voir également un rapport avec les armoiries de cette famille représentées par des doloires, couteaux ou hachettes? Aa signifie aussi une source, un ru, en langue nordique.

    Renty fut le siège d'une famille qui s'y installa il y a plus de mille deux cents ans pour y demeurer sans interruption près de six siècles jusqu’en 1354 dans la forteresse et jusqu’au XVIIe siècle sur les terres proches de Waltencheux, d’Assonval et du Cauroi. D’autres Renty resteront dans les environs comme à Verchocq, Rimboval au nord-est d’Embry, Wandonne à une lieue (environ km) à l’est de Renty, Rollez à km au sud de Renty, à Fasques, à Fauquembergues (Andrieu de Renty) et à Embry (Oudart Ier de Renty, voir Embry). À partir du milieu du XIVe siècle, une famille féodale puissante et célèbre récupère en dot la baronnie. La seigneurie dépendit alors de la famille de Croÿ et des d'Egmont. Au milieu du XIVe siècle, Renty est donc passée dans les mains de Guillaume de Croÿ (prononcer Crouy, village d'où la famille est originaire) qui avait épousé en 1354 Isabeau de Renty et obtint par dot cette terre, forteresse et fiefs affiliés.

    Renty, jusque là baronnie, fut érigée par Charles Quint en marquisat en , au bénéfice de Philippe II de Croÿ, (maison de Croÿ), duc d'Aerschot, prince de Chimay, comte de Porceau et de Beaumont, baron de Renty, chevalier de la Toison d'Or, conseiller de l'empereur, premier chef des domaines et des finances, lieutenant gouverneur et capitaine général du comte de Hainaut, neveu et héritier de Guillaume de Croÿ, marquis d'Aerschot. À la baronnie de Renty, sont jointes les terres de Coupelles, Vieilles et Nouvelles, qui réunies, prendront le nom de marquisat de Renty[12].

    En 1549, Charles Quint nomme Jacques de Bryas (Jacques II de Bryas), gouverneur de Renty, après avoir fortifié la place et son château pour renforcer sa frontière et le Comté d'Artois[13].

    Henri II y battit les Espagnols de Charles Quint le . Il existe une plaque commémorative de la bataille de Renty à l'intérieur de l'église. Henri II récompensa la vaillance du maréchal de Tavannes sur le champ de bataille même, en détachant de son cou le collier de son ordre de Saint-Michel pour l'en décorer.

    Guerre de Trente ans

    Le château a été restauré en 1630 puis rasé huit ans plus tard en 1638, lors de la guerre de Trente Ans, sous Louis XIII par le maréchal de Châtillon sur l'ordre de Richelieu qui voyait d'un mauvais œil l'influence grandissante de certains hauts seigneurs et craignait le début d'une fronde. Le siège de Renty par les Français a eu lieu le entre le 1er et le . Le maréchal de Châtillon loge à Fauquembergues et le maréchal de la Force à Fasque. Une tranchée est ouverte dans la nuit du 2 au 3. La reddition a lieu le . La forteresse est détruite.

    Ce château n’était plus qu’une ruine en 1775. Il en existe encore des traces au centre du village. Des monticules recouverts de terre et de végétation, bordés de petits étangs destinés actuellement à la pèche, derrière un premier rang de bâtiments à droite de la route allant à l’Aa, témoignent encore en 2009 de la présence ancienne de ses murs. Les petits étangs (domaine privé) sont aménagés dans une partie des anciennes douves.

    Seconde Guerre mondiale

    Durant la Seconde Guerre mondiale, des habitants de Renty et en particulier Norbert Fillerin organisent le réseau Pat O’Leary. Norbert puis Marguerite Fillerin seront arrêtés, déportés et reviendront des camps nazis[14].

    Politique et administration

    Renty dans son canton et dans l'arrondissement de Saint-Omer.
    La mairie.
    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    1989 2014 Jean Vielliard    
    avril 2014[15],[16],[17] En cours
    (au 21 février 2015)
    Christophe Grare   Agriculteur

    Démographie

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[18]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[19].

    En 2018, la commune comptait 603 habitants[Note 3], en diminution de 5,04 % par rapport à 2013 (Pas-de-Calais : +0,1 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    503644682662878904891857841
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    803818802755770741728706706
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    658592535513504519519493547
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2008
    525484429448463439514525536
    2013 2018 - - - - - - -
    635603-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[20] puis Insee à partir de 2006[21].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    La population de la commune est relativement jeune. Le taux de personnes d'un âge supérieur à 60 ans (21,3 %) est en effet supérieur au taux national (21,6 %) tout en étant toutefois inférieur au taux départemental (19,8 %). À l'instar des répartitions nationale et départementale, la population féminine de la commune est supérieure à la population masculine. Le taux (51,5 %) est du même ordre de grandeur que le taux national (51,6 %).

    La répartition de la population de la commune par tranches d'âge est, en 2007, la suivante :

    • 48,5 % d’hommes (0 à 14 ans = 22,3 %, 15 à 29 ans = 16,2 %, 30 à 44 ans = 23,8 %, 45 à 59 ans = 18,8 %, plus de 60 ans = 18,9 %) ;
    • 51,5 % de femmes (0 à 14 ans = 24,3 %, 15 à 29 ans = 12,7 %, 30 à 44 ans = 22,5 %, 45 à 59 ans = 17 %, plus de 60 ans = 23,5 %).
    Pyramide des âges à Renty en 2007 en pourcentage[22]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,0 
    90 ans ou +
    1,8 
    7,7 
    75 à 89 ans
    6,5 
    11,2 
    60 à 74 ans
    15,2 
    18,8 
    45 à 59 ans
    17,0 
    23,8 
    30 à 44 ans
    22,5 
    16,2 
    15 à 29 ans
    12,7 
    22,3 
    0 à 14 ans
    24,3 
    Pyramide des âges du département du Pas-de-Calais en 2007 en pourcentage[23]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,2 
    90 ans ou +
    0,8 
    5,1 
    75 à 89 ans
    9,1 
    11,1 
    60 à 74 ans
    12,9 
    21,0 
    45 à 59 ans
    20,1 
    20,9 
    30 à 44 ans
    19,6 
    20,4 
    15 à 29 ans
    18,5 
    21,3 
    0 à 14 ans
    18,9 

    Héraldique

    Les armes de la commune se blasonnent ainsi :

    d'argent à trois doloires de gueules, deux du chef adossées et une en pointe.

    Économie

    Elle a été liée aux moulins, le moulin Cocatrice et le moulin à foulon, devenu moulin à papier, puis moulin à farine, et enfin scierie Grioche, et à la brasserie-malterie qui a fermé en 1920[24]

    Lieux et monuments

    Personnalités liées à la commune

    • Jean Ier, seigneur de Croÿ, de Seneghen (Seninghem aujourd'hui), baron d'Airaines et de Renty, mort le durant la bataille d'Azincourt. Il s'est marié en 1384 à Marie de Craon, fille de Jean Ier de Craon, seigneur de Domart-en-Ponthieu et de Marie de Châtillon-sur-Marne, vidamesse de Laonnois et Glacy.
    • Guillaume de Croÿ, seigneur de Croÿ et baron d'Airaines, décédé en 1384 au château de Renty. Père du précédent. Il fut le mari d'Isabeau de Renty et mélangea ses propres armoiries avec celles de Renty. Ce fut une condition sine qua non pour les épousailles. Une autre condition fut de rendre aux seigneurs de Renty un quint des terres et dîmes annexées.
    • Oudart 1er de Renty qui fut un grand capitaine de guerre durant la Guerre de Cent Ans, lieutenant des Armées du roi en Normandie, Ponthieu et Artois. Il fut ensuite seigneur d'Embry.
    • Saint Bertulphe de Renty (qui n'était pas de la famille de Renty mais a vécu dans le village) ou "Bertoul", fondateur de l'abbaye de Renty, mort le . Il était originaire de l'Est et du monastère de Remiremont en Belgique actuelle, d'où vinrent bon nombre de seigneurs locaux, francs et saxons avant de s'installer à la cour des rois mérovingiens et ensuite de Charlemagne.

    Pour approfondir

    Bibliographie

    - La famille de Renty (Alain Graff),

    - La vie du Bienheureux Gaston de Renty,

    - Gaston de Renty, une figure spirituelle du XVIIe siècle (Yves Chiron),

    - Contribution à l'histoire de Renty et ses hameaux (Pierre Bellenguez et Roger Santune),

    - Extraits de papiers sur la famille de Renty (Emmanuel de Blic),

    - Gaston Jean Baptiste de Renty, Correspondance (Raymond Triboulet, ministre de France)

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    2. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    3. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    4. « Unité urbaine 2020 de Fauquembergues », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    5. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    6. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
    7. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Saint-Omer », sur insee.fr (consulté le ).
    8. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    9. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    10. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    11. Centre de Recherche généalogique Flandre-Artois
    12. Amédée le Boucq de Ternas, Recueil de la noblesse des Pays-Bas, de Flandre et d'Artois, Douai, 1884, p. 152, lire en ligne
    13. P. Louis Lainé, Archives généalogiques et historiques de la Noblesse de France: ou recueil de preuves memoires et notices généalogiques, servant à contaster l'origine, la filiation, les alliances et les illustrations religieuses civiles et morales de diverses maisons et familles nobles du royaume, Volume 9, p.14, Auteur, 1844 (lire en ligne)- Consulté le .
    14. Résistants | Renty
    15. « Renty : Christophe Grare entame son premier mandat de maire : Conseiller en 1995, premier adjoint de 2001 à 2008 avant un break de 2008 à 2014, Christophe Grare, 46 ans, agriculteur, était le seul candidat au poste de maire, vendredi soir, à l’heure où l’on procédait à l’élection du premier magistrat et de ses adjoints. Christophe Grare a été élu avec neuf voix », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
    16. « Liste des communes et des maires » [xls], Préfecture du Pas-de-Calais, (consulté le ).
    17. Nicole Delvart (CLP), « La priorité du maire de Renty : réparer les dégâts des récentes inondations : Le maire, Christophe Grare, dont c’est le premier mandat, a des projets pour la commune. Mais la nature lui impose ses priorités. Il faudra commencer par refaire la chaussée touchée par les coulées d’eau et de boue », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
    18. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    19. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    20. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    21. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    22. « Évolution et structure de la population à Renty en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    23. « Résultats du recensement de la population du Pas-de-Calais en 2007 » [archive du ], sur le site de l'Insee (consulté le ).
    24. Base Mérimée
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