Pio Ferraris
Pio Ferraris (né le à Turin dans le Piémont et mort le dans la même ville) était un footballeur international italien, qui jouait au poste d'attaquant.
Pio Ferraris | ||
Biographie | ||
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Nationalité | Italien | |
Naissance | Turin (Italie) |
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Décès | Turin (Italie) |
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Période pro. | 1919 – 1929 | |
Poste | Attaquant | |
Parcours professionnel1 | ||
Années | Club | M. (B.) |
1919-1923 | Juventus | 66 (40) |
1923-1924 | Casale | ?? | (?)
1926-1927 | Juventus | 1 (0) |
1927-1929 | Savone | 6 (?) |
Sélections en équipe nationale2 | ||
Années | Équipe | M. (B.) |
1920-1921 | Italie | 4 (1) |
1 Compétitions officielles nationales et internationales. 2 Matchs officiels (amicaux validés par la FIFA compris). |
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Biographie
Club
Ferraris a en tout disputé 66 parties officielles avec la Juventus Football Club, inscrivant en tout 40 buts. Il était déjà dans l'équipe dès 1916[1], ne jouant avec la Juventus que des matchs non officiels à cause de la Première Guerre mondiale (pour cause de championnat suspendu).
Il fait ses grands débuts en championnat avec les Turinois le , lors d'un match contre l'US Pro Vercelli, qui se conclut par un match nul 0-0. Il dispute ensuite quatre saisons en bianconero jusqu'à la saison 1922-23, avant d'être transféré à l'AS Casale Calcio.
Il retourne ensuite à la Juve lors de la saison 1926-27, durant laquelle il dispute son seul match, le (Juventus-Casale 4-0)[2].
Entre sa première période en bianconero et la saison 1926-1927, nous savons peu de choses pendant ces trois années sur sa carrière[3], sauf peut-être qu'il évolua en 1923-1924 à Casale[2],[4] tandis que certains parlent de l'Hellas Vérone.
Sélection
Avec l'équipe nationale italienne, il prend tout d'abord part aux jeux olympiques d'été 1920 à Anvers, et fait ses grands débuts en sélection lors d'un match contre la France le (devenant par la même occasion le troisième joueur de l'histoire de la Juventus FC à devenir international, derrière Giovanni Giacone et Antonio Bruna[5]). Avec la Nazionale, il dispute en plus deux matchs amicaux en 1921, signant un but contre la Belgique le à Anvers.
Vie privée
Après avoir mis fin à sa carrière de joueur, le comptable de formation[6] Pio Ferraris se consacre finalement à l'activité de banquier, tenant une banque avec son frère Alfredo. Les deux appartenaient déjà à une famille de banquiers[7].
Son frère aîné, Alfredo Ferraris, était également footballeur.
Pio Ferraris meurt à 57 ans à la suite d'un malaise cardiaque[7].
Annexes
Liens externes
- Ressources relatives au sport :
- FootballDatabase
- (en) Eu-football (joueurs)
- (en) National Football Teams
- (en) Olympedia
- (en) Profil sur Playerhistory.com
- (it) Profil sur Myjuve.it
Notes et références
- (it) « Juventus batte A.C. Novarese (3-1) », La Stampa, (consulté le ), p. 3
- Tavella Renato, Dizionario della Grande Juventus, Newton & Compton, (ISBN 88-8289-639-0), p. 73
- AA.VV., Dizionario del Calcio, Rizzoli, 1990, p. 69, (ISBN 88-17-14521-1)
- (it) « Breve profilo di Pio Ferraris », 11leoni.com (consulté le )
- (en) « Italy – International Matches 1920-1929 », The Record Sport Soccer Statistics Foundation (consulté le )
- (it) « Ferraris 1921 », La Stampa, (consulté le ), p. 4
- (it) « È morto Pio Ferraris, ex azzurro di calcio », La Stampa, (consulté le ), p. 6
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