Octobre 2004 en France

2004 en France

Janvier - Février - Mars - Avril - Mai - Juin
Juillet - Août - Septembre - Octobre - Novembre - Décembre
Chronologies
Années :
2001 2002 2003  2004  2005 2006 2007
Décennies :
1970 1980 1990  2000  2010 2020 2030
Siècles :
XXe siècle  XXIe siècle  XXIIe siècle
Millénaires :
IIe millénaire  IIIe millénaire  IVe millénaire
Chronologies géographiques
Chronologies thématiques
Aéronautique Architecture Arts plastiques Astronautique Astronomie Automobile Bande dessinée Chemins de fer Cinéma Disney Droit Échecs Économie Élections Fantasy Football Informatique Jeu Jeu vidéo Littérature Musique populaire Musique classique Numismatique Parcs de loisirs Photographie Philosophie Radio Santé et médecine Science Science-fiction Sociologie Sport Télévision TerrorismeThéâtre
Calendriers
Romain · Chinois · Grégorien · Hébraïque · Hindou · Hégirien · Persan · Républicain

lundi 4 octobre 2004

  • violences scolaires : en France un protocole d'accord signé entre le ministre de l'Éducation nationale François Fillon et le ministre de l'Intérieur Dominique de Villepin, jeta les bases d'un partenariat entre les deux ministères. Censé lutter contre les violences scolaires, il instaura notamment un policier ou un gendarme "correspondant" pour chaque établissement scolaire. Dès lundi soir, la FSU critiqua ce partenariat, suivie le lendemain par d'autres syndicats.

mardi 5

  • syndicalisme : la signature la veille d'un partenariat entre les ministères de l'Intérieur et de l'Éducation suscitait mardi les critiques :
Du côté enseignant, SE-Unsa s'inquiéta, dans un communiqué, d'un risque « d'infléchissement de la lutte contre les violences en milieu scolaire ». Il redoutait que le nouveau dispositif ne court-circuite des dispositifs existants plus axés sur l'éducatif que sur la répression et que les dommages contre les biens priment dorénavant sur l'intérêt porté aux enfants.
L'UNL demanda « Lycée policé ou lycée policier ? ». « Le protocole est une véritable honte pour notre service public d'éducation », ajouta-t-elle dans un communiqué, rappelant qu'on avait supprimé des centaines de postes de personnels éducatifs. « Cela est un paradoxe et cela pointe du doigt une volonté beaucoup plus répressive qu'éducative », conclut le premier syndicat lycéen.
Les parents d'élèves FCPE évoquèrent la décision d'un lycée de Blois de faire appel à une société privée de sécurité et déclarèrent : « c'est autant d'argent soustrait à des activités éducatives. C'est nier au personnel d'encadrement toute fonction d'accueil et d'éducation, c'est abandonner ses responsabilités ».
  • Portail du monde contemporain
  • Portail des années 2000
  • Portail de la France
Cet article est issu de Wikipedia. Le texte est sous licence Creative Commons - Attribution - Partage dans les Mêmes. Des conditions supplémentaires peuvent s'appliquer aux fichiers multimédias.