Régiment de Bigorre

3 drapeaux, dont un blanc Colonel et 2 d’Ordonnance, « rouges, jaunes & verts par bandes & par opposition, & croix blanches »[1].

• Drapeaux du régiment de Bigorre
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  Drapeau d'Ordonnance
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  Drapeau Colonel

Veste, collet et parements bleus, poches ordinaires ; boutons et galon d'or. Les officiers portaient le parement de velours.

• Uniformes
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  régiment de Bigorre de 1720 à 1734
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  régiment de Bigorre de 1734 à 1762

• 9 septembre 1684 : Étienne Gérard Pellot de Trévières (1661-1726), chevalier Pellot, brigadier le 3 janvier 1696, † 24 juin 1726, âgé de 65 ans[2].
• février 1702 : Pierre III de Chertemps, marquis de Seuil[3].
• 9 mars 1709 : Gabriel-Jacques de Salignac, marquis de Fénelon, né le 25 juillet 1688, brigadier le 1^er février 1719, maréchal de camp le 1^er août 1734, lieutenant général des armées du roi le 1^er mars 1738, † 11 octobre 1746[4].
• 6 mars 1719 : René Théophile I^er de Maupeou, marquis de Sablonnières, né le 9 juillet 1697, brigadier le 1^er août 1723, maréchal de camp le 1^er janvier 1740, déclaré lieutenant général des armées du roi en octobre 1745 par pouvoir du 1^er mai, † 14 mai 1746[5].
• 21 février 1740 : Louis Charles Alexandre (1716-1800), chevalier puis marquis de Maupeou, né le 9 avril 1716, brigadier le 4 août 1746, déclaré maréchal de camp en février 1749 par brevet expédié le 10 mai 1748, lieutenant général des armées du roi le 17 décembre 1759[6].
• février 1749 : René Théophile II de Maupeou (1730-1792), marquis de Sablonnières.

Le régiment de Bigorre est formé le 9 septembre 1684. Il se compose de 15 compagnies, dont 14 anciennes du régiment de Navarre et une nouvelle, la compagnie colonelle[7].

En 1739, il est composé d'un bataillon de 40 officiers et de 510 soldats, sergents et tambours[1].

• 1690 : Alpes, Cahours, Suze, Staffarde (18 août)
• 1691 : Savoie, Nice
• 1693 : La Marsaglia
• 1696 : Valenza
• 1697 : Moselle
• 1700 : Italie
• 1701 : Carpi, Chiari, garnison à Mantoue
• 1705 : Espagne. Badajoz, Gibraltar
• 1707 : Andalousie, Lérida
• 1709 : Dauphiné
• 1710 : Flandre
• 1712 : Douai, Le Quesnoy, Bouchain
• 1733 : Rhin
• 1734 : Philippsbourg, puis y reste en garnison
• 1743 : Bas-Rhin, Dettingen (27 juin)
• 1744 : Rheinweiler, Lauter, Fribourg
• 1745 : Kronembourg
• 1746 : Flandre, Raucoux
• 1747 : Provence, Nice
• 1748 : Gênes
• 1756 - 1762 : côtes de Bretagne
• 1761 : défense de Belle-Île-en-Mer

• 1739 : Tournon en Vivarais[1]
• 1740 : Citadelle de Perpignan[8]

• Chronologie historique-militaire, par M. Pinard, tomes 5 et 8, Paris 1761 et 1778
• Bulletin de la Société académique des Hautes-Pyrénées, 1941 (lire en ligne), p. 17

• Chronologie historique des corps de troupes à pied, extraite de l’Histoire de l’Infanterie Française du général Susane sur le site http://www.ancestramil.fr (voir 1109. Bigorre, p. 98)
• Planche d’infanterie française de Régiments sous Louis XV, de Lucien Mouillard, sur le site http://pfef.free.fr/P_Centrale.htm sur l’Ancien Régime (voir 78^e Bigorre)

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