Ploumagoar
Ploumagoar (/plu.ma.gwaʁ/[Note 1]) est une commune française du département des Côtes-d'Armor, en région Bretagne.
Ploumagoar | |||||
La mairie. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Bretagne | ||||
Département | Côtes-d'Armor | ||||
Arrondissement | Guingamp | ||||
Intercommunalité | Guingamp-Paimpol Agglomération | ||||
Maire Mandat |
Yannick Echevest (DVG) 2020-2026 |
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Code postal | 22970 | ||||
Code commune | 22225 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Ploumagoarien, Ploumagoarienne | ||||
Population municipale |
5 397 hab. (2018 ) | ||||
Densité | 168 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 48° 32′ 45″ nord, 3° 07′ 53″ ouest | ||||
Altitude | Min. 67 m Max. 202 m |
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Superficie | 32,07 km2 | ||||
Unité urbaine | Guingamp (ville-centre) |
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Aire d'attraction | Guingamp (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Guingamp | ||||
Législatives | Quatrième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : Bretagne
Géolocalisation sur la carte : Côtes-d'Armor
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
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Liens | |||||
Site web | Site de la commune de Ploumagoar | ||||
Géographie
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[2].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Plouisy », sur la commune de Plouisy, mise en service en 1971[7] et qui se trouve à 5 km à vol d'oiseau[8],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 11 °C et la hauteur de précipitations de 950,2 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Saint-Brieuc », sur la commune de Trémuson, mise en service en 1985 et à 21 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 11 °C pour la période 1971-2000[11] à 11,2 °C pour 1981-2010[12], puis à 11,4 °C pour 1991-2020[13].
Urbanisme
Typologie
Ploumagoar est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[14],[15],[16]. Elle appartient à l'unité urbaine de Guingamp, une agglomération intra-départementale regroupant 6 communes[17] et 21 870 habitants en 2017, dont elle est ville-centre[18],[19].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Guingamp, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 15 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[20],[21].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (69 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (73,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (36,6 %), terres arables (31,6 %), forêts (17,1 %), zones urbanisées (12 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (1,9 %), prairies (0,8 %)[22].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[23].
Toponymie
Le nom de la localité est attesté sous les formes ecclesia de Plomagor en 1158 et en 1185, parochia Plomagor en 1190, Ploemagoer en 1358, 1368 et en 1380, Ploemauguer à la fin du XIVe siècle, Ploemagoer en 1417, Ploemoguer en 1461, Ploumagoar en 1555[24].
De Plou (paroisse) et magoar (murailles, ruines datant de l'époque romaine)[25], « paroisse aux murs [en ruines] »[26].
Selon une autre hypothèse, le nom proviendrait de "Magoer", nom en breton de saint Magloire. Ces hypothèses sur l'origine du nom sont identiques à celles de Ploumoguer (Finistère) et de Magoar (Côtes-d'Armor).
Le nom breton de Ploumagoar est Plouvagor[27].
Histoire
Origines gallo-romaines puis bretonnes
La voie romaine allant jusqu'à Vorguim, passe sur une partie de la commune de Ploumagoar.
À la chute de l'Empire romain, les Brittons commencent leurs mouvements de migration. Fuyant les Pictes et les Saxons, ils traversent la Manche et viennent s'installer en Armorique.
Le commerce, favorisé par l'emploi d'une langue similaire des deux côtés de la Manche, y était florissant. Les Bretons arrivent donc sur les terres de Ploumagoar en remontant très certainement le Trieux, et en cherchant un endroit élevé pour pouvoir se défendre, ils découvrent les vestiges d'une citadelle romaine et un habitat dispersé toujours occupé, les populations indigène armoricaines se mélangèrent alors, petit à petit, avec les brittons d'origine. C'est à ce moment que Plouvagor renaît pour la seconde fois et devient le bourg que l'on connaît aujourd'hui.
Des paroisses commençant par Plou avec des variantes Plu et Ploé, il en existe 169 en Bretagne dont 73 dans les Côtes-d'Armor. Elles sont nées entre 450 et 600. Magoar n'est pas un quelconque saint, venu avec les envahisseurs, mais signifie mur ou ruines, mot attesté en breton avec Moger, ainsi qu'en gallois avec Magwyr. La même racine Magor se retrouve dans les noms Magoarou et Magoariec et signifie maçon. Magoar serait un synonyme indo-européen de l'allemand Maurer et de l'italien Muratore.
Ploumagoar est donc une paroisse bâtie sur des ruines ou vestiges considérés comme anciens (gallo-romains) et tire son nom de cette origine. Cette paroisse va s'étendre sur des surfaces considérables et englobe toute la rive droite du Trieux. Elle correspond à l'ensemble de l'étendue de Ploumagoar, Pabu et Saint-Agathon aujourd'hui. La paroisse primitive de Ploumagoar était divisée en dîmeries dont celles de Tréméac, de Goazanlès et de Trivis. Ces sous-divisions donneront les trèves de Pabu et de Saint-Agathon qui feront partie intégrante de la paroisse-mère, pendant longtemps encore.
Ploumagoar est attaché au Pagus Tréher dont le siège épiscopal se trouve à Tréguier depuis le VIe siècle.
Les guerres du XXe siècle
Le monument aux Morts porte les noms de 147 soldats morts pour la Patrie[28] :
- 123 sont morts durant la Première Guerre mondiale.
- 19 sont morts durant la Seconde Guerre mondiale.
- 2 sont morts durant la Guerre d'Algérie.
- 3 sont morts durant la Guerre d'Indochine.
La Seconde Guerre mondiale
Un groupe de 18 résistants, lesquels tenaient une réunion dans la sacristie de l'église de Guingamp, fut arrêté par les Allemands, emprisonnés à Saint-Brieuc et, après avoir été torturés, 17 d'entre eux furent tués et leurs corps jetés pêle-mêle dans une fosse commune dans le bois de Malaunay en Ploumagoar le [29] ; le 18e, Eugène Moulin, a été exécuté d'une balle dans la tête à Plélo la veille[30].
Les 17 résistants massacrés dans le bois de Malaunay sont : Eugène Floury (de Plumaugat, vicaire de la paroisse Saint-Michel à Saint-Brieuc ; Jean Métairie (père) et Jean Métairie (fils), de Saint-Brieuc ; Jean-Baptiste Caro, de Landéhen ; Yves Charpentier, de Lamballe ; Yves Derriennic, de Loc-Envel ; Robert Hamel, de Créhen ; Francis Hamon, de Saint-Cast ; Marcel Languillec, du Guildo ; Yves Le Berre, de Lannion ;Joseph Le Du, de Plerneuf ; Émile Le Guennec, de Plémet ;Jean-Baptiste Le Du, Louis Le Maître, Jean Le Quéré et Armand Olivier, tous les quatre de Plounévez-Moëdec ; Marcel Le Roux, de Plouaret. Le nom d'Eugène Moulin, de Saint-Vran, a été rajouté bien qu'il n'ait pas été tué à cet endroit[31].
Politique et administration
Liste des maires
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[38]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[39].
En 2018, la commune comptait 5 397 habitants[Note 8], en augmentation de 1,95 % par rapport à 2013 (Côtes-d'Armor : +0,42 %, France hors Mayotte : +1,78 %).
Langue bretonne
L’adhésion à la charte Ya d’ar brezhoneg a été votée par le Conseil municipal le .
Une classe bilingue a été ouverte à l’école publique à la rentrée 2016. 44 enfants y sont scolarisés (soit 9,5 % des enfants de la commune inscrits dans le primaire)[42].
Lieux et monuments
- Le Monastère Notre Dame de Providence, initialement fondé à Guingamp en 1676, est un monastère de sœurs hospitalères Augustines. Il sera transféré à Pabu en 1915 puis à Kerprat en Ploumagoar en 1983. Le monastère appartient à la Congrégation des Augustines de la Miséricorde de Jésus.
- Le Manoir de Locmaria, du XVIIIe siècle, inscrit au titre des Monuments historiques par arrêté du , pour ses façades et toitures (hors tour d'angle), sa chapelle, son escalier et sa salle à manger[43].http://fr.topic-topos.com/chateau-de-locmaria-ploumagoar
- L'église Saint-Pierre.
Notes et références
Notes
- Prononciation en français de France retranscrite selon la norme API.
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
Références
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Bretagne », sur www.chambres-agriculture-bretagne.fr, (consulté le )
- « Station Météo-France Plouisy - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Ploumagoar et Plouisy », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Plouisy - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Ploumagoar et Trémuson », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Saint-Brieuc - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Saint-Brieuc - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
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- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Guingamp », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
- « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
- Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- infobretagne.com, « Étymologie et Histoire de Ploumagoar ».
- « Villes bretonnes, nom breton », Geobreizh.
- Hervé Abalain, « Noms de lieux bretons - Page 96, Editions Jean-paul Gisserot, ISBN 2877474828 ».
- « Villes bretonnes, nom breton », Geobreizh (consulté le ).
- « MémorialGenWeb Relevé », sur www.memorialgenweb.org (consulté le ).
- Éric Rondel, "Crimes nazis en Bretagne (septembre 1941-août 1944)", éditions Astoure, 2012, (ISBN 978-2-36428-032-8).
- http://www.memorialgenweb.org/memorial3/html/fr/complementter.php?id=3408561
- Éric Rondel, "Crimes nazis en Bretagne (septembre 1941-août 1944)", éditions Astoure, 2012, (ISBN 978-2-36428-032-8) et http://www.memoiresdeguerre.com/2014/07/guerre-39-45-dix-huit-resistants-tues-dans-le-bois-de-malaunay.html
- Notice GUILLOU Jean, François par François Prigent, version mise en ligne le 11 mars 2010, dernière modification le 1er juillet 2010
- Notice KÉROMEST Louis, Jean par François Prigent, version mise en ligne le 24 mai 2011, dernière modification le 7 septembre 2013
- Notice LE VERGE Christian par Alain Prigent, François Prigent, version mise en ligne le 23 décembre 2012, dernière modification le 23 décembre 2012
- « Décès de C. Le Verge : « Un homme d'idées et de dossiers » », Le Télégramme, (lire en ligne).
- « Maire. Yves Lolliéric a démissionné », Le Télégramme, (lire en ligne).
- « Municipales à Ploumagoar. Yannick Echevest entame son premier mandat de maire », Ouest-France, (lire en ligne).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
- http://www.opab-oplb.org/98-kelenn.htm
- Notice no PA00089495, base Mérimée, ministère français de la Culture.
Voir aussi
Article connexe
Liens externes
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