La Croisette

La Croisette est une voie de Cannes, constituée du boulevard et de la promenade du même nom qui longe les plages de sable blanc face à la baie de Cannes. Bordée de nombreux hôtels, commerces de luxe et résidences de villégiature, c'est un haut lieu de l'événementiel et du tourisme sur la Côte d'Azur, dont l'histoire commence avec l'expansion de la ville au XIXe siècle.

Pour les articles homonymes, voir Croisette.

La Croisette

La Croisette et le Carlton.
Situation
Coordonnées 43° 33′ 05″ nord, 7° 01′ 03″ est
Pays France
Région Provence-Alpes-Côte d'Azur
Département Alpes-Maritimes
Ville Cannes
Quartier(s) Centre-ville - Croisette
Pointe Croisette
Début Promenade de la Pantiero
Fin Place Franklin-Roosevelt
Morphologie
Type Boulevard, promenade
Longueur 2,650 km
Histoire
Monuments Palaces et palais
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Provence-Alpes-Côte d'Azur
Géolocalisation sur la carte : Alpes-Maritimes
Géolocalisation sur la carte : Cannes

Situation et accès

La Croisette est située au sud de la commune française de Cannes dans le département des Alpes-Maritimes en région Provence-Alpes-Côte d'Azur[1].

Le boulevard

Le boulevard[2], d'une longueur de 2,650 km[3], commence dans le quartier Centre-ville - Croisette à la suite du boulevard de la Pantiero[4] et se termine Place Franklin-Roosevelt dans le quartier de la Pointe Croisette[5].

De nombreuses voies, à sens unique ou à double sens, rejoignent le boulevard :

Le début du boulevard est bordé par la place du Général-de-Gaulle[23] et le square Mérimée[24]. La suite du boulevard est bordée par des édifices remarquables chargés d'histoire et de nombreuses boutiques de luxe[1].

Sur la droite, débouche la jetée Albert-Edouard[25] qui longe le Vieux-Port dans le quartier Centre-ville - Croisette. À l'opposé, les quais du port Pierre-Canto débouchent sur le boulevard dans le quartier Pointe Croisette.

Le boulevard est bordé, côté mer, par une piste cyclable et un large trottoir qui constitue la promenade du même nom longeant la baie de Cannes.

La promenade

La promenade[26] est agrémentée, côté boulevard, de parterres de fleurs, de plantes et d'arbres ombrageant les aires de stationnement aménagées le long du boulevard et du terre-plein central, également complanté, séparant les voies de circulation automobile. Elle est équipée de kiosques, de bancs, de chaises mais aussi de quatre échiquiers[27] installés à demeure sur des tables face à la Malmaison, permettant aux amateurs de s'adonner à leur passion à l'ombre des pins parasols et des palmiers. Elle fait suite à la promenade de la jetée Albert-Edouard qui rejoint la promenade Robert-Favre Le Bret[28] à l'arrière du palais des festivals et des congrès et à l'esplanade Georges-Pompidou[29], face à l'auditorium Louis-Lumière du Palais, suivie par le square Reynaldo-Hahn[20] accueillant le jardin d'enfants et le carrousel. Elle se poursuit jusqu'à la Pointe Croisette en longeant la roseraie du square du Huit-Mai-1945[30], le port Pierre-Canto, le square de Verdun[31] et enfin le port de la Pointe Croisette.

Promenade côté mer.

Un mur de soutènement vertical sépare la promenade de la plage qui reste accessible par des escaliers ou des rampes. Un garde-fou protège la promenade, sous la forme d'un large parapet utilisé comme banquette et équipé d'un dispositif d'éclairage à LED multicolore.

Les plages

Les plages publiques s'étendent en contre-bas de la promenade tout au long de la baie, depuis celle du Palais des Festival jusqu'à Bijou-Plage et son handiplage, en passant par la plage Macé, sur laquelle sont organisées tous les soirs pendant le Festival de Cannes les séances en plein air du Cinéma de la plage ouvertes au public, et la plage en régie municipale Zamenhof. Elles alternent avec les plages privées qui occupent l'espace réservé aux grands hôtels[32]. Elles sont équipées de douches et constituées de sable blanc. Elles sont périodiquement « engraissées » par un apport de sable puisé dans des gisements au large de la baie ou par du sable de carrière et re-profilées[33]. Elles ont été récemment élargies de 20 à 40 mètres[34].

Historique

Oratoire de la Croix inauguré en 2010 sur la Pointe de la Croisette.
Plaque commémorant l'histoire de la Croisette.

Selon la tradition, le nom de la Croisette serait dû à la présence d'une petite croix placée à la pointe du cap, que les Cannois vénéraient et auprès de laquelle les confréries de pénitents se rendaient en procession[35].

Au Moyen Âge, une tour circulaire y a été construite permettant de surveiller l'approche de navires suspects et de donner l'alerte.

En 1635, la France de Louis XIII déclara la guerre à l'empereur Ferdinand II et à son allié le roi d'Espagne Philippe IV. Un fort fut construit, le fort Croisette ou fort de la Croix. Le , une flotte espagnole de vingt-deux galères et cinq vaisseaux se présenta en rade de Cannes. Elle attaqua le fort royal de l'île Sainte-Marguerite qui, faiblement défendu, dut capituler. Le lendemain, elle attaqua le fort Croisette qui résista. La reprise du fort Sainte-Marguerite par les troupes françaises ne commença que lorsqu'une flotte française commandée par le comte d'Harcourt se présenta devant le fort le . La prise des deux îles de Lérins fut effective le [36]. De cette époque datait un chemin reliant Cannes, à partir de la rue Grande, au cap Croisette. Au début du XIXe siècle il n'en restait plus trace. Des dunes de sable l'avaient recouvert[37].

En 1853, Marius Barbe, maire de Cannes, demande à l'État la concession de la bande littorale pour y aménager une promenade. En 1856, les 26 propriétaires riverains, jusqu'alors opposés au projet, décident de construire un chemin de 5 m de largeur, du ruisseau de la Foux à la pointe Croisette, en prenant à leur charge les 5/6 des frais. Un arrêté préfectoral autorise les travaux le . Le conseil municipal vote le projet le . Le chemin est classé chemin vicinal en 1860. La voie carrossable est livrée le . Ces aménagements permettent la construction en 1864 de l'Hôtel Gonnet, du Grand Hôtel, du Cercle nautique et d'une quinzaine de villas.

Par délibération municipale du , la Croisette prend le nom de boulevard de l'Impératrice. Après la Seconde Guerre mondiale, la plupart des grands établissements sont reconstruits. Le Cercle nautique est remplacé par le Palais Croisette, palais des Festivals de 1949 à 1982.

Entre 1960 et 1963, le maire de Cannes, Bernard Cornut-Gentille, réalise de grands travaux d'élargissement du boulevard avec des encorbellements au-dessus de la plage pour protéger la chaussée, puis l'engraissement en sable de la plage qui ont donné l'aspect de la promenade telle qu'on la connaît jusqu'en 2018[38],[39].

Aménagements

Les chaises bleues de la Croisette

Aménagée sur l'ancien chemin littoral appelé « chemin de la petite croix », elle est connue dans le monde entier grâce au Festival international du Film et au Palais des festivals et des congrès dont les célèbres marches, couvertes d'un tapis rouge[40], descendent jusqu'au départ de la promenade. La plupart des grands hôtels sont situés sur le boulevard de la Croisette, ainsi que les agences immobilières et les boutiques de grandes marques (joaillerie, mode, etc) au pied de luxueux ensembles résidentiels[41],[42],[43].

Entrée du Grand auditorium Louis Lumière et son célèbre tapis rouge

Dans le cadre du projet « La Croisette réinvente sa légende »[44], de grands travaux d'agrandissement des plages ont été entrepris en 2018 afin de gagner une bande de 40 mètres de large sur la mer sans impact négatif sur le littoral. La superficie totale de la plage est ainsi passée de 6000 à 12 000 m2[45]. Par ailleurs, des travaux de mise en valeur du boulevard de la Croisette, en plusieurs phases, ont été entrepris entre le Palais des Festivals et l'hôtel Martinez : renouveau des établissements privés, harmonisation de la physionomie de la plage, rénovation des trottoirs, création d'une piste cyclable[46], notamment. Ces travaux devraient s'achever en 2024[47].

Bâtiments remarquables et lieux de mémoire

Le front de mer dit boulevard de la Croisette est inscrit à l'inventaire général du patrimoine culturel au titre du recensement du patrimoine balnéaire de Cannes[48]. La même étude recense les lieux et édifices qui ont fait l'histoire de la Croisette[49] :

Espaces verts

  • Jardin d'agrément de la villa la Corne d'or (disparu), 100 boulevard de la Croisette [50]
  • Jardin des Hespérides (disparu), 104 boulevard de la Croisette[51]

Monuments

  • Monument au Général de Gaulle, square du Huit-Mai-1945[52]
  • Monument à Albert 1er roi des Belges, square du Huit-Mai-1945[53]

Édifices publics

La Malmaison, 47 boulevard de la Croisette.

Résidences

Résidence Miramar, 65 boulevard de la Croisette.
Résidence Croisette, 81 boulevard de la Croisette.
Immeuble, 2 boulevard de la Croisette.
  • Villa Bagatelle (restaurée), 25 boulevard de la Croisette[59]
  • Villa des Fleurs (restauré), 31 boulevard de la Croisette[60]
  • Villa Bernard (restaurée), 35 boulevard de la Croisette[61]
  • Villa Royale (restaurée), 40 boulevard de la Croisette[62]
  • Villa Saint-Michel (détruite), 55 boulevard de la Croisette[63]
  • Villa Rose-Marie (détruite), 56 boulevard de la Croisette[64]
  • Résidence Le Drap d'Or (restaurée), 61 boulevard de la Croisette[65]
  • Villas Félicia et Lérina (détruites), 62-63 boulevard de la Croisette[66]
  • Villa des Bambous (détruit), 65 boulevard de la Croisette[67]
  • Résidence Miramar (restaurée), 65 boulevard de la Croisette[68]
  • Résidence Henri IV (restaurée), 74 boulevard de la Croisette[69]
  • Villa Eldé (détruite), 75 boulevard de la Croisette[70]
  • Le Régent, 80 boulevard de la Croisette[71]
  • Résidence Croisette, 81 boulevard de la Croisette[72]
  • Villa Trianette (restauré), 88 boulevard de la Croisette[73]
  • Villa des Dunes (détruite), 90-92 boulevard de la Croisette[74]
  • Palais des Dunes, 90-92 boulevard de la Croisette[75]
  • Palais Faustina, 95 boulevard de la Croisette[76]
  • L'Age d'Or, 96 boulevard de la Croisette[77]
  • Le Beach, 118, 119 boulevard de la Croisette et 76, 78 avenue de Lérins[78]
  • La Corne d'Or (restauré), 100 boulevard de la Croisette[79]
  • Le Marly, 104 boulevard de la Croisette[80]
  • Résidence Le Romance, 122 à 124 boulevard de la Croisette[81]
  • La Médicis (détruite), 127, 128 boulevard de la Croisette[82]

Hôtels et commerces

  • Agence Paris-Lyon-Méditerranée et Wagons-Lits Cook, 2 boulevard de la Croisette[83]
  • Café de Paris, 7 boulevard de la Croisette et 18, 20 rue des Belges[84]
  • Hôtel Beau Rivage (détruit), 10 boulevard de la Croisette[85]
  • Hôtel Majestic (restauré), 10 boulevard de la Croisette[86]
  • Galeries Fleuries (détruites), 12 boulevard de la Croisette[87]
  • Hôtel Gray d'Albion, 12-18 boulevard de la Croisette, 62 rue d'Antibes[88]
  • Les Arcades de la Croisette, 37, 38 boulevard de la Croisette, 32 rue du Commandant-André[89]
  • Hôtel Gonnet et de la Reine (détruit), 42 boulevard de la Croisette[90]
  • Le Grand Hôtel (détruit, restauré), 45, 47 boulevard de la Croisette[91]
  • Établissement de bains du Grand Hôtel (détruit), face au 45, 47 boulevard de la Croisette[92]
  • Boutiques Mary et Suzanne (détruit), 52 boulevard de la Croisette[93]
  • Hôtel de la Plage (détruit), 58 boulevard de la Croisette[94]
  • Hôtel Carlton  Inscrit MH (1984, 1989, partiellement), 58 boulevard de la Croisette[95],[96]
  • Hôtel Bleu Rivage, 59, 60 boulevard de la Croisette[97]
  • Hôtel Martinez, 73 boulevard de la Croisette[98]
  • Magasin de commerce et d'exposition des automobiles Citroën (détruit) 82 boulevard de la Croisette[99]

Notes et références

  1. Pierre Ipert, 2002, p. 116-127.
  2. « Boulevard de la Croisette », sur archives.cannes.com
  3. Pierre Ipert, 2002, p. 117.
  4. Pierre Ipert, 2002, p. 136.
  5. Pierre Ipert, 2002, p. 97.
  6. Pierre Ipert, 2002, p. 78.
  7. Pierre Ipert, 2002, p. 58.
  8. Pierre Ipert, 2002, p. 56.
  9. Pierre Ipert, 2002, p. 79.
  10. Pierre Ipert, 2002, p. 62.
  11. Pierre Ipert, 2002, p. 75.
  12. Pierre Ipert, 2002, p. 54.
  13. Pierre Ipert, 2002, p. 53.
  14. « Rue François Einesy », sur archives.cannes.com
  15. Pierre Ipert, 2002, p. 208.
  16. Pierre Ipert, 2002, p. 200.
  17. Pierre Ipert, 2002, p. 223.
  18. Pierre Ipert, 2002, p. 107.
  19. « Avenue Tristan-Bernard », sur archives.cannes.com
  20. Pierre Ipert, 2002, p. 176.
  21. « Allée des Palmiers », sur archives.cannes.com
  22. « Avenue de la Reine-Astrid », sur archives.cannes.com
  23. Pierre Ipert, 2002, p. 70.
  24. « Square Mérimée », sur archives.cannes.com
  25. Pierre Ipert, 2002, p. 50.
  26. « Promenade de la Croisette », sur archives.cannes.com
  27. « Cannes : quatre échiquiers sont désormais installés sur la Croisette », Nice-Matin, (lire en ligne)
  28. Pierre Ipert, 2002, p. 63.
  29. Pierre Ipert, 2002, p. 77.
  30. Pierre Ipert, 2002, p. 177.
  31. Pierre Ipert, 2002, p. 221.
  32. « Les plages à Cannes », sur cannes-destination.fr
  33. « Du sable en plus pour toutes les plages cannoises », sur cannes.maville.com,
  34. « Cannes, Antibes, Vallauris... Les chères plages de la Côte d'Azur peuvent-elle résister à l'érosion ? », sur france3-regions.francetvinfo.fr,
  35. Jean-Paul Labourdette, Dominique Auzias, Cannes 2012, Petit Futé, , 7– p. (ISBN 978-2-7469-5512-7, lire en ligne)
  36. Abbé Alliez, Les Iles de Lérins, Cannes, et les rivages environnants, Veritas p. 150, Paris, 1860
  37. Pierre Ipert, Cannes et ses rues, p.  117, Éditions Giletta, Nice, 2006 (ISBN 2-903574-75-8)
  38. « Cannes 2018 : connaissez-vous l'histoire de la Croisette », sur www.lefigaro.fr,
  39. Patricia Namvrine, La naissance du boulevard de la Croisette, p. Mémoire
  40. « Ces icônes qui ont foulé le tapis rouge du Festival de Cannes », sur ww .marieclaire.fr,
  41. « La Croisette », sur www.cannes-destination.fr,
  42. « Cannes : la Croisette s'offre un grand lifting », sur www.lesechos.fr,
  43. « Événements Cannes », sur www.cannes-destination.fr (consulté le )
  44. « Cannes va transformer la Croisette dès la semaine prochaine », sur www.nicematin.com,
  45. « David Lisnard : Nous avons doublé la superficie de la plage de la Croisette », sur www.lefigaro.fr,
  46. « A Cannes, la Croisette est en plein travaux », sur www.france3-regions.francetvinfo.fr,
  47. « Du trottoir jusqu'aux pieds des palaces...à Cannes, la Croisette va connaître une métamorphose d'ici à 2024 », sur www.nicematin.com,
  48. « Front de mer dit boulevard de la Croisette », notice no IA06000593, base Mérimée, ministère français de la Culture
  49. « Recensement du patrimoine balnéaire sur la Croisette à Cannes », sur pop.culture.gouv.fr
  50. « Jardin d'agrément de la villa Marina, puis de la villa la Corne d'or », notice no IA06000730, base Mérimée, ministère français de la Culture
  51. « Verger, jardin d'agrément des Hespérides », notice no IA06000175, base Mérimée, ministère français de la Culture
  52. « Monument au Général de Gaulle », notice no IA06000088, base Mérimée, ministère français de la Culture
  53. « Monument à Albert 1er roi des Belges », notice no IA06001098, base Mérimée, ministère français de la Culture
  54. « Casino municipal, palais des congrès dit Palais des Festivals », notice no IA06000111, base Mérimée, ministère français de la Culture
  55. « Maison dite villa du Grand Hôtel, actuellement La Malmaison », notice no IA06000671, base Mérimée, ministère français de la Culture
  56. « Cercle Nautique », notice no IA06000112, base Mérimée, ministère français de la Culture
  57. « Cinéma dit Palais des Festivals, puis Palais Croisette », notice no IA06000725, base Mérimée, ministère français de la Culture
  58. « Établissement de bains dit Bains Botin, puis Bains de la Croisette », notice no IA06000586, base Mérimée, ministère français de la Culture
  59. « Maison dite Villa Bagatelle ; immeuble », notice no IA06000166, base Mérimée, ministère français de la Culture
  60. « Maison dite villa Saint-Dominique, puis villa des Fleurs, immeuble », notice no IA06000718, base Mérimée, ministère français de la Culture
  61. « Maison dite Villa Bernard ; immeuble », notice no IA06000167, base Mérimée, ministère français de la Culture
  62. « Maison dite villa des Quatre Saisons, puis Hôtel New Royal ou Royal Hotel, puis immeuble dit Résidence Villa Royale », notice no IA06000702, base Mérimée, ministère français de la Culture
  63. « Maison dite villa Lehoult, puis Saint-Michel », notice no IA06000653, base Mérimée, ministère français de la Culture
  64. « Maison dite villa Rose-Marie », notice no IA06000762, base Mérimée, ministère français de la Culture
  65. « Maison dite Villa Saint-Hubert, puis Résidence Le Drap d'Or », notice no IA06000168, base Mérimée, ministère français de la Culture
  66. « Maison dite villas Félicia et Lérina », notice no IA06000169, base Mérimée, ministère français de la Culture
  67. « Maison dite Villa des Bambous », notice no IA06000170, base Mérimée, ministère français de la Culture
  68. « Hôtel de voyageurs dit Hôtel Miramar, actuellement Résidence Miramar », notice no IA06000726, base Mérimée, ministère français de la Culture
  69. « Maison dite villa Bellombre, puis Henri IV, actuellement immeuble dit Résidence Henri IV », notice no IA06000395, base Mérimée, ministère français de la Culture
  70. « Maison dite Villa Henri, puis Campbell, puis Eldé », notice no IA06000171, base Mérimée, ministère français de la Culture
  71. « Maison dite villa du Repos, puis villa Sainte-Geneviève, puis villa Samothrace ; immeuble dit Le Régent », notice no IA06000396, base Mérimée, ministère français de la Culture
  72. « Hôtel de voyageurs dit Palais Samothrace, actuellement immeuble dit Résidence Croisette », notice no IA06000397, base Mérimée, ministère français de la Culture
  73. « Maison dite Villa Trianette », notice no IA06000172, base Mérimée, ministère français de la Culture
  74. « Maison dite Villa des Dunes et chalet des Dunes ou chalet Suzie », notice no IA06000173, base Mérimée, ministère français de la Culture
  75. « Immeuble dit Palais des Dunes », notice no IA06000727, base Mérimée, ministère français de la Culture
  76. « Maison dite villa Faustina, puis Phébé, actuellement immeuble dit Palais Faustina », notice no IA06000644, base Mérimée, ministère français de la Culture
  77. « Immeuble dit L'Age d'Or », notice no IA06000398, base Mérimée, ministère français de la Culture
  78. « Immeuble dit Le Beach », notice no IA06000400, base Mérimée, ministère français de la Culture
  79. « Maison dite Villa Marina, puis la Corne d'or ; immeuble la Corne d'Or », notice no IA06000174, base Mérimée, ministère français de la Culture
  80. « Immeuble dit Le Marly », notice no IA06000399, base Mérimée, ministère français de la Culture
  81. « Immeuble dit Résidence Le Romance », notice no IA06000401, base Mérimée, ministère français de la Culture
  82. « Maison dite La Médicis », notice no IA06000624, base Mérimée, ministère français de la Culture
  83. « Immeuble dit Agence Paris-Lyon-Méditerranée et Wagons-Lits Cook », notice no IA06000550, base Mérimée, ministère français de la Culture
  84. « Hôtel de voyageurs dit Hôtel Edouard VII et Brasserie de Genève, puis restaurant du Café de Paris », notice no IA06000614, base Mérimée, ministère français de la Culture
  85. « Hôtel de voyageurs dit Hôtel Beau Rivage », notice no IA06000480, base Mérimée, ministère français de la Culture
  86. « Hôtel de voyageurs dit Hôtel Majestic », notice no IA06000712, base Mérimée, ministère français de la Culture
  87. « Galerie marchande dite Galeries Fleuries », notice no IA06000704, base Mérimée, ministère français de la Culture
  88. « Hôtel de voyageurs dit Hôtel Gray et d'Albion, actuellement immeuble Le Gray d'Albion », notice no IA06000474, base Mérimée, ministère français de la Culture
  89. « Immeuble et galerie marchande dite Les Arcades de la Croisette », notice no IA06000551, base Mérimée, ministère français de la Culture
  90. « Hôtel de voyageurs dit Hôtel Gonnet et de la Reine », notice no IA06000481, base Mérimée, ministère français de la Culture
  91. « Hôtel de voyageurs dit Le Grand Hôtel », notice no IA06000482, base Mérimée, ministère français de la Culture
  92. « Établissement de bains du Grand Hôtel », notice no IA06000672, base Mérimée, ministère français de la Culture
  93. « Salon de thé dit Confiserie Schulze-Rumpelmayer, puis édifice commercial abritant les boutiques Mary et Suzanne », notice no IA06000616, base Mérimée, ministère français de la Culture
  94. « Hôtel de voyageurs dit Hôtel de la Plage », notice no IA06000483, base Mérimée, ministère français de la Culture
  95. « Hôtel de voyageurs dit Carlton Hotel », notice no IA06000713, base Mérimée, ministère français de la Culture
  96. « Hôtel Carlton », notice no PA00080929, base Mérimée, ministère français de la Culture
  97. « Maison dite villa Husson, puis Saint-Georges, actuellement Hôtel Bleu Rivage », notice no IA06000578, base Mérimée, ministère français de la Culture
  98. « Hôtel de voyageurs dit Hôtel Martinez », notice no IA06000484, base Mérimée, ministère français de la Culture
  99. « Maison dite villa Clémence, puis Venezia, puis magasin de commerce et d'exposition des automobiles Citroën », notice no IA06000549, base Mérimée, ministère français de la Culture

    Voir aussi

    Bibliographie

    Articles connexes

    Liens externes

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