Ophélie Winter

Ophélie Kleerekoper, dite Ophélie Winter, née le à Boulogne-Billancourt, est une actrice, chanteuse et mannequin franco-néerlandaise.

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Ophélie Winter
Ophélie Winter au Festival de Cannes 1997.
Informations générales
Surnom Ophélie Winter
Nom de naissance Ophélie Kleerekoper
Naissance
Boulogne-Billancourt (Hauts-de-Seine, France)
Activité principale Chanteuse
Activités annexes Auteur-compositeur
Animatrice de télévision
Actrice
Mannequin
Années actives Depuis 1992
Labels Ariola Records (1984)
Baby Records (en) (1987)
Carrere (1992 - 1994)
East West Records (1995 - 2000)
Warner Music Group (1992 - 2004)
Believe / Doubleyou (2009)
Site officiel Ophelie-Winter.com

Biographie

Jeunesse et début

Elle est la fille de Leon Kleerekoper, dit David Alexandre Winter[1] et de Catherine Fefeu, dite Cathy Kleerekoper. Ses parents divorcent en 1976. Son père part ensuite aux États-Unis.

En 1984, elle enregistre à dix ans son premier titre, La chanson des klaxons, en duo avec Bob[2]. Elle récidive trois ans plus tard avec un deuxième single, Poil de carotte[2]. Les deux disques sont des échecs.

En 1991, Ophélie Winter délaisse ses études et devient mannequin après avoir été repérée par l'agence Absolu, et pose dans des domaines variés à diffusion européenne : lingerie, publicités télévisées ou couvertures de magazines comme L'Écho des savanes et Photo[3],[4]. Pour ce dernier, elle est photographiée dans le studio Rive Droite par Philippe Robert le [5].

En 1992, elle rencontre les frères Nacash, qui produisent ses premiers singles. Elle sort la première version du titre When I got the Mood qui, malgré un accueil plutôt froid, lui permet de passer à la télévision et dans la presse adolescente.

Durant cette période, elle apparait dans des sitcoms comme Salut les Musclés en 1993 ou Filles à papas en 1994.

En 1993, sort la première version de Shame on U (dont le succès est encore plus mitigé), participe à la tournée d'été Pepsi en France et pose pour la marque de vêtements Lee Cooper. La jeune femme raconte par la suite vivre à cette période dans l'entourage de Prince. Le magazine Africa International[6] écrit en 1993 « Même le petit chanteur une gbamsse [une charmeuse], Ophélie Winter, mannequin français inconnue au bataillon » précisant que le chanteur aime les blondes[7]. La même année, elle enregistre la version française d'une chanson de Prince, The Most Beautiful Girl in the World devenue Le plus bel homme de l'univers[5].

Par la suite, sort un double single, Dad/Pour une lady, un message personnel pour son père. Elle assure la promotion de ces singles dans plusieurs émissions de variété, notamment Yacapa, 40° à l'ombre sur France 3, mais ces titres n'entrent pas au Top 100.

À la rentrée 1994, elle fait retirer le single Dad/Pour une lady des bacs quelques jours après sa sortie. Elle cesse alors définitivement de collaborer avec les frères Nacash, même si certains de leurs titres reproduits apparaissent dans l'album No Soucy !.

Animatrice sur M6

Le [8], Ophélie Winter participe en tant que membre du jury de l'émission La nuit la plus Love: la 1re coupe du monde de la séduction[9] produite par Thierry Ardisson sur M6. Remarquée par Laurence Aupetit[8] directrice de l'unité musique et divertissement de M6[10], elle fait ses débuts d'animatrice télé le en animant avec d'autres animateurs Dance Machine 4. Mais c'est l'émission musicale Hit Machine qu'elle présente avec Yves Noël d'octobre 1994 à juin 1995 qui la rend populaire. Elle apparaît aussi dans deux épisodes de la sitcom Classe mannequin, la série française phare de la chaîne.

Elle devient alors l'égérie de M6 et une animatrice appréciée des adolescents. Entre 1995 et 1997, Ophélie Winter présente chaque mercredi Dance Machine Club en compagnie de son frère Mickaël. Suivent ensuite Coming next le samedi à 20h, ainsi qu'Ophelie Street, qu'elle présente dans une voiture décapotable parcourant les rues de Paris. M6 lui confie également la présentation d'une émission en prime time, Ophélie Show, et du Dance Machine à Bercy qu'elle co-anime en groupe le temps de quelques éditions.

Succès musical

Côté musique, en octobre 1995[11], elle publie un nouveau single intitulé Dieu m'a donné la foi qui lui apporte le succès, ce titre devenant ainsi no 1 du Top 50 français, recevant dans les mois qui suivent un disque d'or[12],[13]. Qualifiée de la favorite par Le Parisien[14], elle est nommée à la onzième cérémonie des Victoires de la musique dans la catégorie révélation féminine de l'année face à Axelle Renoir et à Stephend. Cette dernière, pratiquement inconnue, décroche le trophée. Ceci entraîne une polémique car les activités de Stephend restent confidentielles. Il sera rendu public que le producteur de la chanteuse, Denys Limon, est l'associé de Claude Fléouter, producteur exécutif de la cérémonie des Victoires de la musique, créée 11 ans plus tôt à l'initiative des deux hommes et de Pascale Tardy[note 1],[15],[16],[17],[14],[18],[19].

Ophélie Winter publie son premier album le 22 mai 1996, No Soucy !, qui devient disque de platine[12],[20]. Cet opus, qui se veut résolument soul et new jack swing, est influencé par la musique afro-américaine. Pour l'occasion, elle s'entoure de Soulshock and Karlin (en) ainsi que Siedah Garrett, collaboratrice de Michael Jackson et Madonna. La chanteuse est au sommet de sa popularité et devient omniprésente dans les médias[2]. L'album No Soucy ! est adapté pour sortir internationalement. En , l'adaptation nommée Soon est disponible et se vend à 100 000 exemplaires[21],[22]. Elle partage alors la vie du chanteur MC Solaar, avec qui elle collabore sur la chanson Un jour, qu'elle interprète en 1996 sur la bande originale du film de Disney, Le Bossu de Notre-Dame.

Après Dieu m'a donné la foi, sortent les singles Le feu qui m'attise (no 7 au Top 50), une nouvelle version de Shame on U (no 9 au Top 50)[23], Rien que pour lui et Keep it on the red light avec le rappeur Coolio (no 19 au Top 50[24]). Une version européenne de l'album, intitulée Soon, sort en septembre 1996 et s'écoule à quelque 100 000 exemplaires[2]. En 1997, elle est nommée aux Victoires de la musique, cette fois-ci dans la catégorie artiste interprète féminine de l'année face à Zazie et à Barbara, cette dernière remportant le prix.

Elle intègre la troupe des Enfoirés en 1996, et participera aux éditions 1999, 2000, 2003 et 2005, ainsi qu'aux titres Sa raison d'être (1998) et Noël ensemble (2000) du collectif Ensemble contre le Sida.

En août 1998, paraît son second album, Privacy, porté par les singles Je marche à l'envers, Elle pleure, Je cours, Je t'abandonne et Ce que je suis. Ce dernier est repris l'année suivante sous le titre What a Girl Wants par Christina Aguilera[25]. Anders Bagge, Alexander Kronlund (en) et Guy Roche (en) collaborent à l'élaboration de la galette. Ce nouvel opus, plus pop et funk que le premier, est certifié disque d'or sans atteindre les mêmes scores de ventes que son premier album[26],[20], grâce notamment au succès des titres Je marche à l'envers (no 23 au Top 50)[24] et surtout Elle pleure (no 12 au Top 50), qui reçoit un disque d'argent[24].

Le titre, adapté en français par Ophélie Winter, parle d'une « enfant […] que l'on profane […] ils ont violé son âme ». Elle révèle 23 ans plus tard qu'il s'agit d'une chanson autobiographique, ayant été victime pendant des années d'abus sexuels de la part de son oncle déficient mental[27],[28],[29].

La version anglaise de l'album Privacy est publiée pour le marché international, incluant notamment I Spy (version anglaise de Je marche à l'envers, qui se classe à la 72e place du classement allemand[30]).

Après avoir dû annuler sa tournée (dont une série de concerts à l'Olympia) en 1999, faute de réservations suffisantes, elle présente sur TF1 en janvier 2000 la première cérémonie des NRJ Music Awards en direct du Midem de Cannes. Quelques semaines plus tard, TF1 lui consacre un prime time intitulé Ophelie Winter Show qu'elle anime, entourée d'une pléiade d'artistes dont Michel Galabru.

À l'automne 2002, Ophélie Winter lance son troisième album, Explicit Lyrics, sur lequel ont collaboré des artistes tels que Wallen ou Viviane Chidid. Le premier single, Sache, se classe 6e au Top 50[23] et reçoit un disque d'argent. Le clip de la chanson, réalisé par Luc Besson, la met en scène aux côtés de Gérard Depardieu. Trois singles sont extraits de l'album : Sache, Tout l'monde le fait et Yeah Yeah Yeah (en duo avec Fabolous).

Évolution au cinéma

Parallèlement à sa carrière de chanteuse, Ophélie Winter se lance dans le cinéma. Elle est choisie par Claude Lelouch en 1996 pour faire ses débuts sur grand écran dans le film Hommes, femmes, mode d'emploi dans lequel jouent notamment Fabrice Luchini et Bernard Tapie.

Elle tient ensuite les rôles principaux dans Tout doit disparaître et Bouge ! en 1997, puis dans Folle d'elle avec Jean-Marc Barr en 1998, Les Jolies Choses aux côtés de Marion Cotillard, Patrick Bruel, Titoff en 2001, et Mauvais Esprit avec Thierry Lhermitte et Clémentine Célarié en 2003. En 2000, elle est Cassandra Menage, le premier rôle féminin de Y a-t-il un flic pour sauver l'humanité ? De plus, elle est l'interprète de deux titres sur la bande originale : Get Down Tonight et Throw it Up[31].

Une carrière moins glorieuse (2004–2009)

Ophélie Winter au festival de Cannes 2006.

En 2004, Ophélie Winter collabore à la bande originale du film RRRrrrr!!! d'Alain Chabat, son compagnon de l'époque, avec le titre Yeah! Yeah! Yeah! en duo avec Fabolous. Elle chante également avec Alpha Blondy le titre Who are you qui figure sur l'album Merci du chanteur ivoirien publié en janvier 2002.

Mais cette même année, le Bidet d'or de la pire actrice pour la comédie Mauvais Esprit de Patrick Alessandrin met un terme définitif à sa carrière d'actrice de cinéma.

Côté télévision, elle passe au second plan : en 2005, elle présente durant dix semaines sur M6 Music Black l'émission Mission Missy  la version américaine est présentée par la rappeuse Missy Elliott  et anime en 2006 une émission spéciale sur 13e rue mettant à l'honneur la série New York, police judiciaire.

En 2007, elle est mise en garde à vue à Nanterre pour usage de stupéfiants dans le cadre d'un trafic de cannabis et de cocaïne[32]. Son domicile est perquisitionné. Elle est remise en liberté, n'étant déclarée que consommatrice[33].

En septembre 2007, elle devient jurée de la quatrième saison de Popstars sur M6, aux côtés de Mia Frye, Sébastien Farran et Benjamin Chulvanij.

Le 17 mars 2009, sort sur les plateformes de téléchargement le single Affection, premier extrait de l'album Resurrection. Sorti le 19 mai 2009, cet album est composé en grande partie par l'artiste jamaïcain Wayne Beckford. Il se classe à la troisième place du classement digital lors de sa première semaine d'exploitation[34]. Produit par Ophélie Winter avec son propre label Double You, il n'entre dans aucun classement national des meilleures ventes et ne rencontre pas le succès escompté[35],[36],[37].

Retour à la télévision (2009–2017)

Fin 2009, elle est la coach d'une chorale pour une émission de TF1 intitulée La Bataille des chorales aux côtés d'Amel Bent, de Patrick Fiori et Passi.

En 2010, après un rôle dans un épisode de RIS police scientifique, Ophélie Winter est choisie par le joaillier Edouard Nahum pour devenir l'égérie de ses bijoux « Haute joaillerie »[38]. Elle chante également en duo avec l'artiste congolais Papa Wemba, qui lui propose de revisiter un des titres de son répertoire, Ye te Oh. Un inédit, Ne va pas croire (écrit pour la lutte contre le sida) sort en décembre 2010 et voit l'intégralité de ses droits reversée à l'association AIDES, dont Ophélie Winter est l'une des marraines.

Après avoir participé au titre Des ricochets avec le collectif Paris Africa, elle joue en 2012 dans un épisode de Doc Martin pour TF1 aux côtés de Thierry Lhermitte. Elle pose sa voix sur le titre collectif Parle, Hugo, Parle en faveur de l'association Les Voix de l'enfant[39].

À l'automne 2014, elle participe à la cinquième saison de l'émission Danse avec les stars sur TF1, aux côtés du danseur Christophe Licata[40], et termine dixième de la compétition. Elle dit garder de ce moment un mauvais souvenir, le qualifiant de « pire expérience » de sa vie[41].

Elle participe en 2017 au prime time Scènes de ménages : Ça va être leur fête ! sur M6.

Difficultés personnelles et autobiographie

Le , le magazine Public annonce que la chanteuse, ruinée, serait devenue sans domicile fixe et errerait dans les rues de Paris, dormant dans sa voiture[42],[43]. Le magazine, qui dévoile des clichés d'Ophélie Winter à la rue, explique que ses biens se résumeraient désormais à « quelques sacs entassés dans sa citadine, des bijoux fantaisie et de larges lunettes de soleil ». Les rumeurs sur la chanteuse, divorcée depuis deux ans, sont relayées par la presse people[44],[45],[46],[47],[48],[49]. Selon RTL Info (RTL-TVI), Ophélie Winter, menacée par un de ses ex-compagnons, serait recherchée par la police qui veut la protéger[50]. Avec la contribution de Pauline Bonnefoi, Ophélie Winter publie en 2021 un livre autobiographique intitulé Résilience[28]. Interviewée par Laurent Ruquier dans l'émission On est en direct sur France 2, elle déclare ne pas être SDF et posséder une maison[51],[52].

Discographie

Albums

Année Album Classement des ventes Ventes
françaises
Certifications
françaises
France France TL Belgique Suisse
1996 No Soucy ! 6 - 14 - 500 000[53]  Platine
1998 Privacy 13 - 29 - 250 000[53]  Or
2002 Explicit Lyrics 36 - - 96 30 000[54]
2009 Resurrection - 3 - -

Singles

Année Single Classement des ventes[55] Certifications
françaises[13]
Album
France France TL Belgique Suisse Allemagne
1984 La chanson des klaxons (avec Bob) - - - - -
1987 Poil de carotte - - - - -
1992 When I got the Mood - - - - -
1993 Shame on You - - - - -
1994 Dad - - - - -
Pour une lady - - - - -
1995 Dieu m'a donné la foi 1 - 3 - -  Or No Soucy !
1996 Le feu qui m'attise 7 - 21 - -  Argent
Shame on U 9 - - - -  Argent
1997 Keep it on the red light (feat. Coolio) 19 - - - -
Rien que pour lui 39 - - - -
1998 Je marche à l'envers 23 - 12 - - Privacy
I Spy - - - - 72
Elle pleure 12 - 9 - -  Argent
1999 Je cours - - - - -
Je t'abandonne 39 - 30 - -
2000 Ce que je suis 75 - - - -
2002 Sache 6 - 7 21 -  Argent Explicit Lyrics
2003 Tout l'monde le fait 38 - 28 75 -
Yeah Yeah Yeah - - - - -
2009 Affection - - - - - Résurrection
2010 Sunshine - - - - -
Ne va pas croire - - - - -

Participations

Filmographie

Cinéma

Télévision

Émissions de télévision

Animatrice

Participante

Publication

Distinctions

Nominations

Distinctions

Notes et références

Notes

  1. Stephend sort en 1994 deux singles et un album, tous passés inaperçus. L'album se voit alors retiré de la vente car c'est un échec commercial. Son seul fait d'armes est d'avoir assuré la première partie de Michel Sardou en 1995. C'est la stupéfaction durant la cérémonie, le discours de remerciement de la chanteuse est couvert par les huées de la salle. Claude Fléouter tentera de s'expliquer en déclarant avoir voulu disqualifier Stephend durant les votes. Trois procès s'ensuivent.

Références

  1. Luc Le Vaillant, « Le grand dessein d'Ophélie. », Libération, (lire en ligne, consulté le ).
  2. « Biographie d'Ophélie Winter », sur RFI Musique, (consulté le )
  3. « Françaises, Français, nous avons sondé vos mauvaises manières », L'Écho des savanes, Paris, Éditions Albin Michel, no 113, (lire en ligne).
  4. Photo, Musée de la presse : les archives de la presse, journ@aux-collection.com (no 309), , cf. fiche n° 6693 (présentation en ligne, lire en ligne)
  5. Photo - numéro 309 Avril 1994, Paris, (lire en ligne).
  6. Samuel Tia, « Marie-Roger Biloa élevée en France au rang de chevalier de l'Ordre, des arts et des lettres », sur journalducameroun.com, (consulté le ).
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  9. « VSD Fun Radio M6 / La Nuit la plus love : presse » [vidéo], sur INA, .
  10. « Laurence Aupetit », sur Libération, (consulté le )
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  26. Jean-Daniel Sallin, « Ophélie Winter a retrouvé la foi », sur Tribune de Genève, (consulté le ).
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  28. Élodie Suigo, « Ophélie Winter : "La musique, c'est mon sang, c'est mon ADN" », sur France Info, (consulté le )
  29. Anaïs Guillon, « Ophélie Winter révèle avoir été victime d’inceste pendant son enfance », sur Elle, (consulté le )
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  53. « Que devient… Ophélie Winter ? », sur Charts in France, (consulté le ).
  54. Gilles Médioni, « Le disque craque », sur L'Express, (consulté le ).
  55. http://lescharts.com/search.asp?search=ophelie+winter&cat=s

Liens externes

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