Michel Hacq

Michel Hacq, né le à Nevy-sur-Seille[1] (Jura), mais marqué né à Lons (Pyrénées-Atlantiques) sur le site de Lons, et mort le à Boulogne-Billancourt (Hauts-de-Seine), est un commissaire de police français qui constitue une des figures emblématiques de la résistance policière.

Entré en 1934 à la Sûreté nationale, après une licence en droit à la faculté de Dijon et à l'issue de son service militaire, Michel Hacq rejoint la résistance en novembre 1942. Déporté au camp de Mauthausen, il est un des membres fondateurs de la Fondation de la Résistance.

Directeur de la Police judiciaire pendant la guerre d'Algérie, il organise la traque de l'OAS en 1961, dans le cadre de la Mission « C » (pour Choc) opérant en Algérie[2].

La quarante-cinquième promotion de commissaires de police issus de l'école nationale supérieure de la police, entrée en fonction en 1995, porte son nom.

Notes et références

  1. Michel Hacq est né à Nevy- sur Seille dans le Jura Signé : Roseline Hacq épouse Desgroux 5e enfant de Michel Hacq
  2. Jean-Jacques Jordi, Un silence d'état, les disparus européens de la guerre d'Algérie, Soteca octobre 2011, pp. 53-56 ; (ISBN 978-2-9163-8556-3)


Voir aussi

Articles connexes

Bibliographie

  • Portail de la police
  • Portail de la Seconde Guerre mondiale
  • Portail de la Résistance française
Cet article est issu de Wikipedia. Le texte est sous licence Creative Commons - Attribution - Partage dans les Mêmes. Des conditions supplémentaires peuvent s'appliquer aux fichiers multimédias.