Organisation internationale de normalisation
L'Organisation internationale de normalisation (en anglais : International Organization for Standardization ; en russe : Международная организация по стандартизации), généralement désigné sous le sigle ISO, choisi pour être le sigle identique dans toutes les langues (ce choix est un exemple de normalisation), est un organisme de normalisation international composé de représentants d'organisations nationales de normalisation de 164 pays[1], selon le principe d’un membre par pays. L'ISO est le plus grand organisme de normalisation au monde et demeure une organisation non gouvernementale.
« ISO » redirige ici. Pour les autres significations, voir Iso.
Cette organisation créée en 1947 a pour but de produire des normes internationales dans les domaines industriels et commerciaux appelées normes ISO. Elles sont utiles aux organisations industrielles et économiques de tout type, aux gouvernements, aux instances de réglementation, aux professionnels de l’évaluation de la conformité, aux fournisseurs et acheteurs de produits et de services, dans les secteurs tant public que privé. D'une manière globale, ces normes servent les intérêts du public en général lorsque celui-ci agit en qualité de consommateur et utilisateur.
Le secrétariat central de l'ISO est situé à Vernier dans le canton de Genève, en Suisse. Il assure aux membres de l'ISO le soutien administratif et technique, coordonne le programme décentralisé d'élaboration des normes et procède à leur publication.
Histoire
En 1912, afin d'établir une organisation nationale apte à définir des standards industriels communs, l’American Institute of Electrical Engineers (AIEE), aujourd'hui l'Institute of Electrical and Electronics Engineers (IEEE), invite à se réunir les autres instituts professionnels :
- American Society of Mechanical Engineers (ASME) ;
- American Society of Civil Engineers (ASCE) ;
- American Institute of Mining and Metallurgical Engineers (AIMME) ;
- American Institute of Mining, Metallurgical and Petroleum Engineers (en) (AIME) ;
- American Society for Testing and Materials (ASTM), etc.
Le , l’American Engineering Standards Committee (AESC) est créée en tant que coordinateur national américain du processus de standardisation. Son rôle est alors de lutter de manière impartiale contre les imprécisions en matière de conception et de niveau d'acceptabilité des produits et matériels. Les départements américains de la Guerre, de la Marine et du Commerce se joignent cette année-là aux cinq organismes fondateurs.
En 1921, la première norme américaine en matière de sécurité (American Standard Safety Code), visant la protection des yeux et têtes des travailleurs industriels, est approuvée.
En 1926, l'AESC est animatrice du mouvement orchestré par l'Anglais Charles Le Maistre (secrétaire général de la CEI) qui conduit à la création de l’International Standards Association (ISA) ; c'est une fédération qui rassemble les instituts de normalisation non gouvernementaux d'une quinzaine de pays, pour l'essentiel européens, avec la participation de l'AESC pour les États-Unis et celle du Japon.
L'Association française de normalisation (AFNOR), créée en 1926, y joue un rôle très actif. L'ISA adopte ainsi, sur proposition française, la première norme internationale sur les nombres normaux[Information douteuse].
L'ISA, très active dans les années 1930, doit cesser son activité au début de la Seconde Guerre mondiale.
En 1928, l'AESC prend le nom d'American Standards Association (ASA). Dès le début de la Seconde Guerre mondiale, l'ASA développe les standards militaires (War Standard Procedure) pour encadrer la production américaine dans le cadre de l'effort de guerre (on parlait alors de « military standards »).
En 1946, juste après la fin de la Seconde Guerre mondiale, l'ASA, l'AFNOR et la British Standards Institution (BSI) participent à Londres avec les instituts de normalisation de 22 autres pays à la création de l'Organisation internationale de normalisation (ISO). Elle est officiellement créée le .
L'ISO succède ainsi à l'ISA et à l'UNSCC, organisation mise en place par les Alliés pendant la Seconde Guerre mondiale. La dénomination « ISO » a été retenue en 1946. Le nom « IOS » (International Organization for Standardization) n'a pas été choisi : il aurait donné lieu à des acronymes différents selon les langues (« IOS » en anglais et « OIN » en français). Selon le site de l'ISO, le nom d'ISO a été choisi en raison de son rappel du mot grec ίσος / ísos signifiant « égal »[2]. Toutefois, le témoignage d'un des participants au choix de ce nom démontre le contraire, l'explication a donc été imaginée après coup[3]. Les fondateurs ont décidé de donner à leur organisation le nom « ISO » (évoquant l'International Standards Organization mais ne correspondant pas au nom officiel, et donc officiellement considéré comme un faux acronyme) pour qu'il reste « ISO » quels que soient le pays ou la langue. « iso- » est aussi le préfixe dont l'anglais se sert pour former des mots portant le sens d'égalité.
Structure
L'ISO comporte 164 membres[4].
Il y a trois différentes catégories de membres :
- le comité membre de l'ISO : l'organisme national « le plus représentatif de la normalisation dans son pays » ;
- le membre correspondant pour les pays qui n'ont pas encore d'organisme national représentatif ;
- le membre abonné pour les pays dont l'économie est limitée.
Des accords ont été passés avec le Comité européen de normalisation (CEN) afin de créer une sorte de pacte de « non-agression » entre les deux entités concurrentes et d'éviter des normes redondantes.
Pour les pays francophones, les membres sont : l'AFNOR pour la France (Comité membre), l'ILNAS pour le Luxembourg (Comité membre), l'IBN pour la Belgique (Comité membre), le SNV pour la Suisse (Comité membre), le CCN pour le Canada (Comité membre), , etc.
L'ISO coopère avec la Commission électrotechnique internationale (CEI), responsable de la normalisation d'équipements électriques. La marque concrète la plus importante de cette coopération a été, au milieu des années 1980, la création du Comité Technique Commun sur les technologies de l'information (JTC1) qui a réuni la compétence matérielle détenue par la CEI et la compétence logicielle détenue par l'ISO. Le JTC 1 est le producteur de la plus grande partie des normes concernant l'informatique.
Comités techniques
L'ISO est divisé en 201 comités techniques (TC), chacun chargé d'un domaine particulier. Voici la liste des comités actifs :
- JTC 1 Technologies de l'information
- TC 1 Filetages
- TC 2 Éléments de fixation
- TC 4 Roulements
- TC 5 Tuyauteries en métaux ferreux et raccords métalliques
- TC 6 Papiers, cartons et pâtes
- TC 8 Navires et technologie maritime
- TC 10 Documentation technique de produits
- TC 11 Chaudières et récipients sous pression
- TC 12 Grandeurs, unités, symboles, facteurs de conversion
- TC 14 Arbres pour machines et accessoires
- TC 17 Acier
- TC 18 Zinc et alliages de zinc
- TC 19 Nombres normaux - STAND BY
- TC 20 Aéronautique et espace
- TC 21 Équipement de protection et de lutte contre l'incendie
- TC 22 Véhicules routiers
- TC 23 Tracteurs et matériels agricoles et forestiers
- TC 24 Tamis, tamisage et autres méthodes de séparation granulométrique
- TC 25 Fontes moulées et fontes brutes
- TC 26 Cuivre et alliages de cuivre
- TC 27 Combustibles minéraux solides
- TC 28 Produits pétroliers et lubrifiants
- TC 29 Petit outillage
- TC 30 Mesure de débit des fluides dans les conduites fermées
- TC 31 Pneus, jantes et valves
- TC 33 Matériaux réfractaires
- TC 34 Produits alimentaires
- TC 35 Peintures et vernis
- TC 36 Cinématographie
- TC 37 Terminologie et autres ressources langagières et ressources de contenu
- TC 38 Textiles
- TC 39 Machines-outils
- TC 41 Poulies et courroies (y compris les courroies trapézoïdales)
- TC 42 Photographie
- TC 43 Acoustique
- TC 44 Soudage et techniques connexes
- TC 45 Élastomères et produits à base d'élastomères
- TC 46 Information et documentation
- TC 47 Chimie
- TC 48 Équipement de laboratoire
- TC 51 Plateaux de chargement pour transport et manutention directe de charges unitaires
- TC 52 Récipients métalliques légers
- TC 54 Huiles essentielles
- TC 58 Bouteilles à gaz
- TC 59 Construction immobilière
- TC 60 Engrenages
- TC 61 Plastiques
- TC 63 Récipients en verre
- TC 67 Matériel, équipement et structures en mer pour les industries pétrolière, pétrochimique et du gaz naturel
- TC 68 Services financiers
- TC 69 Application des méthodes statistiques
- TC 70 Moteurs à combustion interne
- TC 71 Béton, béton armé et béton précontraint
- TC 72 Matériel pour l'industrie textile
- TC 74 Ciments et chaux
- TC 76 Appareils de transfusion, de perfusion et d'injection à usage médical et pharmaceutique
- TC 77 Produits en ciment renforcé par des fibres
- TC 79 Métaux légers et leurs alliages
- TC 81 Noms communs pour les produits phytosanitaires et assimilés
- TC 82 Exploitation minière - STAND BY
- TC 83 Matériel de sports et d'activités de plein air
- TC 84 Dispositifs pour administration des produits médicaux et cathéters intravasculaires
- TC 85 Énergie nucléaire
- TC 86 Froid et climatisation
- TC 87 Liège
- TC 89 Panneaux à base de bois
- TC 91 Agents de surface
- TC 92 Sécurité au feu
- TC 93 Amidon (amidons, fécules), dérivés et sous-produits
- TC 94 Sécurité individuelle -- Vêtements et équipements de protection
- TC 96 Appareils de levage à charge suspendue
- TC 98 Bases du calcul des constructions
- TC 100 Chaînes et pignons dentés pour transmission d'énergie et convoyeurs
- TC 101 Engins de manutention continue
- TC 102 Minerais de fer et minerais de fer préréduits
- TC 104 Conteneurs pour le transport de marchandises
- TC 105 Câbles en acier
- TC 106 Art dentaire
- TC 107 Revêtements métalliques et autres revêtements inorganiques
- TC 108 Vibrations et chocs mécaniques
- TC 109 Brûleurs à combustible liquide et à gaz
- TC 110 Chariots de manutention
- TC 111 Chaînes à maillons en acier rond, élingues à chaînes, composants et accessoires
- TC 112 Technique du vide
- TC 113 Hydrométrie
- TC 114 Horlogerie
- TC 115 Pompes
- TC 116 Appareils de chauffage
- TC 117 Ventilateurs industriels
- TC 118 Compresseurs et outils, machines et équipement pneumatique
- TC 119 Métallurgie des poudres
- TC 120 Cuir
- TC 121 Matériel d'anesthésie et de réanimation respiratoire
- TC 122 Emballages
- TC 123 Paliers lisses
- TC 126 Tabac et produits du tabac
- TC 127 Engins de terrassement
- TC 128 Appareillage, tuyauterie et raccords en verre - STAND BY
- TC 129 Minerais alumineux - STAND BY
- TC 130 Technologie graphique
- TC 131 Transmissions hydrauliques et pneumatiques
- TC 132 Ferro-alliages
- TC 133 Systèmes et désignation des tailles de vêtements - STAND BY
- TC 134 Fertilisants - STAND BY
- TC 135 Essais non destructifs
- TC 136 Ameublement
- TC 137 Système de mesurage, de désignation et de marquage des chaussures
- TC 138 Tubes, raccords et robinetterie en matières plastiques pour le transport des fluides
- TC 142 Séparateurs aérauliques
- TC 144 Distribution et diffusion d'air - STAND BY
- TC 145 Symboles graphiques et pictogrammes
- TC 146 Qualité de l'air
- TC 147 Qualité de l'eau
- TC 148 Machines à coudre
- TC 149 Cycles
- TC 150 Implants chirurgicaux
- TC 152 Gypses, plâtres et produits en plâtre - STAND BY
- TC 153 Robinetterie
- TC 154 Processus, éléments d'informations et documents dans le commerce, l'industrie et l'administration
- TC 155 Nickel et alliages de nickel
- TC 156 Corrosion des métaux et alliages
- TC 157 Contraceptifs mécaniques
- TC 158 Analyse des gaz
- TC 159 Ergonomie
- TC 160 Verre dans la construction
- TC 161 Dispositifs de commande et de protection pour les brûleurs à gaz et au fioul et les appareils fonctionnant au gaz ou au fioul
- TC 162 Portes et fenêtres
- TC 163 Performance thermique et utilisation de l'énergie en environnement bâti
- TC 164 Essais mécaniques des métaux
- TC 165 Structures en bois
- TC 166 Articles en céramique, en verre et en céramique vitreuse en contact avec les denrées alimentaires
- TC 167 Structures en acier et en aluminium
- TC 168 Prothèses et orthèses
- TC 170 Instruments chirurgicaux
- TC 171 Applications en gestion des documents
- TC 172 Optique et photonique
- TC 173 Appareils et accessoires fonctionnels pour les personnes handicapées
- TC 174 Joaillerie, bijouterie
- TC 175 Spath fluor - STAND BY
- TC 176 Management et assurance de la qualité
- TC 177 Caravanes
- TC 178 Ascenseurs, escaliers mécaniques et trottoirs roulants
- TC 179 Maçonneries - STAND BY
- TC 180 Énergie solaire
- TC 181 Sécurité des jouets
- TC 182 Géotechnique
- TC 183 Minerais et concentrés de cuivre, de plomb, de zinc et de nickel
- TC 184 Systèmes d'automatisation industrielle et intégration
- TC 185 Dispositifs de sûreté pour la protection contre les excès de pression
- TC 186 Coutellerie, couverts et orfèvrerie métallique décorative et de table
- TC 188 Petits navires
- TC 189 Carreaux en céramique
- TC 190 Qualité du sol
- TC 191 Pièges pour animaux (mammifères) - STAND BY
- TC 192 Turbines à gaz
- TC 193 Gaz naturel
- TC 194 Évaluation biologique des dispositifs médicaux
- TC 195 Machines et matériels pour la construction des bâtiments
- TC 196 Pierres naturelles - STAND BY
- TC 197 Technologies de l'hydrogène
- TC 198 Stérilisation des produits de santé
- TC 199 Sécurité des machines
- TC 201 Analyse chimique des surfaces
- TC 202 Analyse par microfaisceaux
- TC 203 Systèmes d'énergie technique
- TC 204 Systèmes intelligents de transport
- TC 205 Conception de l'environnement intérieur des bâtiments
- TC 206 Céramiques techniques
- TC 207 Management environnemental
- TC 208 Turbines thermiques pour application industrielle (turbines à vapeur, turbines à dilatation de gaz) - STAND BY
- TC 209 Salles propres et environnements maîtrisés apparentés
- TC 210 Management de la qualité et aspects généraux correspondants des dispositifs médicaux
- TC 211 Information géographique/Géomatique
- TC 212 Laboratoires d'analyses de biologie médicale et systèmes de diagnostic in vitro
- TC 213 Spécifications et vérification dimensionnelles et géométriques des produits
- TC 214 Plates-formes de travail élévatrices
- TC 215 Informatique de santé
- TC 216 Chaussure
- TC 217 Cosmétiques
- TC 218 Bois
- TC 219 Revêtements de sol
- TC 220 Récipients cryogéniques
- TC 221 Produits géosynthétiques
- TC 222 Conseil en gestion de patrimoine
- TC 223 Sécurité sociétale (provisoire)
- TC 224 Activités de service relatives aux systèmes d'alimentation en eau potable et aux systèmes d'assainissement - Critères de qualité du service et indicateurs de performance
- TC 225 Études de marché, études d'opinion et recherches sociales
- TC 226 Matériaux pour la production de l'aluminium de première fusion
- TC 227 Ressorts
- TC 228 Tourisme et services connexes
- TC 229 Nanotechnologies
- CASCO Comité pour l'évaluation de la conformité
- CIE Commission internationale de l'éclairage (à ne pas confondre avec la CEI, Commission électrotechnique internationale qui ne fait pas partie de l'ISO)
- COPOLCO Comité pour la politique en matière de consommation
- IIW Institut international de la soudure
- ISO/CS Secrétariat central de l'ISO
- IULTCS Union internationale des sociétés de techniciens et chimistes du cuir
- REMCO Comité pour les matériaux de référence
- TMB Bureau de gestion technique
- VAMAS Versailles Project on Advanced Materials and Standards
Processus d'élaboration des normes et produits
Les normes font l'objet d'un processus d'élaboration complexe qui se déroule en cinq phases[5] :
- Proposition ;
- Préparation ;
- Comité ;
- Enquête ;
- Approbation.
Dans les années 1990, sous la pression des développements rapides des technologies de l'information, l'ISO a assoupli le processus d'élaboration des normes, en tenant compte de l'activité des consortiums, dont on a considéré qu'elle ne constituait pas une menace contre le système officiel de normalisation.
Plusieurs types de documents normatifs sont aujourd'hui disponibles[6] :
- norme ISO ;
- ISO/PAS, spécification publiquement disponible ;
- ISO/TS, spécification technique (exemple ISO/TS 15000 sur ebXML) ;
- ISO/TR, rapport technique ;
- accord d'atelier international (IWA) ;
- guide ISO.
Critiques
Le fonctionnement de l'ISO est l'objet de critiques, notamment suite aux forts soupçons d'utilisation de moyens de pression voire de corruption dans certains pays, tels que l'Allemagne, la Norvège ou la Croatie, par la société Microsoft lors du processus de normalisation du format de documents de bureautique OpenXML afin d'amener les votants à changer de position en faveur des intérêts de Microsoft[7].
Il est également reproché à l'ISO de facturer l'accès à nombre de spécifications, ce qui constitue un problème pour les organisations ou projets aux moyens limités qui souhaiteraient s'y conformer.
Notes et références
- Au 11 octobre 2014.
- « À propos de l'ISO », sur iso.org (consulté le ).
- (en) ISO Central Secretariat, Friendship among equals : Recollections from ISO's first fifty years, , 20 p. (ISBN 92-67-10260-5, lire en ligne [PDF]).
- Membres de l'ISO - Site de l'ISO
- Système international harmonisé d'indicatif de stades pour l'élaboration des normes - Site de l'ISO
- Les différents types de publications de l'ISO - Site de l'ISO
- (en) « OOXML Vote: Irregularities in Germany & Croatia and a Call for an Investigation of Norway », sur groklaw.net, Groklaw, (consulté le ).
Annexes
Articles connexes
- Gestion de la qualité
- Liste de normes ISO
- Liste de normes ISO par domaines
- IEEE
- ISO 5218 norme relative à la représentation des sexes humains
- ISO 9001 norme relative à l'assurance qualité
- ISO 9660 norme relative aux CD
- ISO 14001 norme relative à l'environnement
- ISO 10006 norme relative à la qualité dans le domaine de la gestion de projets
- ISO 10007 norme relative à la gestion de configuration
- ISO 19510 norme relative à la modélisation des procédés d'affaires
- ISO 21500 norme relative au management de projets
- ISO 22000 norme relative à la sécurité des aliments
- ISO 26000 norme relative à la responsabilité sociétale des organisations
- ISO 29110 norme relative à l'ingénierie de systèmes et du logiciel
- ISO 31000 norme relative à une famille de normes de gestion des risques
- ISO/TC 292 groupe de travail ISO relatif à la sécurité et la résilience
- Commission électrotechnique internationale
Liens externes
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