Mariah Carey (album)
Mariah Carey est le premier album de l'artiste américaine Mariah Carey. Il sort le sous le label Columbia Records. L'album contient une variété de styles contemporains et les chansons sont un mélange de morceaux dance et ballades. À l'origine, Carey écrit quatre chansons avec Ben Margulies et les enregistre sur une cassette. Ces chansons sont intégrées dans l'album après les avoir modifiées à la suite du contrat avec Columbia. En dehors de Margulies, Carey collabore avec plusieurs auteurs professionnels et des producteurs, qui sont choisis par Tommy Mottola de Columbia. Mariah Carey a été produit principalement par Rhett Lawrence, Ric Wake et Narada Michael Walden, tous considérés comme de bons producteurs à l'époque. Avec Carey, ils préparent l'album et le restructurent depuis les cassettes.
Sortie | (États-Unis) |
---|---|
Enregistré |
décembre 1988–mars 1990 Skyline Studios, New York, Cove City Studios, Glen Cove, Tarpan Studios, San Rafael |
Durée | 46:41 |
Genre | Pop, R&B, soul |
Producteur | Mariah Carey, Rhett Lawrence, Ric Wake, Narada Michael Walden, Ben Margulies, Walter Afanasieff, Tommy Mottola |
Label | Columbia Records |
Albums de Mariah Carey
Singles
1. Vision of Love (sortie : 15 mai 1990)2. Love Takes Time (sortie : 9 septembre 1990)
3. Someday (sortie : 21 décembre 1990)
4. I Don't Wanna Cry (sortie : 25 avril 1991)
5. There's Got to Be a Way (sortie : 6 mai 1991)
Depuis sa sortie, l'album reçoit des critiques positives qui complimentent la voix et la technique vocale de Carey. Il rencontre également le succès auprès du public. Si les ventes sont faibles au départ, il devient numéro un dans le Billboard 200 après l'apparition de Carey à la 33e cérémonie des Grammy Awards, et y reste pendant onze semaines. Mariah Carey est certifié neuf fois disque de platine par la Recording Industry Association of America (RIAA) pour la vente de neuf millions d'exemplaires. L'album rencontre un succès similaire au Canada, où il est numéro un et certifié sept fois disque de platine. Mariah Carey marche un peu moins dans les autres pays mais atteint le top 10 en Australie, Norvège, Nouvelle-Zélande, Royaume-Uni et Suède. L'album s'est vendu à quinze millions d'exemplaires dans le monde.
Cinq singles accompagnent la sortie de l'album dont quatre qui deviennent des numéros un dans le Hot 100. Vision of Love est choisie comme le premier single et est numéro un au Canada, Nouvelle-Zélande et États-Unis. La chanson est acclamée par les critiques et considérée comme l'une des meilleures entrées d'artistes. Elle est aussi créditée comme l'une des influences majeures de l'utilisation du mélisme. Le second single, Love Takes Time, est aussi numéro un au Canada et aux États-Unis. Avec les deux singles suivants, Someday et I Don't Wanna Cry, numéros un aux États-Unis, Carey devient la première artiste depuis The Jackson Five à voir ses quatre premiers singles devenir numéro un.
Genèse
En 1988, Mariah Carey a 18 ans et part de la maison de sa mère à Long Island pour acheter un petit appartement à Manhattan[a 1]. Elle réalise une cassette de quatre chansons qu'elle a écrites à l'université avec Ben Margulies[a 1]. À la fin de l'année, Carey, sans contrat, peine à attirer les producteurs de New York. Alors qu'elle vit de petits boulots, elle écrit toujours des chansons avec Margulies et modifie les cassettes[a 2]. Après plusieurs mois difficiles, Carey rencontre la chanteuse Brenda K. Starr et devient l'une de ses choristes[a 2]. Starr entend la voix de Carey tout au long des sessions et trouve qu'elle a du talent[a 3]. Elle se rend compte que Carey est capable d'avoir du succès mais a besoin d'aide pour être intégrée dans la musique moderne[a 3].
Un soir, Starr emmène Carey à un gala dans l'espoir de convaincre un label d'écouter ses cassettes[a 4]. Jerry L. Greenberg, président de Atlantic Records la remarque[a 4]. Alors qu'elle lui donne la cassette, Tommy Mottola se jette sur l'occasion et lui dit qu'il veut faire un contrat pour « le projet[a 4] ». Alors que Mottola saute dans sa limousine, il écoute les cassettes et se rend compte de l'ampleur du talent qu'il a découvert. Il retourne à la soirée mais Carey est déjà partie[a 4].
Après une semaine de recherches auprès du management de Starr, Mottola retrouve Carey et l'amène à Columbia Records[a 4]. Après avoir rencontré Carey et sa mère Patricia pour la première fois, il dit : « Quand j'ai entendu et vu Mariah, il n'y avait aucun doute qu'elle était destinée à devenir une grande star ». Après un bref rendez-vous, Carey signe le contrat en [a 4].
Mottola était alors le dirigeant de Sony, le label parent de Columbia, et change le mode de fonctionnement de la compagnie[a 4]. Il estime qu'il est très important pour le succès du label de faire découvrir une jeune artiste qui pourrait rivaliser avec Whitney Houston de Arista Records et Madonna de Sire Records[a 4]. Il trouve que Carey représente les deux. Mottola s'implique dans le travail de Carey et elle se fait assister par des musiciens plus connus pour créer de nouvelles chansons comme Ric Wake, Narada Michael Walden[a 4].
Enregistrement et structure musicale
Carey et Ben Margulies ont déjà commencé à écrire des chansons avant que Carey a signé le contrat, et ont composé quatorze chansons dont sept seront incluses dans l'album[a 1]. Au début, Carey et Margulies prévoient de produire entièrement l'album mais le label refuse[a 1]. Sur l'album, Carey travaille avec les auteurs et producteurs Ben Margulies, Rhett Lawrence, Narada Michael Walden, Ric Wake et Walter Afanasieff. Ce dernier a continué à collaborer avec Carey sur ses projets futurs[a 1].
Pour commencer l'album, Carey travaille avec Walden à New York et produisent I Don't Wanna Cry. Alors qu'il décrit Carey comme une fille « très timide », il remarque aussi qu'elle est très professionnelle pour son âge[a 6]. En plus de cela, elle écrit There's Got to Be a Way lors de la première session avec Wake[a 7]. Tout au long de celle-ci, ils écrivent quatre chansons, mais ne produisent que la dernière pour l'album. Après s'être envolé jusqu'à New York et avoir collaboré avec Carey, Walden est impressionné par sa voix[a 7]. Ensemble, ils modifient les cassettes pour les rendre plus commerciales dans les studios Tarpan Studios à San Rafael en Californie[a 8]. Pour travailler avec Lawrence, elle doit retourner à New York. Au studio, elle lui présente la cassette de Vision of Love qu'elle a écrite avec Margulies quelques années auparavant. Lawrence voit le « potentiel » de la chanson mais n'en tient pas compte pendant les premières sessions[a 8]. Il la décrit comme une « sorte de marche traînante des années 1950[a 8] ». Selon Lawrence, Carey a besoin d'un son plus contemporain et vont donc à la rencontre de Margulies et du producteur Chris Toland. Ils ajoutent un nouvel arrangement à la progression d'accords tandis que Carey change la mélodie et la tonalité. Après quoi, Margulies ajoute quelques notes à l'arrangement, une guitare et une basse[a 8].
Lorsque Carey travaille avec Walden sur I Don't Wanna Cry, ils travaillent sur plusieurs autres chansons[a 8]. Ils décident de « ralentir le tempo » et de créer « un type pleurard de ballades » qui selon lui montre l'inspiration du gospel[a 8]. Après avoir terminé la chanson, il remarque que Carey est perfectionniste. Il dit qu'après avoir fini la chanson, elle est retournée au studio la semaine suivante, pour corriger « une parole » qui la troublait[a 8]. Parmi les quatre chansons qu'elle a donné à Mottola, Someday est la favorite de Wake depuis le début. « J'aimais cette chanson depuis le début... Puis Carey m'a appelé et m'a dit : « J'aimerais faire cette chanson si tu veux la faire ». C'était génial, j'étais si heureux qu'elle m'ait appelé[a 10] ». Durant l'enregistrement, Carey révèle comment la chanson a été créée. Elle a travaillé sur la cassette avec Margulies dans son studio[a 10]. Alors qu'il commence à jouer des notes, Carey lui fait changer les accords, fait le refrain, les paroles et la mélodie[a 10]. Dans la chanson All in Your Mind, Carey fait une remarquable performance vocale en faisant des piqués jusqu'au fa6[1]. Selon la chanteuse, sa voix a craqué à un moment dans les vocalises. Alors qu'elle voulait les enlever de la chanson, Wake et Walden sont très impressionnés et lui disent que cela fera très bien l'affaire[a 9].
Accueil
Critique
Périodique | Note |
---|---|
About.com | [2] |
AllMusic | [3] |
Billboard | (Positive)[4] |
Q | [5] |
Robert Christgau | (C)[6] |
Rolling Stone | (Positive)[7] |
L'album reçoit généralement des critiques positives. Bill Lamb d'About.com complimente sa gamme vocale de cinq octaves et la considère comme un « nouveau plaisir de la musique pop[2] ». De plus, il estime que Vision of Love est l'une de ses meilleures chansons, et à côté de ce qui est décrit comme des « chansons banales », il pense que Mariah Carey est un « premier album puissant ». Il conclut sa critique en écrivant : « C'est simplement l'un des plus magnifiques premiers albums jamais eu chez une artiste pop[2] ». Ashley S. Battel de AllMusic trouve l'album « extrêmement impressionnant » et les chansons de l'album comme « des ballades douces et des chansons dance/R&B réjouissantes[3] ». Battel conclut sa critique en disant : « Avec cette collection de chansons jouant un tremplin pour les succès futurs, Carey établit un gros standard en comparaison avec les percées des autres artistes du même genre[3] ». Beaucoup de critiques disent que Mariah Carey est l'un des débuts les plus impressionnants de l'année, saluent les chansons, les paroles, la voix de Carey et l'écriture.
Billboard donne une bonne critique à l'album et le considère comme un « début impressionnant » et écrit : « Carey saisit avec beaucoup d'opportunités pour montrer son incroyable gamme vocale sur quelques pistes populaires mémorables comme Vision of Love[4] ». Rolling Stone salue l'album en écrivant : « Carey débute avec un album de ballades réjouissantes R&B et dance pop, chaque composition cocrédité à Carey et à toutes les occasions pour montrer sa grande gamme vocale[7] ». Le critique Robert Christgau donne un avis mitigé : « Elle est trop politicienne dans son courage, sa jeunesse et son attaque idéaliste de « la guerre, la misère et la douleur » : « Ne pouvons-nous pas nous accepter chacun l'autre/Ne pouvons-nous pas être nous mêmes conscients ». Elle tâtonne ce qu'elle ne connaît pas—l'amour[6] ». Tandis qu'il donne une critique positive, Bill Lamb dit que quelques pistes de l'album sont banales : « Quelques chansons rabaissent l'album[2] ». Les autres points faibles montrés par Lamb sont « les mélanges convenus de pistes rythmées et de ballades » qui font perdre un peu d'authenticité à l'album selon lui[2]. Mariah Carey est nommé pour le Grammy Award de l'album de l'année en 1991. Carey gagne de la « Meilleure nouvelle artiste[a 3] ».
Commercial
Mariah Carey entre à la 80e place du Billboard 200 et atteint le top 20 au bout de quatre semaines. L'album devient numéro un après 43 semaines, grâce à l'apparition de Carey à la 33e cérémonie des Grammy Awards, et y reste onze semaines ; à ce jour c'est le plus long numéro un de Carey[a 11]. Il reste dans le top 20 pendant 65 semaines et dans le classement pendant 113 semaines[a 11]. Mariah Carey est certifié neuf fois disque de platine par la Recording Industry Association of America (RIAA) le . L'album s'est vendu à 4 854 000 aux États-Unis selon Nielsen SoundScan, qui a commencé à comptabiliser les ventes en [8]. Il devient l'album le plus vendu de l'année 1991 aux États-Unis[9].
Au Canada, l'album devient numéro un dans la semaine du [10]. À ce jour, Mariah Carey est certifié sept fois disque de platine par la Canadian Recording Industry Association (CRIA) pour la vente de 700 000 exemplaires[11]. En Australie, il arrive en sixième position et est certifié double disque de platine par l'Australian Recording Industry Association (ARIA) puis finit sixième dans le classement annuel de 1991[a 12],[12]. Durant la semaine du , Mariah Carey entre à la sixième place du UK Albums Chart[13]. Après avoir passé quarante semaines dans le hit-parade, l'album est certifié disque de platine par la British Phonographic Industry (BPI) pour la vente de 300 000 exemplaires[14]. En 2008, l'album s'était vendu à quinze millions d'exemplaires[15].
Singles
Vision of Love est le premier single de l'album et l'un des mieux critiqués de la carrière de Carey[a 1]. Elle est créditée comme une influence majeure de l'utilisation du mélisme et inspira d'autres artistes. Vision of Love reçoit trois nominations aux Grammy Awards de 1991 : « Meilleure performance vocale pop féminine », « Disque de l'année » et « Chanson de l'année[16] ». La chanson reçoit un Soul Train Music Award dans la catégorie « Meilleur single R&B/Soul, féminin » et un autre prix aux BMI Pop Awards[16]. Elle devient numéro un aux États-Unis le et le reste pendant quatre semaines[a 13]. La chanson est aussi numéro un au Canada[17] et en Nouvelle-Zélande[18] et atteint le top 10 en Australie[19], Irlande[20], Pays-Bas[21] et Royaume-Uni[22]. À côté de son succès, elle est acclamée par les critiques. Lors d'une critique de l'album en 2005, Entertainment Weekly trouve la chanson « inspirée » et complimente l'utilisation de la voix de sifflet dans la chanson[23]. De plus, Rolling Stone dit que « les notes virevoltantes qui décorent les chansons comme Vision of Love ont inspiré toute la gamme d'American Idol, pour le meilleur et pour le pire, et presque toutes les autres chanteuses R'n'B pop[24] ». Bill Lamb d'About.com dit que « Vision of Love est l'une des meilleures chansons que Mariah a enregistré durant sa carrière [...] C'est simplement l'une des meilleures entrées d'artiste jamais eu parmi les artistes pop[25] ».
Love Takes Time est le second single. Elle est la seconde chanson de Carey à devenir numéro un aux États-Unis et la troisième au Canada[26],[27]. Tandis que la chanson a du succès dans son pays d'origine, Love Takes Time atteint le top 10 en Nouvelle-Zélande[28] et le top 40 en Allemagne[29], Pays-Bas[30] et Royaume-Uni[31]. Someday, le troisième single, rencontre le même succès que Love Takes Time et est numéro un aux États-Unis et au Canada[32],[33]. En Australie, elle est en dehors du top 40 et atteint la 38e place en France et au Royaume-Uni[34],[35],[36]. I Don't Wanna Cry, le dernier single aux États-Unis, est aussi numéro un aux États-Unis[37]. Il devient le quatrième numéro un de Carey et finit à la 25e place du classement annuel. La chanson culmine à la seconde position au Canada et la 49e en Australie[38],[39]. Carey devient la première artiste dont les cinq premiers singles sont devenus numéro un dont quatre issus de Mariah Carey[2]. Un cinquième single, There's Got to Be a Way, sort uniquement au Royaume-Uni et atteint la 54e position[a 11].
Promotion
À côté de la forte promotion de Sony Music, Carey participe à plusieurs émissions télévisées et cérémonies de remises de prix à travers le monde. La première apparition télévisée de Carey remonte aux Playoffs NBA 1990 où elle chante America the Beautiful[a 11]. Quelque temps après, elle interprète Vision of Love aux The Arsenio Hall Show et The Tonight Show[a 11]. En , Carey apparaît à Good Morning America où elle interprète une version a capella de Vision of Love avec Billy T. Scott Ensemble[a 11]. Vision of Love est reprise lors de nombreuses apparitions comme les Grammy Awards de 1991 et The Oprah Winfrey Show en Amérique ainsi que The Veronica Countdown (Pays-Bas) et Wogan Show (Royaume-Uni). Carey interprète Vision of Love dans toutes ses tournées sauf lors de l'Angels Advocate Tour[a 11].
La promotion de l'album continue avec les singles suivants. Carey interprète Love Takes Time aux The Arsenio Hall Show et The Tattoo Club[a 11]. Le troisième single de Mariah Carey, Someday, est interprété lors des American Music Awards de 1991, ce qui l'aide à devenir numéro un. Le quatrième single, I Don't Wanna Cry est devenu numéro un sans aucune promotion immédiate et Carey n'interprète pas la chanson avant le Music Box Tour en 1993[a 11]. Alors que la promotion de Mariah Carey se termine, Sony sort There's Got to Be a Way en cinquième single au Royaume-Uni. La plupart de ces chansons sont reprises lors du Music Box Tour. Vision of Love et I Don't Wanna Cry feront partie du Daydream World Tour[a 11].
Liste des titres
Crédits
|
|
Classements et certifications
Pays | Position | Certification |
---|---|---|
Australie[a 12] | 6 | 2 × Platine[a 12] |
Canada[10] | 1 | 7x Platine[11] |
Espagne[a 14] | 35 | Or[a 14] |
Japon[40] | 48 | – |
Norvège[41] | 4 | – |
Nouvelle-Zélande[42] | 4 | 4x Platine[a 15] |
Pays-Bas[43] | 6 | Platine[44] |
Royaume-Uni[13] | 6 | Platine[14] |
Suède[45] | 8 | Platine[46] |
Suisse[47] | 15 | Or[48] |
États-Unis Billboard 200[49] | 1 | 9x Platine[50] |
États-Unis Billboard Top R&B/Hip-Hop Albums[51] | 3 |
Pays | Position | Année | Période |
---|---|---|---|
États-Unis[52] | 27 | 1999 | 1990-1999 |
Classements des singles
Année | Singles | Meilleure position | Certifications | ||||||||||||||||
---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
ÉU [53] |
É.U. R&B [54] |
ALL [29] |
AUS [55] |
CAN [56] |
FR[57] | NL[58] | NZ[59] | RU [60] |
SUI [61] | ||||||||||
1990 | Vision of Love | 1 | 1 | 17 | 9 | 1 | 25 | 8 | 1 | 9 | 24 | ||||||||
Love Takes Time | 1 | 1 | 57 | 14 | 1 | – | 24 | 9 | 37 | – | |||||||||
Someday | 1 | 3 | – | 44 | 5 | 38 | 29 | 14 | 38 | – | |||||||||
1991 | I Don't Wanna Cry | 1 | 2 | – | 49 | 7 | – | – | 13 | – | – | ||||||||
There's Got to Be a Way | – | – | – | – | – | – | – | – | – | 54 | – | ||||||||
"–" Aucune entrée/certification. |
Compléments
Références
- (en) Cet article est partiellement ou en totalité issu de l’article de Wikipédia en anglais intitulé « Mariah Carey (album) » (voir la liste des auteurs).
- (en) Nicholas E. Lemansky et John Carroll, « The Acuto Sfogato », sur DivaLegacy.com (consulté le ).
- (en) Bill Lamb, « About.com: Top 40/Pop », sur About.com, (consulté le )
- (en) Stephen Thomas Erlewine, « Mariah Carey », sur AllMusic, (consulté le )
- (en) « Mariah Carey – Mariah Carey », sur Billboard (consulté le )
- (en) Jonathan Ross, « Mariah Carey: Mariah Carey review », Q magazine, , p. 131 (ISSN 0955-4955)
- (en) « Robert Christgau CG/ Mariah Carey », sur Robert Christgau (consulté le )
- (en) Don Shewey, « Mariah Carey: Music Reviews », sur Rolling Stone, (consulté le )
- (en) Gary Trust, « Ask Billboard: Madonna vs. Whitney ... vs. Mariah », sur Billboard, (consulté le )
- (en) « The Billboard 200 - Year-End Charts - 1991 », sur Billboard (consulté le )
- (en) « Top Albums/CDs - Volume 53, No. 20, April 20 1991 », sur RPM (consulté le )
- (en) « Gold & Platinum Certification », sur Canadian Recording Industry Association (consulté le )
- (en) « ARIA Charts - End Of Year Charts - Top 50 Albums 1991 », sur Australian Recording Industry Association (consulté le )
- (en) « Chart Stats - Mariah Carey - Mariah Carey », sur Official Charts Company (consulté le )
- (en) « Certified Awards Search », sur British Phonographic Industry (consulté le )
- (en) « BET Exclusive: Mariah Celebrates 20 Years; Thanks Fans », sur Black Entertainment Television (consulté le )
- (en) « Mariah Carey Career Achievement Awards 2010 Career Awards », sur Mariah Carey (consulté le )
- (en) « Top Singles - Volume 52, No. 15, August 25 1990 », sur RPM (consulté le )
- (en) « Mariah Carey - Vision of Love (song) », sur Recording Industry Association of New Zealand (consulté le )
- (en) « Mariah Carey - Vision of Love (song) », sur Australian Recording Industry Association (consulté le )
- (en) « The Irish Charts - All there is to know », sur Irish Recorded Music Association (consulté le )
- (nl) « Mariah Carey - Vision of Love (nummer) », sur Dutch Top 40 (consulté le )
- (en) « Top 40 Official UK Singles Archive », sur Official Charts Company (consulté le )
- (en) Michael Slezak, « Gem Carey », sur Entertainment Weekly, (consulté le )
- (en) Jann Wenner, « 100 Greatest Singers: Mariah Carey », sur Rolling Stone, (consulté le )
- (en) Bill Lamb, « Mariah Carey », sur About.com (consulté le )
- (en) « The Billboard Hot 100: Week Ending of November 10, 1990 », sur Billboard (consulté le )
- (en) « Top Singles - Volume 53, No. 1, November 24 1990 », sur RPM (consulté le )
- (en) « Mariah Carey - Love Takes Time (song) », sur Recording Industry Association of New Zealand (consulté le )
- (de) « Chartverfolgung > Mariah Carey > Single », sur Media Control Charts (consulté le )
- (nl) « Mariah Carey - Love Takes Time (nummer) », sur Dutch Top 40 (consulté le )
- (en) « Top 40 Official UK Singles Archive », sur Official Charts Company (consulté le )
- (en) « The Billboard Hot 100: Week Ending of March 09, 1991 », sur Billboard (consulté le )
- (en) « Top Singles - Volume 53, No. 15, March 16 1991 », sur RPM (consulté le )
- (en) « Mariah Carey - Someday (song) », sur Australian Recording Industry Association (consulté le )
- (fr) « Mariah Carey - Someday (chanson) », sur Syndicat national de l'édition phonographique (consulté le )
- (en) « Top 40 Official UK Singles Archive », sur Official Charts Company (consulté le )
- (en) « The Billboard Hot 100: Week Ending of May 25, 1991 », sur Billboard (consulté le )
- (en) « Top Singles - Volume 54, No. 3, June 22 1991 », sur RPM (consulté le )
- (en) « Mariah Carey - I Don't Wanna Cry (song) », sur Australian Recording Industry Association (consulté le )
- (ja) « Profil de Mariah Carey », sur Oricon (consulté le )
- (en) « Mariah Carey - Mariah Carey (album) », sur VG-lista (consulté le )
- (en) « Mariah Carey - Mariah Carey (album) », sur Recording Industry Association of New Zealand (consulté le )
- (nl) « Mariah Carey - Mariah Carey (album) », sur Dutch Top 40 (consulté le )
- (nl) « erreur du modèle [[modèle:Langue|{{langue}}]] : texte absent[[Catégorie:Page utilisant un modèle avec une syntaxe erronée|Langue]] », sur Nederlandse Vereniging van Producenten en Importeurs van beeld- en geluidsdragers (consulté le )
- (en) « Mariah Carey - Mariah Carey (album) », sur Sverigetopplistan (consulté le )
- (sv) [PDF] « Certifications 1987-1998 », sur International Federation of the Phonographic Industry (consulté le )
- (de) « Mariah Carey - Mariah Carey (album) », sur Classements musicaux en Suisse (consulté le )
- (de) « Awards », sur Classements musicaux en Suisse (consulté le )
- (en) « Billboard Top 200 Albums », sur Billboard (consulté le )
- (en) « Gold & Platinum: Searchable Database », sur Recording Industry Association of America (consulté le )
- (en) « Top R&B/Hip-Hop Albums: Week Ending October 20, 1990 », sur Billboard (consulté le )
- (en) « 1999 The Year in Music », Billboard, vol. 111, no 52, (ISSN 0006-2510, lire en ligne)
- (en) « Mariah Carey Albums & Songs Chart History: Hot 100 », sur Billboard (consulté le )
- (en) « Mariah Carey Album & Song Chart History: Hot R&B/Hip-Hop Songs », sur Billboard (consulté le )
- (en) « Discographie de Mariah Carey », sur Australian Recording Industry Association (consulté le )
- (en) « Discographie de Mariah Carey Singles », sur RPM (consulté le )
- (fr) « Discographie de Mariah Carey Singles », sur Syndicat national de l'édition phonographique (consulté le )
- (nl) « Discographie de Mariah Carey Singles », sur Dutch Top 40 (consulté le )
- (en) « Discographie de Mariah Carey Singles », sur Recording Industry Association of New Zealand (consulté le )
- (en) « Discographie de Mariah Carey », sur Official Charts Company (consulté le )
- (de) « Discographie de Mariah Carey Singles », sur Classements musicaux en Suisse (consulté le )
- (en) « Mariah Carey Official Top 20 Best Selling Singles », sur MTV (consulté le )
Références bibliographiques
- Chris Nickson 1998, p. 20
- Chris Nickson 1998, p. 22
- Chris Nickson 1998, p. 23
- Chris Nickson 1998, p. 25-26
- Chris Nickson 1998, p. 27
- Chris Nickson 1998, p. 28
- Chris Nickson 1998, p. 29
- Chris Nickson 1998, p. 30
- Chris Nickson 1998, p. 32
- Chris Nickson 1998, p. 31
- Chris Nickson 1998, p. 35-38
- (en) David Kent, Australian Chart Book 1970–1992, St Ives, Australian Chart Book, (ISBN 978-0-646-11917-5 et 0-646-11917-6, OCLC 38338297)
- Fred Bronson 2003, p. 762
- (es) Fernando Salaverri, Sólo éxitos : año a año, 1959–2002, Madrid, Fundación Autor-SGAE, , 1re éd., 1046 p. (ISBN 978-84-8048-639-2 et 8480486392, OCLC 63697296)
- (en) Dean Scapolo, The Complete New Zealand Music Charts 1966–2006, Wellington, Maurienne House, , 1re éd., poche (ISBN 978-1-877443-00-8, LCCN 2007532800)
Bibliographie
: document utilisé comme source pour la rédaction de cet article.
- (en) Chris Nickson, Mariah Carey revisited : her story, ST. Martin's Press, , 182 p. (ISBN 0-312-19512-5).
- (en) Marc Shapiro, Mariah Carey : The Unauthorized Biography, ECW Press, , 167 p. (ISBN 1-55022-444-1, lire en ligne).
- (en) Fred Bronson, The Billboard Book of Number 1 Hits, Billboard Books, , 980 p. (ISBN 0-8230-7677-6).