Martres-Tolosane

Martres-Tolosane est une commune française située dans le département de la Haute-Garonne, en région Occitanie.

Pour les articles homonymes, voir Martres.

Martres-Tolosane

Vue du ciel, depuis le Sud (mars 2017).

Blason
Administration
Pays France
Région Occitanie
Département Haute-Garonne
Arrondissement Muret
Intercommunalité Communauté de communes Cœur de Garonne
Maire
Mandat
Loïc Gojard
2020-2026
Code postal 31220
Code commune 31324
Démographie
Gentilé Martrais
Population
municipale
2 376 hab. (2018 )
Densité 101 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 11′ 59″ nord, 1° 00′ 42″ est
Altitude Min. 236 m
Max. 488 m
Superficie 23,52 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Martres-Tolosane
(ville-centre)
Aire d'attraction Toulouse
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Cazères
Législatives Huitième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : région Occitanie
Martres-Tolosane
Géolocalisation sur la carte : Haute-Garonne
Martres-Tolosane
Géolocalisation sur la carte : France
Martres-Tolosane
Géolocalisation sur la carte : France
Martres-Tolosane
Liens
Site web Site Officiel de la Mairie de Martres-Tolosane

    Ses habitants sont appelés les Martrais.

    Sous l'Empire romain, la villa romaine de Chiragan y fut érigée. Elle est considérée comme une des villas les plus importantes d'Europe, et dont les bustes découverts sont visible au musée Saint-Raymond de Toulouse.

    Depuis le XVIIIe siècle, Martres-Tolosane est surtout connue pour ses faïenceries, dont les pièces et les décors peints sont réalisés à la main, ces techniques ancestrales de fabrication étant encore conservées de nos jours.

    Géographie

    Localisation

    La commune de Martres-Tolosane se trouve dans le département de la Haute-Garonne, en région Occitanie[1].

    Elle se situe à 57 km à vol d'oiseau de Toulouse[2], préfecture du département, à 39 km de Muret[3], sous-préfecture, et à km de Cazères[4], bureau centralisateur du canton de Cazères dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[1]. La commune est par ailleurs ville-centre du bassin de vie de Martres-Tolosane[1].

    Les communes les plus proches[Note 1] sont[5] : Mauran (2,0 km), Montclar-de-Comminges (2,6 km), Sana (3,2 km), Boussens (4,0 km), Marignac-Laspeyres (4,1 km), Lescuns (4,7 km), Palaminy (4,8 km), Roquefort-sur-Garonne (4,9 km).

    Sur le plan historique et culturel, Martres-Tolosane fait partie du pays de Comminges, correspondant à l’ancien comté de Comminges, circonscription de la province de Gascogne située sur les départements actuels du Gers, de la Haute-Garonne, des Hautes-Pyrénées et de l'Ariège[6].

    Martres-Tolosane est limitrophe de neuf autres communes.

    Carte de la commune de Martres-Tolosane et de ses proches communes.

    Hydrographie

    La commune est arrosée par la Garonne et son affluent le Bernès qui longe la commune dans sa partie nord, ainsi que par le canal de Saint-Martory.

    Géologie et relief

    La superficie de la commune est de 2 352 hectares ; son altitude varie de 235 à 488 mètres[8].

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[9]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[10].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[11]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[9]

    • Moyenne annuelle de température : 12,7 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2,5 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 8,6 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 15,5 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 831 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 9,5 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,2 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[12] complétée par des études régionales[13] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Cerizols », sur la commune de Cérizols, mise en service en 1982[14] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[15],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 12,1 °C et la hauteur de précipitations de 933,1 mm pour la période 1981-2010[16]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Saint-Girons », sur la commune de Senconac, dans le département de l'Ariège, mise en service en 1949 et à 23 km[17], la température moyenne annuelle évolue de 12,2 °C pour la période 1971-2000[18], à 12,3 °C pour 1981-2010[19], puis à 12,7 °C pour 1991-2020[20].

    Espaces protégés

    La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[21],[22].

    Un espace protégé est présent sur la commune : « la Garonne, l'Ariège, l'Hers Vif et le Salat », objet d'un arrêté de protection de biotope, d'une superficie de 1 658,7 ha[23].

    Réseau Natura 2000

    Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 4]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la directive habitats[25].

    • « Garonne, Ariège, Hers, Salat, Pique et Neste », d'une superficie de 9 581 ha, un réseau hydrographique pour les poissons migrateurs (zones de frayères actives et potentielles importantes pour le Saumon en particulier qui fait l'objet d'alevinages réguliers et dont des adultes atteignent déjà Foix sur l'Ariège[26]

    et un au titre de la directive oiseaux[25] :

    • la « vallée de la Garonne de Boussens à Carbonne », d'une superficie de 1 893 ha, hébergeant une avifaune bien représentée en diversité, mais en effectifs limités (en particulier, baisse des populations de plusieurs espèces de hérons). Trois espèces de hérons y nichent : Garde-bœufs, Bihoreau gris et Aigrette garzette[27].

    Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Deux ZNIEFF de type 1[Note 5] sont recensées sur la commune[28] : « la Garonne de Montréjeau jusqu'à Lamagistère » (5 075 ha), couvrant 92 communes dont 63 dans la Haute-Garonne, trois dans le Lot-et-Garonne et 26 dans le Tarn-et-Garonne[29] et les « versants sud des massifs du Mont Grand et de Cassagnau » (179 ha), couvrant 2 communes du département[30] et deux ZNIEFF de type 2[Note 6],[28] :

    • « la Garonne et milieux riverains, en aval de Montréjeau » (6 874 ha), couvrant 93 communes dont 64 dans la Haute-Garonne, trois dans le Lot-et-Garonne et 26 dans le Tarn-et-Garonne[31] ;
    • les « Petites Pyrénées en rive gauche de la Garonne » (3 525 ha), couvrant 12 communes du département[32].

    Urbanisme

    Typologie

    Martres-Tolosane est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 7],[33],[34],[35]. Elle appartient à l'unité urbaine de Martres-Tolosane, une agglomération intra-départementale regroupant 2 communes[36] et 2 599 habitants en 2018, dont elle est ville-centre[37],[38].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Toulouse, dont elle est une commune de la couronne[Note 8]. Cette aire, qui regroupe 527 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[39],[40].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (59,5 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (72,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (24,7 %), terres arables (24 %), forêts (15,8 %), prairies (10,8 %), eaux continentales[Note 9] (9,1 %), zones urbanisées (8,4 %), mines, décharges et chantiers (4 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (3,3 %)[41].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Voies de communication et transports

    Accès par la route nationale 117 ou l'autoroute A64 (sortie  22).

    La ligne 379 du réseau Arc-en-Ciel relie la commune au centre-ville de Saint-Gaudens depuis Lavelanet-de-Comminges, et la ligne 452 du réseau liO relie la commune à la gare routière de Toulouse et à Saint-Girons.

    La commune compte une gare sur son territoire, la gare de Martres-Tolosane, desservie par des TER Occitanie effectuant des liaisons entre Toulouse-Matabiau, Boussens, Tarbes et Pau.

    Toponymie

    Ancienne nécropole paléochrétienne. Le nom Martres vient du latin martyrum (lui-même issu du grec μάρτυρος, témoin). Ce toponyme[42], dans la majorité des cas, désignait un cimetière antique ou barbare[43].

    Histoire

    Buste romain (IIe-IIIe siècle) découvert à Chiragan en 1826.

    À partir du Moyen Âge jusqu'à sa disparition en 1790 pendant la Révolution française, Martres-Tolosane faisait partie du diocèse de Rieux.

    Pendant la Seconde Guerre mondiale, des exécutions et massacres eurent lieu le  ; ils furent commis par des éléments de la 2e panzerdivision SS Das Reich. D'autres assassinats eurent lieu les 8 et [46].

    Politique et administration

    La mairie.

    Administration municipale

    Le nombre d'habitants au recensement de 2017 étant compris entre 1 500 et 2 499, le nombre de membres du conseil municipal pour l'élection de 2020 est donc de dix neuf[47],[48].

    Rattachements administratifs et électoraux

    La commune fait partie de la huitième circonscription de la Haute-Garonne, de la communauté de communes Cœur de Garonne et du canton de Cazères. Avant le , elle faisait partie de la communauté de communes du canton de Cazères.

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    1944 1959 Louis Soueix SFIO  
    1959 1971 Henri Naudin    
    1971 1972 Jean Camasses    
    1972 1986 Firmin Barrère    
    1986 1989 Jean Suspène    
    1989 1994 Roger Maury    
    1994 1994 René Stambouli   S/p de Muret
    1994 2001 Jean Courtade    
    mars 2001 2008 Brigitte Redinger PS  
    mars 2008 juillet 2014 Carole Delga PS Députée (2012 → 2014 et 2015 → 2017),
    présidente du conseil régional d'Occitanie ( → ).
    juillet 2014 mai 2018 Gilbert Tarraube PS Retraité.
    mai 2018 En cours
    (au 15 juillet 2020)
    Loïc Gojard PS Ingénieur de recherche.
    Les données manquantes sont à compléter.

    Jumelages

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[49]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[50].

    En 2018, la commune comptait 2 376 habitants[Note 10], en augmentation de 5,74 % par rapport à 2013 (Haute-Garonne : +6,32 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 0221 0611 2491 3731 5501 6461 6921 8411 887
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 8511 8711 9501 7301 6791 7001 7831 7341 769
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 6211 5621 5651 3811 4301 2661 2661 5651 809
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    1 8842 0241 9091 9251 9291 6872 0542 2262 369
    2018 - - - - - - - -
    2 376--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[51] puis Insee à partir de 2006[52].)
    Histogramme de l'évolution démographique
    Évolution du rang de la commune
    selon la population municipale des années : 1968[53] 1975[53] 1982[53] 1990[53] 1999[53] 2006[54] 2009[55] 2013[56]
    Rang de la commune dans le département 27 50 65 76 93 89 90 94
    Nombre de communes du département 592 582 586 588 588 588 589 589

    Économie

    Enseignement

    Martres-Tolosane fait partie de l'académie de Toulouse.

    L'éducation est assurée par le groupe scolaire Jean de la Fontaine : maternelle et primaire[59].

    Santé

    Maison de retraite type EHPAD.

    Culture et festivité

    • Salon des arts du Feu : week-end du 1er novembre
    • Reconstitution historique (selon la légende) de la bataille de Saint-Vidian tous les ans le dimanche de la sainte Trinité[60],[61].
    • Le roman de Georges-Patrick Gleize " La fille de la fabrique", publié en 2013 aux Éditions Calmann-Levy et en 2021 édition poche chez De Borée, se passe à Martres-Tolosane dans le monde des faïenciers.

    Sports

    Écologie et recyclage

    La collecte et le traitement des déchets des ménages et des déchets assimilés ainsi que la protection et la mise en valeur de l'environnement se font dans le cadre de la communauté de communes du canton de Cazères[62].

    Une déchèterie intercommunale gérée par la communauté de communes est présente sur la commune de Mondavezan[63].

    Martres-Tolosane a obtenu le 1er Prix en 2017 et 2018 au concours des villes et villages fleuris de la Haute-Garonne

    Village Fleuri

    Martres-Tolosane a obtenu le 1er Prix en 2017 et 2018 au concours des villes et villages fleuris de la Haute-Garonne.

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments


    Cinéma

    Le film L'Été en pente douce a été tourné en grande partie dans le village en 1987.

    Personnalités liées à la commune

    Héraldique

    Son blasonnement est : Écartelé : au premier de gueules à la molette d'argent, au deuxième et au troisième d'azur à l'oie d'argent, becquée et membrée d'or, au quatrième de gueules à la fasce d'argent .

    Pour approfondir

    Bibliographie

    • Faculté des lettres de Toulouse - Jean Boube, La nécropole paléochrétienne de Martres-Tolosane (Haute-Garonne), Toulouse, Pallas III. Revue d'études antiques, (lire en ligne), p. 89-115

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[24].
    5. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
    6. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    7. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    8. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    9. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    10. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. « Métadonnées de la commune de Martres-Tolosane », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    2. Stephan Georg, « Distance entre Martres-Tolosane et Toulouse », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    3. Stephan Georg, « Distance entre Martres-Tolosane et Muret », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    4. Stephan Georg, « Distance entre Martres-Tolosane et Cazères », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    5. « Communes les plus proches de Martres-Tolosane », sur www.villorama.com (consulté le ).
    6. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 293-296.
    7. Carte IGN sous Géoportail
    8. Répertoire géographique des communes, publié par l'Institut national de l'information géographique et forestière, [lire en ligne].
    9. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    10. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    11. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    12. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    13. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
    14. « Station Météo-France Cerizols - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    15. « Orthodromie entre Martres-Tolosane et Cérizols », sur fr.distance.to (consulté le ).
    16. « Station Météo-France Cerizols - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    17. « Orthodromie entre Martres-Tolosane et Senconac », sur fr.distance.to (consulté le ).
    18. « Station météorologique de Saint-Girons - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    19. « Station météorologique de Saint-Girons - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    20. « Station météorologique de Saint-Girons - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    21. « Les différents espaces protégés. », sur http://www.observatoire-biodiversite-centre.fr/ (consulté le )
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    24. Réseau européen Natura 2000, Ministère de la transition écologique et solidaire
    25. « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Martres-Tolosane », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    26. « site Natura 2000 FR7301822 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    27. « site Natura 2000 FR7312010 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    28. « Liste des ZNIEFF de la commune de Martres-Tolosane », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
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    30. « ZNIEFF les « versants sud des massifs du Mont Grand et de Cassagnau » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    31. « ZNIEFF « la Garonne et milieux riverains, en aval de Montréjeau » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
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